Ayant totalement recouvré ses esprits Thiritiel annonça à ses camarades

« Cette vision m'a fait oublier une chose importante ! Il y a quelque chose de dissimulé derrière ce panneau.
Toutefois, maintenant que je suis fatiguée je crains de ne plus être en mesure de l'ouvrir... Alira, as-tu un moyen pour me guérir de cette fatigue ? »

Elle s'adressa ensuite à Zetus.

« Mes origines me permettent d'être en mesure de lancer une fois par jour une détection de la magie Zetus, je devrai être en mesure de comprendre ce qu'est cette baguette mais je préférerai utiliser ce pouvoir si nous avons plusieurs objets à comprendre. »

Puis à tout le monde

« Je suis assez d'accord, cette arme semble correspondre à celle utilisée par l'un des meurtrier dans les histoires qu'on rapporte. Il suffit de vérifier dans les notes trouvées. »

Modifié par un utilisateur lundi 25 janvier 2016 11:03:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

Zétus remercia le prêtre d'un hochement de tête et rangea la baguette.
Nous verrons plus tard... Peut-être appartenait-elle elle aussi à l'un des tueurs, mais j'en doute vu que nous ne l'avons pas trouvé dans un sac, mais dans le tiroir du bureau...
Voyant Alira tendre une potion à Thirithiel, le mage se souvint alors qu'il avait également récupéré l'une de ces potions et la prit dans son sac pour la boire.

La fatigue qui le minait alors s'envola par magie et le mage se redressa, prêt à poursuivre.

La baguette restait un mystère aussi bien aux yeux de Zetus que d'Alira.
Reprenant leur fouilles de la pièce ils firent une découverte macabres, sous des décombres se trouvaient des restes d'hommes, le restes de vêtements poussiéreux les identifier comme étant d'ancien gardes.

Dans un coin renforcé, dont la porte resta dans les mains d'Alira, le prêtre découvrit une petite bourse contenant une douzaine de shuriken d'excellente facture et une dague finement ouvragé (1 dague de maître et 12 shurikens de maître également).
Dans un meuble renforcé en fer, Zetus découvrit un ensemble d'objet précieux, une jolie peinture représentant un noble, mais qui ne devrait pas être de l'Ustalav, un ensemble de peigne en argent, un médaillon de bronze représentant un chevalier en armure sur un destrier cabré ainsi que des outils aidant à crocheter les portes.

Le passage secret qu'a découvert Thiritiel donne sur un grand coffre contenant une dizaine de caches. Pour l'instant seule 5 d'entre elles sont remplis, par des objets divers et variés, devant chacune des caches se trouve une étiquette.
La plus basse à gauche est rempli d'une collection de symboles sacrés, une douzaine au bas mots relié par une fine chaîne en argent, une étiquette indique qu'ils appartenaient au père charlatan.
Une en face en haut contient, une flûte en argent ternie mais toutefois encore superbe, l'étiquette indique qu'elle appartenais au joueur de flûte d'Illmarsh. Celle juste en bas de celle là contient une hache à l'aspect inquiétant mais finement ouvragé, cependant la lame et le manche sont couvert de sang. Sur l'étiquette est écrit qu'elle appartenait à l’Élagueur.
Juste à coté de cet objet, dans la cache se trouve un grimoire, surement un livre de sort, complètement moisi. Une note qui est en train de moisir est posée dessus, on peut encore y distinguer le nom de Hean Feramin.
Dans la dernière cache au milieu à droite se trouve un marteau de forgeron qui lui aussi est le résultat d'un travail d'un bon artisan. Une note contenant le nom du Maraudeur d’Eaumoussue est posé devant.

La hachette émettais une aura caractéristique des objets magiques, du grimoire aussi une aura inhérente à ce genre d'objet propre aux magiciens.
Le reste n’émettait aucune aura magique mais une impression sinistre avaient l'air de les accompagner.

La hachette est une hachette magique mineure (Hachette +1) et Zetus ne vit aucun piège sur le grimoire, il y avait juste quelques résidus magiques comme n'importe quel grimoire de magicien qu'il avait pu examiné mais c'était une aura très faible.

"Oui bonne idée. Allons demander. Par contre, en attente d'en savoir plus, je ne suis pas sûr que les prendre à pleine main soit une bonne chose."

Alors que les disciples du Professeur Lorrimor s'apprêtaient à sortir de la pièce, Zétus grogna :
« Ce serait quand même bien si nous parvenions à identifier cette baguette bon sang ! Elle contient peut-être un pouvoir utile.... »
Sa propre incompétence l'énervait et le froid mage du feu démontrait alors son incomplète discipline mentale.
« Pouvoirrrrrrrr  »croassa Pharaon avec un once presque imperceptible d'envie.

Observant les différents objet magiques qu'ils avaient découvert, Thiritiel reconnue dans une baguette, un item permettant de lancé des sort de soin léger (baguette de soin léger (15 charges)). Par contre elle resta interdite devant la deuxième baguette, n'arrivant pas elle aussi à savoir de quoi elle en retournée.
Elle réussit à déchiffrer le parchemin comme un parchemin permettant de récupérer d'un épuisement ou d'un affaiblissement (parchemin de restauration partielle).

Sortant de la chambre forte, laissant derrière eux le cadavres des gardes mort il y a des décennies. Repassant par le vestibules qui était encore fermé par l'apparition clac-porte.



Retournant dans la pièce où se trouvait Vesorianna qui était en train de regarder par la fenêtre, vous entendant entrée elle se retourna et commença à glisser vers vous. Mais à moitié du chemin elle se figea et se jeta en arrière.
« Ils sont là !!! Je les sens ... les criminels!
Elles semblent pousser des halétements prononçés ce qui est ..effrayant venant d'un fantôme.
Non ... ce n'est que vous ? Qu'avez vous sur vous? »

Zétus maugréa lorsque Thirithiel parvint à identifier deux des objets qui avaient résisté à ses capacités d'identification et demeura silencieux, laissant ses camarades récupérer et se répartir ces objets qui ne l'intéressaient pas.

Il eu une pensée émue pour les gardes morts vraisemblablement étouffés dans cette pièce et eu un léger frisson.

Face à Vésorianna, dont le destin ne manquait pas de l'émouvoir, lui qui avait survécu au bucher et connu le baiser du feu, il ne se montra guère plus locace pour l'instant, l'esprit plongé dans ses propres réflexions sur la manière d'utiliser ces objets au mieux.