Caliban s'était tout de suite aperçut qu'un prêtre ou inquisiteur du dieu Némésis au sien était tout proche et sous couvert d'un sort d'invisibilité ou d'un quelconque autre moyen de cacher sa présence aux yeux non avertis.

Il remarqua ensuite qu'Alice commençait un jeu dangereux et tentait de semer le doute parmi leurs adversaires, il fut tout d'abord réellement troublé par ce qu'elle disait.

Il espéra qu'elle ne s'était pas trompée dans les textes sacré d'Asmodéus et décida ensuite de jouer le jeu.

Il braqua alors son arbalète vers Alice et monta la voix alors qu'il commençait à faire semblant de s'énerver sur la jeune fille :

« Et moi qui vous pensait de notre coté; quel est donc cette folie !  »

Il se rapprocha alors lentement de Dorian tout en gardant Alice en joue, bien qu'il restait prêt à tirer sur tout Asmodéen qui attaquerais Dorian ou lui même.



Je met un jet d'attaque/dégâts au cas ou pour mon action préparer de faire un "tir de risposte" sur un ennemi qui s'en prendrais à Dorian ou moi.
Tir à bout portant sera surement actif si le tir est lancé vu la condition,donc je l'ai déjà compté.

Modifié par un utilisateur vendredi 14 octobre 2016 22:02:52(UTC)  | Raison: Non indiquée

Un roux... nous voilà dans de beaux draps. Le pire c'est qu'il a complètement cerner le petit jeu de dupe de l'autre cruche... Bon...
Dorian recule d'un pas
Tranquillement...
Dorian fait le tour pendant que tout le monde se regarde en chien de faïence
Tout doux...
Dorian arrive derrière le roux
Bien joué Alice !
Dorian attaque comme une femme à la vertu douteuse dans le dos d'Azvernathi
Mange ça !




Action de mouvement : j'ai assez avec 6 cases pour me déplacer en évitant une attaque d'opportunité du moine numéro 3
Action simple : j'attaque le roux

Raul était sur ses gardes, et ne se laissa pas surprendre par Dorian, et la chaîne cloutée vint s'enrouler autour de son bras couvert d'acier sans le blessé.
« Je me doutais que ça ne tournait pas rond. Ainsi les Delsandri trahissent leur sang et leur héritage! Arrière! »
Il projeta une gerbe de flammes carmines au visage du roublard, bien décidé à ne pas se laisser faire. Dorian évita de justesse de recevoir les flammes au visage, mais sa manche s'embrasa, brûlant cruellement son bras.

L'adversaire de Gravius laissa échapper un cri de douleur, faisant volte face et frappant l'épéiste au niveau des côtes flottantes d'un coup de pied. L'autre tenta de frapper Escad, mais ne reçu pour ses effort qu'un coup de lame qui lui sectionna le bras sous le coude. Avec un sifflement, un carreau fendit l'air, perforant l'armure du prêtre avec un affreux grincement de métal.

Modifié par un utilisateur dimanche 16 octobre 2016 15:44:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

Alice regarda en direction de Gravius, elle reprit en commun. «  J’oublie que cet imbécile ne parle pas la langue du maître ! Rodrigue, il est temps de faire tomber le masque.  »

Elle reprit d’un ton plus solennel, toujours en commun. «  Au nom de notre unique seigneur, Moi, héritière de Lorgo DelSandri, vous somme de vous rendre à mon jugement !  »

Puis vers le prêtre, le regard perçant et autoritaire. «  Et vous cher ami, je vous ordonne de soigner mon ami, vous en serez grandement récompensé.  »

En disant cela, elle arborait un sourire assez dérangeant…



Lance sow though sur le prêtre pour qu’il ait l’idée qu’en soignant Gravius, il satisfera les désirs d’une personne de pouvoir et qu’il recevra bien plus en retour…

Le dernier moine tomba sous les coups de Gravius, et le prêtre se retrouva soudain seul. Masse à la main, il fit tournoyer son arme, prêt à se défendre. Il esquiva la chaîne cloutée de Dorian, et lorsque Caliban ajusta son tir, il manqua son coup, Escad lui bloquant la vue. Ce dernier ne manqua pas son occasion, cependant.

L'ex-garde bondit sur la table, et profita de sa position en hauteur pour planter sa lame dans le dos du prêtre, empalant l'homme d'église. Un filet de sang coula au coin des lèvres de l'asmodéen, et ses yeux se révulsèrent alors qu'il perdait connaissance, sans succomber toutefois. Posa un pied sur le corps inconscient, Escad arracha son arme.
« Problème réglé. Si vous voulez l'interroger, il va falloir le soigner, cela dit... »

A présent que la fureur de l'affrontement était retombée, ils purent prendre le temps de jeter un oeil à la salle où ils se trouvaient. Si on exceptait l'odeur de sang et de mort, l'endroit ressemblait vraiment à un musée. Des étagères, vides pour la plupart, s'alignaient le long des murs, et l'endroit avait dû servir de boutique à un moment donné. En revanche, les quatre tables au centre de la pièce, dont une était à présent renversée, avaient été utilisées plus récemment, car elles étaient couvertes de papiers et de parchemins.

Au nord de la pièce, se trouvait une grande porte entrouverte. Entre autres détails leur revenant en mémoire, il y avait également l'anneau qu'ils avaient repéré sur le doigt calciné d'un des zombis.

Modifié par un utilisateur mardi 18 octobre 2016 21:42:50(UTC)  | Raison: Non indiquée

Qu'est-ce qu'elle branle là ?

« Dit cachottière, tu lui fait quoi avec ton symbole sur sa tronche ? » Lui dis-je en commençant à fouiller son corps à la recherche de chose intéressante, y a toujours des choses intéressantes à trouver sur ce genre de mec.

« Ça me fait mal au derche de l'admettre, mais ton plan était efficace, mais préparé, il aurait été encore plus... »

Pour répondre à la question de la jeune psychique, Dorian, outre la masse ensorcelée du prêtre, trouva une masse légère d'excellente facture. Il portait un pendentif en or, en forme de pentagramme, le symbole d'Asmodéus, quelques pièces d'or et surtout plusieurs pierres d'onyx, un ingrédient nécessaire à l'animation de morts-vivants. Ils tenaient peut être le nécromancien qui avait peuplé le musée de monstruosités sorties de la tombe. Il portait aussi deux parchemins couverts de formules magiques.

Art de la magie (DD13)

A présent que le prêtre et les moines Asmodéens étaient morts, il devint rapidement évident que le musée était à présent désert, et ils purent prendre le temps de fouiller les lieux.
En examinant de plus près les tables dans la salle où les moines les avaient affronté, ils s'aperçurent que ces derniers étaient en train de travailler sur des archives à leur arrivée. Registres, archives, livres de compte et cadastres...des documents assez communs, mais qui avaient l'air d'avoir plusieurs décennies. Certains d'entre eux portaient des ratures à l'encre écarlate et des corrections, comme si les moines avaient été occupés à les relire pour les corriger.

Bien sûr, pour ceux qui s'intéressaient moins à la littérature, il y avait également quelques babioles de valeur dans les étagères...fil de cuivre, réplique de statuettes en ivoire, poussière d'argent et de diamant, et des tas de composantes que les magiciens utilisaient pour leurs sortilèges.

Dans la salle précédente, il n'y avait finalement que les zombis d'intéressants...mais à présent qu'ils avaient le temps de jeter un oeil de plus près aux cadavres, ceux ci n'étaient pas vraiment ordinaires...leurs vêtements, ou ce qui avait survécu à l'incendie, était clairement richement ouvragé, et quelques bijoux survivaient encore, surtout des bagues.

Perception DD15 en examinant l'anneau


Enfin, en ouvrant la grande porte au Nord, ils tombèrent sur ce qui devait être une salle de travail ayant été fouillée. Des bureaux retournés et des papiers étaient éparpillés partout dans la pièce, et l'endroit était un capharnaüm sans nom, à l'exception d'une seule table. Sur celle ci était ouvert un lourd volume, portant le titre L'Histoire et le Futur de l'Humanité. Peut être l'ouvrage le plus lut du Chéliax jusqu'à votre génération, il s'agit du livre sacré d'Aroden. Cet exemplaire là est en parfait état, et porte une note sur un bout de parchemin coincé entre les pages.

La note indique ceci: "Tournez l'oeil d'Aroden pour épeler le nom du Maître des Maîtres.

Connaissance (religion) DD10

Gravius, fatigué par les combats, avait laissé Alice prendre la relève. Lorsqu'elle parla de ses hypothèses, il se contenta de hocher la tête. Tout est bon, du temps qu'on arrête de se battre. J'ai vraiment besoin de récupérer. « Je... te fais confiance. Tu ne perds rien à essayer. »

Jamais Gravius n'aurait imaginé dire cela à la jeune femme. Mais quelque chose le chiffonnait : si les asmodéens avaient la solution à l'énigme, pourquoi ne l'avaient-ils pas utilisé aussitôt ? Pas vraiment rassuré, il suivit Alice tandis qu'ils retournaient vers la pièce des statues.

Gravius, d'abord surpris par le fracas derrière lui, se demanda ce que Papi faisait. « Caliban, t'as pas l'impression de faire un peu trop de bruit ? Si tu veux rameuter d'autres ennemis, attend d'abord qu'on trouve ce qu'on est venu chercher. Tu pourras tout casser en repartant, ne t'inquiète pas ! ». Puis comprenant que l'autre cherchait à le soigner, il se laissa faire, en lui adressant un sourire reconnaissant après la seconde prière.