Le bandit regarde, étonné, le moine qui le jette presque au sol. « On s'est trompé, on aurait pas dû. On pensait que vous étiez des bandits venus attaquer notre maison. C'est fréquent, les bandits, dans la région. » Expliques-t-il une fois s'être rattrapé et redressé. « Désolé pour les flèches... Je... Je vais repartir. Prenez ma bourse, pour le dérangement. » La nuit est sombre et un voile nuageux commence a recouvrir les étoiles, retirant le reste de lumière progressivement.
Psychologie DD17

Il regarde, effrayé, Johel: « Un... un bandit dirais tout à fait ça ! Je vous donne ma bourse, vous avez tué trois de mes camarades, c'est pas assez? Et puis, dans la noir, c'est pas facile de bien voir. Franchement... vous avez... vraiment un air... Heu... »

Après son esquive le coup, mais le regard mauvais du moine le fait quand même tomber au sol. Les mains derrière lui pour se rattraper, il commence à reculer un peu. La nuit, elle, devient plus noire encore. « Haaa ! Un démon ! »

Le bandit, au sol, tremble devant la démonstration de force de Johel, et la mise en garde du Barbare. Il craque et avoue: « Ok, ok. Je... je suis bien aux ordres du Seigneur Cerf. Vous... Vous avez vraiment massacré tout le monde au camp de l'épine? J'étais... pas au courant... Avec mon groupe, on étais sur le chemin du retour. Si vous me laissez en vie, je peux vous dire où se trouve notre cachette. »

Arrivé au camp, Johel retire son débardeur qui... Ne ressemble plus tellement à un vêtement, plutôt à un amas de fibres qui tiennent entre elles. Il marche le dos voûté jusqu'au camp, et présente son dos à Charani quand celle-ci vient lui prodiguer des soins.

Il souffle un rire après sa remarque : « Ahah... La gifle c'était Krone. On l'a entendue d'ici..?  » Il sourit, puis soupir d'aise après que la vague d'énergie positive l'ait soulagé. « Mh... Merci, ça va beaucoup mieux ! » Il roule des épaules comme à son habitude, pivotant pour faire face à l'Ifrit. « Il a pas dit grand chose, mais je suis sûr que Krone lui fera changer d'avis ! » Il sourit en biais, plongeant les mains dans ses poches.

Modifié par un utilisateur jeudi 19 juillet 2018 11:20:39(UTC)  | Raison: Non indiquée

Johel fusille du regard le Bandit. « Elle est où ta planque ? T'es en vie, donc dis le nous.  » Il hausse les épaules, comme si c'était une évidence. « A moins que t'aies changé d'avis, mais ça m'étonnerai. »

De retour au champ Krone lâchât le cadavre du deuxième archer et alla directement dans sa tente. Il en ressorti au moment de la description du champ de bandit, avec dans les mains une corde. Le barbare s'approcha du prisonnier puis lui dit d'un ton sec.
«  vous êtes combien là-bas ? Et vous faites quoi dans le coin ? Et avant de répondre, n'oublie pas ce que je t'ai dit tout à l'heure.  »
Krone passa derrière le bandit, lui prit les mains et les lui accrocha fermement dans le dos. Il se dirigea vers l'arbre le plus proche pour y accrocher le bandit afin qu'il ne puisse s'enfuir chercher de l'aide et rajoutât : «  Viens par ici. Si tu veux rester en vie, je préfère que tu ne puisses pas bouger.  »

Modifié par un modérateur vendredi 20 juillet 2018 00:30:11(UTC)  | Raison: Non indiquée

Charani s'approche du bandit, essayant de compenser les menaces de son groupe par une attitude amène malgré la fatigue.

« Excuse-nous d'être aussi irascibles, on n'aime pas trop être réveillés en pleine nuit par le bruit des épées qui sortent de leur fourreau. Comment tu t'appelles ? Simon ? Et bien Simon, on ne va te laisser attacher ici mais tu comprends que nous sommes cinq et que nous pouvons avoir besoin de discuter entre nous de ce que nous venons d'apprendre, non ? »

Puis elle se tourne vers ses compagnons, n'hésitant pas à discuter devant le bandit de ce qui l'attend.

« Bon... moi je vais me recoucher. Je pense qu'on peut le laisser mariner un peu, et demain il nous emmène à son camp, on récupère ce qu'il y a à récupérer, ses armes, et on le relâche. Mais si on fait ça et qu'il va voir son patron, ça risque d'attirer l'attention du seigneur cerf... ou alors on l'envoie à Restov, comme celui du camp de l'epine qu'on a épargné... moi je vote plutôt pour ça. Mais si l'un de vous a envie de se passer les nerfs et qu'à mon réveil il a la gorge tranchée, j'en voudrais à personne. Allez bonne nuit tout le monde, bonne nuit Simon, sois sage. » dit elle en adressant un clin d'oeil au brigand avant de retourner sous la tente.

Ephyra suivit du regard Charani tandis que celle-ci rassemblait les effets des bandits décédés. Puis ses yeux et son ouïe en alerte se retournèrent vers la forêt dans la direction vers laquelle étaient parti ses coéquipiers. Elle resta ainsi, aux aguets,jusqu'à ce que ceux-ci revienne vers eux, un bandit attaché en plus. Ephyra resta muette.



Elle regarda l'interrogatoire effectué par le barbare et le moine et fut étonné de tant de violence dans le comportement de Johel vis-à-vis du briguant. Cela ne ressemblait pas à son attitude habituelle. Mais elle fut bien obligé de reconnaître l'efficacité des deux compère lorsque le bandit leur décrivit l'endroit de sa planque. Pouvoir pacifier la région n'était certes pas pour déplaire à la samsaran même si elle désapprouvait généralement les méthodes violentes.
Elle hocha la tête en approbation au discours de Charani.



Et voyant que Johel continuait sa garde, elle retourna se coucher, un bâillement sur les ailes, tandis que Sophia allait se poser non loin de Johel, les sens à l'affut.

Modifié par un utilisateur mardi 31 juillet 2018 00:08:18(UTC)  | Raison: Non indiquée

Se réveillant peu avant son tour de garde, le dernier, Ephyra cligna des yeux suite à la nuit mouvementé qu'elle avait eut. Heureusement, les quelques heures de sommeil qu'elle avait put récupérer lui suffirent et c'est juste un peu embrumée qu'elle se leva, et alla relever Krone qui l'avait précédé. Elle prit quelque temps pour se rafraîchir dans l'ai nocturne froid de cette fin de nuit, ce qui finit de la réveiller pleinement.Entendant sa maîtresse se leva, Sophia la rejoignit et se posa sur son épaule. Ephyra sourit avant de lui grattouiller le dessous du bec. Ensuite, elle commença par incanter un sort d'alarme autour du camp. Une fois ceci fait, elle se plaça devant sa tente et, gardant tout de même ses sens à l'affût, commença à préparer ses sorts pour la nouvelle journée.
Rien ne se passa pendant son tour de garde et c'est tranquillement que le camp se réveilla pour prendre le petit-déjeuner.
Ephyra suivit le groupe en direction du repaire des voleurs. Celui-ci bien dissimulé et protégé surpris quelque peu Ephyra. Mais la samsaran garda le silence. Puis, c'est plus interloquée qu'elle découvrit une épée en argent d'une qualité et d'un emblème peu commun pour des bandits. Aussi, sans attendre, elle lança un sort de détection de la magie sur l'épée qui se mit à luire faiblement. Bien décidé à savoir de quoi il retournait, elle s'en saisit et lança sur elle même un sort d'idenification. Elle tâcha aussi, outre les capacités magiques, de déterminer l'origine de l'épée, notamment à travers son emblème. Elle haussa les yeux de surprise en déterminant les capacités de l'arme.



Elle fronça les sourcils devant l'emblème gravé sur l'épée. Cela ne lui disait rien du tout. Elle le montra à ses compagnons.



C'est une épée courte +2 gardienne.

Modifié par un utilisateur mardi 31 juillet 2018 14:19:01(UTC)  | Raison: Non indiquée