Ferrèol soupira, le nain avait raison, si comme il affirmait depuis le début que les flammes s'étaient emparés des étages supérieurs, bientôt tout le complexe serait en flamme et leur fuite avec le navire risquait d'être compromis. A peine dans l'escalier il se rétracta.

« Oui, partons!! D'autres chose au combien plus importante nous attendent!!

Sur le navire je vous expliquerais notre destination, et je comprendrais que certain préfère qu'on les dépose pour ne pas prendre part à notre combat et notre cause! »


CA:22

Oradin hocha la tête à la proposition du mage-tourbillon. Le temps était à la retraite, mais il écouterait ensuite attentivement les explications de Ferrèol et Fredrigo sur la raison de leur présence ici. Un mage maléfique associé à un démon constituaient deux menaces suffisamment sérieuses pour justifier qu'il poursuive éventuellement la route en leur compagnie. Le nain n'était pas né de la dernière lame : le gratte-plume qui l'avait envoyé se noyer sur l'océan espérait clairement l'éloigner de Magnimar. Ses anciens camarades le supportaient mal, depuis l'Événement. Il traînait sa solitude depuis bien longtemps, déjà. Aussi participer à une nouvelle quête ne devrait pas chagriner beaucoup son ex-confrérie... Cela ne l'empêcherait pas d'attendre la réponse officielle. Il y avait des règles à suivre. Comment espérer démontrer les bienfaits de celles-ci si on ne les respectait pas soi-même ! À commencer par lui, un représentant religieux d'Abadar, bras armé de la justice, comme il s'en était targué un peu plus tôt.

Son attention se reporta sur le groupe. Le grand ulfe et joli-cœur restaient taciturnes. Si pour le premier, c'était un comportement habituel, a priori, d'après ses premières constatations, Fredrigo couvait sans doute quelque chose. Ses regards appuyés en direction de la nouvelle venue ne laissaient que peu de doute sur le pourquoi de son silence soudain. Il secoua la tête en souriant dans sa barbe. Puis il décida de profiter d'une telle occasion, qui ne devait guère se reproduire bien souvent, pour se rapprocher de la jeune femme.

« Bienvenue au club des béotiens, Florentia. Je ne me suis pas présenté, tout à l'heure, mais tu as déjà entendu mon nom et ma fonction. Heureux de ta venue parmi nous. Encore plus si tu es aussi douée pour brasser une bonne mousse que pour identifier des potions ! » Il lui fit un clin d'œil et ajouta, sur le ton de la conspiration : « Ne te retourne pas, tu as un chevalier servant qui bave en contemplant ta chevelure extraordinaire... enfin, entre autres parties de ton corps, héhé ! Ceci dit, j'ai beaucoup voyagé mais pas eu encore l'occasion de voir une fille comme toi. De quel coin viens-tu, si ce n'est pas indiscret ? »

La jeune femme répondit au nain
«  Allons, la situation dans le phare, qui m'était inconnue jusqu'alors, justifie que les civilités soient repoussées pour laisser place à la survie. Pour la bière je me débrouille, bien que je n'ai ni le temps ni le talent des maîtres brasseurs nains. »
Elle sourit à l'évocation du chevalier servant
«  Il y a bien longtemps que je ne crois plus au mythe du prince charmant, j'ai ,d'expérience, appris à ne pas me fier qu'aux paroles, surtout dans ce domaine...
Je suis varisienne, originaire de Pointesable. Mais si la question était qu'est ce que je suis, il semblerait que je soit sylphe, que je possède du sang de djinns dans les veines, ce qui me vaut d'être prise pour une elfe par la majorité des gens, le pire c'est que je n'aime pas leur vin...  »

Elle acquiesça au dire de l'Ulfe. «  enchantée, désolé mais elle avait l'air.... morte...., les yeux vides et tout et tout. »

Modifié par un utilisateur mardi 14 août 2018 12:41:18(UTC)  | Raison: Non indiquée

eorten regarda le nain. « Cela peut attendre que nous soyons sur le bateau non ? »

Et il s'engagea sans un mot supplémentaire dans les escaliers.


AC actuelle 29 / 31 contre les mauvais
Sorts actifs :
- Bouclier : +4 AC,
- Protection contre le mal : +2 AC

Imposition : 4/4

rédrigo puis Ferrèol, regardèrent tour à tour par le meurtrière désignée par l'aérienne Florentia. Mais malheureusement, comme elle l'avait indiqué, le phénomène s'était dissipé et il n'y avait plus rien à voir hormis la baie du Golfe de Varisie et ses eaux agitées, écumantes et miroitantes au soleil. S'il y avait eu des nuages sombres, des mouches ou un navire fantôme ou encore une jeune et belle brune souriante à la peau pâle, tout ceci s'était dissipé sans laisser de traces. Il fallait donc croire sur parole la nouvelle venue...

Le groupe prit donc le parti de redescendre et c’était sans doute la meilleure décision du moment. En effet, le dernier aventurier venait à peine d’entrer sur le palier pour mettre le pied sur la premier marche de l’escalier du côté descendant, qu’un gros bruit sourd résonna et les plus sensibles sentirent même le sol légèrement vibrer. Quelque chose venait de se produire à l’état supérieur et un courant d’air chaud accompagné de poussière descendit par l’escalier. Oradin savait de quoi il s’agissait et avait maintes fois prévenu ses nouveaux alliés d’aventure et le bruit sourd ressemblait sans aucun doute à ce que pouvaient produire plusieurs tonnelets d’huile qui s’enflammaient ou explosaient. Très vite de la fumée noire allait envahir les niveaux adjacents à la caverne où venait de se produire le phénomène. Par après, les cavernes ayant de nombreuses ouvertures sur l’extérieur, elles étaient très ventilées, ce qui alimenterait les flammes qui embraseraient tout le mobilier et tout ce qui était tapis et tentures qui étaient fort nombreux en ces lieux. Bref, il ne faisait pas bon traîner dans la caverne des Numides et cela tombait à point puisque le groupe avait pris la bonne direction pour s’en aller.

Un niveau plus bas, l’escalier poursuivait sa descente après un court palier, enfin si on pouvait appeler palier une marche plus grande qui faisait la largeur d’une porte. Beorten poursuivit sa descente, comme il l’avait annoncé. La chambre du capitaine de ces naufrageurs et de salle aux coffres secrète, ne l’intéressait guère, son ami défunt se trouvait encore un niveau plus bas. Par contre, elle intéressait au plus haut point Frédrigo qui explora la chambre et la petite caverne secrète dans ses moindres recoins. La chambre lui donna du fil à retordre. Elle était grande, possédait beaucoup de mobilier et donc autant de recoins, cachettes, possibilités de dissimuler quelque chose d’important. Il dégrossit la recherche avec sa perception de la magie, puis sa curiosité fit le reste. Il y avait là vraiment de quoi faire et le Charmeur de ses Dames y passa un bon moment, peut-être aidé par un des aventuriers afin de réduire le temps en ces lieux. Au final, il finit par récolter le fruit d’un dur labeur ; Il y avait des caches un peu partout, comme on pouvait s’y attendre de la part d’un capitaine pirate, si jamais on venait à le trahir, les mutineries étant fréquentes dans ce milieu, et qu’on tentait de piller sa chambre. [Voir liste au trésor en fin de RP]. Enfin ils s’entraidèrent pour porter les deux coffres de la caverne secrète et qui devait sans doute contenir le butin que tout l’équipage avait accumulé à piller les navires après les avoir naufragés.

Le groupe redescendit donc encore un niveau pour rejoindre Beorten qui avait dû négocier avec une léopard peu loquace qui défendait crocs et griffes le cadavre d’un semi-orque baignant dans son sang. Pour les nouveaux arrivants comme Oradin et Florentia, c’était la première fois qu’ils voyaient celui qui répondait au nom de Vesalius. C’était un sacré gaillard tout en muscles qui malgré tout avait fini par tomber au combat et sa compagne animale était pour l’instant restée à ses côtés ne sachant comment sortir d’ici et retrouver sa vie sauvage, à moins qu’elle ne se sentait pour l’heure démunie et perdue étant donné les nombreuses années passées avec le semi-orque et le lien qui es unissait. Beorten était sans doute celui dans ce groupe qui avait passé beaucoup plus de temps à partager la vie et les aventures avec Vesalius. Ils venaient tous les deux des lointaines contrées du Nord et s’étaient rencontrés durant le voyage qui les avait conduits jusqu’ici. A gestes lents et à force de patience, l’ulfe parvint à s’approcher du semi-orque et à saisir son cadavre et son équipement. Lûbizub montrait les crocs mais finalement elle garda ses distances, prudente, voyant qu’on ne faisait pas de mal à son défunt compagnon sur deux pattes. Elle suivait de près Beorten où qu’il aille et empêchait quiconque d’approcher, prête à sauter sur le champion d’Érastil si jamais il faisait un geste inapproprié à l’encontre du semi-orque.

Le groupe descendit encore un niveau. Oradin comptait mentalement ceux-ci et prenait conscience de l’étendue du complexe. Il y avait donc la caverne où il y avait la grande coupe qui servait de phare, celle juste en-dessous où étaient stockés les tonnelets d’huile, puis la caverne des Numides où il avait combattu aux côtés d’un Ferrèol tourbillonnant, puis le niveau où se trouvait la chambre du capitaine, puis le niveau inférieur où Beorten avait récupéré le cadavre de son compagnon d’aventure et qui abritait la vile prêtresse rouge d’Urgathoa et maintenant il arrivaient à un nouvel étage encore en-dessous où vivait l’équipage. Ce qui faisait au bas mot 6 niveaux de cavernes troglodytes infestées de ces maudits naufrageurs dévoués à l’immonde déesse Pâle. Finalement, le serviteur d’Abadar était plutôt content de ne pas avoir eu à affronter tout ce beau monde tout seul. Cela aurait été une rude épreuve. Et encore il n’était pas au bout de ses surprises. Certes il y avait des cadavres partout à chaque fois qu’ils rentraient dans une nouvelle grotte ou pièce, mais il y avait aussi des passages secrets comme celui qu’ils venaient d’ouvrir pour descendre vers une caverne naturelle et qui avait visiblement un fonctionnement complexe. Le passage pivotait et se refermait aussitôt, n’autorisant le passage que d’une seule personne à la fois. Ceci pouvait rendre compliqué les allées et venues et le passage à plusieurs. Ce fut un endroit difficile pour Beorten qui portait un corps inerte mais surtout qui était accompagné et suivi de près par la léopard. Ils passèrent finalement en même temps, Lûbizub se faufilant tandis que l’ulfe franchissait le passage pivotant.

Un long escalier de taillé dans la roche menait à une caverne immense semi immergée où on pouvait voir un ponton, une petite plage et surtout un petit gréement en bon état, un deux mats sur lequel s’agitait une quinzaine de marins sous l’œil attentif d’un jeune homme qui paraissait tout juste sorti de l’adolescence et qui était accroupi sur le bastingage en s’assurant d’une main sur un hauban. C’était la première fois que Florentia et Oradin voyaient tout ça mais pas Beorten, Ferrèol et Frédrigo. Quelque chose avait changé. Le bateau paraissait différent. Il avait perdu sa chape sombre et inquiétante. Oradin parvenait à faire le lien avec le bateau qu’il avait vu dans son cauchemar, celui qui était entouré de brumes verdâtres et qui était occupé par un équipage impie qui décimait les navires marchands et transformait les victimes en morts-vivants. Mais là le bois paraissait plus clair, presque blanchi, lui donnant une coloration ivoire voire lunaire. Les marins n’avaient plus l’air de vauriens sortis des plus sombres bouges des tavernes portuaires de Baie-de-Rodéric ou encore de Port-Énigme. Ils étaient tous habillés pareil avec des pantalons courts à pont en toile dans les tons beiges-marrons et des tuniques courtes plus claires beiges-ivoires serrées à la taille par une simple ceinture de corde. Ils étaient pieds nus et s’affairaient avec ardeur pour préparer l’Étoile d’Argent à appareiller. Le jeune homme se leva et se tourna vers le groupe en levant la main en guise de bienvenue.



Liste des trouvailles :

Modifié par un utilisateur mardi 21 août 2018 19:58:45(UTC)  | Raison: Non indiquée

La descente se fit en silence pour Florentia, elle fut d'abord surprise par l'explosion, participa à la recherche d'objet dans les étages inférieurs puis resta silencieuse en signe de respect envers Beorten et Vesalius...
Puis enfin elle vit le navire, bien qu'elle n'y connaisse rien en terme de navire il semblait propre et bien entretenu, les marins travaillaient dessus dans des livrées au couleurs du navire. Rien de bien extraordinaire...

Cependant la remarque du nain sur l'enfant de Desna attisa sa curiosité, une fois la discussion entre ce dernier et le jeune marin elle demanda à ce dernier.
«  Excusez moi maître nain mais qu'est ce qu'un enfant de Desna? C'est la première fois que j'entend ce terme. »

Plus tard elle demanda à l'Ulfe, esquivant tant bien que mal le félin
«  Excusez moi de poser la question mais qu'allez vous faire de la dépouille de votre ami? »

Ferrèol était redescendu jusqu'au navire, et même s'il avait aidé son compagnon à descendre toutes les marchandises, qui pour lui était bien futile, il était resté dans ses réflexions. Il avait l'impression qu'il manquait quelqu'un et pas seulement cette jeune garce que certaine personne était venu sauver!

D’ailleurs il ne comprenait pas se que lui avait décrit Florentia!! Comment est ce qu'une personne comme elle avait pu fuir par peur devant eux et maintenant pouvait être à la tête d'un autre navire et s'enfuir par les fonds!!!!!
Non il ne comprenait pas, quelque chose lui échappait!!

Mais à l'arrivé dans la caverne ou il pensait devoir réveiller son ami Luc, la surprise lui fit presque oubliée ses tourments.
Luc égal à lui même avait encore fait des miracles, forcément il ne lui poserait pas plus de question qu'à son habitude!
Le principal était qu'ils étaient prêt à partir!!

Il avait donc suivit nonchalamment tous les compagnons et s'amusait à voir leur tête lors de cette découverte, il répondit au nain « Il a de bon amis, aussi têtus que lui l'est pour survivre!!! »

Puis il se retourna vers Frédrigo, « Ne t’inquiètes pas pour ça. J'ai prévenu Zaël, je pense qu'il fera le nécessaire pour prévenir les temples et leur dévoués, pour qu'ils viennent faire du ménage ici!!
Mais ce qu'a vu notre charmante amie, m’inquiète!!
Ne perdons pas plus de temps, et filons de cette passe!!! »


CA:22

Tout en souriant, Oradin leva les yeux en direction de Florentia. Son sourire se figea en constatant qu’elle ne plaisantait pas. D’abord incrédule, il se retint tout juste de rire. Il se racla la gorge pour masquer son embarras, baissant aussitôt la tête. La dame ne devait pas souvent sortir de son laboratoire. Un travail en solitaire, oui, c’était ça. En regardant droit devant lui, il lâcha sur un ton hésitant entre la gêne et l’hilarité contenu : « Enfant de Desna… ben… Son enfant, quoi. Son fils, le fils de Desna, voyez ? » La paume de sa main droite essuya son front encore luisant d’effort. « Je ne sais pas si Elle a eu des enfants, remarquez bien. Mais j’ai rêvé de lui pendant mon trajet jusqu’ici, et le voilà devant moi, en chair et en os. Ses yeux pailletés de poussières d’argent et son agilité surnaturelle sur le bateau qu’il manœuvrait seul, dans mes songes, m’ont fait pensé à un demi-dieu. D’où ma question. Mais peut-être n’a-t-il pas vécu la scène dans laquelle je l’ai découvert. Simplement… tout ce que m’a montré le chaman s’est réalisé. C’est troublant. »

Frédrigo intervînt alors pour détourner la conversation. Il opina à la proposition du mage, le remerciant pour les livres. Il avait toutefois espéré qu’il s’en occuperait lui-même. « La lecture est ma tasse de thé. Ce qui revient à dire le contraire du sens commun de cette expression, dans mon cas. Ce n’est pas ma tasse de rhum, si vous préférez. Mais je m’y plongerai quand même, c’est important de réaliser son devoir. Enfin, pas tout de suite : à bord du bateau, je vais avoir du mal à conserver la concentration nécessaire... Quant à ta baguette, je regrette, mais se rabaisser aux méthodes de l’ennemi est répugnant. Nos actes font de nous ce que nous sommes, alors agissons honorablement en toutes circonstances. La fin ne justifie pas les moyens, Frédrigo. Nous pourrions la confier aux prêtres de Pharasma, peut-être sauront-ils remonter la filière de sa fabrication et châtier les coupables. Il ne faut pas la céder à n’importe qui, quoi qu’il en soit. »

Enfin, et cette fois, il s’esclaffa pour de bon à la remarque du beau gosse. « N’imaginez pas une seule seconde que je vais me glisser dans ce harnois de Pâlot ! » Ils comprirent qu’il évoquait par ce sobriquet dégradant les adeptes d’Urgathoa, autrement appelé la Princesse Pâle. « C’est du bel ouvrage, on ne peut le nier. Mais je préfère ma décoration. Mon armure, c’est moi qui l’ai faite de mes pognes. Elle est personnalisée et raconte mon histoire. Jamais je n’en porterai une autre ! Mais si quelqu’un veut racheter celle-ci, je serais d’accord pour partager le produit de la vente afin de renforcer la magie de la mienne. »

Il se tourna vers le bateau, le regard misérable. « Bon, il va falloir monter à bord et décoller. Tout comme Florentia, j'aimerais bien en profiter pour en savoir plus sur notre marin, là. » Il interpella l'intéressé : « Luc ! Ttu portes bien ton nom : ton travail sur la navire me laisse le cul à l’envers ! » Il sourit au jeune homme, fier de son jeu de mot. Malgré les perspectives de prendre la mer, le nain semblait garder un certain humour, assez rare pour être signalé, chez un individu dans son genre, un paladin doublé d’un nain.

Amusé d'entendre le péchou parler, il n’avait pas commenter plus les dire des uns ou des autres, il avait préférer les laisser apprécier, ou pas ce langage bien à lui!!!
Il déposa rapidement ce qu'il avait pris pour aider Frédrigo, puis retourna à l'avant du navire. Il avait toujours en mémoire ces hommes poissons et leurs requins. Posé à la poupe du bateau, il attendit que ce dernier ce mette en marche pour commencer à scruter le fond de l'eau et les alentours du bateau.


CA:22

Fredrigo avait descendu l'essentiel dans une cabine pouvant fermer à clé, car il n'était pas question de tenter les marins que Luke dirigeait avec sa gouaille habituelle.

Ferrèol l'avait rassuré en l'informant que Zaël était prévenu et que la soldatesque allait venir visiter, nettoyer voire occuper ce qui resterait du complexe des pillards des mers.

En remontant, il entendit Florentia : « N'y prêtez pas attention, son langage vaut bien celui, châtié, prétentieux et docte, de trop nombreux nobliaux. Mais au moins, regardez les marins s'agiter, on le comprend !

Bon, tout est dans une cabine, on pourra étudier les trouvailles dès que nous serons sortis de cette passe. »

Il avait repris les propos du druide, et avec un large sourire, il commença à dire, sur le ton de la confidence : « A propos de passe, tout du moins de mauvaise passe, vous ai-je déjà parlé de cet ami qui avait récolté la chtouille !?
Non, laissez tomber... »

Puis il s'approcha du nain.
« C'est marrant votre truc de magie à favoriser une cicatrisation rapide en gardant vos pieds au sol.
Heureusement que vous ne soignez pas en dansant avec une belle, il faudrait vous concentrer sur les soins ou la belle.

Euh, à propos de l'armure, sachez tout de même qu'elle est d'une grande puissance magique. Ce serait dommage de ne pas l'utiliser !
Moi, je suis prêt à financer la purification rituelle d'Abadar, ou c'que vous pensez bon qui y ressemble, et à vous aider à engraver vos symboles. Sans même y faire ajouter à l'artiste un minuscule détail taquin que vous ne verriez pas, car je vois bien qu'il y a là sacralisation de l'armure.
Mais bon, je ne veux pas forcer quoi que ce soit.
Mais imaginez un instant que cette armure revendue échoue entre les mains d'un nain gris ou d'un orque adepte de Lamashtu ou Rovagug !?
Vous seriez presque, je dis bien presque, responsable de cet état de fait.
Enfin, j'dis ça, hein... »

Il s'éloigna en sifflotant, tirant ou attachant ici ou là un cordage afin d'aider les marins à la manœuvre selon les consignes données par Luke.


(en rouge, ce qui n'est pas identifié)
Fredrigo potentiellement intéressé par la cape de protec' +2 (et peut donner la +1 à quelqu'un qui n'en a pas) et par l'anneau de protection +1 : meilleure CA et meilleures saves ne seraient pas pour me déplaire !!

Chambre du capitaine / cache secrète / équipement du capitaine :
(documents et objets de valeur)
- bureau : journal de Bord, une multitude de cartes, papiers, notes.
- cache dans un pied du lit à baldaquin: bourse remplie de gemmes (valeur totale 5.000po) // diamant (1.000po).
- malle au pied du lit : 10 Robes en soie (valeur totale 2.000po).
- boite à bijoux contenant des boucles d’oreille, colliers, bagues, agrafes, bracelets, broches, etc. (valeur totale 3.000po).
- caverne secrète : (grand coffre) objets divers & restes issus des pillages (valeur totale : 5400po), sacs (total 1200 po), bourses remplies de gemmes (1000 po au total) // (petit coffre) : coffret serti de jade (valeur 300po) contenant 3 lingots d’argent (270 po au total).

(objets magiques)
- capitaine : épée longue (test de noblesse, religion, mystères, arts de la magie ou histoire) étincelante "Maledorn" qui a des pouvoirs que son porteur peut libérer // ceinture magique // harnois +2 // cape de résistance +2 // anneau de protection +1 // amulette de CA naturelle +1 // gantelets magiques.
- chambre : tableau mural (150 x 90 cm) magique.
- table de travail/autel : kriss magique // statuette en forme de sphinx à tête de mort magique.
- flacons de la coiffeuse : 5 petites fioles magiques.
- caverne secrète : (petit coffre) : pic de guerre lourd magique // sceptre magique // bague ornée d’une pierre noire magique.


Reste à identifier, venant de Phvarthaart (sorcier de feu) :

• 1ère baguette =>
  
• 1 parchemins (7) =>

Trouvés dans la chambre "dédié" à Urgathoa :
- petit livre type "journal intime" avec fermoir à la couverture de cuir souple brun terne (ou peau humaine) ;
- deux tenues de meilleure facture (beau tissus, broderies et incrustations de poussière de pierre précieuse formant le symbole d'Urgathoa) - valeur ? ;
- crâne en onyx - valeur ? / magique ? ;
- bâtonnets d’encens valeur ? / magique ? ;
- baguette magique (animation des morts, NLS5, 30 charges)

Modifié par un utilisateur mercredi 29 août 2018 15:38:11(UTC)  | Raison: Non indiquée