Vladi acquiesa à la demande du paladin : « Plus vite nous aurons régler ce problème de mage, plus vite nous pourrons retourner dans ce temple sous la montagne pour y trouver des réponses » puis continua de manger son petit déjeuner.

Ilyrana croque dans une pomme tout en flattant le col de Gripoil.

« Je suis d'accord, dépêchons-nous de retrouver le mage. Retourner maintenant voir les gobelins et chercher la trace du troisième acolyte me semble dangereux, et puis s'il est toujours à la tête d'une armée d'orques, nous n'auront aucun mal à retrouver sa trace ! Quant aux habitants, ils savent très bien qu'il y a des gobelins dans la mine, je leur fait confiance pour s'organiser en conséquence. Je vais juste les prévenir que s'ils veulent les chasser de là, je leur prêterais mon bras avec plaisir. »

Pour rappel, Espar figure sur les cartes, donc c'est probablement pas ce qu'on peut appeler un village. Je suis plus si on a une description précise de la ville par le meujeu, mais à mon avis y a plusieurs centaines d'habitants.

Modifié par un utilisateur mardi 6 novembre 2018 13:19:00(UTC)  | Raison: Non indiquée

En suivant le chemin montagneux, Enguerrand prit naturellement la tête de groupe, faisant attention à ce qui pouvait éventuellement les surprendre pendant leur déplacement. Avec son armure, c'était difficile pour lui d'avancer, mais il ne disait rien, se contentant de mettre un pied devant l'autre sans faire part de ses difficultés.
Diantre, Cette montagne est fortement escarpée... J'espère que la fin n'est plus loin...
Et, après une dernière pente à gravir, il arriva à un croisement. Il regarda les deux embranchement possibles, fronça les sourcils puis se retourna vers ses compagnons qui le suivaient.
« Un bifurcation ! Savez-vous par où obliquer ?  »

Modifié par un modérateur samedi 10 novembre 2018 20:53:10(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ilyrana suit le groupe, frustrée par la lenteur imposée par le paladin en armure. Le rythme tranquille convient à sa monture, qui regarde le paysage en renifle l'air qui charrie les odeurs de la vie animale environnante.

« On peut s'y rendre, ils auront peut-être des informations sur les orques. »

Kalia suivit le groupe du mieux qu'elle pouvais, les longues marche n'était pas son fort. Elle fut un peu soulagé quand Laurelin parla d'un village, l’ascension dans la montagne ne lui donnais pas vraiment envie.
Elle valida le fait de se rendre au village d'un signe de tête et elle suivi Vladi et Ilyrana qui passe devant

Le groupe s'avance donc vers la vallée, au creux des montagnes. A mesure de la marche, les bruits se font plus distinct et sont plus audibles. Même ceux qui n'avaient rien perçu finissent par tout entendre. Des sons d'activités, mais... Rien de réellement rassurant: Des bruits de combats, de métal qui frappe, des râles rauques.

Sur ces gardes, les héros continuent la progression jusqu'à entrer dans un bois via un petit sentier. Autour d'eux, des arbres, et autour, la chaîne de montagne et au dessus, le ciel bleu, sans nuage. Un temps clair et motivant, dommage que l'atmosphère ne soit pas cohérente...

Soudain, le chemin, après un virage, débouche sur une clairière absolument pas naturelle: Les arbres ont été coupés et ont servi à bâtir une forteresse qui siège sur un petit promontoire rocheux. La haute palissade empêche de voir l'intérieur, mais les bruits viennent de là. En continuant le chemin, le groupe arriverait sur la grande double porte gardé par deux orques en armure lourde armées jusqu'au cou. Ceux-là ne sont pas là pour rigoler, et les déboires de certains rappellent de mauvais souvenir: Le souvenir de l'échec et de la fuite.

Dans la forêt, le groupe n'est pas encore repéré, mais cela ne saurait tarder...

Laurelin aperçut la forteresse gardée par les orques. Elle recula également et approuva. « Effectivement, cela me semble impossible de tenter un siège à nous seuls. Peut-être il existe une autre entrée. Je ne préfère pas me frotter à eux mais en dernier recours, j'ai... un peu d'expérience avec les orques. » ajouta-t-elle avec un clin d'oeil.

Ilyrana observe la forteresse, se demandant déjà comment escalader la paroi au petit matin, pour profiter d'un soleil bas qui éblouirais les orques, quand ses compagnons décident de rebrousser chemin. Elle s'apprête à protester, mais n'en fait rien, et se content de suivre le groupe, boudeuse.

« Vladi tu saurais repérer une piste ? S'il y a une autre entrée, peut-être qu'elle est empruntée par quelques orques. Gripoil, tu sens quelque chose ? Cherche mon beau, cherche ! »

Gripoil se met alors à renifler autour de lui, saute dans un fourré, et alors qu'Ilyrana s'apprête à le suivre, fière de son chien, celui-ci en ressort avec un humérus dans la gueule.

« ... Bon chien. »

Modifié par un utilisateur mercredi 2 janvier 2019 16:54:06(UTC)  | Raison: Non indiquée

En retournant vers le croisement, Enguerrand resta derrière le groupe, gardant à l’œil la forteresse orque dans le but de protéger ses compagnons. Heureusement, les sentinelles ne semblèrent pas avoir remarqué la petite équipée, et ceux-ci rejoignirent tranquillement le sentier. En observant les alentours de la forteresse, Enguerrand fut perplexe.
Ces escarpements sont bien montueux... Je crains de ne pouvoir commodément les reconnaître avec mon armure...
Aussi, il se retourna vers les autres avant de leur parler.
« L'un d'entre vous s'estime apte à parcourir les abords de la forteresse ? Nous pouvons, dans le cas contraire, découvrir ce qu'il advient de ce raidillon plus loin. Qu'en pensez-vous donc ? »

Le tieffelin écouta les propositions du groupe et acquiesa : « Je suis du même avis. Récupérons des informations d'abord. Je vais escaler là où Laureline ne peut pas et voir par moi même. »

Puis il se mit à escalader le flanc de montagne :