Le soleil était maintenant presque couché, la libération des premiers otages et l'interrogation de ceux-ci n'avait pas prit autant de temps que cela. Quand nos aventuriers reprirent le chemin sur les quais du chantier navale en direction du Prince Fringant, une lumière rouge, orange striait les nuages à l'horizon.

Les lieux étaient vide, les marins et dockers s'en étaient allés , vers l'alcool et la luxure (quoi que certain était tout simplement rentraient chez eux, où entendaient leur femme en sur poids flagrant suite à de nombreuses couches et à des repas peu équilibré, le manque d'exercice physique n'arrangeant rien à l'affaire, mais passons, c'est considération sur la vie du marin et retournons à notre bateau.)

Le Prince Fringant était un galion à trois mâts en bon état qui flottait paresseusement à l'amarre le long d'un large quai encombré de caisse et de tonneaux. Il semblait qu'il n'y avait pas âmes qui vivent dans le coin, on n'apercevait même pas la vigie qui monte la garde traditionnellement sur la passerelle de tout navire à quai. Un homme en bois peint de couleurs criardes était accroché au beaupré et ressemblait trait pour trait au Grand Prince du Taldor, Stavian III. Les mains sur les hanches, il arborait un large sourire et ses jambes étaient pliées comme s'il dansait la gigue.

Pahelor s'approcha discrètement du galion, la première chose qu'il remarqua, était que le pont avait été récuré, il y avait peu et présentait encore des flaques d'eau et des bulles de savon. Mais il restait désert et entièrement plongé dans le noir maintenant que le soleil s'était couché.

« Je suis d'accord avec toi Palehor. Si le navire est mal surveillé, autant en profiter tout de suite. Eliminons le maximum de monde et une mêlée générale qui ne peut être qu'à notre désavantage. » déclara Lorac en se tirant la barbe nerveusement comme avant chaque combat.

« Il ne te manque plus que la barbe ... et quelques kilos. » répondit Lorac avec un clin d'oeil.

Après avoir posé le pied sur le pont, Sari examine attentivement les deux côtés du navire, aussi bien vers les cales que vers les constructions de proue et de poupe.

Modifié par un utilisateur mercredi 29 septembre 2010 00:02:25(UTC)  | Raison: Non indiquée

Pahelor s'approcha de l'escalier le plus silencieusement possible, l'arbalète chargée, et scruta les profondeurs du navire en dessous de lui, guettant un craquement du bois ou une respiration qui aurait trahi la présence d'un ennemi...

je me place en E19

Lorac prit son urgrosh à deux mains et suivait Pahelor quelques mètres derrière. Quand il le vit descendre l'escalier, il se rapprocha pour être juste près de lui au cas où. Ce qui ne fut pas un mauvaise idée car bien que ne connaissant pas grand chose dans les arrivées discrètes, le nain sentait bien que celle-ci n'en était pas une quand il entendit le bois craqué sous leurs pas.

Je me mets en (E,18) juste derrière Pahelor.

Modifié par un utilisateur mercredi 29 septembre 2010 21:42:11(UTC)  | Raison: Non indiquée

Du haut du château arrière, Sarrel lança à la cantonade, sans prendre garde au volume de ses paroles :

« Eh ben ! Si c'est comme ça que vous êtes discrets, je sais pas ce que c'est quand vous voulez vous faire annoncer !! Ha ha ha ! Bon, dépêchez vous quand même, si vous n'êtes pas de retour dans 10 minutes, je viens vous chercher ! Si y'a une lucarne en bas, ouvrez là, si quelqu'un arrive, je tirerai dedans pour vous prévenir. »

Puis il recula d'un pas pour se dissimuler de la vue de tous.

Modifié par un utilisateur jeudi 30 septembre 2010 22:47:07(UTC)  | Raison: Non indiquée

Eladia se rend bien compte que leur plan initial d'une arrivée discrète sur le bateau est désormais avorté. Elle fait une courte prière à sa Dame et emboîte le pas de ses compagnons.

Dame Sarenrae, je vous supplie de tourner votre regard bienveillant vers mes compagnons et moi. Nous en allons en avoir le besoin.


Et je me mets à l'arrière de tout ce monde, soit... F15