Dès le début barrière protectrice : +2 CA et RD5/-, bloque jusqu’à 30 dégâts => 6h (25 left)
Armure de mage : 1h pour encore +2 CA

Aloïs sembla satisfait par l'idée de Quoovar, il se contenta d'acquiescer. «  Je suis avec vous, tant qu'on extermine toute la vermine je suis derrière toi Quoovar, ouvre les portes et nous ouvrirons leur passage vers le trépas.  »

Alors qu'ils achevaient leur conciliabule, une voix inconnue se joignit à la conversation...ou plutôt, une petite voix éraillée les appela depuis la petite porte à droit de l'entrée du laboratoire. Elle parla d'abord en Skald, puis en commun, essayant d'attirer leur attention, mais apparemment incapable de s'élever au dessus du murmure.
« Hei, det er noen? Få meg ut herfra ! Ulfen du snakker ? Vous êtes Ulfen? Vous comprenez ma langue? Libérez moi, s'il vous plaît! Avant qu'ils ne reviennent! »
La voix était clairement celle d'une femme, et était difficilement audible à travers le bois ferré de la porte. Ils entendaient des grattements, laissant supposer qu'elle essayait de gratter le panneau de l'autre côté. Cette fois, leur interlocuteur avait l'air définitivement humain. Une jeune femme, à en juger par la voix.

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Aloïs était toujours étonné quand on parlait d’Ameiko comme d’une impératrice. Elle qui lors de ses premiers ébats était si timide, sensible. Rêvant d’aventures mais ne se doutant pas de son futur.

«  Oui vous avez raison, il nous faut aider un maximum de personnes… D’ailleurs qu’est-ce que cette voix ? Vous pensez que cela pourrait être l’une de vos compagnons prisonniers ? Sinon c’est peut-être simplement une belle demoiselle en détresse… Ou peut-être une embuscade.  »

Il fit un signe à Quoovar, arme en main prêt à se défendre en cas d’embuscade. «  Je suis prêt, on y va ?  »

Vision dans le noir 3h00

Kurimi fit un signe de tête pour indiquer qu'elle était prête, rangeant son sabre et sortant son arc, prête à tirer si ce qui en sortait semblait hostile ou maléfique. Elle serait très heureuse de libérer quelqu'un mais, dans pareille repaire, ils devaient se préparer à toutes les fourberies.

Un rire un peu grinçant et désabusé lui répondit.
« Honnêtement, si on me donnait le choix, je préférerais être morte plutôt qu'enfermée ici...mais je vous remercie
malgré tout! Dans tous les cas, je serais libre. J'ignore qui a la clé...peut être le troll. Peut être en enfonçant la porte? »

La serrure n'était pas extrêmement compliquée, mais elle n'était pas très bien entretenue non plus, et la rouille allait compliquer la tâche pour la crocheter.

J'aurais besoin d'un jet de Désamorçage/Sabotage DD20 pour ouvrir la porte.

De l'autre côté de la porte, la voix lui répondit.
« Comment voulez vous que je sache ça? Ils ne font pas la visite des lieux à leurs prisonniers! Il y a d'autres geôles dans les souterrains du donjon, par contre, j'étais enfermée là à un moment donné, mais le troll préférait que je sois plus près du laboratoire. Je ne sais pas trop pourquoi, mais je suppose qu'il avait besoin de mes cheveux pour quelque chose. Quand à MA guilde, comme vous dites, c'est une guilde de marchands! C'est parce que j'ai refusé de céder aux menaces des Ombres que je suis ici! Et ça fait des mois...enfin, je suppose. Alors sortez moi de là, où donnez moi au moins un couteau, que je puisse finir le travail! »

La porte s'ouvrit immédiatement vers l'extérieur alors que l'occupante de la cellule basculait par l'ouverture en titubant. La cellule de l'autre côté était minuscule, peut être deux mètres de profondeurs et à peine un mètre cinquante de hauteur, pas assez pour se tenir debout. Il n'y avait aucune autre ouverture, et on pouvait voir un rat remuer dans un coin. L'endroit empestait l'humidité et le sang.

Thorborg elle même était dans un état pitoyable. Avant son emprisonnement, elle avait dû être une belle jeune femme, mais à présent, sa chevelure tressée était raidie de crasse, et plusieurs mèches folles tombaient autour de son visage. Les tatouages runiques bleus sur ses bras étaient à peine visibles sous les blessures récentes, et elle était terriblement maigre, ses traits presque squelettique. Sa cape bleue déchirée couvraient une robe en lambeaux, et ses bras eux aussi paraissaient trop frêles pour servir à quoi que ce soit. Elle se releva tant bien que mal, s'appuyant sur le mur, titubant et tremblant violemment. Elle adressa un signe de tête au demi-elfe, clignant des yeux pour s'habituer à la lumière pourtant réduite du laboratoire.
« M...merci...sans vous...qui êtes vous, d'ailleurs? Des ennemis des Ombres? Enfin...peu importe. Je vous dois la vie. Si je peux retourner à Karlsgard, je ferais en sorte que vous soyez récompensés pour m'avoir aidé. »


L'image au dessus c'est Thorborg Silverskorr telle qu'elle avait du être avant son emprisonnement.

Thorborg hésita une demi-seconde avant de se jeter sur la ration, la dévorant à toute vitesse. Pendant ce temps, Shae en profita pour l'examiner rapidement, mais en dehors de plaies superficielles, et d'un état global d'épuisement et de sous-alimentation, elle n'avait pas l'air d'aller trop mal. Du repos et de quoi manger devrait soigner cela...et un bon bain. Cela dit, Thorborg avait quand même saisi sa remarque.
« Je ne veux pas vous arrêter en route, surtout si ils savent que vous êtes là. Je vais me débrouiller pour vous suivre, ils ne veulent pas me tuer de toutes façons...et si jamais ils essayent de m'utiliser comme otage, ignorez les. Je ne leur sers à rien morte dans tous les cas. »
Il y avait une lueur de détermination dans son regard qui ne trompait pas: si elle devait mourir, elle n'hésiterait pas.

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Aloïs sourit à la jeune femme, ne sachant s’il pouvait lui faire confiance… «  Bien, nous ne savons pas où seront les ennemis, donc pour moi le mieux est de venir avec nous. Cela vous permettra également de voir leur chef tomber, je suppose que vous aimeriez vous venger n’est-ce pas ?  »

Il parlait avec un ton de plus en plus glacial… «  Cela fera plus que plaisir de voir enfin certaines vengeances accomplies.  » Il faisait alors tourner son wakisachi dans sa main. Tu auras enfin ta vengeance mon ami, et ensuite nous continuerons ensemble notre voie.

Curieusement, Solomyia éprouve beaucoup d'empathie vis à vis de la malheureuse.

«  Je ne sais pas si c'est une bonne idée de vous laisser partir toute seule. Vous n'êtres pas en état de résister à la moindre agression sur le chemin du retour. Le mieux serait de rester avec nous et de reprendre des forces quad nous en aurons fini avec les occupants du château.  »

Lui souriant

«  Et puis on trouvera peut être une salle de bain dans les étages. »

Poursuivant

«  Au fait, vous savez ce que c'est que les créatures à coté ?. »

Modifié par un utilisateur lundi 26 septembre 2016 12:04:27(UTC)  | Raison: Non indiquée