Pendant que le colosse écoutait le récit de Fredrigo, il rassemblait ses connaissances sur l'endroit vers lequel ces deux magiciens se dirigeaient, en compagnie de l'étrange pêcheur. Que lui rappelait donc ce Pilier du Ciel ? Que savait-il au juste sur ce démon chasseur décrit par le sorcier ?

Vesalius mangeait avec appétit. Il mastiquait bruyamment et déglutissait de grosses bouchées. Le tout le plus naturellement du monde, ce qui n'entravait guère ses réflexions. Lûb avait déjà dévoré sa pitance sur les cadavres de la plage, peu de temps auparavant, et n'avait pas réclamé de rab. Elle gisait sur le flanc, non loin, somnolente.

« Votre quête parait des plus dangereuse. Un démon, rien de moins ?! Ferréol a raison, il faut que je vous accompagne ! Mais pour le moment, nous devons ramener la fille à son gouverneur de père. L'idéal serait de pouvoir la ramener à bord sans faire de vagues, et revenir plus tard avec des renforts dignes de ce nom. Il ne serait en effet pas prudent de rester ici toute une nuit. Qui nous dit que la nemesis de ton ami ne recrutera pas d'autres hommes-poissons entre-temps ? Il y aura alors sur ce pont autant de sahuagins que de morpions dans le fondement d'un cul-de-jatte ! Non, décidément, il vaut mieux les harceler, avant qu'ils ne rassemblent toutes leurs forces. Du reste, ils sont chez eux, ici. Qui nous dit qu'ils ne nous espionnent pas, au moment où je vous parle. Après tout, ils ont deux mages. Et ils nous attendaient patiemment dans le couloir, tout à l'heure. À propos de magie, il pourrait s'avérer profitable d'analyser la pièce au miroir, également. Il y a peut-être moyen d'en tirer quelque chose. »

« Enfin bref, moi je dis qu'il convient de se dépêcher et profiter de leur isolement actuel. » Il enfourna une nouvelle bouchée. « On pou'ait échanger de la nouli'ule cont'e des lenseignement avec chelui en fond de cale qui connait les obje'tifs du gland patlon. » Qu'il arrosa aussitôt d'une rasade de vin. « Qu'en pensez-vous ? »



Enlever 2 au jet de géographie sur le Pilier, si ce n'est pas une montagne. Bien que dépourvu de rang en Conn.(plans), jet possible pour un ennemi juré, s'il s'agit bien là d'un démon. Je te laisse faire

eorten avait suivi en silence tout concentré à ne pas glisser avec le vieil homme dans ses bras. Il tenta de l'installer au mieux, mais il semblait prisonnier de sa folie et se balançait de manière incessante... Beorten le regarda avec beaucoup de pitié, et recommanda à nouveau son esprit auprès d'Erastil. Il se retourna vers les autres et écouta le récit que leur faisaientt ces deux étranges personnages qui étaient désormais leurs compagnons d'aventure. Des liens se tissaient malgré tout entre eux, la camaraderie des champs de bataille n'était pas un vain mot. Leurs objectifs étaient quelque peu différents, mais dans leur esprit, il régnait des valeurs communes : Vaincre le mal. La mention du Pilier du Ciel fit tilt dans son esprit, mais il ne put mettre le doigt dessus... Il lui semblait bien que c'était par chez lui, mais sans arriver à sortir un quelconque détail dessus...

Le bellatre semblait faire une fixette sur les objets restant à identifier, il prit donc quelques minutes pour les axaminer avant d'émettre son avis...



« Si nous devons partir, faisons le rapidement. Mais l'être capable de déclencher des tempêtes est toujours là haut... Il nous verra nous enfuir, et nous aurons certainement une tempête à essuyer. Sommes nous assez pour maîtriser un tel navire pendant un événement de cette nature...Car je ne pense pas que nous puissions nous entasser dans notre barque pour rentrer... A moins qu'il n'y ait un autre bateau ? »

il poursuivit
« Interrogeons les prisonniers sur les desseins de ces capitaines...  »

eorten répondit à son ami, tout en prenant une bonne portion du repas.

« Nous avons trouvé les prisonniers, j'aimerai avoir un peu plus d'information sur le pauvre homme là bas ». Il désignait le pauvre hère qui se balançait tout en psalmodiant des propos inintelligibles.

« Je suis d'accord avec toi Vesalius. Nous devons battre le fer tant qu'il est chaud. En restant ici, nous nous exposons trop. Débusquons ces vils pirates de leur tanière, et finissons en. Une fois ceci fait, mon épée sera à votre service pour combattre ce démon. »

ur le pont du petit gréement, le groupe confrontait leur avis sur la situation. Les uns étaient pour prendre du repos, d’autres pour repartir de suite même pas après une courte pause, juste le temps de se restaurer puis éventuellement de tirer les vers du nez des membres d’équipage mis aux fers dans la cale. La fatigue des derniers combats se faisait ressentir. Lûb s’était allongée sur le pont, se laissant abandonner à une douce paresse le temps que son compagnon à deux pattes la rappelle à l’action. La tension était retombée aussi. Le groupe avait fait preuve de beaucoup d’efforts et de concentration dans diverses tâches aussi bien lors des combats que durant les différentes épreuves qu’ils avaient surmontées comme remonter les cages, libérer leurs occupants, fouiller, interroger, déplacer, etc. Fatigue, tension, tout commença à se brouiller dans les esprits et il suffisait de s’adosser au mât principal ou au bastingage pour se laisser aller l’espace d’un bref instant à la rêverie, aidé en ce sens par le lent ballotement du gréement au gré des courants marins.

A quel moment ils s’étaient tous endormis ? Personne ne pouvait le dire. Ils avaient encore en mémoire leur dernière conversation à savoir quelle décision ils allaient prendre puis en attendant la réponse des uns et des autres, leur esprit était parti presque instantanément dans une nuit étoilée douce et chaleureuse. Une légère brise chaude comme les alizées caressait leur visage, leur esprit vagabondait au milieu une myriade d’étoiles brillantes qui étaient autant de yeux qui les éclairaient et les regardaient. Ils se sentaient protégés par ce souffle léger qui portait les odeurs de la mer, de la terre, des feuilles d’arbre, des fleurs, une odeur mêlant les parfums de la nature brute et ce regard, un immense regard rempli de sagesse et de bonté, les étoiles dessinaient les contours d’une paire d’yeux qui les regardait de son pâle éclat argenté, comme si une entité était là pour veiller sur leur sommeil et faisait en sorte que leurs rêves oublient l’espace d’un instant les dures épreuves qu’ils venaient d’affronter.

Puis comme si un appel lointain le leur avait ordonné, ils se réveillèrent un à un, clignant des yeux et frissonnant dans la fraîcheur de la grotte marine. Lûb était venue se blottir contre Vesalius, tandis que chacun avait trouvé un coin le plus confortable possible sur le pont pour se reposer. Combien de temps s’était-il passé ? Tout au plus une heure et pourtant ils avaient l’impression d’avoir dormi toute une nuit. Aussi bien Frédrigo que les autres manipulateurs de magies diverses, profanes ou divines, avaient l’impression d’avoir recouvré pleinement leurs moyens, tout comme les corps physiques qui paraissaient avoir récupérés pleinement des efforts et des blessures. Et durant cette heure, rien n’était venu perturber le petit gréement et leurs passagers. Chacun interrogea l’autre du regard, pas de sentinelle, ils avaient couru un sacré risque. Même s’ils n’avaient dormi qu’une heure, n’importe qui dans ce trou à rats aurait pu les surprendre et les attaquer. Mais ne fin de compte il y avait bien une sentinelle. Levant la tête presque instinctivement, pour Vesalius et Lûb, quant à Beorten il avait senti comme une présence et enfin Ferrèol et Frédrigo commençaient à se douter qu’il serait quelque part par-là, ils aperçurent L’Pêchou accroupi sur la vigie du mât principal, tel un oiseau perché, le regard lointain ou perdu dans les reflets que formait la mer autour du navire. Lui aussi semblait en bien meilleur état que l’heure précédente. Il fallait dire qu’il avait reçu de nombreux soins magiques et il n’avait sans doute pas autant de résistance que nos courageux héros qui l’avaient libéré des chaines barbelées.

Il lui fallut quelques instants pour répondre à l’appel des compagnons d’aventure. Il adressa un sourire et un signe de la main comme quoi tout allait bien puis descendit les haubans tel un singe, ayant retrouvé en grande partie sa mobilité sur un bateau – « Z’étiez épuisés j’ crois ben… Z’êtes tombés comme des souches. Fé’ j’aime ben c’ te barcasse… J’crois que j’ peux l’ manœuvrer. Mais faut d’ l’ équipage parce que là tout seul… Disons pas moins d’ douze et j’ te l’ fais filer plus vite qu’eun flèche. D’ailleurs s’appelle l’ Flèche d’Argent ça doit être pur ça. »

Vous avez récupéré comme après une nuit de sommeil de 8H sous l'effet de soins suivis d'un prêtre (pour les PV). Plus qu'à aiguiser vos armes et vos sorts et vous pouvez repartir.

La caverne des naufrageurs
LA MAP niveau 1
LA MAP niveau 2

En ce jour de printemps, les nuages blancs sur l’horizon, calmes et voluptueux, formaient une haie d’honneur au mariage entre le ciel bleu azur et la mer turquoise. Tendrement enlacés au fond du canot délicatement bercé par le clapotis de mornes vaguelettes, un couple d’amants profitait de la chaleur, que les plats-bords protégeaient en repoussant la maigre brise. Caressante, la main du garçon, dont la largeur témoignait déjà de l’adulte charpenté qu’il deviendrait, était enfouie dans les boucles noires et luxuriantes de la fille, dont la tête reposait sur sa large poitrine. Ils l’avaient fait ! Que de doutes et de peur avaient parsemé leur chemin, avant cet instant délicieux où chacun avait offert à l’autre sa virginité. Rassérénés, ils goûtaient maintenant à la profonde béatitude qui s’était emparée d’eux depuis. Un moment d’intime nonchalance.

Elle était la plus impétueuse des deux et avait brisé le silence en premier, d’une voix faussement boudeuse.
- C’était pas trop mal...
- C’était fantastique, oui !
Elle avait pouffé de rires, sa main s'abattant gentiment sur son torse en une tape affectueuse.
- Petit prétentieux.
Il soupira.
- J’aimerais que cet instant ne s’arrête jamais.
Elle s’était alors redressée sur un coude et l’avait regardé dans les yeux.
- Jure-moi que cela ne s’arrêtera jamais. Jure-le moi !
Sa véhémence lui avait soulevé un sourcil, puis son sourire avait repris le dessus et il avait juré. Tant qu’elle serait aussi “gentille”, elle le trouverait toujours au garde-à-vous, à ses côtés.
- Rôôôô ! Goujat !
Dans un rire, elle s’était jetée sur lui, manquant faire chavirer la barque.

Dans un sursaut, Vesalius ouvrit les yeux, nageant dans la plus profonde confusion. Il se redressa en regardant alentours. Le bateau n’était pas celui qu’il espérait… Et l’époque non plus... Son esprit embrûmé s'octroya quelques secondes avant de remettre le décor en place Il fixa alors Luke, qui descendait du mat avec agilité. Il avait récupéré à une vitesse… inouïe ! Et le sommeil surnaturel dans lequel tous avaient plongé… Es-tu un ange ? Ou un dieu ? La remarque de Ferréol lui apprit qu’il avait pensé tout haut. Et qu’il n’obtiendrait pas de réponse. Son attention, troublée par une crainte et un respect entremêlés, se porta de nouveau sur Luke. Puis, avec la fatalité de celui qui vit au jour le jour, sans trop savoir ce que lui réserve le lendemain, il haussa les épaules. Il apprendrait la vérité quand l’homme, ou quoi qu’il soit, l’aurait décidé.

Il caressa la tête de Lûb, venue se frotter à lui. Puis s’occupa de nettoyer ses armes, tâche qu’il n’avait pas eu le temps d'achever la veille... ah non, il y a une heure, en fait ! Il sourit. « Ce n’est pas faux ! Avec votre ami dans notre équipe, que de malfrats nous pourrions chasser, sans repos ou presque ! »

Soudain, il repensa au deuxième prisonnier qu’ils avaient tiré de sa cage et le chercha des yeux. Se portait-il lui aussi comme un charme ?

es nuages... le ciel... Sentir l'air défiler sous ses ailes, le froid courir le long de ses écailles... Le sol était loin, les êtres courant sur cette terre insignifiants... L'important était d'être là ... être unique ... être indépendant... voler loin le plus loin possible... Tout le reste n'a pas d'importance... Perte du temps...Perte de conscience... Inconscience... Que se passe-t-il ? Le sol se rapproche à toute vitesse...
Beorten ouvrit les yeux, couvert de sueur... Ce rêve le laissait toujours dans cet état.. Il regarda ses mains qui avaient encore la marque des écailles qui disparaissaient rapidement.. Il se leva rapidement, se frotta les mains, comme pour éliminer une poussière inexistante... Il fut tout surpris de se rendre compte que le petit somme, si jamais il n'avait pas duré longtemps avait eu une capacité reposante extraordinaire. Il ressentait à nouveau la puissance d'Erastil couler en lui. Il remercia le Vieux Borgne de sa bienveillance et se mit à chercher des yeux le second prisonnier...Était-il lui aussi dans un meilleur état ? Serait-il capable de répondre à ses questions

Modifié par un utilisateur jeudi 2 février 2017 13:30:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le demi-orc, bras armé de la justice, fut surpris d'apprendre que l'ancien prisonnier que lui et ses compagnons avaient libéré, était en réalité un prêtre. Mais après tout, il est vrai qu'un serviteur de Iomedae n'aurait jamais rejoint une telle bande, à l'inverse d'un fidèle de Gozreh. Cependant, cette ultime forfanterie prouvait assez que ces pirates ne respectaient rien ni personne, pas même les hommes suffisamment preux pour recevoir les bienfaits d'un dieu, fusse-t-il celui de la mer et des marins ! La colère lui crispa douloureusement la mâchoire. Il ne la jugula qu'à grand peine. Il aurait été seul, il aurait exécuté tout ce vil crottin un par un, séance tenante. Il était sûr que Iomedae n'exigerait rien de moins et aurait même renforcé son bras. Enfin, espérons que ce crétin de Kamaro aura compris la leçon !, pensa-t-il, les épaules résignés.

Il était temps de penser à l'avenir. Du moins, au proche avenir. S'il était bien sombre, au moins son dieu lui insufflerait le courage pour se lancer à l'assaut du dernier bastion maléfique en ces murs. Il n'avait pas vraiment faim, ayant mangé à peine plus d'une heure auparavant. Aussi poursuivit-il l'astiquage de son matériel, tout en discutant avec ses alliés.

« Hé bien, les savants, avez-vous des suggestions quant à la tactique d'anéantissement de ce nid de maudits ? Sans doute avez-vous une magie puissante qui pourrait améliorer nos chances de survie. Il nous faudrait en effet éviter un choc frontal, autrement plus délicat avec les calibres qu'il reste encore. Je n'ai aucune connaissance en magie, aussi parlerai-je davantage en temps que guerrier. L'idéal serait de choisir le terrain. Un endroit confiné, sans accès que nous ne puissions contrôler, où leur supériorité numérique ne leur sera d'aucune utilité. » Le bruit de sa pierre ripant sur le métal de ses lames ponctuaient régulièrement ses propos, comme un refrain strident accompagnant sa voix si grave. « Pour les attirer, je ne vois que la menace de brûler leur navire. Sans bateau, les pirates ne sont plus rien. Et je pense qu'ils tiennent plutôt particulièrement à ce petit bijou. Nous pourrions donc tenter de leur envoyer ce message, en leur donnant rendez-vous devant la salle du mage de feu. »

Il interrompit ses mouvements de va-et-vient et les fixa tour à tour. « Bien sûr, cela suppose d'être capable d'envoyer ce message. Puis de protéger le groupe des offensives magiques de l'ennemi. » Sa pierre reprit son ballet. Vesalius attendait d'en savoir plus sur la capacité de ses amis utilisateurs de magie, afin d'échafauder un plan.

La dernière réplique du péchou avait eu raison de la froideur du druide, cela l'avait même amusé!!« Mouais!! Mais j'suis pas sur que toi tu sois près à changer de surnom!!!! »
Ferrèol avait besoin de s'isoler quelques temps, certaine méditation était nécessaire avant de repartir au combat.
Il prit le temps tout de même de s'adresser à ses compagnons qui attendait son avis.« Vésalius, entendre parler d'endroit confiné de ta bouche, cela sonne aussi faut que si cela sortait de la mienne! Je ne sais pas si je peux me considérer comme un savant ou comme un guerrier comme toi, tout ce que je sais c'est que plus nous aurons d'espace et mieux je m'en sortirais! La preuve en est ce combat dans le couloir ou malheureusement cela ne c'est absolument pas passer comme j'aurais voulu!!
Je ne sais pas s'ils ont pu se coordonner, ou si comme tout à l'heure ils nous ont tendu un piège! Tout ce que je sais c'est qu'il faut il aller et maintenant nous avons récupérer toutes nos forces. Donc autant que ce soit nous qui prenions les devant! Avec un peu de chance ils penseront que nous sommes fatigués des derniers combats et peut être nous sous estimeront ils!!

Malheureusement, je n'ai pas grand chose pour nous rendre discret, mais sous n'importe quel forme je peux aller en éclaireur, et donc revenir et vous donner un maximum de détail!! »


Baguette de soin: reste 15 ch
CA:21

éorten regardait sa lame et vérifia qu'elle était impeccable. Il écoutait Vesalius et Ferreol, et finit par ajouter son grain de sel...

« Mmmh.. Tes talents pour être discret sont indéniables Ferreol. Ils n'ont pu empecher de te faire détecter par le mage rouge, et nous avons alors combattu dans une situation qu aurait pu nous couter cher à tous. »

Il regarda le druide droit dans les yeux et poursuivit le fond de sa pensée
« Ceux qui sont là haut sont encore plus puissants que ceux que nous avons déjà combattu. Nous ne pouvons nous autoriser la moindre erreur... Ils nous la feront payer très cher. Ils ont des capacités de détection incomparables, et sont probablement retranchés. Vesalius a trouvé des portes la haut, sauras tu les ouvrir sans te faire voir ? Ou sans déclencher les pièges qui peuvent y être positionnés ?  »

Son ton était calme et en aucun cas vindicatif, ni revanchard. Beorten pensait simplement à la survie de ses compagnons, et ne voulait plus être séparés d'eux comme il l'avait été lors du précédent combat...

« La magie est puissant en toi, nous pourrions avoir besoin de tes talents derrière Vesalius et moi. Et pas devant nous où nous serions en difficulté pour t'atteindre. »

Il finit en regardant chacun de ses compagnons
« Je suis pour y aller tous ennsemble, utiliser notre magie de protection, et vaincre nos ennemis  »

Modifié par un utilisateur dimanche 19 février 2017 18:05:16(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le druide réfléchit un cours instant. Ses compagnons n'avaient pas tord, la situation du dernier combat n'avait pas joué en leur faveur. Même s'il avait parfaitement pu auparavant explorer les lieux! Mais il fallait bien reconnaitre que depuis que les naufrageurs étaient au courant de leur présence, ils pouvaient leur tendre une embuscade à tout moment et se retrouver seul parmi leur ennemi, il n'avait pas envie de tester une nouvelle fois.

« Mmm!! Vous avez raison pour ce qui est de la reconnaissance en solitaire!!
Par contre j'ai du mal à voir l'avantage de les attirer dans un endroit. Eux maintenant nous connaissent et vont pouvoir avoir tout le temps d'arriver et bien préparer et peut être tous ensembles, si c'est nous qui y allons. Il s'est passé quelques heures, peut être qu'ils se sont préparés sur le coup mais maintenant le sont ils encore? Pareil, ils ne sont peut être pas tous regroupés. Nous avons encore la possibilité de les surprendre séparément?

Par rapport à mes ressources, j'en ai plus pour des effets offensif et sur une grande zone, donc si vous allez rapidement au corps à corps, j'aurait peu être quelques difficulté à les employer.

Allez décidons nous, Allons y maintenant? Ou préparons nous en endroit pour les recevoir??
Mais attentions, le plan de la dernière fois était aussi de les attirer à un endroit précis............ »


Baguette de soin: reste 15 ch
CA:21