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Offline UrShulgi  
#1 Envoyé le : mercredi 15 février 2017 13:36:30(UTC)
UrShulgi
Rang : Habitué
Inscrit le : 14/03/2012(UTC)
Messages : 5,520
Un résumé des lieux et personnes les plus connus, que ça soit pour avoir habité à Katapesh, par les informations des mendiants, des guides de rue, des soldats, ou des habitants du palais.

Lieux importants

Modifié par un utilisateur jeudi 16 août 2018 12:19:39(UTC)  | Raison: Non indiquée

Qui sème le vent ... est déjà d'un bon niveau.
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Offline UrShulgi  
#2 Envoyé le : mercredi 15 février 2017 14:09:16(UTC)
UrShulgi
Rang : Habitué
Inscrit le : 14/03/2012(UTC)
Messages : 5,520
Marchés importants

Les vendeurs des rues et les marchands itinérants représentent la plus grosse partie des commerçants de Katapesh. Cependant ils sont en transit, par leur nature même. Il est impossible de les connaître car ils s’en vont trop vite et on n’est jamais sûr de la qualité des produits que l’on achète. On n’est même pas sûr que les produits recherchés sont effectivement disponibles.
Pour la grande majorité des Katapeshiens, ce sont pour les nombreux marchés permanents que les étrangers se rendent
à Katapesh. Là, les marchands possèdent des bâtiments permanents qui appartiennent souvent à leur famille depuis des générations. À Katapesh, la réputation d’une boutique se reflète directement au niveau commercial car c’est dans les magasins les plus renommés que les habitués de la ville font leurs courses.

La Grand-Place
Cette place, qui se situe au centre de cette grande ville, est immense et très bruyante. C’est aussi le cœur commercial de Katapesh, un endroit où l’on vend toutes sortes de marchandises ordinaires : des fruits, des légumes, de l’eau et de la viande. Elle est entourée d’un millier de vieux bâtiments qui servent de maisons, d’ateliers et de temples. Même au beau milieu de la nuit, des silhouettes circulent dans les rues pavées baignées par la lumière des torches, alors qu’elles se rendent sur le marché ou en reviennent.

Sueurville
Certains disent que les étroites rues sans fin de Sueurville montrent le vrai visage de Katapesh : une masse de gens qui s’échinent dans les ateliers de la sueur. Traverser ce quartier, c’est passer au milieu des pauvres et des désespérés au visage marqué par le labeur et la misère. Leurs ateliers ont leurs propres maîtres, leur système de caste rigide et leurs lois violentes. Sueurville est spécialisée dans les marchandises simples, les habits et les outils, les armes et les armures de base, les selles pour dromadaire et les moyens de transports ordinaires. C’est le « d’hakor » (le surveillant) qui s’occupe des ventes mais on dit souvent que si on arrive à se procurer directement les marchandises auprès des ouvriers, le prix baisse sensiblement, mais gare à ceux qui se feront prendre par le D'hakor!

Quartier du Pesh
Si la Grand-Place est le cœur de la ville, alors le quartier du Pesh est ses veines et ses artères. Les rues sont plus larges qu’à Sueurville et ses occupants appartiennent à une caste plus élevée : les maîtres du Pacte leur ont accordé rang et respect. C’est ici que le pesh se fabrique, se vend et s’achète en grandes quantités. La sève de cactus bout nuit et jour dans d’immenses cuves pour être réduite en bouillie avant d’être compressée en résine et mise en vente. L’odeur du pesh flotte partout et les ouvriers portent d’horribles marques d’addiction : beaucoup ont perdu leur nez ou des parties entières de leur visage.

Rues d’Or et d’Argent
Les magasins et les marchands qui se pressent dans ces deux rues étroites sont spécialisés dans le commerce de l’or et de l’argent ou des gemmes et des joyaux. Le quartier abrite certains des commerçants les plus riches et les plus puissants de la ville. Ils possèdent d’immenses maisons qui entourent de grands jardins pleins d’arbres et de fleurs.

Grande Bourse aux dromadaires
La Bourse aux dromadaires se tient tous les ventdis. C’est une vaste pagaille pleine de poussière et de bruit, où se mêlent les appels rauques des animaux et l’odeur du musc. Cette partie de la ville est un bol de terre battu sale, infesté de centaines de corrals et d’enclos. En période faste, un millier de dromadaires se négocient ici et l’on dit que les dromadaires katapeshiens sont les plus nobles et les plus recherchés de leur espèce. Un dromadaire de selle classique
vaut 300 po mais les bêtes issues de lignées prestigieuses valent dix à vingt fois ce prix.


Marché de l’eau
Ici, sur les quais de Katapesh, les bateaux et les navires luttent pour avoir une place. Des boutres tianais frôlent des galères qadiries et de petits bateaux de pêche indigènes tanguent à côté des caravelles du Nex. Tous les navires marchands doivent faire enregistrer leur cargaison ici et le processus peut durer des heures ou des jours. Beaucoup
de commerces sont dédiés aux équipages qui attendent que l’on enregistre leur marchandise. Ces commerçants sillonnent les eaux qui entourent les quais sur de petites barges maniables et vendent de tout, de l’eau potable aux panacées, proposent de servir de guide ou d’héberger les membres de l’équipage, offrent des prostituées et des poisons, de l’alcool et du pesh... en gros, tout ce que les marins apprécient.

Grande Tannerie
La puanteur de la Tannerie est presque palpable, elle est si puissante que beaucoup n’arrivent même pas à s’approcher. La Grande Tannerie est une vaste cour le long du Scorpius, une plaie colorée de deux cents mètres qui s’ouvre dans la ville. Là, d’innombrables tanneurs travaillent sur des cuves ouvertes, curent, colorent et sèchent leurs marchandises en public. L’endroit est un mélange de couleurs, de bruits et d’odeurs nauséabondes, dont le périmètre, moins odorant, est occupé par un anneau de vendeurs de cuirs et de peaux impatients de négocier les produits fraîchement sortis des entrailles de la Tannerie.

Marché aux bestiaux
Cette longue rue serpente entre des taudis. Elle est encadrée par d’innombrables cages, des fosses, des prisons, des chariots verrouillés et autres. Le Marché aux bestiaux, le plus grand marché aux esclaves de Katapesh, se tient au bout de cette rue. C’est un grand amphithéâtre en piteux état où l’on vend les esclaves, aux enchères ou non. Les invendus partent souvent pour le Grand Colisée. Les gnolls sont très présents ici et ces esclavagistes sauvages arrivent souvent montés sur des hyaenodons avec une horde d’esclaves enchaînés à vendre.

Empire du bizarre
C’est ici, dans le souk magique de la ville, que les magiciens, les ensorceleurs, les bardes et les alchimistes viennent vendre leurs marchandises ou faire des affaire. L’Empire du bizarre est un véritable labyrinthe de bâtiments reliés par des ponts et des passages souterrains.Sans guide, on peut facilement se perdre. Il y a une quantité et un éventail de marchandises époustouflants, on trouve de simples fabricants de potions ou de parchemins (qui proposent souvent leurs produits sur de petits étals dans la rue) comme de grands créateurs d’objets merveilleux très puissants ou des maîtres de la magie noire.

Marché mécanique
Ici règnent les grognements des machines et le crissement de l’acier. Ce petit quartier regorge d’ingénieurs, d’inventeurs, de rétameurs et de fous, tous avides de développer leur compréhension de la mécanique... certains pour le seul plaisir de la découverte mais la plupart par cupidité. Ce marché abrite des centaines de forges, de fonderies, d’alchimistes, de forgerons et de rétameurs qui travaillent sur des roues à aube évoluées, des jouets, des grues, des merveilles mécaniques et des inventions plus étranges encore.

Souk du magnifique et de l’inscrutable
Un navire de guerre domine ce souk. On l’a sorti de la mer pour le mettre sur pilotis, afin que tout le monde le voie. Évidemment, il est à vendre, comme tout ce qui se trouve en ville. Ce souk est spécialisé dans les produits de grande taille : dans une partie de celui-ci, cela fait des dizaines d’années que des tailleurs de pierre travaillent assidûment à la confection de cinq statues de sphinx de 30 mètres de haut tandis qu’à côté, des ouvriers construisent lentement des machines de guerre d’une incroyable complexité sous le regard nerveux de leur créateur. Un projet de grande envergure est en cours de fabrication pour un seigneur taldorien excentrique : un volcan fonctionnel modèle réduit, d’une vingtaine de mètres de diamètre. Les génies de Golarion viennent ici pour apprendre et négocier, et l’on trouve toutes sortes d’objets grandioses, bizarres ou merveilleux.

Marché des toits
Accroché aux toits près de la GrandPlace, le Marché des toits est une nouveauté de Katapesh. C’est l’un des plus grands marchés aux puces de la ville. Il est spécialisé dans les marchandises de deuxième ou de troisième main. Il est très peuplé, au point de devenir dangereux quand des milliers et des milliers d’habitants gravissent ses échelles branlantes et déambulent sur ses planches grinçantes en quête d’une bonne affaire. Les marchandises varient beaucoup mais, on peut souvent acheter à moitié prix de la même marchandise neuve, mais malheureusement il est fréquent que celles ci cassent ou s'usent assez vite.

La Ménagerie
Au Katapesh, il y a une forte demande pour les animaux exotiques, les créatures étranges et même les monstres. Et la Ménagerie est à l’épicentre de ce commerce. Ce marché occupe une dizaine de rues qui serpentent entre des temples abandonnés reconvertis en cages et en chenils de toutes formes et de toutes tailles. On peut acheter un ourshibou dressé, un ogre enchaîné, des œufs de griffon et toutes sortes de bêtes exotiques ou plus ordinaires. De la phalène goliath du Mwangi au minuscule furet féerique thuvien en passant par le grand griffon des montagnes de Ménador et le pégase noir andoran, on trouve de tout à la Ménagerie. Il arrive même (rarement) que l’on trouve des dragons apprivoisés mais ce commerce appartient surtout au passé. Le marché est très renommé auprès des gens qui cherchent un familier exotique et qui ont de grandes chances de trouver leur bonheur là-bas.

Modifié par un utilisateur mercredi 15 février 2017 14:35:41(UTC)  | Raison: Non indiquée

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Offline UrShulgi  
#3 Envoyé le : mercredi 15 février 2017 14:09:42(UTC)
UrShulgi
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Étals de nuit


Les marchés les plus tristement célèbres de Katapesh ne sont pas tant un lieu physique qu’un état d’esprit. Dans la
plupart des cités, le commerce des vies, du poison, des âmes et d’autres viles marchandises se limite au marché noir mais ici, ces produits sont tout à fait légaux... tant que les vendeurs paient leur cotisation aux maîtres du Pacte et que leurs marchandises ne gênent pas le commerce. Les Étals font le plus gros de leurs transactions de nuit et semblent pousser au milieu des boutiques fermées jusqu’au lendemain, comme un étrange reflet des étals de la journée.

Le Feu violet
La propriétaire des lieux, Khafira Languenoire, maîtresse des Étals de nuit, a pratiqué les bordels et les lieux de perdition de diverses cités portuaires de Golarion et elle connaît bien les désirs des clients les plus exigeants (et les plus riches). Le Feu violet est à la fois un bordel, une arène de combat, une maison de drogues et son palais. Une dizaine de prostitués travaillent dans les chambres à thème de cette maison à la décoration criarde. Ils aiment leur métier et l’exercent vêtus de costumes outrageux, de masques et d’autres accessoires.
Le Feu violet est réputé pour ajouter la cruauté à ses vices. Pour s’assurer un flot constant de visiteurs nantis, on y trouve également des tonnes de jeux et de pesh différents.

Les Réponses à de nombreuses questions
M’hem est un humain accro au pesh, qui, dit on, peut percer des secrets et espionner pour le compte de ses clients. M’hem a été horriblement brûlé il y a trois ans, lors d’un incendie et consacre à présent tout son temps à réussir ces enquêtes pour entretenir sa réputation. Les honoraires de M’hem dépendent de la difficulté à trouver les informations requises, et ses services peuvent se chiffre en milliers de pièces d'or.

Aux ouvrages antiques
On peut ici trouver de vastes collections de textes interdits ailleurs et de livres prohibés, ainsi que de nombreux sorts et secrets dans cette petite maison coiffée d’un minaret. Généralement, c’est le studieux H’kul Mushain, un vieillard estropié qui bégaye abondamment, qui s’occupe des clients et des recherches.

La Langue qui goûte, le croc qui tue
Ebrahim Nashoord est un gnome célèbre qui vend des serpents venimeux. La vipère katapeshienne à anneaux est son plus grand succès. En plus de ce produit phare, on y trouve entre autre la vipère à capuchon œil bleu et surtout son serpent le plus cher, grand comme un cheval,le cobra brûlant écailles rouges, qui vaut plusieurs milliers de pièces d'or, disponible sur commande uniquement. Tous les produits d’Ebrahim sont vendus avec un panier en osier de taille adaptée, et assez de nourriture pour éviter un problème le temps du transport.


L’Inquisiteur de la cabale
Le Voyant , l’un des marchands les plus discrets des Étals de nuit (et des plus dangereux), est un mystérieux personnage qui prétend être capable de se procurer n’importe quel ingrédient pour n’importe quel sort et demande un prix très élevé en échange de magie rare ou nouvelle. Sa bibliothèque et sa boutique se trouvent dans une tour en spirale qui s’élève jusqu’à un vaste dôme, comme un gigantesque champignon artificiel. Le Voyant est aussi déformé que sa maison biscornue, que les citadins évitent consciencieusement. Lors de ses rares apparitions en public, le Voyant porte une robe de velours rouge passé et se cache derrière un masque, taillé dans l’os, en forme de visage humain souriant. Il est toujours accompagné de son serviteur, Celui-qui-est-déguisé, un golem de chair avec quatre visages et huit bras, d’une intelligence hors du commun. Il lui sert de garde du corps et d’assassin. Au combat, on dit qu’il dévore le corps des ennemis de son maître pour les empêcher de ressusciter. Si quelqu’un a besoin d’une composante magique, le Voyant sera probablement capable de la localiser.

Les Liés et les oubliés
Marquin Ortpierre est un gnome contrebandier atteint de strabisme spécialisé dans les momies. En ce moment, il
possède dix sarcophages, d’âges et de types variés, dans lesquels des momies qui lui servent d’hommes de main et de sous-fifres se reposent. Marquin loue les services de ses esclaves morts-vivants pour accomplir les désirs de ses clients : pour un prix adéquat (et exorbitant). Marquin est un personnage très pittoresque qui porte un verre grossissant comme un monocle et qui adore les pierres fines. Il donne aussi dans le commerce de butin pillé dans les tombes, la putréfaction de momie (une chair gâtée par la maladie) et diverses antiquités. Étonnamment, il a beaucoup de clients.


Les Esclaves extraordinaires
Y’aalay Quam est un accro au pesh aveugle et sans nez qui importe des bêtes et des esclaves extraordinaires. Ses stocks varient beaucoup mais il a toujours au moins une dizaine de monstres et le même nombre d’esclaves humanoïdes. Leurs prix peuvent atteindre plusieurs milliers de pièces d'or.

La Brasserie
L'elfe Hashcuss H’rann travaille dans un atelier d’alchimie, dans une tour de brique avec des dizaines de cheminées de fer. Il vend et fabrique des potions avec l’aide reconnue de ses trois diablotins, avec des délais époustouflants.

Le Contact corrupteur
Klane Raicht, humain étrange, est une immonde créature aux cheveux huileux et au visage boutonneux. Il a du mal à se
déplacer et s’aide d’une canne car il a une jambe rongée par la lèpre et est spécialisé dans les maladies. Fièvre des marais, putréfaction de momie, diantrespasme, il peut tout faire, ou presque. Il vent souvent ses maladies incubés dans des chiens, des chats, ou d'autres petites créatures, comme des halfelins.

Maître Reapesmoor
L’un des plus célèbres marchands des Étals de nuit, il vit dans une église de bois pourri qui surplombe l’océan Obari. Parfois appelé le Bienfaiteur, le Gentleman ou Maître sourire, on dit de lui qu'il serait un diable, amusé de voir que l’on peut vendre des marchandises infernales légalement, et en public. Ce drôle de Taldorien met facilement mal à l'aise, on voit parfois des vers dans sa bouche et les bruits qu’il fait pour les mâcher et les avaler sont particulièrement répugnants. Heureusement, il a plusieurs marchands des Étals de nuit à son service et la plupart de ses transactions directes s’effectuent tout de même par leur intermédiaire.
Une autre raison pour laquelle on le prend souvent pour un diable ou un démon tient à sa spécialité : Maître Reapesmoor fait dans le commerce d’âmes, et en a toujours un stock bien rempli. Il a même plusieurs fois enfermé l’âme d’un saint dans un réceptacle demandant d'accomplir de répugnantes tâches en échange de sa libération. Il aime négocier le prix de ses âmes et ne les vend pas contre de la vulgaire monnaie, préférant les missions et les faveurs. C'est peut-être pour ça qu'il trouve toujours preneur.

L’Antiquaire
Kolra Kazbegi est un contrebandier accro au pesh et reconnu comme l’un des alliés les plus précieux des maîtres du Pacte. Varisien d’origine et Katapeshien de naissance, il s’est spécialisé dans la contrebande de dangereux produits magiques grâce à ses contacts en Ustalav. Kolra est peu souvent présent, il opère depuis le sinistre village de Charogne, un endroit connu pour être lié à une ancienne magie. À leur grand désespoir, les princes de la province en question ne parviennent pas à le prendre en flagrant délit. Il habite dans une maison penchée au toit pentu qui possède son propre quai où il amarre sa caravelle, la Tempête de charogne, quand il se trouve en ville.
Il est aussi réputé pour son goût du luxe et son gigantesque harem rempli de superbes femmes étrangères qu'il fait venir des quatre coins du monde. La rumeur dit que récemment, il aurait fait parvenir un ouvrage terrifiant sorti des Bibliothèques de la chair, à Charogne : l’un des Sept Livres cryptiques de Hsan, qu'il aurait vendu à celui qu'on appelle Le Voyant.

Aux secrets vudrains
Slajeev Djincan importe des produits du Vudra : de grands objets d’airain et de bronze ou des marchandises plus abjectes comme le souffle de tigre empoisonné , de l’encens de Megeer, d'autres poisons et même d’étranges
objets chargés de pouvoirs qu'on dit psioniques capables de produire des effets magiques uniques et effrayants. Djincan voudrait installer un commerce de pesh vudrain dans les Étals de nuit mais, jusqu’ici, tous ses efforts se sont soldés par des échecs à cause des nombreux et puissants commerçant qui voient d'un mauvais œil la naissance d'un commerce de pesh étranger.

Les Pignons
C’est un restaurant sur les toits. Ici, les clients apprécient, entre autres, des plats hors du commun comme des cœurs de vouivre frits avec des huîtres, des yeux de bulettes bouillis dans de la gelée ou des mains de harpie pochées dans le miel et la coriandre. Des salles privées surplombent la mer tandis que deux esclaves féminines à quatre bras jouent de plusieurs flûtes de pan. Lork Hlay, la propriétaire, est toujours à l’affût de nouveaux ingrédients et de nouveaux plats. Elle engage souvent des aventuriers à l’esprit vif pour se rendre dans des contrées exotiques et lui ramener des prises vivantes à faire cuisiner par son chef, T’zol, un jann dont on dit qu’elle l'a dupé pour qu’il la serve pendant quarante ans et un jour.

Le Salon de pesh de Khumol Hask Huzshak
Ce célèbre salon de drogue appartient à un groupe de roublards qui font faire leur sale travail à leurs clients dépendants au pesh qu’ils payent ensuite en drogue. Huzshak est un individu corpulent et cupide qui se livre à une compétition mesquine avec d’autres marchands des Étals de nuit, en particulier le Vudrain Slajeev qu’il considère comme un
intrus étranger.

Acides et crachats de nombreuses créatures
K’havass Mahurll récolte l’acide de dangereuses créatures et le revend aux assassins, aux empoisonneurs et aux escrocs de tout Katapesh. Elle leur donne des noms grandiloquents comme Crachat des vipères des Enfers, Jus purulent de la limace cyclopéenne ou Lait des tétines des filles du sphinx de la corrosion. Pourtant, en pratique, ces acides ne diffèrent pas de ceux que l’on trouve habituellement dans les fioles. Ses clients paient ses prix exorbitants (pour la délicate facture artistique de ses récipients plus que pour l’acide qu’ils contiennent.

Modifié par un utilisateur mercredi 29 mars 2017 15:12:19(UTC)  | Raison: Non indiquée

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