Abigaël n'est pas très à l'aise quasiment immobilisée par les ronces. Elle tente de s'en sortir mais sans succès, elle voit qu'Ayarik et Takkoua ont pu vaincre l'invocation de la nymphe, mais ça ne résout pas tout leurs problèmes. Étant trop loin pour atteindre la nymphe avec ses pouvoirs, elle décide de se consacrer à ce qu'elle fait bien : soigner. Appelant l'énergie de la vie, elle canalise l'énergie positive pour soigner les blessés proches d'elle.

De son côté, la masse frappe à nouveau la nymphe qui subit le coup de plein fouet.


Gemini récupère 1 PV (23/27). Ayarik est guérie de 6 pv, et Gemini prend 2 dégâts et Abigaël 3 (21/27 et 38/55). Personne d'autre n'est significativement blessé. Canalisation sur 30' en action simple (Ayarik et Elja en sont exclus car hors de portée). Action de mouvement pour sortir de l'enchevêtrement. Raté, donc prend 1 dégâts (52/55)

Modifié par un utilisateur lundi 10 décembre 2018 10:11:58(UTC)  | Raison: Non indiquée

D'un rapide mouvement, tu te dépêtre des épines qui s'étaient emmêlées dans tes vêtements et ajuste ton arme. Hors de question, cette fois, de rater bêtement ta frappe a cause d'une volute de fumée : tu vise plus haut, au niveau du torse et tant pis pour la délicatesse...

Et pour le coup tu ajuste parfaitement, portant un coup qui aurait fait la fierté de n'importe qui. Ta lame s'enfonce dans la chaire a quelques centimètres du cœur puis se retire sans le moindre effort... Tu te détourne de la fée qui s'effondre au sol devant toi avec un sourire triste...

« J'aurais aimé que les choses se passent autrement... »

Libre : Maintenir le chant.

• Malus de -1 à la CA
  
• Bonus de moral de +2 aux jets d'attaque au corps à corps.
  
• Bonus de moral de +2 aux dégâts.
  
• Bonus de moral de +2 aux JS contre les effets de paralysie et de sommeil
  
• Vous gagnez le pouvoir de rage "totem spirituel inférieur" à la fin de votre tour des esprits attaquent un adversaire proche. Ils utilisent votre BBA max +4 pour toucher et infligent 1d4+4 dégâts d'énergie négative.
  

Mouvement : se dés-enchevêtrer (via évasion)

Simple : taper.

• Se débarrasser des plantes : 1d20+8 donne [16] + 8 = 24
• Coup de coutille sur la dryade : 1d20+9+2 donne [20] + 9 + 2 = 31
• Camouflage (20+) : 1d100 donne [94] = 94
• Confirmation : 1d20+9+2 donne [20] + 9 + 2 = 31
• Dégâts : 3d10+18 donne [10] + 18 = 28
• Réflexes : 1d20+8 donne [8] + 8 = 16

Modifié par un utilisateur mardi 11 décembre 2018 18:34:05(UTC)  | Raison: Non indiquée

Takkoua adresse une courte prière à son dieu. Apsu, Père de tout ce qui est, viens nous en aide.

Elle pénètre calmement dans le buisson de ronces, et canalise sa magie pour confier à ses alliés un avantage tactique, alors que la végétation lui enserre les membres et déchirent ses vêtements.

La chauve souris quant à elle rétablit son assiette malgré le violent coup qui lui brûle les chairs, et attaque la nymphe avec une rage redoublée.

Asphodèle bénéficie du don Grande Tenaille, qu'il peut utiliser avec mes invocations, qui l'ont toutes par défaut. Au prochain tour j'en invoquerais une derrière la nymphe si nécessaire.

Abigaël est sûre que tout ne tourne pas rond dans la tête de la nymphe. Elle répond en murmurant à la dryade qui s'enfuit.
« On va essayer... »

Elle a en mémoire un sortilège qu'elle avait préparé pour protéger ses amis, mais il semble que la nymphe en est plus besoin qu'eux... Elle essaie de sortir des ronces en s'arrachant de celles-ci, mais sans succès. Elle tente quand même d'appeler aux esprits pour chasser les mauvais sentiments qui pourraient animer la nymphe. Le sort part, et elle espère que Faenil sera plus disposée à écouter.

« Faenil, on veut vous aider, vraiment. On veut que cette forêt vive et si malédiction il y a, elle n'est pas de notre fait, mais sans doute de nos ennemis communs. Laissez-nous vous aider ! »

La nymphe, en réaction au sort, ou aux paroles de la grand mère, semble se calmer et baisse même son arme. « Je vous écoute. »

Tout le monde dans le lien est ok. Action de mouvement pour sortir de l'enchevêtrement. Raté, donc prend 1 dégâts (51/55). Lancement en action simple d'apaisement des émotions derrière la nymphe (volonté DC 18).

Modifié par un modérateur samedi 15 décembre 2018 13:57:20(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le regard de Faeli est toujours dur, mais au moins, elle n'a plus, pour le moment, l'intention de combattre. « Comprendre quoi? C'est un fait! Celle que vous avez tué... » dit-elle en pointant Elja de sa main ne tenant pas l'épée de feu, avant de reprendre: « était promise à une femme du village. Le mariage devait avoir lieu le mois prochain. Mais votre avidité vous dépasse et alors que nous avions connu des années de paix entre nos peuples, l'un des villageois a maudit ma tendre amie. Elle ne pouvait plus ressentir l'amour, de qui que ce soit, et était condamné a se sentir isolé à jamais. Mais ce n'est pas tout, en réaction, nous avons confronté le chef du village qui tout nié en bloc, jusqu'à ce que je découvre dans sa maison un autel à Calistria et une lettre avec un rituel pour invoquer la vengeance de la déesse. Je n'aurais rien dit si le lendemain, l'une de mes protégés n'était pas morte, foudroyé. Votre peuple ne fait que prendre, trahir, guerroyer. Vous ne méritez pas la forêt, et vous ne méritez pas notre protection. Sans nous, dans la forêt vorace, vos ennemis auraient gagné depuis longtemps. C'est vous, qui êtes venu sous mon aile protectrice, pour mieux nous planter une dague dans le dos. Et ce n'est pas la première fois, mais ce sera la dernière. »

La gardienne exprime un certain dégoût envers les propos d'Asphodèle. « Il n'est nul besoin d'avoir des lanceurs de sorts pour proférer une malédiction. Les dieux les plus sombres sont à l’affût de ce genre d'opportunité. Et non, la lettre était bien de lui. Vous me prenez pour qui? La dernière des imbéciles? Je l'ai immédiatement ensorcelée pour lui arracher tout ce qu'il savait! Mais, maintenant, ça n'a guère plus d'importance, la forêt va tuer tout ce qui n'est pas une fée et nous serons libéré de votre présence pestilente. » En dehors des ronces au sol, la gardienne semble satisfaite de voir ceux qui sont venu la tuer être bloqué dans la clairière.

Soudain, la nymphe à un mouvement de recul, et regarder autour d'elle, comme pour chercher quelque chose, ou quelqu'un. « Il reviens encore? Je parie qu'il vous a suivit. Tss... » Voilà quelque chose qu'il l'embête clairement, et la situation a l'air de l'empêcher d'agir.

« Forcer un dieu? Personne ne force les dieux, et ce n'est pas la magie que vous autres mortels utilisés qui peut influer sur ce genre de chose. » Rétorques-t-il pour couper court à la discussion. Son regard se fait plus tendre, plus triste. « Kranlen... kranlen... Tu ne devrais pas être ici... Tu devrais fuir cette forêt. »

Takkoua écoute attentivement les autres parler, partagée entre l'envie de bouger pour apaiser ses jambes endolories et l'envie de rester immobile pour éviter de se blesser encore plus sur les ronces. Puis elle réalise quelque chose.

« Excusez-moi, votre tendre amie... elle est encore vivante ? Peut-être que si nous la voyions nous pourrions en savori plus sur cette malédiction et lever le voile sur ce mystère. Je comprends que vous vous sentiez trahie par les habitants de la forêt, ils n'ont probablement pas traité leur environnement avec le respect qui vous est dû, et ne se sont pas rendu compte de la protection que vous leur avez accordé. Malgré cela, les tuer de cette manière est un acte cruel, et il faut que vous compreniez, si d'aventure d'autres humains venaient à passer dans votre forêt, qu'ils n'ont en aucun cas à porter la faute d'autres humains. »



j'ai mal lu, si c'est un test de religion, j'ai que +5, pas +8

Modifié par un utilisateur mardi 18 décembre 2018 10:03:23(UTC)  | Raison: Non indiquée

Il y avait des moments comme ça où je n'était plus très sur ni de ce que je voyais, ni de ce que j'entendais... Ou alors nous étions tous endormis et c'était un rêve... Oui, c'était presque ce qu'il y avait de plus raisonnable à penser...

J'ai faillit intervenir devant ce que j'entendait et il n'était pour une fois pas très dur de lire sur mes traits la surprise, l'atroce compréhension, puis le dégoût et le mépris... J'ai faillit intervenir, et j'ai compris que ce n'était pas la peine. Elle n'en valait pas la peine. Une hystérique mégalomane, perdue dans sa propre folie. Rien ne parviendrait à l'atteindre. Rien, sauf ce qui allait dans son sens bien sur et contribuait à alimenter sa macabre trajectoire. Ça ne servirait à rien.

Je m'écarte des plantes et m'adosse à un arbre... j'ai repris le contrôle de mon expression et seuls mes yeux fins trahissent encore mon sentiment. "Le respect qui lui est du" ? Une tueuse de cet acabit n'en mérite aucun mais je suis certain de ne pas garder mon calme si j'énonce cela. Mais je ne ressent ni compassion, ni pitié pour quelqu'un capable de faire égorger et brûler vif, femmes, enfants et nourrissons d'un village entier pour la faute d'un seul. Rien ne peut jamais justifier un tel acte. Jamais. Pas lorsqu'on se réclame du titre de sapient. Pour quelqu'un qui non seulement ne réalise pas l'horreur de ses actes mais encore s'en gargarise et promet de les continuer... Juste du mépris, de la colère, et de la tristesse pour celles qui ont renoncé à ce qu'elles étaient pour la soutenir dans ses crimes.

Sans doute as t'elle été grande et noble, je ne le conteste pas. Mais il n'y a ni noblesse, ni grandeur dans ce qu'elle est désormais. Simplement un masque vide sur un assassin cruel, mesquin et égocentrique. Et qui s'est enfermé dans sa propre folie pour s'autojustifier ses crimes...

Alors non, je refuse d’alimenter son délire de persécution.... Et je ne dit rien même si tout mon corps parle pour moi. Et si malédiction il y a, malédiction qui l'aurait changé en ça... alors je peut plaindre celle qu'elle a été. Mais pas celle qu'elle est devenue. Pour un monstre pareil, cela n'aurait pas de sens.

Modifié par un utilisateur jeudi 20 décembre 2018 10:12:21(UTC)  | Raison: Non indiquée

Faeli écoute, toujours calme, bien que sur la défensive. « Pourquoi? Pourquoi tout les mortels veulent maudire leurs entourages? Pour toute vos raisons stupides: l'argent, le sexe, la dépravation, la stupidité. Choisissez vos raisons. Les vôtres n'ont que faire de la dignité. Je ne sauverais pas deux ou trois personnes quand la majorité est à jeté. Quand une ville est infecté, vous laissez sortir ceux qui vous paraisse sain? Non ! Vous faites pire, vous les laissez mourir en quarantaine. C'est pareil, j'ai nettoyé une infection: votre présence dans ma forêt. » Tandis qu'elle parle, elle lève ses mains en l'air, bien visible, pour montrer qu'elle ne souhaite pas faire d'actions inconsidéré et pointe de la tête la dryade mentionné par Elja et Takkoua. « Si elle est en vie, alors soignez là. Il est clair que les dryades ne sont pas un danger pour vous. »

Sur ces mots, les ronces qui englobaient toute la zones retourne à une vitesse ahurissante sous terre pour laisser la clairière comme elle l'était avant le combat. « Votre peuple est empli de violences, de douleurs. Le mal respire si facilement dans vos villes et villages que l'air en deviens irrespirable. J'ai subi votre horreur et pourtant, comme vous maintenant, j'ai passé l'éponge. Après tout, vous n'étiez peut-être pas tous pareil. Mais si... Vous l'êtes. Peut-être pas maintenant, mais vous finirez par l'être. Si vous êtes prêt à maudire vos voisines sous prétexte que vous n'avez pas su conquérir le cœur de votre belle, alors vous ne méritez pas de vivre chez moi. » Tandis qu'elle parle, elle se rappelle l'histoire de coup monté. « Je connais mal votre politique et a dire vrai, je m'en contrefiche. Que ce soit préparé ou non, une fois que j'aurais vidé ma forêt, peu importera. »

Dans les bois, il semble que Kranlen rencontre des difficultés, car il est possible de l'entendre pester contre la nature qui lui bloque le passage. Un druide bloqué par la nature...