En arrivant vers l'un des groupe de marchand, Vrik, tu remarques de suite la cheffe du groupe. C'est une halfeline, plutôt grande pour les gens de sa race, même si elle est assise sur une pile de coussin pour pouvoir partager le repas avec ses compagnons de voyage. Tu remarques à ses traits fatiguées, qui sont partagées par tous autour de la table, que le voyage a dut être éprouvant.
Le groupe de marchand se retourne vers toi alors que tu commences ta question. Les hommes de main de regardent d'un air méfiant mais l'halfeline les apaisent d'un geste, ton beau sourire d'homme-rat l'ayant sûrement convaincu de tes intentions pacifiques.
« Et bien, si vous traquez ces créatures, c'est une bonne nouvelle alors... »
Son ton est légèrement hautain, comme si elle considérait que toi et ton groupe n'est que peu digne d'une telle quête. Elle te regarde de bas-en-haut comme si elle cherchait à te jauger. Elle jette ensuite un coup d’œil au reste du groupe resté à la table.
« Hum. Peut-être... Enfin...Nous nous sommes fait attaqué en milieu de journée, vers midi je dirais. Ils nous avait tendu une embuscade dans la forêt. Si jamais vous continuez sur la route faites attention. Par contre ils ne sont pas très combatifs... Seulement un des leurs est tombé avant qu'ils ne fuient paniqué... La surprise nous a coûté un mort... »
Elle semble vraiment peinée de la mort de l'un des gardes.
« Je crois qu'ils cherchent des richesses mais ils n'ont pas l'air de vouloir tant braver la mort pour ça. Si jamais vous voulez les combattre vous devriez mettre en avant les vôtres je pense. »
Pendant ce discours, tu observes tour à tour les gens de la caravane et tu remarques que si les gardes ont des armes de factures courantes, la marchande en revanche semble avoir de nombreuses richesses sur elle. Cependant, leur chargement n'est pas visible.

L'homme-rat continua de poser des questions à la marchande : « Vous rappelez vous où les gobelins vous ont attaqués ? de quoi étaient-ils équipés ? vers où se sont-ils enfui ?  »

Modifié par un utilisateur mardi 12 février 2019 18:30:26(UTC)  | Raison: Non indiquée

La marchande vous regarde, Vrik et Adam, une nouvelle fois avant de répondre. Son regard se porte plus particulièrement sur Adam, qu'elle n'avait pas dévisagée auparavant.
« A quel endroit ?... »
Elle vous regarde l'air circonspecte.
« C'était au milieu de la forêt... Je n'ai pas vraiment fait de peinture pour vous décrire où.... »
Elle tente de sourire pour se redonner un peu de moral mais cela sonne faux.
« Vous voulez savoir de quoi ils étaient équipés. Je crois que c'était des épées non ?  »
Elle se tourne vers l'un de ses gardes qui hoche la tête.
« J'ai compté trois combattants à l'épée et deux archers madame.Il avait tous des armures de cuir et des boucliers.  »
La marchande se retourne vers vous avec un léger sourire.
« Voilà. C'est ridicule je sais mais bon... Faîtes les payer si vous pouvez. Ils se sont enfuit dans la forêt. On ne les a pas poursuivit... mais ils sont allé vers le nord, si vous voulez tout savoir. »
Elle soupire un peu avant de redresser la tête.
« Bon, si vous n'avez pas d'autre question, nous aimerions prendre notre diner.  »

A votre table, l'aubergiste est revenu, une assiette et une chope de bière pour chacun.

Falith attendait le repas avec le prêtre et Sorino. Les interactions sociales ne sont en effet pas la spécialité de la tieffeline. Lorsque Vrik revint de sa recherche d'informations, elle leva la tête afin d'écouter ce qu'il avait à dire. « Ouais t'inquiète on trouvera bien des traces en forêt. Si on doit se battre contre eux, on se bat et s'ils fuient, on leur court après. Facile ! Et pour le repas, je te l'offre. Avec la boisson qui va avec. » ajouta-t-elle avec un rictus tendancieux.

Macah écoute avec attention. Bien fait de ne pas y être allé, ils m'avaient l'air ennuyant. « C'est pas mal, voilà qui nous donne du pain a moudre. Tendre une embuscade à ceux qui voudront nous prendre en embuscade. Nous pourrions nous séparer pour plus d’efficacité. Un riche avec son garde du corps et le reste de la troupe en arrière, hors de vue. Nous pourrions nous alerter par magie. » Il parle en mangeant, manifestant son manque d'envie de ne pas profiter du repas. A chacun ses plaisirs: celui de Macah: Manger.

Adam retrouve ses compagnons attablés, mangeant rapidement mais proprement, ça ne doit pas être un réel plaisir pour un ascète comme lui. « C'est une bonne idée. »Dit-il en agitant sa fourchette vers Sorino et Macah. « Généralement, le chef d'une troupe de Gobelins est rarement un Gobelin. Peut-être qu'ils sont beaucoup plus aussi. » Il regarde ensuite Vrik. « Tu m'en dois une Vriky. » En lui faisant un bref clin d'oeil, il lui tend l'argent nécessaire pour se payer la chambrée.

Modifié par un utilisateur vendredi 15 février 2019 13:42:17(UTC)  | Raison: Non indiquée

Sorino se reveille, le dos endolori par le matelas trop ferme ou trop mou, comme d'habitude. Il grommelle en sortant de son lit et se faufile difficilement entre les meubles de la chambre étriquée. Il se rhabille en vérifiant l'intégrité de ses possessions, rendu méfiant par la mésaventures de Vrik, puis averti ses comparses.

« Je descend, je vais profiter qu'il soit tôt pour préparer mes potions de la journée. »

Il descend donc, salue l'aubergiste et échange avec réticence quelques mondanités, puis demande s'il peut installer son matériel sur une table tant que l'auberge n'est pas encore pleine, et si l'aubergiste accepte, le Docteur prépare ses extraits quotidiens sous les yeux surpris de la clientèle éveillée.

Alors que tu descends dans l'auberge, tu remarques que celle-ci est déjà remplis. Les marchands que vous avez croisés la veille pendant le diner sont déjà en train de prendre leur petit-déjeuner. Tu sens l'odeur des œufs, du bacon et du lait de chèvre qui emplit la pièce. Certains gardes boivent déjà de la bière mais ils sont peu.
En te voyant descendre, l'aubergiste te salue d'un ton neutre et concis.
« Bonjour. Petit-déjeuner ? Et vos collègues ?  »
Après lui avoir répondu et fait ta demande il te rétorque :
« Vous pouvez vous installez. Laissez en état le mobilier, c'est tout.  »
Il te désigne un table dans un coin de l'auberge ou personne n'est encore assis. Tu y vas et commence tranquillement à préparer tes potions. Tu sens sur toi le regard méfiant de certains des gardes et celui, plus surpris des marchands.





Tu croises les marchands dans l'auberge qui t'accorde à peine un regard, mis-à-part l'halfeline qui te salue d'un signe rapide de la tête. Voyant ton pas pressé, l'aubergiste ne t'adresse même pas la parole et c'est donc dans le petit matin que tu sorts dehors. En humant l'air qui est encore frais, tu sens une légère brise alors que le ciel est dégagé. Tu regardes autour de toi et remarque deux points hauts possibles : Le toit de l'auberge où tu te trouves, ou bien l'un des hauts chênes qui se dressent non loin de là.
Perception DD16 ou Connaissance Nature DD12






En descendant après ta prière matinal, tu observes Sorino qui finit de fabriquer ses potions dans la salle commune de l'auberge. Celle-ci semble peu remplis. Seulement un des groupes de marchands est encore là et, au vu du contenu de leur assiettes, ils ne vont pas tarder à partir. Alors que tu fais quelques pas, l'aubergiste t'aborde, une pile d'assiette dans les mains.
« Bonjour. Petit-déjeuner ?  »

L'homme-rat remarqua que le vent se lève. Il décida donc de monter rapidement en haut de l'auberge pour scruter l'horizon.



N'ayant pas réussi à trouver d'accroches, Vrik changea d'avis et se dirigea vers les grands arbres à la recherche de traces de passage. ... Et ne remarqua que des traces de passages des marchands venant se reposer à l'auberge.

Il retourna donc bredouille à l'auberge et commanda un petit-déjeuner comme le reste de ses compagnons. Il chuchota à la tieffeline qui était déjà attabler : « N'aurais-tu pas deux ou trois pièces d'or à me dépanner ? je te rembourserai bien sur  »

Modifié par un utilisateur mercredi 20 février 2019 18:21:50(UTC)  | Raison: Non indiquée