Un des diables passa à coté d'Asphodèle, l'ignorant pour aller chercher la demi orque, le tiefflin tenta de se rappeler à son bon souvenir d'un coup de sabre. Il larda le flanc de la créature, un homme du peuple serait tomber éventré ou même couper en deux mais ça ne laissa qu'une estafilade sanglante.
Il devait protéger Takkoua, c'était leurs meilleur chance de victoire et probablement la seule, il saisi la poignée de son arme avec sa longue queue sinueuse et s'agrandit avec un rugissement démoniaque couvrant un temps le chant d'Elja. D'un pas il fut sur le diable qui l'avait ignoré puis il abattit sur lui un déluge de griffes et de crocs.
Il lacéra le monstre, dominant de sa hauteur, couvert de sang infect il hurla à sa victime:« Ne m’ignore pas! Jamais! Minus! Tas de merde! »


AO et Rage, agrandissement vers le diable qui s'en prends à Takkoua, pas de placement dans la même direction attaque naturelle à outrance.
Bouclier 49 rounds, rage et bonus de chant de rage.

Modifié par un utilisateur mercredi 17 avril 2019 19:16:58(UTC)  | Raison: réactions jets de dés

Pic. Ce n'est qu'une égratignure mais la douleur suffit a te faire porter un instant ton attention sur l’immonde petite créature qui viens de faire son apparition en plantant son dard dans ta jambe. Sans importance. Peut-être serrait-il souhaitable de tous les découper en morceaux mais force est d'avouer que vous n'avez pas tellement les moyens de vous occuper de ces petits merdeux... Tu t'écarte légèrement pour éviter qu'il ne recommence pendant que tu concentre ta magie dans ton chant...

Malheureusement tu "sent" ta magie s'effilocher avant qu'elle ai pu faire effet sur le diable... Faisant comme un écho à ta frustration, les esprits qui t'entourent cinglent l'air de la manière la plus inoffensive qui soit...

Action simple : fou rire sur le barbu 2.

• Malus de -1 à la CA
  
• Bonus de moral de +2 aux jets d'attaque au corps à corps.
  
• Bonus de moral de +2 aux dégâts.
  
• Bonus de moral de +2 aux JS contre les effets de paralysie et de sommeil
  
• Vous gagnez le pouvoir de rage "totem spirituel inférieur" à la fin de votre tour des esprits attaquent un adversaire proche. Ils utilisent votre BBA max +4 pour toucher et infligent 1d4+4 dégâts d'énergie négative.
  

Action de mouvement : RAS

• Avant toute chose, outrepasser la RM : 1d20+5 donne [3] + 5 = 8
• Attaque des esprits sur diablotin 4 : 1d20+8 donne [3] + 8 = 11
• Une AO en passant : 1d20+9+2+1 donne [20] + 9 + 2 + 1 = 32
• Ah ça risque de piquer... : 1d20+9+2+1 donne [16] + 9 + 2 + 1 = 28
• Ca pique : 3d10+18 donne [18] + 18 = 36

En cas d'attaque sur ma personne je fais une esquive pleine de panache.

Modifié par un utilisateur mercredi 24 avril 2019 13:38:17(UTC)  | Raison: Non indiquée

Asphodèle, porté par l'adrénaline ne sembla même pas sentir les coups du diables, la descente allait être douloureuse. Il continua ses attaques frénétiques sur sa cible, à coups de griffes et de crocs.
Jetant le monstre au sol, après l'avoir l'en avoir décoller en deux mouvement violent le tiefflin se dirigea vers le dernier diable d'un pas en rugissant:« Au suivant!!! »



Rage agrandit et attaque naturelle à outrance.
Bouclier 48 rounds, rage et bonus de chant de rage. Pour l'instant j'ai douze pv max de rage en rab', enfin qui disparaitrons avec la fin de la rage donc bon...

Modifié par un utilisateur mercredi 24 avril 2019 14:23:03(UTC)  | Raison: Non indiquée

Rapidement la situation qui avait semblé désespérée s'améliore : les diablotins qui volettent autour de toi et d'Abigaël ne sont finalement qu'une gène négligeable que les esprits vengeurs qui vous entourent se font un plaisir d'éliminer... et surtout le diable sur qui tu venais d'échouer a user de ta magie a la merveilleuse idée de charger takoua en t'ignorant tout simplement. Il t'offre des épaules parfaitement vierges de défense dans lesquelles tu porte un coup violent.

Et dans la foulée tu suit son mouvement et lui porte un deuxième coup, moins puissant... Mais tu songe avec rage que si la peau du diable ne se montrait pas aussi récalcitrante tu l'aurais probablement mis a terre... Mais ce n'est plus qu'une question de secondes. Ton chant se fait plus glorieux a mesure que la mort de vos adversaires ne fait plus aucun doute...

Action simple : taper barbu 2.

Action de mouvement : se déplacer.

• Malus de -1 à la CA
  
• Bonus de moral de +2 aux jets d'attaque au corps à corps.
  
• Bonus de moral de +2 aux dégâts.
  
• Bonus de moral de +2 aux JS contre les effets de paralysie et de sommeil
  
• Vous gagnez le pouvoir de rage "totem spirituel inférieur" à la fin de votre tour des esprits attaquent un adversaire proche. Ils utilisent votre BBA max +4 pour toucher et infligent 1d4+4 dégâts d'énergie négative.
  

Action de mouvement : RAS

• Faut pas m'ignorer : 1d20+9+2 donne [18] + 9 + 2 = 29
• Car j'tape : 1d10+4+2 donne [9] + 4 + 2 = 15
• Et des esprits s'expliquent avec diablotin 2 : 1d20+8 donne [3] + 8 = 11

En cas d'attaque sur ma personne je fais une esquive pleine de panache (ce qui amène ma CA à 21 en comptant le malus du chant).

Modifié par un utilisateur mardi 30 avril 2019 23:50:00(UTC)  | Raison: Non indiquée

Voyant qu'elle ne peut plus rien faire sur les diablotins qui sont partis invisibles, mais que ses compagnons sont tous blessés à des niveaux divers, elle préfère couper son lien de vie pour se déplacer et utiliser les pouvoirs de la Vie que les esprits lui octroient...


Elle restore ensuite le lien de vie pour régénérer la vie de chacun. Elle s'assure auparavant que tout le monde n'est pas empoisonné ou avec une hémorragie.

« Je suis d'accord Asphodèle, on ne devrait pas trainer ici... »

PV pour tout le monde.

Modifié par un utilisateur jeudi 2 mai 2019 19:25:48(UTC)  | Raison: Non indiquée

Tout a fini par se calmer et je reprends mon souffle. Avec raideur je me redresse. Je sent crier mes muscles douloureux. L'épuisement et aussi les coups ont pris leurs dus sur eux même si les blessures achèvent de se refermer. Je ne ressent aucune joie particulière, même si je ne peut nier une certaine satisfaction vengeresse.... Sil finit par cesser de briller, sa lame perdant son bleu glacial pour reprendre son scintillement habituel...

« On s'en sort pas mal ouais. Mais autant ne pas tenter notre chance encore une fois... Tirons nous. »

Le temps de démonter la tente, et de la mettre sans prendre le temps d’être soigneux dans le chariot. Les couvertures sont roulées en boules grossièrement et glissées dans les fontes de mon destrier dont les rênes sont noués au chariot. Il suivra sans broncher... Quand à moi je baille et marmonnant de me réveiller au besoin je me métamorphose. Une fourrure chaude pour tenir le reste de la nuit, une taille suffisamment petite pour ne pas être à l'étroit au milieu du fatras... Quelques instants après avoir fermé les yeux, je ne suis déjà plus là.

L'ensemble des héros s'accordent pour le départ. Rester dans ce camp est devenue une très mauvaise idée, et il n'y a aucun moyen de savoir si cette attaque était la dernière ou la seconde d'une longue série. Quoiqu'il en soit, tout est remballé et large dans le chariot où dorment ceux qui peuvent et somnole les autres tandis que celui qui est de garde s'occupe de faire avancer le tout, tiré par des chevaux fatigués et un peu récalcitrant d'être sollicité aussi rapidement et en plein milieu de la nuit.

Au petit matin, tandis que tout le monde éprouvent le réveil difficile (ou continue de dormir, c'est selon), un sentiment de lassitude certain plane sur l'ensemble du groupe. Jhielil tire une mine entre mélancolie, tristesse, désespoir et peur. Elle n'est bien sûr pas du tout rassuré par la supposé traque des diables.

En milieu de mâtiné, alors que tout le monde est finalement debout, une pause dûment mérité s'impose. Il est hors de question, en l'état, de demander plus d'effort aux courageuses montures qui ont daigné tiré le chariot aussi loin. La capitale n'est plus si loin, et le décors a d'ores et déjà évolué. Si avant, il n'y avait que des arbres, des fougères, et une dense végétation bordant un chemin de terre sinueux, c'est maintenant une route semi-pavé, la nature ayant repris ses droits par endroits, sur lequel s'aventure les héros. Un renfoncement sur le bord de la route a visiblement servi de nombreuses fois à faire un camp, et pour marquer l'usage, un autel à Erastil a été érigé. Rien de bien énorme, une statue sur un piédestal atour duquel ont été posé quelques offrandes. Un arc avec quelques flèches, plusieurs bourses, un porte parchemin et d'autres choses ayant sûrement quelque chose de symbolique pour ceux les ayants déposés, mais qui ne revêt rien d'extraordinaire pour être notifié. Le reste de l'endroit se compose de trois troncs d'arbres servant de banc autour d'un cercle de pierre servant de foyer. Bien sûr, il n'y a que des cendres, mais elles semblent récentes.

Perception DD25 ou Survie DD15

Connaissances (religion) DD15

Modifié par un utilisateur jeudi 9 mai 2019 21:40:11(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le tiefflin sauta habillement du banc et fit quelques pas pour dégourdir les pattes.
« Ouaip' j'ai vu les traces aussi. C'est clairement pas des traces de bourrins... »
Il s'adossa au chariot en retirant son sac et commença a fouiller dedans, en tirant un linge d’apparence grassouillette qui enroulait une fin de jambon sec, en quelques vigoureux coup de dagues il ne resta rien de mangeable le long du bout d'os:
« Quelqu'un en veux? Faurda que j'me rachète des rations en ville, y'm reste que des galettes, et pas beaucoup... Bon c'est pas couronnes d'ouest niveau choix, mais c'est mieux fréquenté! » D'un coup de dent il croqua l'os qui craqua bruyamment en faisant passer le linge qui contenait quelques morceaux bien découpés.

Modifié par un utilisateur jeudi 9 mai 2019 21:38:47(UTC)  | Raison: Non indiquée