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 Erwanez 22/22 Erwanez acquiesça à la réponse d'Ecaille-de-Suie et ajouta, « Nous reviendrons te prévenir si nous savons que des hommes vont venir ... Pour ma proposition, sache qu'elle est valable jusqu'à que vous ayez décidé du chemin que vous voulez suivre. » Ensuite, le chef kobold emmena le groupe d'aventuriers dans le repaire du chamane. La novice d'Erastil se concentra et appela le pouvoir de son dieu pour sentir les flux magiques et les identifier. C'est à ce moment-là, qu'elle découvrit une aura magique dissimulée dans la couverture non-déchirée du livre. Elle fit part de sa découverte à ses compagnons et déclara, « Je sens une aura dans cette couverture. Croyez-vous que quelque chose ou quelqu'un a empêché le chamane de chercher aussi dans celle-là ? Aurait-il été pris de court par certains évènements ? ». Elle prit sa dague et découpa le plus soigneusement possible la couverture pour découvrir ce qu'elle contenait et pour l'identifier. - Art de la magie (carreaux) : 1d20+6 donne [1] + 6 = 7
- Art de la magie (bottes) : 1d20+6 donne [16] + 6 = 22
- Art de la magie (poudre) : 1d20+6 donne [16] + 6 = 22
- Art de la magie (aura cachée) : 1d20+6 donne [7] + 6 = 13
Modifié par un utilisateur mercredi 6 avril 2011 06:46:22(UTC)
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A la vue de ce que le groupe avait récupéré dans le gourbi de l'ex chamane kobold, et après les sages paroles d'Ecailles-de-suie, Allister le remercia chaudement de son action intervention auprès de ses congénères. Le barde avait été quelque peu surpris de la tournure des évènements, mais il n'avait pipé mot, attendant de voir comment les choses allaient se passer. Visiblement, la paix semblait s'être installée dans le coeur des écailleux et les explorateurs n'avaient - pour le moment du moins - plus rien à craindre de leurs versatiles voisins lézards. Réfléchissant à la suite des évènements, Allister avait toujours dans un coin de sa tête l'idée de confier l'exploitation de la caverne à ses occupants. Pour étouffer toute velléité de révolte, l'occupation des corps donnait généralement bien plus de résultats que l'inactivité. Et cela permettrait ainsi au futur territoire d'obtenir de la main d'oeuvre à moindre coût, ainsi qu'une petite armée prête à se défendre contre les intrusions néfastes. Finalement, la position de la tribu kobold en avant-poste plaisait grandement au barde si les futurs colons ne venaient pas leur contester leur autorité sur leur territoire. « Soit rassuré Ecailles-de-Suie, nous ne ferons rien qui ne viendra perturber le calme retrouvé de ta tribu. Et si vous en éprouvez le besoin, nous vous assisterons pour repousser toute tentative d'envahissement. A condition, bien entendu, que vous ne cherchiez pas à remettre en cause notre accord. C'est-à-dire que vous acceptiez la présence des colons qui ne manqueront pas d'arriver et que vous nous aidiez à les protéger des malandrins qui parcourent la région... »Allister voulait par là sceller un accord de coopération réciproque qui serait bénéfiques aux uns comme aux autres. Les explorateurs avaient montré qu'ils étaient dignes de confiance. C'était maintenant au tour des kobolds de le prouver... Et si les deux parties parvenaient à trouver un accord qui ne lèse ni l'une ni l'autre, un grand pas vers l'amitié entre les peuples aurait été franchi, dont tous pourraient s'enorgueillir... - Diplomatie : 1d20+8 donne [5] + 8 = 13
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Les discussions se bousculaient autour d'Écailles-de-suie : alors que certains tentaient de convertir les kobolds au culte d'Érastil, les autres parlaient d'accords de bonne entente formels. Il fut rapidement évident pour les explorateurs que cela dépassait grandement le chef kobold, du moins pour le moment. Écailles-de-suie avait fait preuve d'une certaine intelligence et d'une certaine diplomatie dans sa manière de chasser le souvenir du chamane des esprits des kobolds mais, malgré tout, il restait un kobold, sans doute très peu habitué aux pour-parlers et aux discussions complexes. Non, il était clairement évident que c'était trop tôt et trop vite… ce genre d'alliances pourrait peut-être se produire mais il fallait laisser le temps passer, il fallait laisser les kobolds retrouver un certain équilibre au sein de leur tribu désormais débarrassée tant de la menace que représentait ce chamane vindicatif aux idées destructrices pour la tribu que de celle des mites campées pas très loin de là. La clef d'une réussite en ce domaine passait sans aucun doute par des contacts réguliers, des discussions et des échanges ; il ne s'agissait pas là d'un changement qui pouvait se réaliser du jour au lendemain. Les aventuriers revinrent donc dans l'immédiat à des sujets plus terre à terre… ils se rappelaient que, lors de leur première visite en cet endroit, le chamane avait assassiné l'un des kobolds avant de s'enfuir, sans doute en passant par le tunnel arrière qui menait vers le flanc de la colline dans laquelle la mine des kobolds était percée. À l'époque, et maintenant encore sans doute, ils n'avaient pas pu vraiment discerner les raisons de l'étrange comportement du chamane kobold qui semblait avoir fait tout son possible pour mener sa tribu vers l'auto-destruction en tirant parti des superstitions et des peurs de ses pairs. Sous l'impulsion d'Écailles-de-suie, ils avaient commencé à rassembler les divers objets en un tas plus ou moins facile à transporter. Le kobold voulait visiblement se débarrasser de tout ce qui pouvait rappeler le chamane, ses menaces et son comportement et c'était aux explorateurs qu'il avait confié cette tâche ; ils pourraient toujours se débarrasser des objets brisés, des bouts de métal scintillants et des morceaux de quartz sans valeur un peu plus loin. Tout en rangeant le butin, Erwanez examina les objets les uns après les autres. Elle observa un instant les sept carreaux d'arbalète mais sans pouvoir déterminer de quoi il s'agissait. Elle passa ensuite à la paire de bottes de cuir. Les chausses étaient de belle facture et visiblement fabriquées dans un cuir finement ouvragé. À l'intérieur, elle trouva des symboles elfiques brodés. Il devait sans doute s'agir de bottes elfiques destinées à faciliter les mouvements périlleux (+5 Acrobaties). Elle passa ensuite à la poudre. En ouvrant le sachet, elle découvrit une substance ressemblant un peu à du talc ou à de la craie réduite en poudre mais bien vite, la couleur et la texture de la poudre changea sous ses yeux. Il s'agissait de poudre d'illusion. Elle s'intéressa ensuite à l'aura qu'elle avait détectée à l'intérieur de la couverture du livre du chamane. À l'aide d'une fine lame, elle découpa précautionneusement la couverture de cuir. À l'intérieur de celle-ci, on avait glissé un parchemin plié en quatre. En l'ouvrant, elle se rendit rapidement compte que celui-ci était recouvert de runes mystiques… Gaëlan parvint à les identifier assez facilement : il s'agissait de sortilèges semblables à ceux qu'il avait l'habitude d'utiliser : un sortilège de respiration aquatique et un autre, de vol.
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Erwanez 22/22 Une fois tous les objets du chamane rassemblés et les discussions avec Ecailles-de-Suie arrivées à une fin provisoire, Erwanez proposa, « Bien, je crois que nous pouvons charger tout ceci sur nos montures et songer à rejoindre le comptoir. Laissons Ecaille-de-Suie et sa tribu commençaient leur nouvelle vie. Nous aurons bien l'occasion de repasser ici pour voir l'évolution de la situation. »Modifié par un utilisateur mercredi 6 avril 2011 21:32:09(UTC)
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 Andreï Voilà leur mission accomplie, il ne le restait plus cas retourner au comptoir d'Oleg, sachant que futur mission serait beaucoup plus périlleuse que l'attaque du sycomore des mites, car il faudra d'abord trouver le fortin du seigneur-cerf et le défaire une bonne fois pour toute, et enfin ces terres pourront être habité sans crainte. Pendant que la troupe chevauchait vers le comptoir d'Oleg, Andreï exposa ses théories. « Je pense qu'il est temps d'aller trouver le fortin du seigneur-cerf, épier pour avoir des informations sur ce que nous aurons à combattre, je pense cas partir de là nous aurons besoin de toute nos forces pour mettre à bat le chef des brigands et ses hommes, tout les renforts nous serons utile, nous pourrions demander à Kesten de nous accompagner avec ses hommes et nous pourrions peut-être même demander l'aide d’Écaille-de-Suie, les lézards nous doivent bien cela. »
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Le 29e jour de Sarénith, fin de matinée
Après avoir chargé leurs montures du bric-à-brac abandonné par le chamane lors de sa fuite et cédé par la tribu d'Écailles-de-suie et après avoir promis de garder le contact avec les étranges mais néanmoins pacifiques kobolds, les aventuriers reprirent le chemin du Comptoir, imaginant sans doute déjà avec un plaisir impatient les conforts qu'ils avaient abandonnés depuis une bonne semaine.
Au cours de ces derniers jours, ils s'étaient occupés de plusieurs problèmes, certains mineurs d'autres plus importants, qu'ils avaient laissés de côté pendant leur exploration de la Ceinture Verte : un dangereux ours-hibou, un filon d'or hanté par une étrange bestiole, et bien sûr la présence d'horribles créatures féeriques appelées les mites.Certains se posaient sans doute encore la question de savoir comment, chez les créatures féeriques, pouvaient coexister des spécimens aussi beaux que Perlivash et Tig-tutter-tut d'un côté et aussi vils que les mites d'un autre. Mais, après tout, n'en allait-il pas de même dans toutes les espèces ?
Le 30e jour de Sarénith
Ils s'arrêtèrent pour la nuit quelque part à mi-chemin entre le sycomore qui avait servi de point de repaire pour localiser le campement des mites et la colline creuse qui abritait un filon d'or. Après une nuit paisible, ils avaient repris le chemin vers le nord-ouest. Comme le lendemain était le premier jour du mois d'Érastus, le mois consacré à Érastil, ils avaient choisi de se lever tôt à l'aube et de chevaucher pendant toute la journée afin de pouvoir arriver au Comptoir le plus tôt possible.
Ainsi, c'est une bonne heure après la tombée de la nuit, le soir du dernier jour du mois de Sarénith, après plus de douze heures de voyage, qu'ils arrivèrent au Comptoir d'Oleg, le dos et le fessier fourbus. Les portes du petit fortin avaient déjà été fermées pour la nuit, ce qui les obligea à s'annoncer et à patienter pendant que les gardes manipulaient le lourd mécanisme qui permettait de leur ouvrir le passage avant de pouvoir pénétrer dans l'enceinte. Contrairement à leurs précédents retours, Milès n'était pas le premier à les accueillir, vu qu'il faisait partie du voyage. C'était Kesten Garess, le capitaine des trois mercenaires qui protégeaient le Comptoir.
Le "coin repas" du fortin était occupé par une dizaine de personnes que Kesten identifia pour eux comme étant des transporteurs embauchés pour véhiculer divers objets précieux entre le champ de fouille à l'ouest des Narlmarches et Restov. Apparemment, les affaires fonctionnaient plutôt bien et les découvertes étaient nombreuses.
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« Bonsoir Kesten... Je ne suis pas fâché de vous revoir... Comment vont les choses par ici ? Il y a du monde à ce que je vois. » Allister alla d'abord mettre son cheval à l'écurie et le descella. Lui aussi avait bien mérité de se reposer. Puis, lorsque Mercator fut brossé et son auge avitaillée, le barde se dirigea vers la table centrale et salua avec un grand sourire et force embrassades Svetlana et Oleg. il était content de revenir au comptoir, parmi les rires et devant un vrai repas... « Vous rendez-vous compte Svetlana que nous avons dû manger froid !!! Rien que d'y repenser cela me fait froid dans le dos... »
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Erwanez 22/22 Comme d'habitude, Erwanez fut heureuse de revoir le fortin. Mais cette fois-ci, la date de leur arrivée n'était pas sans signification pour la prêtresse. En effet, dés le lendemain le mois d'Erastil commencerait et la prêtresse espérait bien profiter de ce moment au fortin sans buts à atteindre ou créatures à affronter. Elle salua Oleg et Sveltana dont les bains chauds et les bons petits plats seraient les bienvenus. Erwanez remarqua qu'il y avait de plus en plus de monde au fortin et que les fouilles avançaient bon train. Elle se demanda s'il ne serait pas bienvenu d'organiser une fête le troisième jour du mois d'Erastil pour célébrer le Festin de l'archer et l'avancée de leur exploration et des fouilles. Dés le lendemain, elle en parlerait à ses compagnons. Merci pour le calendrier.Modifié par un utilisateur vendredi 8 avril 2011 20:48:08(UTC)
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Après le long trajet du retour, Aelaendlara et ses compagnons étaient enfin de retour au Comptoir, heureux de pouvoir enfin un peu se reposer quelques temps. Bien sur, il leur faudrait repartir, leur tache n'étant pas encore terminé. Le seigneur cerf et ce qu'il restait de sa bande étaient encore en liberté, et puis il y avait cet étrange tumulus à l'ouest. Cachait il quelques secrets. Mais en attendant, après s'être assuré du confort de leurs montures, une bonne nuit de sommeil les attendait. Le lendemain, il serait assez tôt pour voir si un certain arc était arrivé au comptoir...
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 La Gerboise Sam était exténué par le périple et à plusieurs reprises, sentant approcher le comptoir, il tressaillit. Évan avait eu plusieurs fois le courage de le flatter en lui racontant des anecdotes puis la fatigue l'avait gagné, il était resté somnolant sur sa monture jusqu'à ce qu'enfin le fortin fut en vue. Gagné d'une nouvelle vigueur, il salua les gardes et s'empressa de mettre son poney au paddock s'assurant qu'il ne manquerait de rien. Puis sans passer par la case bain chaud, il fonça en cuisine pour parler à Svet, il voulait être le premier à lui annoncer qu'ils avaient repris l'anneau. « Svet ! Svet ! Tu vas être contente ! »Le halfelin manqua de faire renverser au cordon-bleu la préparation odorante qu'elle mitonnait. « Svet ! Devine ! On l'a retrouvé ! On l'a retrouvé. »La patronne du comptoir ne comprit mot, tant l'excitation de La Gerboise était grande. Après qu'il eut pris un verre d'eau et mordu dans une pomme, il retrouva un semblant de calme et narra à son amie, leur dernier voyage, lui expliquant comment ils avaient pu retrouver son anneau. Modifié par un utilisateur mercredi 6 avril 2011 23:28:21(UTC)
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Comme à son habitude, Svetlana avait accueilli le retour des aventuriers très chaleureusement. Elle avait ri de bon cœur lorsque Allister s'était plaint d'avoir dû manger froid. « Oh, quelle horreur ! » avait-elle plaisanté, « mais venez, venez… je vais ajouter un peu de viande. Ca ne sera pas un grand repas mais ça sera chaud, et nourrissant. Il faut dire que ces personnes » — elle désigna les transporteurs qui étaient attablés — « n'ont pas mangé grand chose. Il reste encore beaucoup… donc, je suis heureuse que vous soyez là, pour m'aider à finir les plats ! »« Allez, venez donc vous asseoir ! Je vais demander à Oleg de s'occuper de vos chevaux. Vous avez l'air exténués ! » ajouta-t-elle avant qu'Évan ne vienne lui montrer l'anneau récupéré chez les kobolds. Svetlana fixa pendant quelques longues secondes l'objet que le halfling avait posé au creux de sa main puis elle referma la main et la plaça près de son cœur. Les yeux brillant de larmes annoncées, la patronne du Comptoir sembla incapable d'ouvrir la bouche pendant un moment. Finalement, elle ouvrit les bras et enserra Évan quasiment au point de l'étouffer. Elle répéta son geste auprès de chacun des aventuriers avant de repartir vers le bâtiment principal à pas rapide tout en appelant son époux. Oleg ne tarda pas à sortir et à venir à la rencontre de son épouse. Ils échangèrent quelques mots puis se serrèrent dans les bras l'un de l'autre. Oleg ouvrit ensuite la main de Svetlana et prit l'anneau avant de le glisser délicatement autour du doigt de son épouse. Il l'embrassa puis se dirigea d'un pas joyeux vers les aventuriers. « Vous l'avez retrouvé ! C'est incroyable ! Après que ce salaud de bandit l'ait pris, j'ai cru… j'ai cru que Svet ne le verrait plus jamais. C'est… incroyable. Vous serez toujours chez vous ici au Comptoir ! Oh, et bien sûr, vous aurez la récompense promise, pour sûr ! Mais, pour ce soir… je vais ouvrir un tonneau de bière spéciale qui vient d'arriver de Restov, et, foi d'Oleg, nous allons fêter cela ! »Malgré la fatigue du voyage, les explorateurs n'avaient pas vraiment le choix : vu l'ambiance du couple Léveton, il n'y avait pas moyen d'y couper ! Ce soir, ce serait ripailles, chants et danses au Comptoir. Après tout, ils pourraient toujours se reposer demain et les jours d'après ! « Oh, avant que j'oublie... » avait dit Svetlana, qui montrait ostensiblement son anneau à tous ceux qui étaient présents, qu'ils soient mercenaires, aventuriers ou simples voyageurs de passage, « nous avons reçu un colis et une lettre pour vous. » Elle alla chercher les objets en question et les amena sur la table. Le colis provenait de Restov. Il contenait une lettre de Vekkel Benzen à l'adresse des deux Mendvyed. Chers Aelaendlara et Allister,
J'espère que cette lettre vous trouve en bonne santé. Sachez que j'ai bien reçu la tête de ce monstre qui m'a volé une jambe et que vous avez exterminé. Sachez aussi que vos exploits commencent à être connus ici à Restov. Il se dit chez les marchands que les routes vers le Comptoir sont redevenues sûres et que les problèmes de bandits sont quasiment une chose du passé. C'est une bonne chose, vraiment. Vos efforts ont amélioré la région.
En fait, tout cela m'a rappelé mes bonnes années, à l'époque où je pouvais encore me tenir sur deux jambes et parcourir les forêts. Et je me suis dit que, peut-être, dans quelques temps, j'irais peut-être bien m'installer au Comptoir. Oh, je suis désormais trop vieux et trop impotent pour chasser et sillonner la forêt mais peut-être que je pourrai passer ce que je sais à des jeunes.
Quoi qu'il en soit, ce n'est là que le projet d'un vieil homme. Dans l'immédiat, je tiens la promesse que je vous ai faite et je vous envoie mon bon vieil arc. J'y ai ajouté quelques flèches qu'un ami enchanteur avait fabriquées pour moi et dont je n'ai plus vraiment l'utilité. D'après lui, ce sont des flèches particulièrement efficaces contre les animaux.
Prenez bien soin de vous. Peut-être aurons-nous l'occasion de nous revoir bientôt.
Vekkel Benzen. En plus de la lettre, on y trouvait un arc long de belle facture enveloppé dans un épais tissu protecteur (arc long composite, bonus de Force +1) ainsi que six flèches dont les hampes étaient gravées de symboles (6 flèches +1 tueuses d'animaux = +3 au toucher et +2d6 dg contre les animaux). L'autre lettre provenait de Solish Frazo, le maître du champ de fouilles. Il indiquait, grosso modo, que les choses se déroulaient bien et que les fouilles étaient prolongées. Il précisait qu'il avait déjà fait rapatrier plusieurs objets à Restov et que ces pièces avaient grandement impressionnés plusieurs nobles appartenant à d'anciennes familles qui avaient été considérées comme traitresses à l'époque des combats contre Choral et que les nouvelles preuves trouvées innocentaient. L'historien précisait que les affaires allaient tellement bien qu'il pouvait dés à présent rembourser l'investissement des aventuriers et qu'il y avait de grandes chances pour que d'autres dividendes suivent dans les mois à venir. La lettre était accompagnée d'une reconnaissance de dettes officielle pour un montant de 1 500 po. Également à compter : 1 000 po de réduction chez Oleg, que vous pouvez considérer comme 1 000 po de plus à votre compte.
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Le chemin parcouru par les aventuriers était impressionnant songea le demi-orc durant les célébrations de la nuit. En quelques mois, ils avaient quasiment pacifié une région dangereuse, rendu le bonheur sur le visage des habitants, offert du travail à des hommes et des femmes sans ressource qui constitueront bientôt l'avant-garde d'une masse populaire venue trouvée la liberté dans ces nouvelles terres. Ils avaient exterminé une menace et posé la première pierre d'une alliance durable avec les créatures autochtones. Lui-même arrivé enfant dans ces terres sauvages, il avait vu la mort en face et pouvais sans rougir se sentir désormais un homme.
Durant la soirée, il rie de bon coeur aux plaisanteries de Svetlanna, applaudis avec plaisir à la balade d'Allister et partagea même son pain avec Erwanez malgré leurs différents idéologiques. Il modéra sa boisson cependant.
Une fois la fête finie, le demi-orc pria longuement les yeux fermés, marmonnant, le livre de prières ouvert sur les genoux, des passages entiers appris par coeur enfant au monastère de nouveau Steven. Ce soir, il rayonnait de calme et de piété. L'heure n'était pas au prosélytisme, non, ce soir, dans la clarté des étoiles, il remercia les dieux d'être encore en vie, d'avoir encore un jour de plus la chance de participer à ce grand oeuvre.
Ses pensées étaient toutes tournées vers la lumière d'Abadar, son guide et son maître dans l'au-delà. Quand il referma la livre, il rouvrit les yeux, serein.
| Gaëlan 1/2 Orc 3/4 Magicien. |
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Andreï fêta aussi son retour au comptoir on ne refuse pas une bonne bière.
Mais ses pensées étaient toujours tourné vers ces contrées sauvages, tant qu'il n'aurait pas la tête du Seigneur-Cerf, il ne dormirait pas tranquille.
Dés demain , ils devraient monter une expédition pour aller espionner le fortin des brigands.
Le lendemain, après son entrainement quotidien, pendant le repas de midi, il en fit part à ses camarades.
« Je sais que vous êtes fatigué et que depuis des mois nous n'avons pas arrêté de voyager dans ces contrées sauvages, réussissant à se défaire de multiple danger, pacifiant la région, sauf que notre travail n'est pas terminé. Il est temps d'aller affronter le Seigneur-Cerf dans on antre même. Je partirais dans deux jours, pour faire une reconnaissance de ce fortin, ce qui veulent me suivre son les biens venus, je ne force personne. Miles je te pose à toi aussi la question »
Voilà, ils allaient bientôt repartir pour affronter peut-être le plus gros danger, qu'ils avaient rencontré.
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Aelaendlara avait, comme ses compagnons, espéré se reposer un peu mais l’enthousiasme déclenché par le retour de l'anneau de Svetlana avait réduit cet espoir à néant. De plus l'arrivé promise de l'arc de Vekkel Benzen aurait certainement empêché la rôdeuse de bien dormir, tant elle avait l'envie de l'essayer rapidement. Le lever au matin fut dur, mais quelques flèches tirées avec le nouvel arc suffirent à réveiller la rôdeuse. Après le repas du midi, Andreï fit part de ses désirs de partir reconnaitre le fortin où devait se trouver le seigneur cerf pour en préparer l'attaque. Aelaendlara allait devoir l'accompagner. Si ses capacités de combattant ne faisaient guère de doute pour la rôdeuse, celles nécessaires pour s'approcher à distance suffisante pour observer des mouvements dans un fortins lui paraissaient elles beaucoup plus légères.
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 Erwanez 22/22 Durant la soirée qui suivie leur arrivée, Erwanez profita du repas savoureux de Sveltana et d'un moment de détente bien mérité après leurs dernières aventures dans les plaines de l'est. Tard dans le nuit, elle se coucha sans oublier de faire une dernière prière à Erastil. Dés le lendemain matin et en ce premier jour d'Erastus, elle pria longuement son dieu sous un vieux chêne qu'elle avait trouvé dans les environs du fortin. Le midi, elle rejoignit ses compagnons pour partager le repas avec eux. En entendant les propos d'Andreï, la novice d'Erastil proposa, « Effectivement, je pense que notre prochain objectif doit être le camp du Seigneur-Cerf et que nous devons partir assez rapidement. Cependant, j'aurais aimé avant cela célébrer la fête du Festin de l'Archer qui est une fête très importante pour les fidèles d'Erastil, si bien sûr, Oleg et Sveltana sont d'accord. Elle a lieu le 3 de ce mois et la chance veut que nous soyons au comptoir. Nous pourrions partir le lendemain dans ce cas. »Modifié par un utilisateur dimanche 10 avril 2011 16:21:17(UTC)
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« Je pense comme Erwanez. Accorde-nous un jour ou deux pour souffler et nous seront de nouveau d'attaque. Que ce passera-t-il si vous vous faites capturer pendant vos explorations ? µJe comprends que tu sois pressé d'en finir, mais juste quelques heures supplémentaires de repos te feront aussi du bien. » | Gaëlan 1/2 Orc 3/4 Magicien. |
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La Gerboise le halfelin bondissait de joie. Il tira sur la manche d'Andréï à plusieurs reprises : « Pas vrai Andréï ! Pas vrai Andréï ! Une fête ! On pourrait faire une fête hein ? Allez steuplait... Une fête ce serait bien non ? »Modifié par un utilisateur dimanche 10 avril 2011 10:59:04(UTC)
| Raison: Non indiquée
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« Je suis d'accord avec nos compagnons, Andreï. Prenons le temps de nous reposer et de nous requinquer complètement. Je comprends ton envie d'en découdre et d'éliminer définitivement la menace que représentent le Seigneur-Cerf et ses bandits. Mais mettons toutes les chances de notre côté et préparons-nous de manière adéquate. Nous pourrions par exemple profiter de ce temps pour revendre une partie des trésors que nous avons accumulés et améliorer notre équipement. Je doute que nous réussissions une entreprise aussi périlleuse que celle d'investir un fortin certainement puissamment défendu avec ce que nous possédons actuellement... »Observant les trésors accumulés et leurs équipements respectifs, il ajouta « D'après ce que j'ai pu estimer, nous possédons pas loin de 4000 po - sans compter ce que nous pouvons revendre. Nous avons de quoi nous équiper en armures et armes de meilleures factures que celles que nous possédons. A ce propos, Gaëlan, il faudrait que tu nous fasses un inventaire complet de nos possessions. Il me semble que le calcul est l'un de tes points forts... parmi d'autres, cela va sans dire... »Puis le barde prit entre les mains l'un des sept traits et la plume magique qu'il leur restait à identifier et s'attaqua à cette tâche. « Ah, et tant que j'y pense... Gaëlan, il y a aussi le livre du chamane dans lequel nous avons trouvés les parchemins. La langue dans laquelle est écrit le texte m'est complètement inconnu. Peut-être qu'en l'étudiant un peu tu arriveras à découvrir de quoi il parle ? »- Art de la magie (trait) : 1d20+8 donne [11] + 8 = 19
- Art de la magie (plume magique) : 1d20+8 donne [2] + 8 = 10
Modifié par un utilisateur dimanche 10 avril 2011 12:21:09(UTC)
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« Allister à raison, Andreï, il vaut mieux organiser nos ressources avant de nous lancer à l’assaut si nous voulons vaincre le seigneur cerf.
Regardons comment nous pouvons améliorer notre équipement, reposons nous, faisons la fête - cela fera plaisir à La Gerboise - et faisons nos plans. »
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Andreï Andreï ne voulait pas attendre trop, il savait que les brigands pouvaient faire de cruels dommages et son honneur ne pouvait accepter que cela se produise.
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