elentir:

Marcian poussa un cri de rage et de satisfaction lorsque l'énergie divine se déversa dans son corps. Il n'avait pas le temps d'épiloguer sur l'origine de cette manne curative. Il remercierait plus tard le chélaxien, sobrement. Le meilleur moyen de ne pas gâcher de regain d'énergie était de mettre à bas l'horrible molosse d'ombre. Il s'attela sans tarder à cette tâche difficile.

« Tu vas retourner chez toi ! » souffla-t-il à travers ses dents serrées.

La lame méduse vibra d'un chant sourd et s'abattit à plusieurs reprises.

ilmakis: « C'est ainsi que vous gâchez les bienfaits d'Asmodéus, essayez quand même d'en tuer un de temps en temps, ça devrait m'éviter d'avoir à vous soigner de nouveaux.

Qu'Asmodéus punisse les créatures extérieures qui ne suivent pas sa Loi. »

De nouveaux, une onde de chaleur intense vint traverser toutes les créatures autours de Zdravko, mais seule les créatures d'un autre plan semblèrent encore une fois réellement touchées par cette vague.

• Canalisation d'énergie négative alignée(Mal) DD24 (2/8) : 6d6 donne [31] = 31

Quand les dés ne veulent pas...

selenims: Makbari avait tenté de faire disparaître la menace du gros molosse des ténèbres... sans toutefois y parvenir, à cause principalement de l'énervante propension qu'avaient ces créatures à disparaître dans les ombres ! La créature avait cependant subi deux violents assauts et, à en juger par sa vitesse de réaction, elle devait être sérieusement affaiblie...

Peu de temps après, Zdravko avait à nouveau fait appel aux pouvoirs que lui octroyait Asmodeus sur les créatures des Plans Inférieurs. Ainsi, le deuxième chien des ombres avait-il trépassé. A l'instar de ce qui était déjà advenu pour le premier d'entre eux, le cadavre avait quasi-instantanément disparu, ne laissant qu'une légère poussière noirâtre au sol...

Ne voyant pas arriver ses compagnons, le fougueux Algernon avait déverrouillé la lourde porte à double battant du fond de la suite qadirane et s'était avancé de quelques pas dans les jardins recouverts de neige... Il espérait sans doute retrouver la trace de l'assassin de Shéhérazade qui, comme lui, semblait bénéficier de la protection que confère l'invisibilité.

Le coin des dés :

• Formule non reconnue : Perception Algernon:1d20+15


Battlemap :

Lien vers la Battlemap mise à jour.

Ordre d'initiative :

ROUND 6 :
Lothian
Marcian
Large shadow mastiff
PNJ1
Makbari
Sanaz
Algernon
Zdravko
Gardes qadirans

elentir:

Pour le fumble de ma dernière attaque comment veux-tu le gérer ?

selenims: Une nouvelle fois la lame tranchante du Corsaire Gris allait s'abattre sur le plus gros des shadow mastiffs... Tout portait à croire que le Capitaine Maldris commençait à s'habituer aux ombres ; en effet, seul le dernier - et le moins puissant de ses coups manqua la vicieuse créature ! Le capitaine était terriblement concentré, tout son être était tendu vers un seul but, en finir avec ce monstre qui lui avait déjà tellement coûté ! Grande fut sa surprise, alors qu'il commençait à désespérer, de voir le large molosse s'effondrer, comme au ralenti et venir frapper le sol lourdement puis disparaître, comme ses congénères avant lui.

Quelques bruits de combat épars parvenaient encore à leurs oreilles, probablement les gardes qadirans qui tentaient de venir à bout des derniers molosses encore présents à l'étage.

La voix de Sanaz semblait reprendre de la vigueur et les ombres commençaient déjà de se disperser.

Zdravko crut même entendre des bruits au rez-de-chaussée ; probablement l'arrivée trop tardive de la garde taldorienne !

Pendant ce temps, la neige avait amortie la chute de Lothian qui se releva avec une vivacité hors du commun. Il entreprit de se diriger vers la double porte qui marquait la séparation entre les jardins privatifs et les immenses parcs du Palais Impérial. Si son sens de l'orientation ne le trompait pas, la localisation de la suite qadirane était telle qu'il serait aisé et rapide de regagner les premiers palais privés de la ville haute à partir de ce point. Difficile d'imaginer pister ensuite une personne qui semblait à merveille se jouer d'eux depuis le début de ces événements... Il lui sembla entendre quelques bruits sourds de combat provenant de l'autre côté de l'enceinte, comme celui produit par plusieurs cordes d'arbalète se détendant simultanément, suivies par le bruit de l'impact du carreau sur le métal.

Le coin des dés :

• Formule non reconnue :


Battlemap :

Lien vers la Battlemap mise à jour.

Ordre d'initiative :

ROUND 6 :
Lothian --> a agi
Marcian --> a agi
PNJ1 --> a agi
Makbari
Sanaz
Algernon
Zdravko
Gardes qadirans

ilmakis: Voyant qu'aucun des deux bardes n'étaient resté pour calmer les ardeurs meurtrières des qadirans, et qu'il ne restait plus que le Capitaine Marcian ainsi que Makbari, le moine silencieux, le Grand Inquisiteur s'avança, pommes ouverte dans un geste d'apaisement. Afin de mettre toutes les chances de son côté, il prononça une rapide prière.

« Seigneur, donne moi la possibilité d'être compris par toutes les créatures. Que la voix de la subtilité s'insinue dans l'esprit de mes ennemis comme de mes alliés. »

Puis il s'adressa aux soldats qui commençait à se diriger vers eux.

« Soldat, calmez vous. La déchirure planaire ayant permis l'arrivée de ces monstres mes compagnons et moi même avons détruit s'est refermée. Remportant avec elle ces créatures du plan de l'ombre. L'assassin responsable est en fuite, poursuivie par deux de nos compagnons.

Mais la personne responsable de cela n'est pas ici et votre juste colère ne doit pas s'abattre sur des innocents. Le Taldor a failli. Contrairement à ses promesses de protection, il n'a su éviter l'attaque de cette nuit et pire que tout la mort de Shéhérazade. .

Cependant ne blâmez pas complètement nos hôtes, car au repas, ils nous bien été signifié que leur protection n'était pas sur nous tant que le Jubilé n'était pas officiellement commencé. Bien que je trouverai cela légitime, juridiquement vous ne pouvez les attaquer, ni vous prendre physiquement à leurs représentants. C'est le Qadira qui serait mis à la faute.


Au nom du Chéliax et de la grande Majestrix, je vous prie d'accepter nos condoléances pour la perte de votre déléguée. Soyez assurez que nous porterons avec force, vos récriminations justifiées auprès du Grand Prince et que vous pouvez compter sur notre aide en toute chose et particulièrement pour retrouver le commanditaire de cette lâche attaque et faire punir les responsables. »

• Diplomatie : 1d20+31 donne [9] + 31 = 40

Je me lance Tongues

Mes jets sont vraiment déplorables :'(

dude: Toujours fixé sur son objectif, Lothian franchis la double porte à la poursuite de l’assassin. Il savait que la magie de ses bottes ne lui permettrait pas de tenir cette vitesse très longtemps, aussi fallait-il faire vite.
Il ne savait pas non plus s’il serait de taille face à son adversaire, mais il voulait le voir. Il voulait pouvoir le retrouver et lui faire payer pour les crimes qu’il venait de commettre alors qu’il considérait que les délégations étaient déjà sous sa protection.

selenims:
~***~ Dans la neige du jardin qadiran... ~***~

Lothian de Sarde prit un élan considérable, emporté par le surcroît de vitesse que lui conférait ses bottes magiques. Algernon le vit s'élever de plusieurs mètres dans les airs, il semblait littéralement voler ! Il crut un instant que le barde taldorien allait franchir la double porte avec une aisance incroyable... Toutefois, il lui manqua quelques centimètres ; Lothian vint percuter violemment le battant droit et glissa lentement au sol pour finir les fesses dans la neige.
La position grotesque dans laquelle était maintenant confinée Lothian contrastait fortement avec l'envol gracieux des secondes précédentes.

• Dégâts non-létaux : 2d6 donne [10] = 10

Pendant qu'il gisait, avachi au seuil de la porte qui avait barré sa course, Lothian entendit le bruit d'un combat, qui cessa extrêmement rapidement dans un ensemble de gargouillis... Apparemment, ceux qui avaient tenté de barrer la route à l'assassin en fuite avaient péri très rapidement !
Après avoir repris ses esprits, il se releva et constata que le cadavre d'un garde taldorien gisait dans la neige, dissimulé derrière l'un des buissons qui parsemaient le jardin d'agrément (il est situé en C6). Seule la réapparition aussi soudaine qu'inespérée des globes de lumière magique lui permit de le remarquer...

Pendant ce temps, Algernon s'était approché lui aussi de la porte au pied de laquelle gisait Lothian... et n'y avait rien trouvé. Prenant le parti de remonter la piste laissée par l'assassin de Shéhérazade, il se rendit rapidement compte que cette dernière avait manifestement emprunté une porte de service pour s'échapper une fois sa forfanterie accomplie (elle a emprunté la porte en J24). A la vue des traces, il sut avec certitude que la silhouette qu'ils avaient aperçue était indubitablement féminine ou, à tout le moins, celle d'un homme extrêmement fluet.
A la recherche du moindre indice susceptible de les aider dans leur quête de la vérité, Algernon put constater qu'un fin morceau d'étoffe rouge très sombre semblait s'être pris dans le chambranle de ladite porte de service. D'après le peu qu'il avait cru apercevoir de l'assassin, il s'agissait vraisemblablement d'un morceau de la courte capeline qu'elle portait. Il le prit et le plaça dans une de ses poches.




~***~ Au milieu des ors de la suite qadirane... ~***~

Une demi-douzaine de cavaliers du Paresh arrivèrent devant Zdravko, suivis de près par un genie binder d'une quarantaine d'années. Sa barbe poivre et sel et ses cheveux coupés courts sous son turban lui donnait un air froid et sévère.


Le genie binder était suivi de quatre jeunes femmes armées de tridents et dont le moindre mouvement évoquait une sensualité débridée.
Il était manifeste que les intentions qui les animaient étaient loin d'être pacifiques. Leur chef de délégation venait d'être sauvagement assassinée alors que le Grand Prince avait promis la protection à tous les invités du Jubilé, il fallait un bouc émissaire pour cette trahison !

Les gardes marquèrent un instant d'arrêt lorsqu'ils virent que Zdravko s'adressait à eux. La voix du Grand Inquisiteur était manifestement rompue à la manipulation des foules et son habileté à la rhétorique était légendaire. Les gardes marquèrent un instant de pause, ne sachant manifestement plus trop s'ils devaient poursuivre ou non leur mission vengeresse...
Celui qui était apparemment le sergent se retourna vers le genie binder, dans l'attente d'un nouvel ordre. Tout portait accroire que le discours de Zdravko avait accordé aux trois héros présents quelques secondes de répit.


« Et bien, avez-vous pu capturer les impétrants ? » La voix de Sanaz retentit, forte et claire, provenant du couloir desservant les appartements privés (la colonne AI sur la BM).

nan2tyx: « Je vous en prie, Lothian. » Algernon inclina légèrement la tête au remerciement que venait de lui faire le Taldan. Puis tapotant la poche dans laquelle il avait enfoui la petite pièce d'étoffe qu'il venait de trouver, il sourit mystérieusement et répondit à la question de son homologue « Disons que j'ai ma petite idée sur son utilité... Mais il n'est point temps d'en parler... Parons au plus pressé, les autorités qadiranes doivent être surprises de trouver dans leurs appartements une troupe aussi bigarrée que la notre. Il va falloir jouer de diplomatie pour qu'ils accordent quelque crédit à notre piteuse intervention. »

Algernon n'avait pas voulu avouer à son compagnon que pour mener à bien sa petite idée, les fonds lui manquaient cruellement. Il ne se voyait pas quémander la somme qu'il lui fallait à ses personnes qu'il ne connaissait pour le moment que très mal. Son image en eut été écornée et, par là même, celle d'Absalom.

A l'intérieur, les choses s'accéléraient. Lothian avait donné ses ordres et la suite occupée par le Qadira bruissait maintenant de mille voix, de pas étouffés par les tapis et d'ordres répétés aux subalternes. Les deux hommes avaient été accueillis par une Sanaz dont le ton ne souffrait aucune contestation. La réponse de Lothian surpris quelque peu le diplomate d'Absalom, mais le Taldan avait plus d'expérience que lui dans l'art de la négociation. Les quelques années que Lothian avait de plus qu'Algernon et la connaissance qu'il avait de son interlocutrice lui donnait un net avantage à l'heure actuelle.

ilmakis: Le Grand Inquisiteur avait retrouvé son calme et sa fébrilité due au combat avait entièrement disparue.

Lorsque Sanaz apparue telle un Efrit en furie il ne se départit pas de son assurance et d'une voix posée, ignorant la question de la raison de leur présence ici, il lui répondit en homme habitué à réagir aux questions véhémentes.

« Ma chère Sanaz, veuillez accepter mes humbles condoléances au nom de la délégation du Chéliax pour la perte irréparable de Shéhérazade que les Vents du Déserts ramènent son âme.

Sa Majestrix, avec raison, avait peur qu'une telle chose arrive. Fort heureusement elle ne s'est pas déplacée personnellement ici. Sinon je suis certain que c'est elle qui aurait aussi été visée par cet odieux et lâche assassinat...


Mais n'en veuillez pas à notre ami Lothian, il n'a fait que son devoir et même au delà car il nous a permis d'intervenir dans votre suite lorsque nous y avons entendu des cris et constaté qu'une puissante magie planaire était à l'œuvre. Bien que notre intervention ai été mineure par rapport à la celle de vos vaillants guerriers j'ose espérer qu'elle leur a fournit la diversion nécessaire à la déroute de nos ennemis.

Sachez cependant que j'engage ma parole à retrouver les responsables de cette forfaiture et vous pouvez compter sur l'aide du Chéliax ainsi que de l'Eglise d'Asmodéus qui dans sa connaissance des plans inférieurs saura aiguiller les recherches dans la bonne direction. Si cela vous convient je serais même prêt à superviser moi même cette enquête afin d'éviter toute partialité des autorités locales.

Les coupables, quels qu'ils soient, seront châtiés comme il se doit.  »

• Diplomatie : 1d20+31 donne [6] + 31 = 37

Ça c'est un VRAI jet de diplo

Désolé de ne pas avoir répondu plus tôt, je n'avais pas vu les derniers messages