Rodrick vit réagir de manière étrange Kendra qui était si déterminée à avancer et trouver les assassins de son père. Maintenant elle voulait se rendre !?

Le prêtre était insensible à ce genre de chose dans son combat à combattre la non-vie il faisait preuve de détermination sans faille :

« Kendra que dites vous ? Souvenez vous ce pourquoi vous êtes venu ici avant d'entrer dans cette ancienne prison : trouver les coupables de la mort de votre père et ceux qui ont tué le petit Théo. De plus, ils ont tué votre père mais aussi menacé Ravengro que le professeur a si vaillamment défendu. Nous ne pouvons baisser les bras devant cette quête qu'il nous a laissé. »

Modifié par un utilisateur mardi 24 avril 2012 13:54:38(UTC)  | Raison: Non indiquée

Renâclant encore comme un gros boviné sous l'effort physique qu'il eut consacré à mettre en charpie les grosses araignées profanatrices de ce lieu de prières de jadis, le visage et le corps en partie souillé de déjections sanguinolentes, son imposant fléau d'armes dégoulinant de matières poisseuses frémissant encore entre ses mains, Purifian donnait enfin répit à l'adrénaline qui l'avait envahi pour le combat que Kendra, de toute apparence désespérée et fragile plus qu'il ne le pensait, déclara des paroles surprenantes de défaitisme. Par-dessus le marché, le Kéléshite semblait curieusement soutenir son avis désespérant.

« Qu'est-ce qui vous arrive à tous deux ? Pourquoi baisser les bras pour si peu ? J'ai juré sur la tombe de votre père de faire mon possible pour venger son meurtre en trouvant des réponses. Je n'abandonnerai pas pour autant ! »

Rodrick tenta de comprendre d'où venait le charme qui affectait ses compagnons :

« C'est une magie qui vous manipule ne vous laissez pas faire ! »


Le prêtre incanta une détection de la magie pour voir d'où venait la source et surtout comment la neutraliser.

Détection de la magie vers l'autel pour tenter de comprendre quel est le sort qui affecte mes compagnons et comment le neutraliser.

Rodrick inspecta magiquement la pièce, une faible aura était visible sur l'autel de Pharasma. Une aura qui bien que minime semblait rayonné dans le cœur des plus faibles de volonté qui se trouvait dans la pièce.

Le nain, montagne de chairs, s'adressa à Rodrick qui sut rester inébranlable et en plein moyen de sa lucidité :

« Peut-être que si nous sortions de cet endroit que je sais cher à vos yeux, nos camarades retrouveront la raison. L'effet de ce charme cognitif de désespoir et d'accablement pourrait agir que dans un périmètre. Si nous n’avons pas de moyen de neutraliser cette perfide magie, il vous sera toujours possible d’en parler à votre confrérie religieuse ultérieurement. Père Grimburrow trouvera certainement une façon d'abdiquer ce mal qui souille l'autel de votre divine patronne en temps voulu. Pour l'instant, sortons si nous pouvons rien faire de plus, car j'ai l'impression plus que nous attardons ici, plus leur esprit sera empoisonné par le désespoir. »

Ultimement tout en parlant, la dernière action que souhaitait entreprendre Purifian dans cette pièce était de minutieusement inspecter l'autel de concert avec le prêtre. On ne savait jamais, il pouvait receler un compartiment secret contenant un objet impie responsable de tout ceci.

Rodrick accepta l'offre du nain et abandonna la pièce pour poursuivre l'exploration des lieux.

« Venez sortons d'ici en espérant que le charme se dissipe. »

Purifian, las des jérémiades de ses compagnons au cœur pour le moment obscurci par un étrange phénomène insoluble, sortit de la chapelle le visage cireux et renfrogné à la suite du prêtre.

« Bon, assez perdu de temps ! Jetons un œil à la pièce d'en face. »

L'inquisiteur-baleine s'élança de toute sa masse corporelle contre la porte de bois vieilli pour faire une entrée fracassante oubliant ainsi la prudence et toutes notions élémentaires de civisme. Il en avait ras-le-bol de ces fantômes à la noix et de cet endroit lugubre et poussiéreux minant le moral de ses amis. Pour l'heure, tangible ou intangible, il était préférable de se tasser de son chemin !



Contre toute attente, la fichue porte résista contre la charge du rhinocéros ne résultant qu'un bruit sourd faisant écho à travers tout le rez-de-chaussée de la vielle prison.

« Sapresti ! Désolé les amis, je me suis laissé emporté. »

Le fard rubicond de honte, il tenta plutôt d'actionner la poignée normalement en deuxième recours, essayant de conserver son calme cette fois-ci.

Modifié par un utilisateur mercredi 2 mai 2012 03:59:08(UTC)  | Raison: Non indiquée

En partant du principe que Purifian à foncer dans la porte droit devant lui, vous avez ouvert la porte de la pièce centrale, BM mis à jour.

La pièce que le groupe venait d'ouvrir regorgeait de banc retournait, de chaises cassées et d'armoire entrouvertes.



Alors que le groupe commençait à regagner espoir et que le moral était à son beau fixe, Purifian lui sentit comme un poids sur ses épaules, il sentit quelques choses qui lui serra les poignets et les chevilles comme des menottes. Tout espoir disparu en lui, il pensait devoir passer la fin de sa vie dans cette prison et se remémora tous ces souvenirs de sa vie, comme si celle-ci était fini.

Modifié par un utilisateur mercredi 2 mai 2012 08:25:34(UTC)  | Raison: Non indiquée

Rodrick leva un sourcil vers le nain ne comprenant pas cette soudaine frousse :

« Non pas vous aussi Putrifian ! Cela doit venir de la pièce encore...sortons de la pièce... »

Une fois sorti Rodrick demanda :

« Putrifian vous allez mieux ? »

Au moment où Purifian et Rodrick allaient sortir de la pièce, le désespoir qui avait envahi le nain rapidement disparu à la même vitesse et derrière eux des bruits de cliquetis se fit entendre. Une paire de menotte c'était soulevé et lévité dans les airs.

Deux possibilités, soit vous sortez et voilà, soit vous restez et se sera un combat contre cet ennemi.