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 Chiara [detective Chiara sortit visiblement épuisée de l'interrogatoire des prisonniers. La tâche avait exigé toute sa concentration et toute son énergie magique. Elle alla lentement au puits, puis entreprit à se laver le visage à l'eau fraiche, en prenant bien soin de ne pas déranger sa coiffure. Pas moyen de faire un conseil de guerre... autant informer de suite les deux hommes, puis je parlerai à Ephraël à son retour et à Kséna quand elle reprendra connaissance.Une fois passablement remise, la jeune sorcière retrouva Radovan et Fenris puis leur relata, hors de portée d'oreilles indiscrètes, ce qu'elle avait appris des prisonniers. « Mes amis, je fis appel à mes pouvoirs occultes afin d'extraire les informations importantes de Kressle et de ses sbires. Voici, en résumé, ce qu'ils me dirent:
- Le Seigneur-Cerf a une véritable forteresse dans le Sud. Sa localisation exacte est un secret.
- Les bandits sont nombreux et possèdent un réseau de renseignement développé, allant jusqu'à la ville de Restov.
- Les bandits sont tous humains à l'exception du nain que nous avons rencontré et peut-être du Seigneur-Cerf lui-même.
- Pour les amateurs des faits divers liés à la Nature: le Seigneur-Cerf dresse un ours-hibou comme monture personnelle.
- Visiblement ils ne disposent pratiquement pas de lanceurs de sorts. Kressle fit part d'un personnage puissant, ombrageux et suspect vivant dans les niveaux inférieurs du fortin, et qu'elle suspecte d'être une éminence grise et possiblement doté de puissance magique. C'est la seule personne, d'après son récit, à lui avoir fait peur.
- Le Seigneur-Cerf engage la plus grande partie de son attention et de ses ressources dans le Sud.
- Des rumeur de camp chez les brigands parlent de fées dans la forêt, d'un temple maudit et d'un sanglier tueur d'homme nommé Tuskgutter.
- Le plus gros problème des bandits dans le nord sont les mites qui volent tout ce qu'ils peuvent dans leur campement.
Voilà pour l'essentiel. » finit Chiara en sa voix mélodieuse, légèrement essoufflée après son énumération. Elle regarda les deux hommes, hésita, puis parla de nouveau: « Ne trouvez-vous pas qu'il manque quelque chose à l'explication de Svetlana et Oleg à propos de Kressle ? En la voyant ils faillirent s'étouffer de rage, mais interrogés, ils se contentent de dire qu'elle est méchante!
A propos de Kressle, qu'allons nous faire des prisonniers? Pour l'instant Ser les garde par courtoisie, mais nous ne devons pas abuser de sa patience. »Modifié par un utilisateur mercredi 17 octobre 2012 08:52:51(UTC)
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phrael chevaucha sans encombre a travers la plaine brumeuse. Dans ce paysage monotone , le magicien constata vite qu'en l'absence de Martin, il n'aurait sans doute pas été capable de trouver son chemin. Une pluie fine tomba sans discontinuer et Hagop, visiblement mécontent de ce les geler parce que son chef a des vues sur le petit cul d'une aristo demeura silencieux tout le long du trajet. Le chasseur stoppa a deux reprises afin de livrer des marchandises à des trappeurs. Après six heures de trajet, il s’arrêta devant une hutte branlante. Une étrange créature de la taille d'un chien dotée d'une mâchoire disproportionnée surgit de celle-ci en émettant un mélange complexe de jappement et d'aboiement et se plaça entre les cavaliers et la masure. Martin cria « Bokken ! C'est Martin ! » Un vieillard à l'hygiène douteuse sortit a son tour. Svetlana sourit au bucheron. « Oleg n'est pas enchanté de leur présence et je sais qu'il ne l'accepte que pour moi mais je trouve cela rassurant et puis cela ne durera pas puisque Ksena et vous allez sécuriser la région. »Au cours de la matinée, Oleg reçu deux visiteurs. Visiblement, le comptoir était un lieu plutôt populaire. Un peut plus tard, il donna son estimation pour le butin saisie par les compagnons. « A terme, je pense pouvoir en tirer 350 pièces d'or. »Le demi-orc offrit un sourire inquiétant au rôdeur. « Ce n'est pas un jeu, c'est LE jeu ! Tu m'as l'air d'un gars malin et comme Hagop est occupé, on a besoin d'un quatrième. On fait quelques parties sans mise pour que tu piges le truc et on jouent sérieusement ! »
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Par Nethys, cette pluie ne finira donc jamais !Le voyage fut long et ennuyeux comme on pouvait s'y attendre dans cette contrée sauvage. Heureusement que Martin était un bon guide car sans lui, jamais il ne se serait retrouvé dans ces plaines et ces forêts. Ses connaissances étaient théorique et il voyait désormais la différence entre celle ci et la pratique... Arrivé devant la maison, ou plutôt le taudis du fameux Bokken Ephraël fit la connaissance de son gardien et de son habitant pouilleux. Tentant sans succès de ne pas faire montre de dégoût devant la créature il se demanda quel était donc cette créature ressemblant à un chien sans l'être. Il s'adressa ensuite à la personne que Martin avait salué comme étant Bokken. « Bonjour, Oleg et Svetlanna nous ont fait part de vos grandes capacités de soins et dans votre talent en ce qui concerne les potions. Une amie à nous a été gravement blessée et demande des soins importants que les membres de notre petite équipe ne possède pas.
Votre aide à son chevet serait plus que la bienvenue et si vous pouviez m'accompagner jusqu'au comptoir ou mon amie se trouve je vous en serai particulièrement redevable. »- Conn. Nature : 1d20+9 donne [4] + 9 = 13
- Diplomatie : 1d20+0 donne [12] + 0 = 12
Modifié par un utilisateur jeudi 18 octobre 2012 10:38:05(UTC)
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Hagop plaça nonchalamment sa main sur la garde de son épée en fixant le quadrupède qui devait sans doute être un des thylacines évoqués par Svetlana mais le fait qu'il soit apparemment domestiqué étonna le magicien. Vêtu d'un simple pagne et d'une maigreur cachectique, le vieillard pouilleux scruta attentivement les nouveau venu, renifla bruyamment et balança un flot de parole peu intelligible. « Vousn'avezqu'amenervotblesséeici ! Jenefaitpasdeconsultationadomicile ! »
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« Oh je vois que vous avez réussit à domestiquer un thylacines. Vous devez être doué pour avoir réussit un tel tour de force.
Je comprend que vous ne vouliez pas quitter votre logement, mais la jeune femme qui mérite votre attention n'est pas en état de voyager. D'ailleurs, le fait de venir au Comptoir permettra à Oleg de vous donner l'or qu'il vous doit. De plus vous pourriez aussi en profiter pour vendre les potions que vous vendez aux voyageurs de passage.
Sans compter qu'en notre compagnie pendant le voyage vous serez en sécurité, même si je suis certain que vous n'avez pas besoin de cela. »- Diplomatie : 1d20+0 donne [9] + 0 = 9
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 Bokken Le vieillard glissa sa main sous son pagne et se gratta sans la moindre pudeur en débitant son charabia. « Onatousnospti'problèmes ! AveclesZécaillesdesuiequisontdevenusfollesetlesMitesquigrabbetoutcequileurtombentsousla mainj'laissepasmabicoquesansurveillance ! » puis il rentra dans sa hutte suivit par son marsupial.  Hagop Le mercenaire haussa les épaules et se tourna vers le jeune magicien. « Va peut-être falloir envisager d'être plus persuasif parce qu’apparemment, c'est pas vraiment un bon samaritain soucieux de sauver l'humanité. Ou alors on se casse et vous envoyez miss pti'cul. Elle a l'air de s'y entendre qu'on fasse ses quatre volontés. » Martin Martin se racla la gorge. « En même temps, il a pas complètement tord. C'est agité dans la région depuis quelques semaines. Avant partir de chez moi, j'ai du tout planqué et si vous n'avez plus besoin de moi, je vais me remettre en route. »Modifié par un utilisateur jeudi 13 décembre 2012 13:57:45(UTC)
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« Attendez Bokken ! »Ephraël suivit l'ermite sans répondre à ses deux compagnons de voyage. « Je suis certain qu'on pourrait trouver un arrangement. Vous semblez avoir des problèmes avec les mites et ce que vous appelez les écailles de suie. Notre troupe peux vous aider à résoudre ces problèmes. Nous sommes là pour ça.
Si vous nous aidez, nous vous aidons. Donnant-donnant !
Pour vos affaires, je suis prêt à rester ici le temps que vous alliez soigner notre amie, une suivante du Vieux Borgne. Comme cela vous ne risquez pas d'être volé et en plus vous pourrez vendre au comptoir vos potions.
Ce sera tout bénéfice pour vous ! »
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Bokken Une odeur épouvantable assaillit le magicien alors qu'il s'approchait de l'entrée de la hutte. Il regretta un instant que sa vision elfique lui permette de percer sans difficulté l'obscurité en découvrant le capharnaüm indicible qui envahissait la pièce au milieu de laquelle trônait un alambic éteint. « Elpourraitbiensuivreunculdejatteunechauveouungaleuxqueçaichangeraitrien ! Etpourquoij'teferaisconfiance ? Questcequimeditquetunevaspasmevolerousiphonnermagnôle ? Etqu'estcequimedittuvaspouvoirésoudremesproblèmes ? T'aspasvraimentd'un gars d'ici ! Tuveuxdu donnant-donnant ? Beincommencepardonneretj'verraisenfonction ! »
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Beurk, mais c'est immonde ici !« Et bien justement en parlant de gnôle, j'ai là un très bon cru qui je suis certain vous plaira. »Ephraël sortit de sa besace l'une des flasques de brandy « Qu'en pensez vous ? »
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Bokken Avec une étonnante célérité, le vieillard saisit la bouteille, la déboucha 'un coup de dent et s'enfila une large goulée. « De la liqueur d'ortie ! Et de la bonne ! Ça me fait penser que ma mère adorait ça ! » Il sourit béatement puis se rembrunit. Il tendit sa main sale vers la magicien afin de lui montrer que son majeur manquait. « Mon maudit frère non content de m'avoir volé son portrait m'a aussi croqué un doigt ! Qu'il crève ! » Il cracha et s'enfila une autre goulée et tendit la bouteille pleine de bave au demi-elfe. « A la mémoire de maman ! »La bouteille te donne un bonus de +5 en diplomatie. Tu peux donc faire évoluer son attitude vers [Amicale] avec un "take 10" (a condition de trinquer bien sur  ) ou tenter un jet dd 20 afin qu'il te suive.
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Ephraël se saisit de la bouteille, essuya de sa manche la bave de son interlocuteur et bu une gorgée. « A vot' maman ! »Take 10Modifié par un utilisateur jeudi 18 octobre 2012 15:30:55(UTC)
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Assis sur sa paillasse, confortablement calé dans cette position par divers sacs, Radovan écouta Chiara faire son rapport « Le Seigneur-Cerf a une véritable forteresse dans le Sud. Sa localisation exacte est un secret. »Bon, c'est pas gagné.« Et Kressle, elle y a t'allée? » « Les bandits sont nombreux et possèdent un réseau de renseignement développé, allant jusqu'à la ville de Restov. » Pas étonnant qu'y savaient qu'on venait« Les bandits sont tous humains à l'exception du nain que nous avons rencontré et peut-être du Seigneur-Cerf lui-même. » « Pour les amateurs des faits divers liés à la Nature: le Seigneur-Cerf dresse un ours-hibou comme monture personnelle. » Noursibou? « Visiblement ils ne disposent pratiquement pas de lanceurs de sorts. Kressle fit part d'un personnage puissant, ombrageux et suspect vivant dans les niveaux inférieurs du fortin, et qu'elle suspecte d'être une éminence grise et possiblement doté de puissance magique. C'est la seule personne, d'après son récit, à lui avoir fait peur. » « Le Seigneur-Cerf engage la plus grande partie de son attention et de ses ressources dans le Sud. » « Faudrait qu'on sache c'qui fout là bas. Y a ptète des trucs intéressant pour mieux développer not' communauté. »« Des rumeur de camp chez les brigands parlent de fées dans la forêt, d'un temple maudit et d'un sanglier tueur d'homme nommé Tuskgutter. » « Pour le sanglier, on sait comment faire. Pour les fées, faudrait d'mander à Ephraël. Il a l'air de savoir plein d'choses sur ces p'tites fées. On peut parler avec? Faut s'en méfier? Comment on les tue? C'est vrai qu'elle peuv' pas mourir? »« Le plus gros problème des bandits dans le nord sont les mites qui volent tout ce qu'ils peuvent dans leur campement. » « Ben, faudra qu'on y fasse gaffe. »« Voilà pour l'essentiel. » Radovan resta perdu dans ses pensées. Il se donnait un semblant de contenance en curant ses dents à l'aide d'une grosse esquille de bois. « Ne trouvez-vous pas qu'il manque quelque chose à l'explication de Svetlana et Oleg à propos de Kressle ? En la voyant ils faillirent s'étouffer de rage, mais interrogés, ils se contentent de dire qu'elle est méchante! » « Oy, Chiara. Ch'uis d'accord. Et j'parviens pas à comprendre pourquoi y disent pas le fond d'l'histoire. » « A propos de Kressle, qu'allons nous faire des prisonniers? Pour l'instant Ser les garde par courtoisie, mais nous ne devons pas abuser de sa patience. » « Pour les hommes, j'pense qu'on doit leur donner une chance d'avoir une vie honnête.
Pour Kressle, faut qu'on en sache un peu plus avant de décider. Faut qu'on s'en méfie. Et si on donne une aut' chance aux autres, faut surtout l'isoler. »
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1 utilisateur a remercié faenil pour l'utilité de ce message.
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Chiara Plagiste aussi Chiara regarda la pluie tomber, le regret des jours ensoleillés évident sur son doux visage. Elle poursuivit a voix basse sa conversation avec Radovan. « Et Kressle, elle y a t'allée? » « Oui, c'est ce que je compris de son récit. Par contre elle tenait tellement à garder le secret que mon sortilège n'a pu le lui extraire. »« Faudrait qu'on sache c'qui fout là bas. Y a ptète des trucs intéressant pour mieux développer not' communauté. »« Effectivement, le Seigneur-Cerf cherche possiblement à conquérir des sources de richesse, des mines par exemple, qui pourraient nous être bien utiles. Une autre possibilité est qu'il y ait rencontré de l'opposition organisée, et comme dit un vieux adage de Cheilax, l'ennemi de mon ennemi est mon ami; nous pourrions y trouver de potentiels alliés. »« Pour le sanglier, on sait comment faire. Pour les fées, faudrait d'mander à Ephraël. Il a l'air de savoir plein d'choses sur ces p'tites fées. On peut parler avec? Faut s'en méfier? Comment on les tue? C'est vrai qu'elle peuv' pas mourir? »« Je suis également d'avis qu'Ephraël sera de meilleur conseil sur le sujet. »« Ben, faudra qu'on y fasse gaffe. »« Je n'ai jamais eu le douteux plaisir de rencontrer ces créatures. Je n'ai pas la moindre idée comment défaire les mites. Parmi nous, c'est vous, Radovan, qui avez le plus d’expérience de combat. Comment vous y prendriez-vous pour combattre un ennemi invisible, qui connait la forêt comme sa poche et emploie des tactiques de guérilla ? »Hmm, ma mère m'a raconté une fois comment ils ont réglé le problème d'une invasion de kobolds près de la capitale de Cheilax... je ne me souviens pas des détails, mais ça impliquait la douce odeur de boule de feu au petit matin...« Oy, Chiara. Ch'uis d'accord. Et j'parviens pas à comprendre pourquoi y disent pas le fond d'l'histoire. » « Ca m’étonne aussi. Je crois que je vais parler a Oleg en tête à tête... »« Pour les hommes, j'pense qu'on doit leur donner une chance d'avoir une vie honnête.
Pour Kressle, faut qu'on en sache un peu plus avant de décider. Faut qu'on s'en méfie. Et si on donne une aut' chance aux autres, faut surtout l'isoler. »« Je suis d'accord avec vous sur les deux points. Donnons une chance de rédemption aux deux hommes. Kressle, par contre, exhibe tous les signes extérieurs de fanatisme et nous ne pouvons compter sur sa "pénitence". Je pense aussi qu'il faudrait l'isoler, avant de proposer l'exil à ses deux larbins. »Modifié par un utilisateur jeudi 18 octobre 2012 21:48:03(UTC)
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 Fenris Fenris haussa les sourcils quand le demi-orque parla de jeu d'argent. Des paris? Non... Un jeu de carte peut-être. Le jeune homme n'avait pas l'habitude de se mêler aux autres et donc il ne connaissait pas ces passes temps. Dans son enfance le rôdeur pratiquait beaucoup plus d'activités physique, comme le tire à l'arc ou encore les jeux pistes dans les bois, que des jeux de hasard. Néanmoins, le chasseur afficha un petit sourire. Mieux vaut ne pas mourir idiot.« Pourquoi pas... Je vais voir si LE jeu est aussi bien que tu le dis. »Sur ce, le trappeur attendit que le guerrier le conduise à l'endroit où se déroulerait la partie.
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Chiara 
A la suite de sa conversation avec Radovan, Chiara alla parler en tête à tête avec Oleg puis avec Ser. A la suite de ces deux entretiens, la jeune sorcière parut fort contrariée. Elle alla à la cuisine se faire une tisane, qu'elle but assise seule à la table. Un observateur perspicace aurait pu deviner chez elle des signes dissimulés d'un fort agacement. Nous voilà de nouveau au même endroit. Au combat ils chargeront tête baisée et massacreront allègrement tout ce qui bouge, mais quand il faut pendre quelqu'un il n'y a plus personne. Ils se mettent soudain à réfléchir si les brigands avaient une enfance difficile et qu'ils ont sans doute une seule envie, celle de se repentir et commencer une vie honnête. Hah!
Bon, la tisane ça ne va pas le faire... Modifié par un utilisateur vendredi 19 octobre 2012 21:56:55(UTC)
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artin, visiblement soucieux de rejoindre rapidement son campement poursuivit son chemin sans tarder. Ephrael dut consacrer plusieurs heures a mettre en confiance l'ermite. Ce dernier débitait quasi sans discontinuer une litanie incongrue mélangeant ses souvenirs et la réalité qui ne laissait aucun doute sur sa sénilité et son alcoolisme très avancé. Sans les recommandations d'Oleg et Svetlana, le jeune mage aurait sans doute quitter la hutte depuis longtemps. Quand il devint rapidement clair qu'ils ne pourraient pas rejoindre le comptoir avant la nuit, Hagop rejoignit le mage dans la hutte. Bokken sortie sa gnôle et semblait maintenant accepter l'idée de ce déplacer mais cela impliquait qu'un des deux visiteurs demeure sur place afin d'assurer la protection de la hutte, de lui remettre une avance de 50 pièce d'or ainsi que l'engagement de lui offrir tout le stock restant de liqueur d'ortie. Et soudain, au cœur de la nuit, le Thylacine se redressa en grognant... En début de journée, un troisième visiteur déposa des peaux. A l'instar des deux précédents, il jeta des regards intrigués sur les mercenaires et les compagnons de la charte. Radovan passa l'essentiel de la journée à dormir et Fenris s'initia au tonk avec Chaud-lapin, Otto et Ser. Le jeu était effectivement subtile et palpitant, de plus la chance semblait du coté du jeune rôdeur qui rafla la somme de 17 pièces d'argent aux trois mercenaires. Svetlana consacra la plupart de son temps a prendre soin de Ksena et a préparer du pain qui manqua de peu de finir carbonisé dans le four. Entre deux visiteurs, Oleg s'employait a améliorer la toiture mais avec sa main manquante, la tache progressait avec lenteur et difficulté. Ser s'entretint avec Chiara. « Ma chère, j'aimerais améliorer la protection du comptoir ainsi que le confort de mes hommes verriez-vous une objection a ce que j’emploie vos prisonniers pour accomplir quelques travaux ? »La nuit tomba et la pluie s'intensifia. Svetlana semblait inquiète. « Mais que fait Ephrael ? Il devrait déjà être de retour ! » Oleg tenta de la rassurer. « Il aura peut-être eu des difficultés a convaincre Bokken, donne lui un peu de temps. S'il ne revient pas demain, j'irais moi-même. » Après un repas composé d'une soupe trop claire et de pain brulé, Ser proposa à Chiara de lui narrer quelques légendes Bréviennes tandis que les compagnons se couchèrent non sans s'interroger sur la suite de leurs aventures. Et soudain, au cœur de la nuit, un hurlement bestial rompit le silence... Modifié par un utilisateur vendredi 19 octobre 2012 22:29:54(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Chiara
Écrit à l'origine par : Obno  « Ma chère, j'aimerais améliorer la protection du comptoir ainsi que le confort de mes hommes verriez-vous une objection a ce que j’emploie vos prisonniers pour accomplir quelques travaux ? » Entendant la demande de Ser, Chiara lui répondit gravement: « Mon ami, je pense que c'est une excellente idée de mettre les prisonniers au travail. Ca serait leur premier pas sur la voix de la rédemption.
Cependant je crois qu'il serait imprudent de permettre à la Louve de se promener, car elle profitera de la première occasion pour s'enfuir, sans doute en tuant au moins un de ses gardes au passage. Elle est vraiment très dangereuse et fanatique de surcroit. Je suis persuadée que vos hommes sont compétents et qu'ils feront de leur mieux pour la surveiller, mais c'est un risque que je suis peu disposée à prendre.
Si les deux hommes acceptent de travailler, et je suis sur que vous saurez trouver les mots pour les inspirer, prenez les. Nous en profiterons pour mettre la Louve à l’écart. »Modifié par un utilisateur samedi 20 octobre 2012 07:04:43(UTC)
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 Radovan 
Toujours couché, Radovan avait été éveillé par le hurlement. Il essaya tout d'abord d'évaluer à quelle distance le cri avait été poussé. Ses sens étaient à nouveau affutés. Il attendait qu'un second hurlement lui permettent d'évaluer la proximité de l'éventuelle menace. Dans le noir, sa main tâtonna et se referma sur le manche d'une lance qu'il gardait à portée. Inquiet mais non terrifié, il voulait se faire une idée de l'attention à donner à cet événement. Il questionna donc son compagnon de chambrée qui avait une plus grande expérience des bêtes qui rodent dans la région . J'me fait d'la bile pour rien. Les bêtes sauvage sont tout d'même chez elles pas loin d'ici.« Heu,..... Fenris. C'est normal, ça? » Reste couché.
Prend une arme
- Perception : 1d20+6 donne [4] + 6 = 10
Modifié par un utilisateur samedi 20 octobre 2012 20:35:12(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Fenris Fenris suivit le demi-orque jusqu'à la table de jeu où il salua les deux autres joueurs avant de s'installer. Après quelques parties d'échauffements, le jeune humain commença à comprendre les règles. Le rôdeur découvrit que le tonk n'était pas un simple jeu de hasard. En effet, comme l'avait signaler "Chaud-lapin", il fallait savoir utiliser sa tête. Et donc l'ancien bandit fut assez fier de lui quand il arriva à rafler la somme de 17 pièces d'argents aux mercenaires... À moins qu'ils l'aient mis en confiance pour mieux le plumer après... Je ne vais pas trop me vanter... La dernière fois j'ai fini sur le bas-côté de la route! Le chasseur mangea la soupe et le pain de Svetlana en silence puis la remercia quand il eut fini. Fenris alla donc ensuite se coucher sur son lit douillet pour reprendre des forces. J'espère qu'Ephrael ramènera bientôt cet ermite... Il sombra dans un profond sommeil réparateur... Malheureusement il en fut tiré, quelques heures plus tard, par un terrible hurlement. Le jeune rôdeur posa instinctivement sa main sur le manche de sa hachette, posée sur sa table de chevet, avant de se lever les sens aux aguets. Par Erastil! Qu'est ce qui va encore nous tomber dessus? Il chercha, par tâtonnement, sa béquille puis se dirigea vers l'endroit où il avait laissé son arc et son carquois. Le trappeur enfila ces derniers et tendit l'oreille. « Je ne sais pas... Les bêtes sauvages évitent, normalement, les lieux peuplés...Espérons que cette chose est juste intriguée... »- Perception : 1d20+6 donne [8] + 6 = 14
- Connaissance nature : 1d20+6 donne [11] + 6 = 17
Modifié par un utilisateur dimanche 21 octobre 2012 00:04:53(UTC)
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Radovan Dans la pénombre, Radovan attendait que d'autres bruits viennent troubler le silence nocturne. J'attends quelques instants (6 secondes) avant de décider s'il convient de se lever.
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