Dans les jours qui suivirent la catastrophe les seigneurs du crimes et le gouverneur de Port-Egnime se mobilisèrent de manière inédite dans cette ville de sans foi ni loi.

Le coût des réparations des bâtiments et des structures s'est compté en dizaines de milliers de pièces d'or et l'on ne saura jamais combien de gens ont été tuées ou emportés par les eaux (grâce à l’inefficacité du services de recensement de la ville) bien que les estimations les plus répandues annoncent entre cent cinquante et deux cents victimes. Malgré ce désastre, Port-Egnime à vite oublié son traumatisme. Ceux qui n'ont pas été directement affectés par le tsunami n'ont aucune compassion pour les victimes, même si ces dernières sont généralement très promptes à transformer ce désastre en opportunité.

Une vague d'avidité nouvelle enfle chaque jour un peu plus à Port-Egnime : la soif de métal céleste. Une fois que les gens ont eu accusé le choc initial de la chute de l'étoile et de son impact, ils ont compris ce que cela impliquait. Le métal céleste, sous n'importe laquelle de ses se^t formes connues, est une ressource précieuse et très recherchée dans le monde civilisé. Sachant que les Forges empoisonnées sont la seule entreprise publique capable de fondre un métal aussi résistant, nombre des groupes de Port-Egnime sont impatients de se faire de l'argent facile gra^ce à cette étoile tombés si près.

Pourtant, les dégâts causées au front de mer et à nombre de navires de la ville ont retardé cette rué vers le métal céleste en plein essor. La course pour arriver en premier au coude du diable se met lentement en place et les gens ne qui ne possèdent pas de bateau luttent pour obtenir un accord auprès ce ceux qui en ont.

Cela fait plusieurs jours que Kwava est parti au Nord pour faire son rapport à ses supérieurs. Il a promis de revenir bientôt ou tout du moins informer les propriétaires du gobelin doré de ce que compte faire son ordre/



Une semaine s'écoule environs, c'est le moment de craft, acheter etc...

Modifié par un modérateur dimanche 6 mars 2016 12:27:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Durant les jours qui suivirent la catastrophe, après avoir analysé la situation et planifié une organisation collective solide comme nous aimions moi et Grarok, ma vie se limita à trois activités essentiellement:

-Physique: mon peu d'efficacité lors de nombreux combats failli nous coûter cher. Je m'étais encroûté durant tout le temps que nous avions passé au Gobelin Doré, et sans m'en rendre compte j'avais perdu en tonicité et en puissance. Les épuisants barouds et raids dans les sombres cavernes avec mon unité de combat n'avaient pas grands choses à voir avec la surveillance des tricheurs et les bibinnes qui vont avec....

Il fallait se remettre à l'entrainement et pas qu'un peu. J'allais m'infliger un véritable stage commando à domicile, et régulièrement je faisais des exercices tous plus brutaux les uns que les autres pour faire de mon corps un paquet de muscles destructeurs.

-Forge (et prières): L'armure de mithril de la drow m'avait fait tourner la tête, et le groupe était d'accord pour que nous forgions de solides cuirasses de mithril, ainsi que quelques armes bien aiguisées. Quelle meilleure façon de me dévouer à Torag que de frapper le métal le plus beau et le plus pur en chantant un hymne à mon dieu?
Malheureusement, nos finances et le temps nous manquait, et il fallait revoir nos ambitions à la baisse...ça serait pour plus tard....

- Travail : On avait du pain sur la planche mais le jeu en valait la chandelle. J'étais heureux que nous soyons devenu les proprios de l'auberge. Nous avions maintenant un bon quartier général au coeur de la ville.
Dans notre enthousiasme avec Grarok, nous imaginions en faire une base "naine", avec forge commerciale et milice barbue courte sur patte. Mais Braise calma nos ardeurs, et il était bon qu'elle soit avec nous. Sa connaissance des us et coutumes de la citée était vitale pour nous. Elle nous empêchait de commettre des erreurs par méconnaissance même si nos intentions étaient louables.
Mieux valait ne pas trop nous afficher et faire profil bas sans se spécifier ni faire de concurrence à un dangereux baron du crime. Nous n'avions pas de temps ni d'énergie à consacrer à ce que nous considérions dorénavant comme de futiles querelles de seconde importance....nous savions que l'apocalypse des Drows était en marche....

Il fallait tout retaper, c'est ce que nous fîmes. Je ne ménageais pas mes efforts et travaillais sans relâche lorsque je ne soulevais pas de la fonte ou que je ne forgeais pas. Et dès que le Gobelin fût opérationnel, je repris mon poste de vigie plus affuté à détecter les tricheurs que jamais.
Mes capacités d'endurance me furent utiles durant cette semaine de travail et d'efforts harassants, mais j'étais plein d'allant, tout émoustillé par notre victoire et nos découvertes. Passé la stupéfaction et la peur première, j'étais maintenant déterminé à mener notre mission jusqu'à la mort puisque c'est pour cela que nous avions été choisis.


Quand Kwava partit, je le saluais chaleureusement. L'elfe nous avait sauvé la vie et je ne l'oublierais jamais. Je lui souhaitais bonne chance, lui recommandais la prudence, et je l'invitais à nous faire communiquer au plus vite les informations qu'il aurait.

Modifié par un utilisateur mardi 14 octobre 2014 00:50:03(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les jours avaient été extrêmement prenants. Grarok avait été accaparé par de nombreuses affaires et se retrouvaient sur tous les fronts, ce qui l'avait rendu peu disponible pour discuter de tout et de rien, voire même "invisible".

D'abord, il avait fait venir Samaritha et Arnando Rolf dans les quartiers privés de Dépora. Pour le nain, il était essentiel que des personnes de confiance sachent aussi ce qui avait été la cause du raz-de-marée qui avait dévasté Port-Enigme.

Samaritha parce que c'était une chercheuse en mystère magique. Elle semblait brillante et avait bon coeur. De plus, c'était une elfe, ce qui devait la concernée au plus haut point. Enfin, ayant rejoint l'académie de Port-Enigme, elle y avait ses entrées, ses connaissances et ses passes droits. Elle serait tôt ou tard une personne-ressource. Peut-être pourrait-elle avoir des prix (ou faire des prix) pour les deux utilisateurs de magie profane de leur groupe : Braise et Doua. Ce dernier, n'ayant plus de concurrent en la personne de Flint - ce lâche ! - il pourrait peut-être gagner du terrain sur le plan de la séduction auprès de la magicienne.

Arnando Rolf. C'était évident. Ils avaient déjà quelque accointance avec ce dernier, et celui-ci était aussi une personne-ressource essentielle. Parchemins, soins, et appui politique. Contrairement au prêtre de Sarénae, Arnando Rolf n'était ni un novice, ni un poivrot, ni un freluquet. C'était un homme puissant, un homme d'influence, un homme qui imposait le respect ou qui avait su imposer le respect - eu égard aux entailles de la poignée de son épée.
En le faisant venir dans les souterrains et en lui expliquant la réalité des coulisses du Gobelin Doré, de leurs activités dans la ville, Grarok avait su racheter leur image dernièrement écornée par l'épisode malheureux de l'assaut de l'hospice de Sarénae.
Face aux cadavres de la DRow et des démons, le prêtre de Torag divulgua à tous, la véritable raison de la présence des deux cousins à Port-Enigme :
« Nous ne sommes pas que de simples forgerons cherchant à se faire un nom en dehors de Janderhoff, comme nous nous étions présentés au début. Ce n'est qu'une couverture. En réalité, nous avons été envoyé par notre église pour vérifier s'il n'y avait pas d'activité démoniaque à Port-Enigme. La remise sur pied du Gobelin Doré et de sa nouvelle attraction de "Tromper le diable et d'empocher son or" à éveiller des soupçons de notre église, et s'inquiétait de savoir s'il n'y aurait pas de plus grands dangers derrière. Force est de constater que nos sages ont un véritable bon pressentiment. Je dois envoyer un rapport pour prévenir ceux qui nous ont envoyés. Il est évident que nous restons ici et que nous continuerons à développer notre activité "de couverture" mais que maintenant, nous savons tous qu'un danger bien plus grand va être l'objet de nos préoccupations.
Maître Rolf, si vous ne savez comment nous aider, j'ai une proposition à vous faire. Votre puissance dépasse la mienne de loin. Pourriez-vous convoquer un archon lumineux, et lui donner ce petit coffret dans lequel se trouve mon rapport et quelques éléments récupérés ici pour analyse, et demander à l'archon de se téléporter à Janderhoff, auprès de mes supérieurs pour qu'il leur remette. Cela nous ferait gagner bien des semaines. Ceux-ci pourront alors tenter de communiquer avec moi par message magique et nous envoyer quelques renforts. Je vous en serai gré, maître Rolf.
Je n'ai pas non plus oublier mes engagements auprès de vous lors de notre première rencontre. Au vu de la catastrophe, je crois que les soins que je pourrai prodigués ne seront pas superflus. »

C'est ce qui pris une grosse partie de son occupation lors de ces jours. Aider, secourir, soigner ceux qui étaient blessés dans la ville. On n'oublia pas de soigner Braise de sa morsure du Rat-Garou. Même si l'Iffrit n'était pas au goût des nains, elle était quand même bien plus désirable au naturel que transformée en vilain rat puant !
Grarok s'enquit en particulier de faire du bien à la ville par sa dévotion et son altruisme. Plus encore auprès de la communauté naine.

Les réparations du Gobelin Doré et les nouveaux aménagements proposés requéraient aussi beaucoup d'attention et d'implication. Toute la partie supérieure fut remise en ordre rapidement, afin que le Gobelin Doré reprenne ses activités entreprenneriales. C'était tout de même leur gagne pain majeur, et il fallait en prendre soin. D'ailleurs Grarok assumait ses responsabilité de gérant et cherchait à trouver de nouveaux employés solides et intègres. Avoir tenu tête à Zincher, avoir fait la peau des rats-Garous et récupérer le Gobelin Doré à la force de leur courage et de leurs aptitudes martiales avaient nécessairement augmenté leur renommé dans la ville. Avoir gardé Hans et Beyar et leur avoir redonner leur même poste avec la même paye servait aussi à donner confiance et attirer les employés loyaux, si jamais il en existait dans cette ville.
L'aménagement des sous-sols pour en faire un réseau social nain, digne de Janderhoff prenait forme. Et cela attirait les curieux. Ce serait rentable !

Enfin, au-delà de la forge, Grarok disparaissait des heures durant, dans son bureau, jusqu'à très tard. Il faisait régulièrerement des allées et venues les bras chargées de parchemin, de litre d'encre, de plumes à écrire, et de petits caissettes remplies d'ingrédients tous plus bizarres les uns que les autres.
Le prêtre préparait aussi son arsenal magique. Le parchemin de silence avait démontré toute son utilité ! Grarok prenait soin d'en voir quelques exemplaires en sa possession.

Modifié par un utilisateur jeudi 23 octobre 2014 12:08:21(UTC)  | Raison: Non indiquée

Doua était dans les chambres lorsqu'il entendit la voix de Samaritha résonner dans la pièce principale. Il laissa en plan Finesight, toujours en train de ronchonné, pour se précipiter à sa rencontre. Durant cette semaine entre le travail au Gobelin Doré (ils désiraient tous changer de nom, mais n'avait pour l'instant pas encore pu se mettre définitivement d'accord) et l'état de santé mental de son eidolon, il n'avait pu qu'à une seule reprise se rendre à l'académie de l'ordre des Glyphes pour s'enquérir de la santé de Samaritha.
Mais les gardes à l'entrée n'avaient pas voulu le laisser rentrer. Pour leur crédit, il fallait admettre que laisser entrer un elfe inconnu au regard sévère et sourire malicieux suivi d'une "chose" à quelques mètres de lui en train de geindre et sangloter aurait fait preuve soit de stupidité soit de malveillance de leurs parts. D'autant plus, que la "chose" essayait de partir le plus rapidement possible sous le regard blasé et agacé de l'elfe... mais alors qu'elle était arrivée à une trentaine de mètres, soudainement, se pliait en deux comme atteint par une décharge électrique ou un quelconque effet magique et hurlait non seulement de douleurs mais aussi de désespoir... Définitivement, les gardes n'allaient pas laisser entrer un tel couple et ne désirait aucunement donner des nouvelles de ses mages.

Doua s'approcha alors de Samaritha alors qu'il avait entendu la demande. « Bonjour ma beauté, je suis heureux de voir que vous êtes vivante, j'avais tenté de quérir de vos nouvelles... mais disons que certains n'ont pas votre ouverture d'esprit...
Mais ai-je bien entendu: vous vous rendez au Coude du diable. Je ne comprends pas quel intérêt ont les mages du Glyphe de s'y rendre?
Soit prudente!... J'apprécierai te voir revenir entière! Je... hésitant... j'aimerai même te proposer de t'y accompagner.
Cet édifice montrant la salle de jeux peut survivre temporairement sans moi. D'ailleurs, je suis sûr que si tu proposais aux deux nains au tendance sauveurs du monde, de même qu'à Braise qui se morfond dans cette humidité, tu pourrais compter sur une certaine aide!
Par ailleurs, cela ne pourrait faire que du bien à Finesight qui... est train de vivre un mauvais moment! soupir Actuellement, il en est à la phase du suicide. J'ai beau lui expliquer que cela ne sert à rien car je peux le rappeler malgré tout... Il est actuellement en train de se prendre pour un oiseau en grimpant sur le toit et sautant du point le plus haut... tout en essayant de s'empaler à l'atterrissage sur un quelconque objet trainant dehors... »

au loin: on entend un cri, puis un bruit sourd comme quelqu'un qui vient de s'écraser puis un sanglot de désespoir... Doua, dépité et blasé, secouait la tête...

Modifié par un utilisateur lundi 27 octobre 2014 11:16:58(UTC)  | Raison: Non indiquée

« - Haaaaa les mâles !
Toujours à vouloir prouver qu'ils ont la plus grosse. Que ce soit les armes, la réussite, la religion ou tout autre chose ! »

Laissant les deux dévots encaissés la remarque, Braise, toujours d'humeur exécrable, se leva et se dirigea vers le couple d'oreilles pointues et enfonça son doigt dans le torse de Doua :

« - Ne t'avise pas de prendre des décisions à ma place, elfe !
JE décide de qui et pour quoi je mets au service mes compétences.  »

Elle se tourna vers Samaritha, la sondant en instant du regard. L'ifrit sourit alors d'un air charmeur :

« - Mais pour quelqu'un qui sait appréciait les belles choses, je sais être plus attentive. »

Alors que Braise lui enfonçait un doigt dans le torse, l'elfe lui sourit: « Ma chère, tu souffres visiblement d'un manque d'humilité et d'un trop grand pouvoir d'attraction si tu confonds propositions et certitudes!
Tu dois penser que ce qui est souhaiter est acquis, je ne puis t'en vouloir, j'ai tendance moi aussi à avoir ce défaut et je ne doute pas que celui ou celle (?) que tu désires se trouve sans aucun doute dans ton lit, mais vois-tu:
je ne proposais nullement ton aide!
Je suggérai seulement à Samaritha te la demander, imaginant que tu puisses lui répondre par l'affirmative! Mais visiblement, je me trompais: tu apprécies patauger dans les algues et émettre quelques vapeurs d'eau et de la fumée... eu-égard à ta nature et l'humidité ambiante!
puis alors que Samaritha déclinait son offre...
Je... j'en suis vraiment déçu, mais je comprend que tu ne peux pas accéder à mon offre! Il n’empêche cela me parait bien suspect tout ce soudain intérêt pour une quelconque météorite, je me demande si on devrait pas de toutes façons y monter une expédition!
Qu'en penses-tu mon cher pétard mouillé? fit-il avec un sourire mièvre en direction de Braise...... et vous les nains, qu'en dites-vous?  »

Modifié par un utilisateur lundi 3 novembre 2014 00:58:00(UTC)  | Raison: Non indiquée

L'obstination débile d'Arnando Rolf - et son indélicatesse manifeste - chauffait bien le dévôt du dieu forgeron. Grarok n'était pas du genre à baisser son froc, ce qui l'agaçait d'autant plus. Mais il n'était pas non plus judicieux d'entrer dans une querelle stupide. Il valait mieux garder un bon contact avec l'un des seuls alliés qu'ils possédaient dans cette ville de canailles.
La conclusion de la question semblait s'être fait d'elle-même lorsque Rolf bu sa chopine.
« Bonne journée à vous » fut la conclusion qu'apporta Grarok pour sa part.

Il se détourna du prêtre pour aller s'immiscer dans la discussion autour du montage de l'expédition sur le coude du diable.
« En effet, le Gobelin est maintenant retapé, on peut nous aussi aller voir de plus près cette fameuse comète ... et les informations suscecptibles de nous rensigner davantage à propos de notre chère hallucination.
Si il reste que Manteau d'Or pour s'y rendre, pas besoin de chercher ailleurs. Allons négocier avec lui. J'aurai juste besoin d'une petite heure pour être près à le rencontrer et mettre le maximum de chances de notre côté »

« - Tant que ça peut emmerder Zincher, ça m'intéresse.  »

Braise leva les yeux, imitant les deux elfes.
Lorsqu'elle reconnut l'archer, elle sourit, lui faisant un signe de la main.

« - Hey beau gosse !
Je sais pas comment ça se passe dans ta forêt mais ici on rentre par les portes !
Déjà de retour ? C'est parce que je te manquais trop ? »

Se tournant vers Dwinbar, elle lui dit sur un ton taquin :

« Hé la sécurité !
On rentre comme dans un moulin ici ! »

S'incruster sur un bateau pour se rendre sur l'île semblait ardu. Il fallait espérer que nos arguments soient aussi convaincants que possible pour amadouer Fenella.

Puis, Samaritha fit son observation et tout le monde leva la tête pour voir Kwava.... La petite vanne , de bon aloi par ailleurs, ne me fit pas rire. Je restais un court instant figé, la bouche légèrement entrouverte, mes sourcils froncés, observant ce qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à l'elfe qui avait été notre sauveur et notre compagnon de route.

J'aurais dû être emprunt de joie mais pourtant quelque chose me titillait....qu'est ce qu'il foutait là? Il avait déjà eu le temps de faire son aller-retour chez ses patrons? Bizarre....et pourquoi il était pas rentré par la porte comme tout le monde? Même si nous étions surveillés par des ennemis, il n'y avait pas besoin de faire des cachoteries à ce point. Et pourquoi ne répondait-il pas à Braise? Et pourquoi voulait-il qu'on monte comme ça ? Et pourquoi...?

Par Torag! J'étais sacrément paranoïaque à la base mais mon intuition avait déjà fait mouche....je préférais être parano et en vie.

Passé les deux-trois secondes de questionnement intérieur, je m'adressais à "ce-qui-semblait-être-Kwava-mais-ne-l'étais-peut-être-pas" d'une voix forte:

« Salut Kwava! Qu'est ce que tu fous la haut? Ton retour dans la forêt t'as redonné envie de prendre de la hauteur? »

Puis d'un ton plus bas à l'adresse de ceux qui m'entouraient:

«  Z'êtes sûr que c'est Kwava les amis? L'a l'air tout bizarre, non? Ou c'est moi qui débloque....? »

Modifié par un utilisateur jeudi 6 novembre 2014 11:10:16(UTC)  | Raison: Non indiquée