L'acte extraordinaire de toute beauté accompli par Kuro ne devait pas faire oublié à Shae les blessures de ses compagnons. Shae en appelle à la bienveillance de Shelyn, prends à deux mains son symbole, son corps pulse légèrement d'une lumière diaphane pour conclure par une explosion lumineuse réparatrice.

Son armure venait de bien l'aider, la protégeant des deux créatures qui l'encerclaient. Il s'agissait maintenant de se sortir de cette situation.
Et pour cela, elle devait se débarasser d'un des deux.


Son assaut se bloqua contre le plafond de la caverne.
Et c'est là que je regrette ce choix d'arme....
pour se protéger de la très probable contre-attaque, elle recula d'un pas en arrière, vers les autres membres du groupe.

Modifié par un utilisateur lundi 11 mai 2015 12:36:01(UTC)  | Raison: Non indiquée

Voyant que nous avons le dessus et vu que Shae soigne nos blessures sans problème, Quoovar approche d'un squelette et lui donne un coup de Cestus. Mais emporté par son enthousiasme, le coup manque cruellement de précision et rate complètement sa cible.

Modifié par un utilisateur mardi 12 mai 2015 00:05:57(UTC)  | Raison: Non indiquée

Hibana balaya la caverne des yeux. Dans les ténèbres, elle ne voyait plus qu'un squelette qui tentait vainement de se débarrasser de Kuro.
Elle profita de l'angle pour attaquer, mais le métal rouillé résista, protégeant le squelette en dessous.

Modifié par un utilisateur mardi 12 mai 2015 17:53:56(UTC)  | Raison: Non indiquée

Cette fois, Kuro en avait assez. Elle raffermit sa prise sur son arme, et d'un brutal coup de taille horizontal, elle pulvérisa la poitrine osseuse du squelette. Ce dernier fut dispersé par l'attaque, les os dégringolant sur le sable à travers toute la caverne.
Le dernier gardien mort vivant de l'endroit venait de s'effondrer, et la voie était libre. Le squelette du samouraï semblait encore les regarder, mais la flamme dans ses orbites s'était éteinte depuis longtemps.
La jeune femme rengaina son arme, et salua son adversaire mort. Malgré son apparence, elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'il avait été, à sa manière, un guerrier honorable.

En observant son armure de plus près, elle était vraiment très particulière, d'un style exotique. Elle portait des marques étranges, également, comme un blason ou un emblème. Contrairement aux autres squelettes, son équipement semblait relativement neuf, et peut affecté par l'épreuve du temps.

Au fond de la caverne, un passage menait plus profondément dans la falaise, jusqu'à une grotte en cul de sac, à demi-inondée (L6). Au fond de cette caverne, un large coffre reposait, à l'abri de l'humidité. Le coffre était fait de bois sombre et d'une pierre verte, qui luisait doucement à la lueur des torches. Il était assez semblable à celui qu'ils avaient trouvé au village des gobelins, bien que considérablement plus gros et lourd. La serrure était verrouillée.

Modifié par un utilisateur mercredi 13 mai 2015 22:19:54(UTC)  | Raison: Non indiquée

Hibana observa son amie pulvériser le squelette. Elle serra les poings pour dissimuler ses tremblements. Elle avait fait de son mieux, mais malgré tout, s'était montré incapable de se protéger, elle et ses compagnons. Encore une fois, elle était envahi par la crainte et la frustration née de l'impression que sa voie ne menait nulle part!
Elle serra les dents, gardant sa colère pour elle même. Elle ne voulait pas gâcher l'instant de leur victoire.
« Solomyia a raison, si il y a des réponses à nos questions, elles sont ici. Quelqu'un s'y connait en serrure? Je peux fracturer le coffre, mais ce serait dommage de détruire une œuvre d'art. Oh, et peut être que nous devrions fouiller le squelette en armure. Il paraissait...étrange, non? »

@Boadicée: on a droit à des jets de connaissances ou d'artisanat pour identifier l'origine du coffre/de l’emblème/de l'armure?

• Perception (au cas où) : 1d20+5 donne [10] + 5 = 15

Modifié par un utilisateur jeudi 14 mai 2015 00:25:59(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le coffre résistait, mais le samouraï fut plus facile à fouiller. Il portait une armure lamellaire d'excellente qualité, à l'exception d'une large entaille au niveau de l'abdomen. Son wakizashi était non seulement un pièce de maître de la part du forgeron, mais avait aussi été ensorcelé.
Par ailleurs, il portait une clé de bronze autour du cou, attachée à un lien de cuir.

Après un rapide examen, Quoovar était certain que l'armure du squelette tout autant que le coffre étaient de nouveau exemples d'art Tian Min, probablement fabriqué à Minkai même, de l'autre côté de la Couronne du Monde.

La serrure du coffre se révéla incroyablement résistante, mais en essayant la clé trouvée sur le squelette, il parvint finalement à l'ouvrir. Il contenait de nombreux emplacement garnis de velours pour en protéger le contenu. La plupart étaient vides, peut être à cause des gobelins, mais il restait tout de même un contenu précieux, et surtout, inutile aux yeux des stupides habitants des marais. Cinq flasques de verre contenant un liquide vert pâle, deux autres contenant un liquide d'un vert plus foncé, trois autres contenant une solution bleutée, un anneau d'or ciselé, et une baguette de bois de cerisier. Se trouvait également à l'intérieur une chemise de maille d'excellente facture, un wakizashi fait d'un métal aux reflets bleus, une douzaine de petites fusées comme celles utilisées par les gobelins, et quatre fusées plus grosses, écarlates. Par ailleurs, il contenait aussi des poignées de pièces de toutes sortes, percées au centre, et marquées d'étranges symboles, ainsi que des pierres précieuses, notamment une grande quantité de jade.
Par ailleurs, en examinant de près le wakizashi du squelette, ils découvrirent un compartiment secret dans le pommeau, qui contenait un fin rouleau de papier, couvert d'une fine écriture à l'encre noire. Malheureusement, le parchemin était écrit en Tian Min. Et surtout, la papier, en plus du texte, portait une gravure représentant un château, et un mot en langue commune: Fort Ecume. Entre l'obscurité et l'humidité, en revanche, il était très difficile de déchiffrer le message. Sans doute vaudrait il mieux attendre d'être dans un endroit plus confortable, ou à tout le moins mieux éclairé, pour en découvrir le contenu.