Orphilas, ne pouvait soigner la jeune elfe, au risque de soigner tous ceux qui était déjà tombés. La chaleur de Iomédaé était puissante, mais il n'avait pas appris à trop la diriger. Il fallait donc réduire le nombre d'ennemis.

• Epée longue sur gobeline 3 : 1d20+5 donne [6] + 5 = 11
• dégâts : 1d8+2 donne [1] + 2 = 3

Modifié par un utilisateur jeudi 15 mai 2014 17:28:06(UTC)  | Raison: Non indiquée

Orphilas frappa à son tour essayant d'éliminer une de ses furies gobelines qui hurlaient comme des folles furieuses risquant d'attirer à eux tout ce que ce complexe recelait de gobelinoides ou de créatures malfaisantes malheureusement il se loupa, son épée fendit l'air n’atteignant personnes mais attirant sur lui le regard enragé d'une gobeline qui s'en était prise avant à Qualindra. Elle ne parvint pas à approcher le prêtre suffisamment prêt qui se défendait à grand renfort de moulinets de sa lame.

Celui qui avait ouvert la porte se retrouvait nez à nez avec Méliandre qui lui barrait le passage et qui était un adversaire coriace. Si le gobelours n'avait pas été à la hauteur face aux attaques ciblées du chevalier. Il avait de quoi faire avec cet homme en armure qui semblait à la hauteur de sa force martiale. Le guerrier frappa avec sa lourde épée et toucha avec force Méliandre faisant sauter les mailles de sa cotte, ouvrant la chair, brisant les os et faisant jaillir le sang au niveau de son flanc gauche. Malgré la puissance de cette attaque le chevalier ne voulait pas renoncer à éliminer le gobelours qui était très affaibli. Il tenta une frappe mais en défense et avec l'angle du mur le gobelinoide parvint à éviter l'attaque. Méliandre était cerné de tous les côtés ou presque une gobeline essaya de l'attaquer mais cette fois ci le bouclier du chevalier la repoussa.

Modifié par un utilisateur samedi 17 mai 2014 09:00:24(UTC)  | Raison: Non indiquée

Effectivement tout ce compliquait Avélin perturbé par cette nouvelle arrivée c'était concentré sur le sort qu'il préparait mais en avait oublié de diriger Cornio vers une nouvelle cible et ce dernier s'acharnait sur une gobeline déjà inconsciente et mourante. Il en avait oublié également celle qui était tout proche de lui et qui profita de l'occasion pour l'attaquer lui ouvrant la joue. Une blessure bénigne mais cela avait réussi à déconcentrer le druide l'espace d'un instant, instant qui suffit pour lui faire perdre son sort.

Le guerrier entrant fut une aubain pour le gobelours qui criait toujours ses ordres à tue-tête aux femelles. Gravement blessé, il put se reculer dans la chambre d'où il était sorti et saisir une potion dont il fit sauter le bouchon du pouce avant de se l'enfiler prestement pour récupérer un peu de vigueur. Pendant ce temps les attaques se déchainaient toujours sur Méliandre et si les tranche-chiens n'étaient pas un problème. L'épée bâtarde du guerrier le serait certainement bientôt.

De son côté Bido tira un nouveau trait mais avec Cornio devant lui qui s'agitait comme un beau diable et les gobelines qui se montraient tut autant énervées, il ne parvint pas cette fois à faire mouche.

Modifié par un utilisateur dimanche 18 mai 2014 18:01:37(UTC)  | Raison: Non indiquée

Orphilas frappa et cette fois ci toucha tuant sans ménagement la femelle gobeline en lui ouvrant le ventre. De ce côté il n'y avait plus d'adversaires mais de l'autre il y avait encore fort à faire.

Le grand guerrier frappa à nouveau Méliandre mais cette fois ci il se manqua son épée frappa le linteau du passage qui le séparait du chevalier.

Modifié par un utilisateur mercredi 21 mai 2014 16:06:51(UTC)  | Raison: Non indiquée

Méliandre chercha des yeux l'adversaire sur lequel il s'était focalisé mais ce dernier avait réussi à se mettre hors de sa portée le laissant aux prises avec des gobelines en furie et ce guerrier sorti de nulle part. L'une des femmelles à la peau verte se jeta sur lui avec son tranche-chien mais le chevalier réussit à parer la lame à moitié rouillée sans problème.

Modifié par un utilisateur jeudi 22 mai 2014 11:04:09(UTC)  | Raison: Non indiquée

Avélin rageur essaya de se venger sur la gobeline qu'il avait oublié et qui lui avait fait gâcher un précieux sort mais ni lui ni Cornio ne parvînrent à blesser la misérable créature qui pouffa d'un rire strident en voyant le nain et son dogue tous les deux trop lents tentaient de s'en prendre à lui.

Dans le même temps le gobelours qui criaient toujours ses ordres en gobelin, lâcha son fléau à deux têtes pour préférer un arc long composite qu'il devait certainement manier aussi bien si ce n'était mieux. Il avait compris que la puissance du groupe tournait autour du chevalier et qui si ce dernier tombait, il y avait de fortes chances que les autres suivent ou abandonnent le combat pour se replier. Par contre, il tirait dans un angle complètement fermé autant par la gobeline qui combattait le chevalier que par l'encadrement de la porte. Si bien qu'il tentait un tir quasi impossible à réussir. Le trait alla donc se briser contre la porte...

Bido lui aussi devait réussir un tir complique au-dessus de Cornio qui sautait tout le temps sans toucher Avélin et avec une cible en plein combat et hystérique ce n'était guère aisé mais le halfelin acrobate réussit là où le gobelours aboyeur avait échoué, le trait fila et passa sous le bras du nain à un moment où il levait sa serpe et alla se ficher tout droit dans l'épaule de la gobeline sans toutefois la mettre hors de combat.

Modifié par un utilisateur vendredi 23 mai 2014 17:50:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

Orphilas se décala il fallait éliminer les adversaires les uns après les autres et en tuant cette gobeline, il permettrait à Méliandre de se dégager et de poursuivre sa lutte contre le gobelours. Mais pour le moment le chevalier devrait encore se défendre contre les attaques du grand guerrier. Orik frappa... et toucha à la jambe son adversaire qui morflait sacrément avec ce nouveau coup.

Modifié par un utilisateur samedi 24 mai 2014 17:50:29(UTC)  | Raison: Non indiquée

Méliandre fonça maintenant qu'il avait le champs libre sur le gobelours au mépris de toutes prudence si bien qu'autant Orik que la dernière gobeline encore debout profitèrent de cette opportunité pour le frapper de leurs armes encore une fois. Si la gobeline vit encore une fois son tranche-chien se faire arrêter par l'écu du chevalier. La menace était loin d'être cette misérable gobeline...

Alors qu'il s'éloignait du guerrier et pensait être libéré de ses coups d'épée, ce dernier trouva le temps de placer une dernière attaque d'une force et d'une précision mortelle. Le coup porté de haut en bas frappa de plein fouet le heaume du chevalier, tordit le métal et fit éclater la boite crânienne et s'enfonça dans la tête de l'homme fort du groupe sur toute sa largeur. Le chevalier n'était plus, il s'effondra raide mort. Ainsi mourut Méliandre d'Ascalon tué par Orik Vancaskerkin dans une sombre salle de Pic-Chardon...

Le couple de tourtereaux était à terre leur sang se mêlait dans la crasse et la poussière mais le combat se poursuivait pour les autres qui n'en croyaient pas leurs yeux. Chacun devait défendre chèrement sa vie maintenant. La dernière gobeline couverte du sang de Méliandre qui avait giclé de partout exultait et tenta de s'en prendre sans succès au nain.

Modifié par un utilisateur samedi 24 mai 2014 18:23:43(UTC)  | Raison: Non indiquée

Avélin frappa et trancha la gorge de la gobeline qu'il avait déjà bien entamé la première fois. Toutes les furies hurlantes étaient maintenant à terre. Il ne restait que les deux plus forts qui eux n'étaient sans doute pas prêt de rendre les armes mêmes s'ils étaient encore en sous nombre. Peut-être espéraient-ils des renforts qui débouleraient bientôt des escaliers ou du tunnel nord ? Ou peut-être le fait que le guerrier n'ait pas encore été touché joué beaucoup dans l'avantage psychologique que les défenseurs de Pic-Chardon semblaient avoir sur les membres du groupe.

Voulant affirmer cette emprise morale sur les héros de Pointesable le gobelours ramassa son fléau et se prépara à retourner dans la mêlée en sortant de la pièce dans laquelle il s'était plus tôt réfugié mais où il était également coincé.

Modifié par un utilisateur jeudi 29 mai 2014 17:55:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

Aussitôt Qualindra se réveilla en sursaut dès que l'énergie magique divine pénétra son corps pour guérir ses blessures de manière extraordinairement rapide. Elle n'avait quasiment plus rien comme si rien ne s'était passé et comme si elle se réveillait d'un mauvais rêve... mais le cauchemar était bien là ! Elle baignait dans le sang, le sien, le sang noir des gobelins et celui de... Méliandre qui gisait à ses pieds...

Le grand combattant entra dans la pièce et avisa la situation, les intrus étaient quasiment à genoux. L'un d'entre eux avait même crié la retraite, c'était un nain à la serpe sanglante. Orik fit tournoyer sa lourde épée et frappa tout en criant : « Lâchez vos armes et couchez vous à terre ou vous mourrez comme des chiens. »

L'arme courbe d'Avélin ne put parer l'épée bâtarde et le nain fut touché sévèrement à la poitrine. Le druide n'était pas de taille au corps à corps contre lui, il avait loupé le coche en loupant son sort plus tôt...

Modifié par un utilisateur jeudi 29 mai 2014 17:55:53(UTC)  | Raison: Non indiquée