bon j'ai reuni mon courage pour vous ecrire, avec quoi j'ai commencer ma campagne, une ville que j'ai créer entièrement de par son économie, sa structure, c'est histoire, et une diversification de quête.

(il ma fallu beaucoup d'heure pour écrire ces quelque lignes, du a mes problème de dyslexie, merci de ne pas trop en faire)

( version corrigée par peachskin, encore merci à toi)

Dunbar :


Les mondes fantastiques ont cette particularité de baigner tout à la fois dans la magie et dans la technologie, deux forces indissociables et qui tour à tour s'étreignent et se déchirent.

Golarion fait partie de ces mondes, une planète avec une histoire riche d’événements. L'une de ces histoires se déroule sur le continent de la Mer intérieure. Et plus précisément à l'extrémité Est de ce continent, sur les contreforts des Montagnes de la fin du monde, nommées ainsi par tradition et non pas du fait de la croyance abandonnée depuis longtemps que le monde est plat. Au nord de ces montagnes, juste après la frontière du pays du Taldor, se trouve la principauté de Dunbar.

Dunbar est une de ces villes nées du courage et de la détermination de ceux qui, parmi les colons qui voulaient voir au-delà des montagnes, trouvèrent le lieu propice à la fondation d'une cité. Petit à petit la ville s'agrandit jusqu'à contenir plus de 30 000 âmes, et comme souvent dans ces villes indépendantes, les descendants des fondateurs devinrent nobles, et même roi.

Aujourd'hui cette ville est bien plus vielle qu'elle ne le laisse paraitre, et possède une histoire riche de légendes. Voici l'une des plus connues. Il y'a de cela 400 ans environ, le chambellan du roi soumit une idée à ce dernier : celle de créer un sanctuaire autour de leur grande citée afin d'empêcher l'utilisation de toute arme fabriquée. Ceci serait suffisant pour éviter les meurtres, éloigner les assassins et auréoler la cité d'un prestige qui dépasserait les frontières. Bien sur la garde royale aurait sur elle un sceau qui lui permettrait de déroger à cette règle. Le roi fut ravi de cette idée qui protégerait le peuple de ses propres vices et pulsions meurtrières et il accepta.

Pendant les quelques mois qui suivirent, les effets du sanctuaire firent leurs preuves. On observa moins de meurtres, les guildes de voleurs et d'assassins semblèrent déserter la ville, et les citoyens de Dunbar parurent heureux de leur sort. Mais ce ne fut que de courte durée. Car le chambellan se révéla être un dragon. Pas n'importe lequel mais le pire et le plus craint : un dracosire noir, si machiavélique que même les céleste et les démons le redoutent. Les gardes, insensibles au sanctuaire et donc armés, apparurent tels qu'ils étaient en réalité : des draconiens au service du dragon maléfique. Et le sanctuaire devint une prison pour la population et la ville fut prise sans pouvoir offrir la moindre résistance. La légende ne dit pas pourquoi le dracosire ne tua pas immédiatement les habitants de la ville. Il se contenta de les terroriser, de les maltraiter, et n'en tua que quelques-uns. Peut-être prenait-il plaisir à faire souffrir, un penchant sans doute naturel pour un dragon noir.

Ce fut en tout cas ce qui cause sa perte. Car, raconte la légende sans révéler comment, quelques habitants de la ville réussirent à s'enfuir, et l'un d'eux alla voir des moines réputés pour leur prouesses au combat à mains nues. Il leur demanda de l'aide. Les moines acceptèrent. Le grand maître du monastère avait un étrange visage aux traits félins. Il eut l'idée de se faire passer pour un rakshasa, un humanoïde maléfique à tête de tigre recherchant les bonnes grâces des puissants. Le grand maître se présenta à la porte de la ville et fit montre de tout son art pour flatter le dragon. Tant et si bien que celui-ci l'accepta à sa cour et li permit de rentrer avec les moines qui le suivaient. Ceux-ci subtilisèrent le plus d'armes des draconiens qu'ils purent et se bâtirent contre le dragon et ses sbires. On raconte que le combat dura plusieurs jours.

La légende dit même que le grand maître à tête de tigre ressuscita après que le dragon l'eut désintégrer. Revenu de nulle part, il se serait jeter dans la gueule du monstre et lui aurait arracher les 2 cœurs avant de le perforer de ces deux points et s'extraire par son torse déchiré, brisant du même coup le sort de sanctuaire. L'histoire dit aussi que le dragon maudit la cité dans son dernier souffle et souilla son eau.

Alors les moines, les prêtres et les mages s'unirent pour détruire cette malédiction grâce à des réceptacles disposés dans certaines zones de la ville. Puis les nains firent circuler l'eau purifiée à l'aide de roues et d'aqueducs. Les moines proposèrent de rester pour garder les réceptacles en échange de la permission de construire des monastères à l'intérieur de l'enceinte de la ville. On dit aussi que c'est à cause de cette malédiction que les cadavres et les cimetières ne sont pas acceptés en ville.

Avec le temps les légendes fabuleuses comme celle-ci firent de cette ville un haut lieu du tourisme. Mais c'est pour une toute autre raison qu'aujourd'hui un groupe d'aventuriers s'y rend. Car on raconte que le mystérieux chef d'une guilde de voleurs échange des informations et propose du travail à ceux qui sont assez fous pour accepter. On dit aussi que quelques-uns y acquièrent des objets rares et la fortune, et que beaucoup y perdent la vie.

Modifié par un utilisateur samedi 28 décembre 2013 11:52:56(UTC)  | Raison: Non indiquée