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Offline Rokur  
#1 Envoyé le : jeudi 9 janvier 2014 19:59:02(UTC)
Rokur
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Messages : 6
Episode 1 : Sauvé du feu


-Au feu ! Au feu ! , crièrent des voix à tout-va dans le village.

Je me réveillai en sursaut, pensant tout d’abord sortir d’un cauchemar. Mais non, l’air était bel et bien empoisonné d’une épaisse fumée m’emplissant les narines et me brouillant la vue. Je dormais dans l’auberge d’un petit village, non loin de la côte Sud de la Varisie, en quête d’un maître pouvant me perfectionner dans ma condition de rôdeur. Au fait, mon nom est Rôkur. Je disais donc que j’avais loué pour la nuit une petite mansarde isolée au premier étage de l’auberge. Les flammes avaient déjà brûlées par endroits le plancher de la pièce et léchaient déjà le bas du sommier de mon lit.

Les cris mêlés au crépitement du feu continuaient de m’agresser les tympans ; comprenant ainsi le message ; « fuir au plus vite ». Je me levai donc d’un bond de mon lit, enfila rapidement mon armure d’écaille spécialement taillée pour ma forme naine : petit, trapu, à la longue barbe brune broussailleuse entremêlée à mes épais cheveux bruns me tombant sur les épaules. On distinguait à peine mes profonds yeux noirs sous mes imposants sourcils. J’attrapai ensuite mon arc composite et fit un premier pas vers la porte quand le plancher craqua sous mon pas lourd.

Je tombai face contre terre ; ou plutôt face contre la tête brûlée de l’aubergiste.

Cette affreuse image m’horrifia et me fit fuir instinctivement, sans vraiment anticiper mes actions. Je sautais au dessus des brasiers, évitais les poutres chutant dans les rues du mieux que je pouvais, et courais à l’aveuglette dans les nuages de cendre. Le vent marin du Sud, en plus de faire propager le feu à une vitesse phénoménale, faisait voler les cendres recouvrant le village, rendant cette galère encore plus odieuse.

Je ne sais comment, mais je finis par me retrouver à la sortie Ouest du village, où un petit groupe composé d’un orc, et d’un couple humain avec leur jeune fils, contemplait le spectacle de leur logis, leur famille, amis, leur travail parfois, partir en fumée.

L’orc, un forgeron, disait bien connaître Korvosa, à deux lieus d’ici, pour y livrer régulièrement des armes. Il disait que le village dépendait de cette ville, et qu’il fallait aller les prévenir. Il n’y avait qu’un tertre à franchir, puis une douce pente nous mènerait droit sur la porte Est de la ville.

Nous y allèrent donc, le visage maussade, face au souffle frais de la brise. En une heure, nous avons pu aisément gravir le tertre encadré de bois. La vue était magnifique, avec la faible luminosité du soleil levant à l’Est. On voyait au loin, derrière nous, le village réduit à néant. En face, la grande ville Korvosa était déjà éclairée et pleine de vie. Située au bord de la mer et contournée par un fleuve, cette ville inspirait confiance et sureté.

On apercevait à l’horizon, comme formant un demi-cercle autour de la ville, quatre colonnes de fumées. Deux au Sud, et deux au Nord, semblable de là aux dernières fumées s’échappant de notre village ver le ciel.

-On a plus qu’à descendre doit devant, vers le Pont-Nord, et on y est, nous informa l’orc de sa voix rauque en pointant du doigt le pont d’entrée dans la ville. On y sera bien accueillis.

Nous arrivâmes rapidement à l’entrée de la ville, puis expliquâmes aux gardes notre requête, qui était de rencontrer le Roi Eodred pour parler des problèmes dans le village. Il nous précisa qu’une audience serait difficile à obtenir, mais nous indiqua tout de même le chemin à suivre pour rejoindre le château.

On suivit donc les instructions du garde à la lettre : tout droit jusque la place, puis on prend la rue en diagonale sur la gauche. Toujours tout droit, on passe la porte d’entrée dans le district des hauteurs, puis encore tout droit jusque l’académie. On tourne à gauche puis tout de suite la deuxième à droite, puis on prend la septième rue sur la gauche, puis on contourne le château par la droite et auront accès à la rampe d’entrée. Nous y étions presque quand une voix nous interpela sur le pas de la porte d’une taverne. Un homme robuste nous proposa :

-Venez donc vous déshydrater ! Vous semblez dans un piteux état, mes braves gens !

On ne su refuser cette invitation, mon gosier asséché réclamait de la bonne bière depuis bien trop longtemps.

-Suivez-moi, nous commanda t-il, venez donc dans la seconde pièce, vous y serez mieux installés.

On le suivait alors, n’attendant qu’à boire.

Il claqua la porte derrière nous, ferma le verrou, et alluma des lanternes.

-Voilà les survivants, chef.

Un homme assez agé, armé jusqu’aux dents, tatoué sur le crâne, dit sèchement :

-Garde l’orc et le nain, tue les autres !

Avant que je ne puisse me défendre, le tavernier saisit un gourdin et m’assomma d’un coup sec.

Prochaine épisode le Mercredi 22 Janvier 2013
Merci de commenter dans le topic prévut à cet effet : http://www.pathfinder-fr...-de-l-or.aspx#post275465

Modifié par un utilisateur mercredi 22 janvier 2014 20:37:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

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Offline Rokur  
#2 Envoyé le : mercredi 15 janvier 2014 16:25:22(UTC)
Rokur
Rang : Nouveau
Inscrit le : 08/01/2014(UTC)
Messages : 6
Episode 2 : L’abordage non abordé


-Psst ! Hé ! Réveillez-vous !

J’ouvris lentement les paupières, sortant faiblement de ce profond sommeil dont j’étais la victime depuis bien trop longtemps. Mes esprits me revinrent progressivement, et je me souvins du coup de gourdin qui m’avait plongé dans cette inconscience.

Je tournai donc la tête vers ce qui me réveilla, et je vis un jeune marin, bien typique : mal rasé, empestant le poisson, habillé d’une marinière et de grandes bottes remontant au-dessus de ses genoux. Nous étions en fait plusieurs entassés dans cette cale de navire. Il semblait y avoir un elfe, ou humain… Je ne savais pas à vrai dire. Il y avait un tout petit homme attaché à côté de moi. C’était un Halfelin. Il y avait aussi un elfe, là j’en suis sur, et un homme, qui semblait déjà réveillé depuis longtemps. Je reconnaissais aussi l’orc forgeron auprès de qui j’ai été assommé, dans un coin de la pièce.

-Hé… Ho ! Ecoutez-moi !

-Kesskiya ? dit l’Halfelin dans un bâillement.

-Il faut fuir, répondit le moussaillon.

-Ouais ouais c’est ça. Merci !, s’écria l’elfe. Mais nous sommes actuellement emprisonnés dans une cale pourrie d’un navire, je ne sais même pas dans quelle mer ! Si nous voulons nous en sortir, je ne vois qu’une solution : nous battre !

-Oui, c’est ce qu’on va faire, reprit aussitôt le marin. Mais ne faîtes pas trop de bruit, je vous en prie. Je vais vous libérer.

-Merci, brave homme, reprit l’homme éveillé. Mais expliquez-vous ! Pourquoi vous libérez-nous ? Quelle trahison est-ce là ?

-Ce n’est pas une trahison, eh ! répondit le garçon. Je suis mousse moi ! Pas pirate !

-Pirate ? Qui a parlé de pirates ? demandais-je, intrigué que ce sujet intervienne dans la conversation.

-Eh bien, le bateau a été assailli par des pirates, expliqua le marin.

-Il faut taper, MERDE, dit un peu trop fort l’elfe.

-Chut, chut, s’il vous plaît… Oui, nous allons nous occuper des pirates. Chaque chose en son temps, je dois d’abord vous libérer.

-Continuez donc votre explication, cher ami, insista l’homme.

-J’étais endormi dans un coin de la cale ; ils ne m’ont pas aperçut. Mais maintenant, je vais vous libérer. Voilà… j’ai les clefs.

Nous sortîmes donc de la cale l’un après l’autre. Puis récupérèrent nos armes dans la cale d’à côté. Je remarquais en même temps un autre groupe de gens attachés, qui étaient aussi bruyant que le silence.

J’allai donc récupérer mon arme favorite : un arc composite, et mon carquois. J’ai pu ainsi remarquer que je n’étais pas le seul à savoir manier des armes. Tous ceux de ma cale récupérèrent au moins un équipement de combat. L’homme fut le plus long à se préparer : il dut enfiler un bouclier et prendre une longue épée. Je remarquai sur son armure le symbole de la déesse Iomédée. Celui-ci avait tout l’air d’un paladin. Je remarquai aussi l’elfe. Je ne compris pas pourquoi il s’emparait d’un grand nombre de petites bouteilles en verre. Peut-être était-il alcoolique, après tout. Je ne compris pas non plus comment un si petit Halfelin pouvait porter une harpe, en plus d’une arbalète, de deux fouets et de deux hachettes. Je suis de plus en plus perplexe face à ce groupe pour le moins hors du commun. Enfin, le l’homme, ou l’elfe, je ne sais pas, récupérait une simple épée. Pendant ce temps, je vis l’orc tenter d’arracher une latte de tonneau. Il y parvint sans trop d’encombre et la brandit telle une massue.

Le barde nous interrogea :

-Bon : mettons donc un plan en marche.

-Vous croyez vraiment qu’on a le temps de mettre en place une stratégie ? répliqua sèchement l’elfe avec les flacons de verre.

-Oui, vous avez raison, surenchéris-je. On sort sur le pont, et puis on avisera.

-Merci à toi, matelot, dit l’elfe ou l’homme (je ne savais toujours pas). Libère les autres emprisonniés pendant qu’on va se détendre les nerfs.

On sortait donc un par un vers le pont. Quelques marches en bois bancales montaient vers la trappe donnant sur le pont. Je partis en premier, avide de combat. Les autres me suivant de près. J’ouvris le volet d’un coup sec, et bondit sur le pont avant que les opposants puissent réagir. Une tempête faisait rage. La mer se fracassait contre le bateau qui tanguait bien fort et passaient même par-dessus bord. Le vent était tellement vigoureux que ma barde passa par-dessus mon épaule. Je décochai sans réfléchir ma première flèche sur un marin qui était debout droit devant, à l’avant du bateau, le regard parcourant les flots. Je n’avais même pas pris le temps de viser ; et par chance, la flèche lui atteignit l’épaule, handicapant fortement.

Avant que je ne puisse tourner la tête, l’elfe lança une de ses bouteilles de toutes ses forces sur le pirate en question.
Cela produit une explosion, ne laissant aucune échappatoire possible à la vie de cet homme.

J’eu le temps de jeter un regard autour de moi, afin d’analyser la situation. L’homme-elfe se jetait sur un pirate en train de tirer les voiles sur la gauche du bateau, un petit peu en retrait de la trappe. Le coup fut plutôt bien réussit.

L’halfelin, quant à lui, était en train de faire le mariole ; je ne compris pas dans quel but. Nous étions en plein combat, ce n’était pas le moment de faire des blagues. Il parvint à peine à faire sourire le pirate.

En même temps, l’humain courait vers le même pirate et tenta de lui asséner un coup, mais le pirate parvint agilement à éviter cette attaque.

Et enfin, l’orc avec son bout de bois courait vers l’arrière du bâteau, à la rencontre du pirate qui tenait la barre.

Je vis encore un pirate sur le côté droit du bateau, en train de remonter les voiles lui-aussi. Je lui tirai une flèche sans plus attendre, mais rata ma cible, envoyant ainsi la flèche à la mer.

Un nouveau projectile envoyé par l’elfe explosa à nouveaux au pieds de se pirate, le déboussolant complètement. Ses vêtements avaient déjà cramés. A peine sortit des flammes, le matelot fit tomber son épée. Ou plutôt, on lui fit tomber. L’halfelin avait agilement manié le fouet, lui faisant voler son arme des mains. Il se baissa alors aussitôt pour la ramasser, mais je profitai de cette occasion pour lui transpercer le torse d’un coup précis à l’arc.

Je vis du coin de l’œil l’orc à l’autre bout du bâteau, ensanglanté, chargeant son adversaire, et le plaquant tellement fort qu’ils furent tous deux emportés par-dessus bord. Ils furent immédiatement engloutis par les eaux tumultueuses de la tempête.

Nous nous réunirent au centre du navire ; le combat était terminé. Tout cela c’était passé en un éclair.

-Regardez, sur la droite, c’est le phare de la Dame !, s’exclama l’halfelin. Nous ne sommes pas loin de Magnimar ! Il faut continuer de suivre la côte, et nous y seront dans la soirée, si le vent de nous joue pas de mauvais tours.

Nous décidâmes donc de suivre la route de Magnimar. Le paladin nous ordonna de ne pas jeter par-dessus bord les corps des pirates, mais de les attacher autour du mât. Certains n’étaient peut être qu’inconscient. Nous les laisseront à la garde de Magnimar qui s’occupera bien d’eux.

On attacha donc solidement les trois pirates autour du mât. Le marin arriva avec tous les autres prisonniers et nous remercia d’avoir réussit à reprendre le contrôle du navire. Il nous donna 260 pièces d’or, que nous nous partagions en cinq.

Nous passions ensuite la journée entre nous. Je parlais beaucoup avec l’halfelin, Marlin, bien étonné des incroyables talents de ce petit homme. C’était en fait un barde. Je fis aussi connaissances de mes autres compagnons de route. Je compris enfin que l’homme-elfe, Seltyel, était en fait un demi-elfe, mi-homme, mi-elfe. C’était un magus, qui avait l’art de maîtriser à la fois le combat, et la magie. Je compris enfin d’où provenaient les explosions de l’elfe, c’était un alchimiste prénommé Variel. Enfin, l’humain était un paladin, Périlien, fervent défenseur du culte de Iomédée.

La suite de la journée se déroula dans un ambiance paisible ; et comme l’avait prévu notre cher barde, nous vîmes les premières formes de Magnimar en fin de journée.

Prochaine épisode le Mercredi 22 Janvier 2013
Merci de commenter dans le topic prévut à cet effet : http://www.pathfinder-fr...aventure.aspx#post275465

Modifié par un utilisateur mercredi 22 janvier 2014 20:36:55(UTC)  | Raison: Non indiquée

Offline Rokur  
#3 Envoyé le : mercredi 22 janvier 2014 20:35:11(UTC)
Rokur
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Episode 3 : Shopping d’aventuriers


Le marin parvint à accoster le navire délicatement dans le port de Korvosa. Nous étions tous content de retrouver la terre ferme et un lieu inspirant la sécurité. En descendant sur les quais, le paladin nous dit tout en pointant une bâtisse du bras :

- Partez vous reposer à l’auberge, juste là. Je m’occupe de nos trois pirates. Je vous retrouve dans quelques instants.
Nous louèrent chacun une chambre pour quelques pièces d’argent, y rangèrent notre attirail, puis redescendirent dans la brasserie de l’auberge pour y passer ensemble la soirée autour d’un immense plat de fruits de mer. On profita de cette soirée pour faire plus ample connaissance.

-Que ferez-vous, après ?, intervint de Magus.

-Personnellement, j’étais déjà en voyage avant nos péripéties. Je pense alors continuer mon périple à travers la Varisie, répondis-je en premier.

-Si cela ne te dérange point, je songe à t’accompagner dans ton périple, renchéri mon ami Halfelin. La nature, les nouvelles rencontres et les beaux paysages sont une bonne source d’inspiration pour mes écrits. En plus, ca risque d’être bien amusant.

-Pourquoi pas, répondis-je. Une si bonne compagnie ne peut être refusée.

-Pour ma part, reprit le Magus, j’aimerais retourner dans mon village d’enfance, Oreille-du-Loup, au nord du Lac-des-Braises.

-Il paraît que le folklore local de ce lieu est intéressant et pour le moins singulier, j’aimerais le visiter, dit le Barde.

-Si tu veux, je t’accompagne aussi, dis-je. Cela me fera voir du pays.

Le Paladin prit ensuite la parole :

-Je suis fier des valeurs et de l’honneur qui forge ce groupe. Je pourrais continuer à servir ma déesse vénérée Iomédée en protégeant notre troupe, jusqu'à ce que ma déesse me charge d’une nouvelle mission.

Pour finir, l’Alchimiste s’exprima :

-Puisqu’il en est ainsi, je rejoindrais aussi le groupe dans l’espoir de revenir avec quelque objet merveilleux.

-Et bien, voilà un groupe solide !, s’exclama le Paladin. Je pense néanmoins que pour plus d’efficacité, il faudrait s’organiser plus que cela. Il nous faut tout d’abord un chef qui départagera les opinions et dirigera plus ou moins les batailles.

On fit un vote à main levé, tout le monde s’exprima en faveur de Périlien, le Paladin, à l’exception de l’Alchimiste qui ne vota pour personne.

-Et bien, qu’il en soit ainsi, intervint Périlien. Chacun pourrait se trouver un rôle à présent ?

-Je propose d’être trésorier du groupe, fis-je rapidement !

-J’allais me proposer pour ce poste, reprit aussitôt le Magus, Seltyel. J’ai des plans financiers qui s’avèreraient intéressants. Comme garder 1/6 du butin après chaque victoire pour une cagnotte commune, qui sera indispensable.

Finalement, ce fut lui à qui ce rôle de trésorier fut attribuer. Je crois qu’ils ne me faisaient pas très confiance pour cela. Je proposai alors d’autres responsabilités :

-Je pourrais alors me charger de chasser, de vous guider dans la nature et de prendre le rôle d’éclaireur de notre groupe, essayais-je alors.

-Voilà qui te correspond bien mieux, fit Périlien.

-Je vous propose de jouer de la musique pour vous détendre et de raviver l’ambiance générale lorsque celle-ci s’éteint. Je pourrais aussi m’occuper des négociations ; j’excelle dans ce rôle, expliqua Marlin.

-Je pourrais aussi m’occuper de la gestion des armes et équipements, ajouta Seltyel.

-Et moi, fit l’Alchimiste pour finir, je m’occuperais de la cuisine et je prendrais le rôle de maître artisan, notamment pour les potions. Je pourrais aussi apporter de l’aide en tant que médecin.

-Et bien ; voilà une disposition qui me semble parfaite. Allons au lit à présent, mes amis !

La nuit fut de tout repos après un si éprouvante journée. Nous nous retrouvèrent des l’aube en bas de l’auberge et décidèrent de prendre la route l’après midi. Nous allions tout d’abord retrouver les autres prisonniers des ex-pirates. Ils nous annoncèrent qu’ils attendaient une caravane qui partirait pour Korvosa le surlendemain. Périlien leur légua les armes récupérées sur les pirates afin qu’ils puissent se défendre sur la route. Il fit aussi une petite prière en leur faveur. Il dirigeait parfaitement la situation pour le moment.

-Bien, je vous propose d’aller s’approvisionner pour notre longue route. Prenez tout ce qui vous sera nécessaire. On se retrouve à midi pile à la porte nord de la ville.

Je partis donc seul faire mes achats. Avec la récompense du marin la veille, je pu m’acheter tout ce que pourrait m’être nécessaire. J’allai d’abord chez l’armurier, acheter une épée longue. Je continuerais de me servir de l’arc en priorité, mais une arme de corps à corps est toujours indispensable pour un aventurier. J’achetais aussi un sac à dos pour transporter mes vivres. J’allai ensuite acheter quelques litres de bière brune et de la nourriture de bonne qualité. J’avais fait le nécessaire pour pouvoir tenir un siège pendant plusieurs jours !

Le soleil arriva bientôt à son zénith, et je retrouvais mes camarades à la porte nord. Tous étaient prêts, le paladin avait un sac rempli d’équipements de tout genre ; tout comme les autres d’ailleurs.

Tous n’attendaient plus que de partir à l’aventure…

Prochaine épisode le Mercredi 29 Janvier 2013
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Modifié par un utilisateur mercredi 22 janvier 2014 20:35:51(UTC)  | Raison: Non indiquée

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