Éducation générale

Pour les bases classes, il n'y a pas d'écoles à proprement parler. Les temples locaux donnent régulièrement des cours et enseignent les rudiments de la lecture et de l'écriture à ceux qui le désirent. Du fait de la grande complexité du langage écrit, la plupart des bonges et la quasi-totalité des hinins sont illettrés. Ils parlent correctement la langue mais ne sont, au mieux, capables de lire et d'écrire le hiragana (l'alphabet le plus basique) mais sûrement pas le katakana ou le kanji. Les marchands et les travailleurs vivants dans les villes sont généralement mieux éduqués que les habitants de la campagne.

Les bukes suivent des cours dans des écoles, où des officiels du clan forment les enfants. Ils reçoivent une éducation sur les classiques de la littérature, la tactique et bien sûr le combat. Les seigneurs sont toujours à la recherche d'enfants prometteurs et les professeurs sont donc très vigilants quant aux capacités des enfants. Les matières plus basiques, comme l'étiquette, sont enseignées à la maison.

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Entraînement aux arts martiaux

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Habituellement, on ne s'entraîne dans un domaine particulier qu'avec une seule personne. Ce sensei (maître) suivra son élève pendant toute sa carrière.

Dans les petites villes ou les villages, il peut être difficile de trouver un sensei pouvant enseigner les arts martiaux. Les chances sont bien meilleures dans les grandes villes ou dans les châteaux. Il sera de plus très difficile de convaincre quelqu'un d'enseigner les arts militaires à une personne qui n'est pas de son clan.







Musha Shugyô

Le musha shugyô (littéralement pélerinage du guerrier) est presque aussi vieux que l'Empire lui-même. Cette tradition est reconnue par tous les clans mais ces derniers ne permettent pas systématiquement à leurs membre de faire un musha shugyô. Le daïmyo doit avant tout recevoir une demande émanant du sensei du samurai, demande qu'il est en droit de refuser.

Lorsqu'il part en pélerinage, le guerrier laisse derrière lui son clan, sa famille et ses allégeances, ôtant même tout moyen permettant de l'identifier de sa tenue. Il est alors considéré comme un simple ronin (et traîté comme tel) et consacre son temps à perfectionner son art du combat. Il est interdit de trahir ses origines sans quoi le pélerinage est rompu. Il n'est par contre pas indispensable d'effectuer le musha shugyô seul, les guerriers choisissants eux-mêmes si ils veulent le réaliser seuls ou en compagnie d'autres shugyôshas (pélerins).

Le but du musha shugyô est d'apprendre le maximum de choses. Le pélerin est autorisé à se battre au bokken aussi souvent qu'il le désire pour tester et améliorer ses capacités. De même, on attends de lui qu'il accepte tout défi qui puisse lui être lancé. Si le pélerin se trouve à proximité d'un champs de bataille, il est fréquent qu'il demande la permission de se battre aux côtés de l'armée de son choix.

Le musha shugyô dure au moins un an et doit se terminer par une épreuve, fixée par son sensei, visant à tester l'habileté du guerrier. Si ce dernier parvient à démontrer ses compétences et son talent à son maître, il est alors réintégré dans son clan.

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