Los Angeles est une énorme mégalopole de 20 millions d'habitants, un conglomérats de villes très différentes mais énormes de par leur taille. On parle traditionnellement du comté de Los Angeles, par opposition au comté d'Orange par exemple, pour désigner cet ensemble bien que sa structure soit désormais celle d'une seule ville, avec un seul maire.

Des quartiers-villes

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  • Alhambra : quartier chicanos en cours de transformation par ses résidents. Il émerge peu à peu de la pauvreté et de la pollution, mais le chemin est encore long. Il renferme une des zones les plus polluées et criminogènes de LA : San Gabriel.
  • Artesia : ce quartier en forme de cuvette, est le plus pollué de tout Los Angeles. L'empoisonnement général est tel que la municipalité a fait fermer les canaux d'égout pour isoler le quartier. La grande majorité des usines y sont abandonnées depuis une dizaine d'années et personne, pas même les gangs, ne trainent dans le coin.
  • Bel Air (1) : Bel air ressemble par maints aspects à Beverly Hills, si ce n'est que la population qui y vit est moins dans le show-biz que dans des professions tout aussi lucratives mais moins sur le devant de la scène. On y trouve des banquiers, des avocats, des politiciens, des PDG, etc. Les villas sont également moins m'as-tu-vu et font souvent partie d'un patrimoine familial plus ancien et moins chamboulés à chaque vague de stars.
  • Beverly Hills (2): si bien des comtés ou des quartiers de LA font rêver le monde entier, Beverly Hills est sans doute celui qui a la renommée la plus mondialisée. Ce quartier très huppé doit sa réputation aux hôtels pour stars qui attirent le gratin non angelinos du cinéma, mais aussi aux villas démesurées de leurs collègues angelinos et de toute la jet-set locale : producteurs, animateurs TV, PDG, traders, chirurgiens de stars, politiciens etc. Les rues sont privées et on y entre qu'avec une invitation.
  • Bellflower : quartier plutôt résidentiel destiné aux populations d'ouvriers et de techniciens, le voisinage est plutôt tranquille. Pas de barrios dangereux, pas de ghettos sordides. Ici la population mène une petite vie tranquille entre les usines de manufacture, les petits commerces et les vendeurs de voitures d'occasion. Bellflower c'est un peu la Californie que l'on oublie, celles où vivent les familles lambda, dans leurs appartements gris photocopiés. Le quartier est très développé en souterrain.
  • Burbank : ce quartier et ses nombreux studios de cinéma est celui qui a remplacé Hollywood dans ses fonctions de marchand de rêve.
  • Chinatown (28) : c’est en Chine que l’on entre en franchissant les portes de ce quartier. Chaque bâtiment est fidèle à l’architecture traditionnelle chinoise. Les honnêtes angelinos viennent y manger des nouilles dans l’un des innombrables restaurants, alors que les moins honnêtes se rendent dans les fumeries ou les ateliers clandestins.
  • Civic Center (29) : le quartier politico-administratif de L.A., où sont regroupés Mairie, Palais de Justice, club privés, etc. Les bâtiments se résument à de hauts immeubles gris sans caractère où s’entassent les fonctionnaires en costard. A noter la présence du QG du L.A.P.D. et de City of Quartz, la principale prison de la ville.
  • Compton(25) : Il n'y a pas 30 manières de sortir de Compton. Les gangs, le basket, le rap, la mort ou un mix de tout ça. La plupart des gamins finissent dans les gangs. Plus d'une vingtaine de gangs parsèment Compton. La vie y est courte mais intense et l'espoir d'ascension sociale se réduit à lorgner sur la Mercedes du dealer de la rue.
  • Culver City : Avec un taux de chômage similaire à celui de South Central, Culver City se distingue par sa population essentiellement blanche. Coincés entre l'aéroport et les beaux quartiers, ses habitants ont le sentiment d'être les grands oubliés de LA.
  • Dead Zone (6) : quartier à l'abandon rongé par le Gob, la pollution et la vermine. Hobos et gangs sans avenirs sont rejetés ici.
  • Duarte : encore un quartier un peu hors du temps, avec ses quelques habitants originels confrontés à l’arrivée massive des immigrés haïtiens regroupés dans le ghetto de ‘Tit Port-au- Prince (27). La population est pauvre et âgée et vit dans la peur de l'invasion des communautés haïtiennes. A noter la présence de City of Hope, un grand complexe ultramoderne dédié à la recherche médicale.
  • Dustland - Arène (20) : no man's land complètement bouffé par la Grey Plague. Mi ruine, mi décharge, ce terrain vague est un piège redoutable pour celui qui ne connaît pas le lieu. Lieu de rendez-vous pour les bandes rivales de South Central pour y régler leurs comptes en s'affrontant.
  • Primitive Country (12) : semblant de quartier résidentiel où se recroquevillent les immeubles de retraités et les petits commerces, en bord des zones de la fange (11) où l'eau, depuis le Little One de 2018, stagne en une sorte de mélange liquide d'algues, de boue et de déchets. Un peu plus loin on trouve Lost City (10), des immeubles à moitié effondrés noyés sous 10m d'eau.
  • Fashion District : quartier coloré et plutôt gay mais qui ne regroupe que des artistes et le monde de la mode : le show-biz est lui resté loin du centre. C'est un quartier ne présentant pas de particularités saillantes, si ce n'est celles qui sont propres à sa population : milices privées anti-homophobes, boîtes, clubs, saunas, bars, restaurants, boutiques de tatouages, petites galeries d'arts, sièges d'associations communautaires, organes de presses et plusieurs entreprises informatiques high tech et de service.
  • Florence (19) : Cette zone est l'un des endroits où la concentration des gangs afro-américains ou latinos est la plus forte. Et pour cause, c'est un gigantesque supermarché de la drogue à ciel ouvert. on y achète en gros ou au détail tout ce qui peut exister, et tous les accrocs, les consommateurs occasionnels mais fanfarons, ainsi que de solides dealers viennent ici se fournir. Le secteur bénéficie d'un calme relatif. Une sorte de trêve est en vigueur dans ces rues pour ne pas nuire au business.
  • Gardena (15) : quartier résidentiel fauché avec une criminalité résiduelle, plutôt calme à l’exception de la Rave Factory, la Mecque des ravers de Californie, qui entraîne les étudiants du quartier dans toutes sortes d’activités prohibées. Forte présence de GP.
  • Glendale : banlieue résiduelle tranquille avec enfilades pavillonnaires qui succèdent à un Glendale Downtown encore majoritairement composé d'immeubles au charme désuet. La municipalité et les associations font preuve d'un activisme remarquable visant à faire de Glendale un endroit frais et verdoyant où il fait bon vivre. Beaucoup d'homosexuels vivent à Glendale de façon complètement intégrée. La nuit, Glendale Downtown est connue pour ses soirées déjantées qui contre-balancent la tranquillité du jour.
  • Hawthorne (13): quartier déserté et laissé à l’abandon après le Little One, Hawthorne est le refuge d’une communauté de chicanos plus ou moins légalement en Californie et de hippies sur le retour. Les rues vides et rongées par le GP ne sont plus arpentées que par quelques dealers et sdf.
  • Historic Core (31): quartier au charme désuet du début du 20ème siècle, Historic Core rassemble babas, hispaniques de quatrième génération et artistes bohèmes sous une même bannière. Pendant ce temps, les touristes papillonnent dans les magasins et les bazars à ciel ouvert, ou s’attablent à la terrasse d’un café vintage sous les arcades centenaires de Broadway Avenue. A noter la présence du Jewelry District, qui n’a rien à envier à celui de New York ou d’Anvers.
  • Hollywood (7) : depuis que l’industrie du rêve à migré vers Burbank, Hollywood n’est plus qu’une ville fantôme, peuplée de marginaux noctambules : tueurs en série, fous du volant, squatters cannibales etc. Même les gangs et les mafias évitent soigneusement ce quartier la nuit. Durant la journée, les touristes peuvent visiter sous bonne escorte les quelques attractions qui subsistent de la glorieuse Hollywood. De plus les quartiers riches des alentours dévient leur brume de gob sur ce quartier, ce qui le rend toxique en plus d'être malsains.
  • Inglewood (23) : Certains ont déclaré la guerre à la Californie, alors ils se terrent, se battent et meurent dans les ruines d'Inglewood. Autrefois prospère, cette zone est maintenant ravagée et certains de ses blocs sont devenus de véritables zones de combat urbain où le LAPD a laissé la place à l'armée californienne. L'ennemi ? Des activistes (noirs, chicanos, mais aussi blancs et asiatiques) séduits par une idéologie que l'on qualifie de «communiste» dans les cercles de pouvoir de Sacramento ou LA, mais qui n'est rien d'autre que l'expression d'un désespoir social canalisé par quelques organisations séditieuses et opportunistes.
  • L.A.X. (5) : sous l’aéroport ultramoderne de L.A. se trouve SuBLaX, véritable ville souterraine de 50 000 habitants, sorte de bidonville artificiel éclairé au néon, fourmilière alimentant les rouages de l'aéroport.
  • Little Italy (33) : cela ressemble à un faubourg cradingue de Milan, avec des immeubles vétustes bouffés par la pollution, un mobilier urbain datant d'avant la seconde guerre mondiale, avec des bancs en bois vermoulu, des vieux lampadaires, des échoppes ringardes des années 50 qui vous font dire que vous êtes dans un épisode noir et blanc de la 4ème dimension qui ferait penser au Bronx du cinéma de Scorsese ou de Coppola. Un cliché de l'Amérique fantasmée par les immigrants italiens.
  • Little Mokba (32) : petit quartier russophone prospère et tranquille.
  • Little Korea (9) : sous couvert d’une architecture typiquement californienne et de centres commerciaux titanesques et de gargottes pas chères, c’est toute la communauté coréenne et thaïlandaise qu'abrite ce quartier comme les autres. Agences immobilières, agences de voyage, magasins de fournitures, tout est fait pour faciliter l’installation de toute la petite famille.
  • Little Tokyo : l’architecture du quartier mélange allègrement kyuden japonais et buildings de verre impersonnels, tout comme ses habitants font l’effort de se déguiser en californiens tout en restant profondément attachés à leurs racines. C’est le pays des boutiques d’estampes, des expositions de mangas, des restaurants typiques et hors de prix, et des salles de jeux vidéo dernier cris. A noter la présence de Yakuza...
  • Montebello : surnommé "le quartier des esclaves", auparavant cité dortoir hispanique et zone d'industries de manufacture, pas grand chose n'a changé si ce n'est que les hispaniques, devenus qualifiés, dirigent maintenant les opérations des usines et commandent à une masse d'ouvriers asiatiques qui logent là où ils logeaient avant, eux-même ayant déménagé pour Alhambra. Ce quartier tourne aux trois 8, comme les usines. On trouve donc, à toute heure du jour ou de la nuit, quelque chose d'ouvert. Ce quartier est particulièrement rongé par la GP et le gob.
  • Mokba : de son nom officiel San Fernando. Ce quartier est essentiellement composé d'immigrants venus des républiques russes. Il abrite les infrastructures de la majorité des sociétés de transports routiers de LA.
  • New Downtown (30): c’est le quartier des affaires, celui des tours de verre de cent étages abritant les sièges des multinationales ou les hôtels les plus luxueux de la ville. Au niveau de la rue, c’est moins brillant, les limousines blindées côtoient les terrains vagues, friches industrielles et autres chantiers abandonnés... Le programme de réhabilitation de Downtown n’a pas si bien marché.
  • Norwalk : le paradis des entreprises pétrochimiques, qui jouissent ici de privilèges jamais vus. Les ouvriers qui se ruinent la santé à l’usine la journée s’entassent dans les villes-puits la nuit, ou se ruinent encore un peu plus dans des strip-bars minables en attendant le lendemain. Cuves rouillées, tuyaux fumants, camions déglingués, grues métalliques forment le paysage désolé et désolant de Norwalk.
  • Ontario : anciennement quartier résidentiel de classe moyenne, Ontario est aujourd’hui un pôle technologique de premier plan, sorte de nouvelle Silicon Valley. Mais la transition ne s’est pas faite sans heurts et de nombreuses manifestations contre la hausse des loyers animent la ville. A noter la présence du Tokamak Hoover, réacteur à fusion nucléaire alimentant les quartiers pauvres de L.A. (qui essuient les plâtres des nombreuses coupures donc).
  • Orange County : ce comté est la poche unioniste de Californie par excellence. On y vit quasiment comme dans l'Union, et non par loi, mais par choix.
  • Palos Verdes : ancien quartier chic et branché de L.A., plein de villas richissimes et de fêtes excentriques sur les terrasses dominant le Pacifique, Palos Verdes a peu à peu perdu de son attrait jusqu’à faire complètement faillite. Depuis, la jungle est partout, un silence pesant s’est installé, et seuls quelques rares hippies ou gangers vivent encore dans la cité morte et rongées par le gob.
  • Pasadena : quartier tranquille peuplé de communautés religieuses et raciales vivant en bonne entente, Pasadena est également connue pour attirer les intellectuels de tous poils, venant chercher ici une paix presque surnaturelle à Los Angeles. A noter la présence de CalTech, célèbre université à l’origine de nombreux prix Nobel.
  • Port de LA (17) : il est à la mesure de la ville, énorme. Les docks voient transiter chaque jour des milliers de tonnes de marchandise, des centaines de cargos et tankers.
  • Pueblo (8) : véritable cœur historique de la ville, Pueblo est aujourd’hui un quartier hispanique typique destiné aux touristes : petites maisons de torchis blanc, arcades ombragées, terrasses accueillantes... Les habitants sont pour la plupart des artistes d’origine mexicaines et des commerçants ayant fait fortune dans la vente de souvenirs. A noter la présence de Concrete City, dépôt carcéral visant à désengorger les cellules des commissariats voisins.
  • San Pedro (16) : ville de la classe ouvrière, elle abrite les familles des dockers et autres travailleurs pauvres du port de Los Angeles.
  • Sante Fe (24) : Des milliers de wagons de marchandises laissés à l'abandon sur les voies rouillées et pour la plupart inutilisées. On y trouve une Cours des Miracles puante d'immigrants mexicains ou américains, marginaux, ou habitants de LA chassés par la hausse des loyers ou le chômage, ils sont des milliers à s'entasser dans ces wagons insalubres. Ce bidonville est ravagé par les maladies et la malnutrition. Personne ne parle de Santa Fe, surtout pas les médias et les politiques.
  • Santa Monica : l'ancienne station balnéaire a vu ses plages fractionnées en clubs privés où les très riches profitent de l'espace, de sauveteurs body-buildés payés pour leur sécurité et passer de la crème dans le dos des mamies qui en ont les moyens, les cocktails sont servis frais, de même que les accortes jeunes serveuses. Les plages publiques attirent beaucoup de touristes de toutes nationalités et tout l'Ouest de la ville leur est dédié.
  • Skid Row: quartier de parcs grillagés et fermés la nuit, d'entrepôts vétustes, de gargotes bon marché, de petits commerces de détail, d'hôtel de passes, d'immeubles bas et insalubres et de foyers, d'anciens meublés et des immeubles d'habitation retapés pour devenir des "hôtels pour personnes seules" (Single-Room Occupancy, ou SRO) et des sièges d'associations s'occupant des exclus qui se sont réfugiés dans cette espèce d'immense cour des miracles, mais surtout le territoire de gangs latinos et blacks.
  • South Central (18) : le quartier de South Central proprement dit est paradoxalement le moins dangereux de la zone du même nom. Il illustre brillamment la possible réhabilitation des quartiers en difficulté. Autrefois comparable à Compton ou Florence, les incitations fiscales à l’implantation de petits commerces ont permis à South Central de retrouver un calme relatif.
  • South Gate (21) : La ville est maintenant au 3/4 recouverte d'une incroyable dalle de béton de plusieurs hectares, aboutissement d'une architecture délirante et déshumanisée. Cette dalle, soutenue par d'impressionnants et nombreux piliers (dans les 8m de diamètre) a tout simplement recouvert les habitations existantes sans que l'on s'occupe de déplacer ses habitants. Sa surface abrite ce qui devait être le nec plus ultra de construction moderne, «l'Enterprise» Mais l'indépendance de la Californie a mis fin prématurément à ce beau programme et personne n'est venu habiter l'Enterprise. Quand à la municipalité de South Gate, elle a refusé de prendre la charge l'entretient des tours, laissées depuis à l'abandon. Sous L'Enterprise, écrasés par un plafond gris à 20m, 30 000 personnes vivent encore dans un barrio immonde et insalubre où la lumière du jour est une denrée rare. Ce quartier est frappé de plain fouet par une épidémie de Grey Plague. Nombre de maisons du dessous se sont effondrées, et certains commencent à regarder avec inquiétude les piliers de l'Enterprise se faire ronger peu à peu par la GP...
  • South Park : quartier à la fois résidentiel et commerçant, il bénéficie du vent de revitalisation qui souffle sur New Downtown, un peu plus au Nord, sans en subir les excès et la déshumanisation. Constitué de petits immeubles construits selon les normes antisismiques (pas plus de 13 étages et parfois en bois), d'hôtels bourgeois et de luxe à taille humaine, de petits restos, de musées, de parcs de commerces de proximité, ce quartier est optimisé et habité par les familles bourgeoises de LA qui travaillent et vivent dans l'hypercentre. Ils s'y sentent comme dans un village, en sécurité.
  • Staline Town : quartier tranquille qui ressemble à une banlieue de St Petersbourg. Plus de la moitié des immigrants russes y vivent.
  • Temple City (26) : quartier entièrement administré par l’Église Baptiste de la Compassion et du Christ Indulgent, une secte idéologiquement proche des Quakers et des Amish. Ses rues austères ne s’animent que lors des kermesses et offices religieux. A noter l’absence de commissariat, au profit du Holy Arm of Justice.
  • Torrence (14) : quartier plutôt calme. Les petits immeubles blancs et bas de la fin du siècle dernier ont été remplacés par des buildings de bureaux et hôtels de taille raisonnables, parfois reliés entre eux par des tubes (ce qui évite de subir chaleur et pollution). Ce quartier est un quartier d'affaire secondaire et moins riche que la surpeuplée New Downtown, mais il permet aux sociétés et cadres moins aisés de trouver un pied à terre relativement agréable.
  • Van Nuys : capitale californienne du sexe, Van Nuys est avant tout un quartier à deux visage, celui des villas et des limousines roses pleines de bimbos et de seaux à champagne d’un côté, et celui des entrepôts désaffectés où se tournent dans l’urgence des films de cul sordides (SM, pédophilie, scato, rien n’est épargné) de l’autre.
  • Venice Beach (4) : filles en bikini frites à l’huile solaire, musclors amateurs défoncés aux amphets, gamins obèses s’empiffrant de glaces, touristes japonais abrutis par les machines à sous, prostituées mineures bourrées de Venus, artistes improbables, gangers en goguette, des parcs d'attraction renommés. Tel est le paysage de Venice Beach, vitrine clinquante et factice du Los Angeles de 2030.
  • Watts (22) : Cette zone a toujours été le point de départ des des troubles les plus brutaux ayant secoué LA. Depuis 2027, le LAPD n'a pas pu reprendre le contrôle de cette zone. Un nombre d'armes de guerre impressionnant y est encore stocké et utilisé contre tout représentant visible des forces de l'ordre. Lorsque le LAPD a à y intervenir, c'est systématiquement en section lourde et pour des raisons que les décideurs ne peuvent ignorer, comme des cadavres écorchés sur les Watts Tower par exemple. Watts est un vieux quartier noir à l'industrie délabrée et aux maisons tristes alignées de façon monotone. La violence, la drogue et la mort y sont omniprésents. On dit que cette zone serait notamment contrôlée par la "Black Charria", une secte d'activistes noirs vaguement musulmans.
  • West Hollywood (3) : quartier le plus branché de LA, c'est celui des expériences sociales, des modes suivies par les jeunes "dans le coup" et des expos d'artistes avant-gardistes. Il y existe une grande communauté homosexuelle, qui contrairement à Glendale, n'a jamais cherché à s'intégrer mais plutôt à montrer et à généraliser sa différence.
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