1. Fiche de personnage

La chanson : Wiki , Forum , La famille

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2. Background & Co

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Vous voulez connaitre mon histoire ? Allons bon, c’est qui c’gus encore ? … Bon… vu que vous restez planté là avec vot’face de champignon, prenez une chaise et une chopine, c’est cadeau, j’devrai bien trouver deux-trois détails susceptibles de vous asticoter l’sifflard. Hey Papi Drack ! Une autre chopine pour cette table !

Bon, pour l'histoire, par où on commence…

Tout d’abord mes origines ! C’est qu’une scion d’Asura, ça ne court pas les rues ! Elle n’a aucune idée de qui elle descend précisément de cette merveilleuse, si l’on puit dire ainsi, race que sont les Asuras, et bien que ça l’intéresse d’en savoir plus, c’est loin d’être une priorité. Ce sont des démons, ils représentent le mal ? Son sang est mauvais ? Qu’importe, elle sait se tenir… encore faut-il qu’elle en ait l’envie. Les gens sont juste jaloux qu’elle possède un sang puissant.

Hein ? Oui je parle de moi à la troisième personne, ça donne un style.

Bref, elle ne se soucie guère de l’effet que sa queue ou ses cornes peuvent avoir sur les gens. Elle a cet héritage, et c’est une force. Mieux encore : c’est une différence. Alors, pourquoi en aurait-elle honte ? Elle n’est pas jolie ma queue ? Et puis ça me permet de me gratter le dos sans problème, ou de boire ma bière sans sortir les mains des poches. Pratique non ? Aaah, je sens que vous changez d’avis, vous me faites plaisir. Z’êtes plutôt sympa finalement.

Sinon, elle aime la bonne boustifaille, la boisson, les copains, les blagues, l'exploration, le pognon et la baston pour ne citer que les plus gros centres d'intérêt.

Physiquement, c’est une splendide femme, presque toujours en train de rire ou de sourire. Des yeux ambrés, des cornes sur la tête, et une longue queue bien souple (aucun sous-entendu bien sûr). Une tenue de pirate, avec un tricorne sur la tronche.

Tout d'abord, avant de vous conter mon histoire plus en détails, j'imagine que vous voulez connaître mes compétences, n'est ce pas ? 30

A quoi je peux servir dans une équipe ? On passe en mode liste, en avant Baptiste !

- Faucheuse à distance

(Dextérité élevée, Arbalète précise et pluie de carreaux plus tard, Possibilité de viser les membres pour ouvrir des fenêtres d'attaque aux copains)

- Eclaireuse

(Dextérité, Réflexes et CA élevés, Course plus rapide, Vision dans le noir, Compétences de Discrétion, Perception et Survie élevées)

- Spécialiste, puits de savoir

(De nombreuses connaissances élevées, surtout par la suite)

- Voleuse

(Compétences de Désamorçage/Sabotage et Escamotage élevées)

- Artisane

(Compétences d’Artisanat et d’Ingénierie)

- Couteau-suisse en expédition

(Cartographe, familier, autre…)

- Comic relief

(Caractère RP, familier RP et style de combat)

Bref, on s’égare, reprenons :

Une enfance peu ordinaire, dans un plan dont elle ne se souvient même plus le nom. C’est qu’elle était toute gamine quand c’est arrivé. Dans ses souvenirs, ça se résume à peu près à cela : Des parents qui avaient une ferme, ou quelque chose du genre, dans un village assez classique. Des monstres, guidés par une sorte de monstre alpha, ont attaqué et rasé le village.

Les mauvaises langues vous diront qu’elle va vouloir se venger, une réaction classique… Point du tout, s’ils avaient été plus forts, ils auraient pu se battre, ou fuir le cas contraire, comme elle a elle-même réussi à le faire. Le passé, c’est le passé, ça ne sert à rien de le renâcler, on ne peut pas le changer.

Elle a donc fui, puis elle a du se débrouiller pour survivre, seule, dans un monde inhospitalier pour une fillette. Suite à ces évènements, elle a été adoptée par une elfe et un demi-orc, aventuriers à cette époque, qui étaient de passage dans le coin. La décision de les suivre fût probablement la meilleure de toute sa vie.

Viens ensuite l’arrivée à Sigil de ce petit monde. Enfin l’arrivée… Ses parents y avaient déjà leur place. Entre sa mère elfe, dotée d’un charisme, d’une intelligence et d’un humour particulièrement tranchant et raffiné, son père demi-orc, bourru du haut de ses deux mètres et dont les armes sont renommées, et elle, une tieffeline, la famille était hétéroclite, c’est le moins que l’on puisse dire.

Sa mère se consacra à l’alchimie et l’enchantement, tandis que son père retourna travailler le fer et le bois dans sa forge. Les deux étant relativement bien connus de leurs branches respectives, fournissant un travail de qualité.

Elle grandit entourée de connaissances de ses parents, glanant toute connaissance passant à sa portée. Malgré son caractère intraitable, probablement lié à son père adoptif, elle fait preuve d’une grande ouverture d’esprit quand elle le souhaite, et elle est curieuse et enjouée de tout. Elle adore apprendre, et elle apprend vite. Cependant, l’école n’est pas faite pour elle, les règles l’ennuient et le fait de ne pas pouvoir choisir ce qu’elle souhaite apprendre l’agace. Assez vite, elle quitte donc ce milieu pour apprendre sur le tas, à la dure. Tantôt dans l’atelier de sa mère, un coup fourrée dans les bibliothèques, un coup à la taverne ou dans la rue les oreilles à l’affut… Cependant, c’est dans la forge de son père qu’elle a passé le plus de temps et où elle s’est entraînée. De cette façon, elle apprend des tas de choses utiles (ou non) et variées, ainsi qu’à se battre. Rapidement, elle se dirige vers les armes à distance, ne comprenant pas le choix de ceux qui préfèrent prendre des risques au contact. Sa mère était une très bonne archère, mais les arcs ne lui conviennent pas, ils sont trop « basiques », et elle n’arrive pas à mettre sa queue à contribution. Viens alors l’arbalète… Hum, une arme pouvant être légère ou lourde, de toutes tailles, facile d’utilisation, avec une possibilité d’en avoir une dans chaque main, comme l’un des amis de son père, et ce à quoi s’ajoute la possibilité d’utiliser sa queue pour recharger. Son arme de prédilection est toute trouvée. Soucieuse de n’être qu’un parmi un tout, elle tente d’innover son propre style de combat, en se basant entre autre sur ses aptitudes physiques. Rapide, Précis, Acrobatique, Discret, Mortel. Cinq qualificatifs sur lesquels elle s’efforce de travailler. Et puis ça permet de les compter sur les doigts.

Z’êtes encore là ?

Bon, ça te suffit blanc bec ? Qu’est-ce que je pourrais dire d’autre ? …AH ! Mes ambitions peut-être ? Y’a de quoi écrire un bouquin là mon cochon, et pour la peine, si ça t’intéresse, la deuxième chope est pour moi... Quoi ? Tu n’croyais quand même pas que j’allais t’offrir la première moi-même, si ? J’ai dit « c’est cadeau » ? Oui mais ai-je dit que c’est moi qui t’en faisais cadeau ? J’en doute face de gnoll, faut mieux écouter quand tu causes à des gens peu fréquentables.

Bref, donc des perspectives d’avenir… On pourrait en faire une liste. C’pas beau, mais ça a le mérite d’être clair.

- Devenir fort. Très fort. La chasse aux dragons voire aux démons est au programme. Outre l’aspect cupide, ça lui permettra de défendre ceux qu’elle apprécie. Le destin ? Une connerie mon gars, y’a deux types de personnes : ceux qui se laissent porter par le courant, et ceux qui rament. Pour atteindre son but, il faut suer à la tâche, et non caresser de vains espoirs. L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt. Rien n'est gratuit mon gars.

- Devenir riche. Ça va dans le même sens, l’aspect cupide étant largement plus développé.

- Posséder son propre demi-plan, rempli de tas de choses et y monter une guilde. Elle s’intéresse à ça depuis gamine, depuis qu’elle a lu des tas d’histoires à la bibliothèque, mais n’a jamais eu de réel talent pour la magie, contrairement aux arbalètes. Dans l’idéal, une fois devenue forte et par définition influente, elle espère se faire amie avec une puissante mage qui partage ses idéaux. Ainsi elle pourrait obtenir, quelque part, un plan à elle et son équipe. Un plan qui serait paradisiaque, débordant de ressources et de connaissances, et coupé du temps… Ouais, ce serait bien ça… ce serait même très bien. Bon bien sûr faut imaginer !

Z’êtes toujours là ?

Bon… Et si j’vous parlais de Perce-Oreilles ? Mais si vous la connaissez, c’est mon arbalète. Regardez comme elle est mignonne avec sa p’tite tête de chat… Sculptée dans du bois de chêne hein, du vrai de vrai ! Oui mon p’tit pote. Bon, on reconnait tout d’suite bien sûr la touche de l’artiste (moi) aux oreilles, toutes en légèreté vers l’arrière, avec un soupçon de férocité et une touche d’innoncence. C’est la « Feline touch » comme qu’ils disent dans mon quartier. Sinon pour les finitions, c’est du classique, du bon métal bien solide comme on les aime, une cordelette elfique, un cadre affiné… La glissière est vernie bien sûr. C’est plus joli et ça fait mieux glisser le carreau. Et là au bout, une encoche : ça ne dérange pas la trajectoire du carreau et ça fait un joli sifflement quand ça part. Le chariot est en bois d’orme, c’est plus léger pour le glissement, tout en conservant sa dureté pour propulser le carreau à sa juste mesure. Regardez, y’a qu’à voir : le grouillot de base fera quoi ? Et bah il vous fera probablement tout dans le même matériau. Grossière erreur mon p’tit pote ! Pourquoi tu crois que les lances n’ont que leur pointe dans du métal tranchant ? Bah parce que sinon ta lance elle pèse trois tonnes et t’as l’air d’un blaireau quand tu vas te battre avec.

L’arbrier lui, est un peu vieillot, mais bon, j’aime bien le rendu que ça donne aussi. Pour la détente, c’est du classique aussi. On n’va pas réinventer la roue hein, ça marche très bien comme ça.

Là sur les côtés, vous pouvez voir des gravures. Ça représente des tas de trucs : des amis, de la famille, des moments importants… Regardez là ! Le renard ici, j'l'ai pourchassé dans la moitié de la ville, une longue histoire ! …Non, c’est celui-là le renard, ça c’est mon paternel. Bon faut dire qu’la différence est pas flagrante.

Sinon, les carreaux, c’est du fait maison aussi. J’les appelle « les siffleurs ». C’est dû à la queue, regardez : une légère encoche sur le cul, et ça les fait siffler dans l’air sans perturber la trajectoire. Bon bien sûr, c’est moins discret. Mais j’en ai aussi pour la discrétion ! Fin des normaux quoi. J’les nomme « Les marchands de sable ». Ça sonne bien et on comprend vite le but souhaité.

Pour les rangements, c’est mon vieux qui les fabrique. C’est du cuir, bien classique. J’aime bien le cuir, ça donne un style et ça sent bon. Et puis, si t’as rien à bouffer, c’est comestible. Bref, donc hop, un petit carquois accroché à la ceinture, bon ça c’est du classique hein, un attachement sur chaque bras pouvant contenir une demi-douzaine de carreaux. C’est caché sous les fringues, ça passe inaperçu pour l’œil inattentif, voire même plus. Un ceinturon, avec des rangements pour quelques carreaux bonus également. Sur chaque jambière, un attachement aussi, pour une bonne vingtaine par contre. J’ai de bonnes jambes, c’est pratique. Et puis ma queue peut facilement les récupérer pour me les donner, regardez : hop ! Et pour l’armure, ça c’est du bon cuir avec du tissu de sombrefeuille mon gars, rien qu’ça ! C’est mon vieux qui l’a fabriquée, ça nous a coûté une blinde, toutes mes économies y sont passées. Bon ça valait l’coup, elle est super belle, élégante, légère et résistante.

Et pour finir dans la bottine, un kukri. C’est du fait maison aussi, ça se voit vite je crois. Comme ça hop, je pose mon arbalète et ma dague de ceinture, j’ai l’air désarmée, mais nope ! Un p’tit détour de queue et yopla, une jolie lame sous ta gorge. Sinon j’aime bien lire. Je l’ai déjà dit ? Bon bah j’le redis. J’ai bouquiné des tas de trucs, j’ai appris un peu de tout. J’aime bien apprendre des trucs.

3. Les renards, toute une histoire...

Un jour, dans le marché, une prime fut proposée pour la capture d’un voleur de fruits. Le dit voleur était difficile à coincer. Personne ne pouvait confirmer l’avoir aperçu avec précision, la plupart des personnes interrogées restaient dans le flou, et pour cause : leurs seules pistes reposaient sur des rumeurs ou des instincts. De plus, ce voleur semble pouvoir s’adapter et changer de méthode, évitant les pièges que l’on place sur sa route, pour cela, il fait preuve d’une effroyable intelligence. On le surnomme « Le rôdeur invisible ».

Intriguée par cette prime, notre petite Tieffeline se lance à la poursuite de ce voleur. Une enquête qui lui prit longtemps, la tâche n’étant pas aisée. Et puis un jour, après avoir élaboré son propre stratagème, elle n’arrive pas à le coincer, mais elle croise néanmoins son regard : le regard d’un renard.

S’en suit une chasse à travers la ville pendant plusieurs jours, le rôdeur réussissant à déjouer tous ses pièges et trouvant toujours une faille pour s’échapper. Jour après jour, nuit après nuit, elle étudie ses méthodes… mais lui également. Au bout de plusieurs jours de traque, elle arrive enfin à le mettre dos au mur. Curieuse de savoir pourquoi ce renard semble si malin, elle finit par découvrir, en grande partie grâce au renard, qu’il s’agit d’un ancien familier dont le maitre est mort. Et se rend compte qu’au final, il est comme elle. Un orphelin qui se bat pour survivre, jusqu’à ce que quelqu’un lui tente la main. Elle le prend donc avec elle et le nourrit, en échange de quoi il lui apporte son soutien et sa totale confiance. Finalement, ils deviennent amis et entretiennent un lien très fort. Quant au marché, cette histoire de « rôdeur fantôme » étant enjolivante, des petites frappes s’amusent à voler et usurper ce surnom. Elle en profite pour les coincer et leur faire porter le chapeau, empochant ainsi la prime, et disculpant ainsi tout suspect vis-à-vis de son nouvel ami.

Ce renard se nomme Kaytsu, souvent surnommé Kay, Katsu ou encore boule de poils. Il est à l’image de sa maitresse : insouciant en apparence, mais malin, fourbe, et aimant à problèmes. Il pousse parfois de petits couinements mignons, mais prudence : bien qu’il ne puisse le parler, il comprend le parler vinaigrette. Il a tendance à rôder et à espionner, établissant un code à base d’émotions avec sa compagne afin de lui transmettre les grandes lignes. Ils s’entrainent tous deux à maitriser leurs émotions pour ce « code secret ». Une sensation de peur ? -> Attention, danger. Une sensation calme ? -> Tout va bien. Une sensation de plaisir ? -> Quelque chose d’intéressant.

Il ne peut pas communiquer aux humains, mais s’il le pouvait, il risquerait d’être insupportable… Et le fait de pouvoir communiquer librement semble justement l’un de ses centres d’intérêts, qui sait ce que nous réserve la suite…
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