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À Caliphas

Pathfinder

Loge Vodavani

De nombreux Éclaireurs visitent la loge Vodavani de Caliphas, parfois appelée l'asile de lunatiques de Havenguard en raison de l'établissement où elle se trouve. Ils proviennent de toutes les régions de la Mer intérieure. De là, ils partent explorer divers points d'intérêts de l'Ustalav, comme :

  • Les terres désertiques hantées nommées Les Sillons
  • Les sites associés au roi-lich Tar-Baphon, le Tyrant qui murmure, comme la prison-forteresse de Gibet
  • Les centaines de vallées hantées des Monts affamés
Malheureusement, la nation de l'Ustalav est considérée comme l'une des affectations les plus dangereuses pour les Éclaireurs et la fréquence à laquelle la Société perd des membres à cette nation dû à la mort, la corruption ou pire encore, est très élevée.

Le Dr. Beaurigmand Trice est le capitaine-aventurier de cette loge.



Établissements d'enseignements

Archives de Quarterfaux

Cet établissement académique prestigieux expose et conserve les reliques, les articles uniques, les curiosités et les documents de la collection royale. Certaines de ses collections sont si privées ou contiennent des documents si dangereux qu'il faut obtenir l'approbation de Regan Saramul, la conservatrice en chef et la directrice.

Depuis quelques années, un campus de l'école des sciences Sinkomakti de Rozenport a ouvert ses portes sur la propriété des Archives.

Campus de l'école des sciences Sinkomakti à Caliphas

Ce petit campus est un satellite de la célèbre École des sciences Sinkomakti de Rozenport. Il a été fondé pour répondre à la demande grandissante des nobles et des bourgeois de la capitale. On y retrouve des cours sur toute sorte de sujets, notamment sur des domaines très précis de la magie. Certains professeurs jouissent d'une grande réputation dans tous l'Avistan dans leur domaine de spécialité. Ce campus se trouve dans les Archives de Quarterfaux.

On y trouve par exemple des cours sur la magie elfique, sur la magie de l'eau et de la glace, sur la science des golems, sur la destruction des morts-vivants, etc.



Auberges, tavernes et autres lieux de divertissement

La harpe dorée

La harpe dorée a été fondée il y a longtemps par Kote Six-String, un ancien aventurier. L'établissement est le rendez-vous par excellence de tous les musiciens talentueux du royaume et de tous les amoureux de la musique qui commanditent certains des meilleurs artistes à titre de mécènes.

L'établissement exige des frais d'entrée pour toute la clientèle, ainsi que des frais de performance à tous les musiciens qui souhaitent s'y produire à moins que ceux-ci ne possèdent l'épinglette dorée qui les identifient comme des musiciens expérimentés et des membres reconnus et populaires de la place.

C'est ce qui se rapproche le plus d'une guilde de bardes dans le royaume.

L'une des spécialité de la maison est l'hydromel à la cannelle.



Le boudoir de la veuve

Ce bordel est reconnu pour allier meurtre et fantasmes sexuels. Il arrive d'ailleurs que le personnel tombe victime des horreurs du bordel.



Aux brumes et aux rêves

Salon de thé enfumé et exigu aux forts relents de clous de girofle et de cannelle. Le grenier fait office de fumerie de Pesh, drogue hallucinatoire provoquant l'euphorie et augmentant le niveau d'agressivité.

LA propriétaire est Tidadimara, une diseuse de bonne aventure voilée qui se dit d'origine vudrani.





La dent du chien

Packed every night with craftsmen, stevedores, and others of the city’s working class, the Hound’s Tooth offers little in the way of atmosphere or food, but the drinks are cheap and only lightly watered, which is enough to keep the crowd happy. A former constable, barkeeper Shaid Boxmon (NG male human ranger 3) lives above the tavern with his wife, Fhanna, and two teenage sons, Quinn and Shaid, Jr. Protective of his family and those he deems worth the effort, Shaid knows more about the dark side of Caliphas than he is comfortable sharing, and has been known to violently expel patrons from his bar merely for giving him a bad feeling.



Rue Barragaro

While much of the city’s commerce is conducted in shops and stands throughout the varied districts, it’s said that one can find anything one wants on Barragaro road. From dusk to dawn, vendors, barrow boys, and traders of all types loudly haggle over goods, from folksy crafts and jerked fish skewers to stolen wares and mysterious curiosities. Although many of the merchants are daily fixtures, some dealers appear, sell their wares for a day, and then are never seen again. The raucous, bustling street always has a carnival atmosphere, attracting street performers and tourists, but also hucksters, con artists, and pickpockets of all types. Just off the sloping street runs Vaingrier Alley, also called Oracle’s Alley, where sham soothsayers read fortunes in dice and bones, Sczarni dancers distract easy marks, and several of the city’s dealers in magical goods—of both dubious and masterful quality—keep shop. The flower seller Madam Camille (N female human expert 4) and her remarkable hallmark hats are among Barragaro’s most venerable fixtures; the rosycheeked matron possesses an uncanny memory for who’s selling what and who shops where.

Palais royal et manoir

Manoir Lathean

Countess Carmilla Caliphvaso (LE female human aristocrat 4/rogue 13), ruler of both Caliphas city and county, makes her home within this palace of crimson f lowers and ruby glass. Her frequent galas number among the most prestigious social events in the city, and regularly include invitations to members of the lower classes who have managed to capture the countess’s attentions. These fetes are typically of such decadence that participants regularly cannot remember the festivities—or go missing altogether.

Château Stryithe

The seat of Ustalav’s government seems the perfect setting for treachery. Beneath a crown of needle-sharp spires and knotting buttresses, the vast and ominous structure holds the throne of Ustalav’s prince, the 16 stations of the Hall of Peers that make up Ustalav’s fractious congress of counts, the Gallery of Ancestors portrait hall, and numerous meeting chambers, treasuries, libraries, rooms for visiting ambassadors, and other luxuries of the nation’s rulers. Yet some claim that the castle wasn’t built for the princes of Ustalav alone, but also for those who would oppose them, with secret chambers, arsenals, traps, and passages lurking throughout the castle, as well as a secret command center capable of turning the entire palace into a deathtrap with the flip of a lever.

When word of the royal court’s relocation reached her, Countess Caliphvaso ordered and personally oversaw the construction of Stryithe, a castle of elegant stained glass, daring flourishes, and crimson stone. Now completed, the imposing, spire-crowned citadel rises from the city’s center like a bladed, fiendish heart trapped amid a web of mounting buttresses. Home to the audience hall and black-antlered royal throne of Prince Ordranti, the echoing Hall of Peers with its 16 traditional stations, the portrait hall known as the Gallery of Ancestors, the royal archives, a private wing for visiting dignitaries, and a maze of shadowed alcoves, conference chambers, and salons, Servants also spread rumors of myriad secrets, both predictable—like hidden floors, shifting passages, and escape routes—and sinister, such as shafts to unknown oubliettes, stores of treacherously hidden poison, and construction plans that suggest blasphemous agendas.



Église de Pharasma

Le Choeur des vierges

A gigantic dome of amethyst-veined black marble stares unblinkingly heavenward from Caliphas’s temple of Pharasma like some vast empty socket. At the chapel’s heart stands a silver, mausoleumlike reliquary said to bear such holy treasures as the Sarkorin song skulls, the scroll bones of Father Gesenge, the armored Gown of Tears, and—or so high priestess Mother Verith Thestia (NG female cleric 12) claims—one of the steel splinterfeathers of the goddess’s own herald.



Aux abords de Caliphas

Château Douleurs

Blablabli



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