Koutvauk explique aux héros qu'il a, pendant leur absence, fait un petit voyage a
Absalom afin de clarifier une intuition. Il découvre une prophétie, la dernière d'un ouvrage qui date d'une centaine d'année, qui évoque les dernières actions du groupe. Cette prophétie indique qu'il faille se rendre au sanctuaire de
Pharasma , lieu de la dernière prophétie (a la fois du livre, et de la réalité). Ce lieu est l'endroit où est apparu
Aroden il y a cent an, le lieu où débuta son combat contre
Asmodéus, résultant en la création de l’œil et son emprisonnement, a des centaines de kilomètres de là.
Muni du collier de
Jhielil, portant le symbole d'
Aroden, le groupe va devoir entrer dans une pièce caché du sanctuaire, sous l'autel, et utiliser le collier comme clé pour accéder à une pièce vide de tout ornement, mais dont le centre présente un piédestal avec une dague. Une dague vraiment singulière et extrêmement ancienne. Elle semble en mauvais état et sa puissance magique est extrêmement faible. L'artéfact est si singulier qu'il n'est pas envisageable de le réparer, car les pouvoirs qui l'imbibe dépasse de loin ce qu'un mortel peut accomplir.
Sur le chemin jusqu'au sanctuaire, des Barbazus peuvent de nouveau s'en prendre aux héros, envoyés par Asmodéus pour les empêcher de réussir. Ce combat est facultatif.
En sortant du sanctuaire, une note est gravé sur l'autel, une note qui n'était pas là auparavant et qui dit: "Cette dague est la clé des prisons divines. Elle peut libérer
Aroden de sa prison centenaire et rééquilibrer l'échiquier cosmique. Mais il est trop tard."
Peu de temps après, le monde entier tremble.