Les Mentors

Saxifrag

Le vieil acariâtre...

Il fut le premier personnage que les enfants ont rencontré le lendemain du désastre qui avait frappé leur village. Un parchemin trouvé dans la maison du chef comportait une énigme qui une fois résolue permettait de trouver la route à travers la forêt permettant d'atteindre la demeure de Saxifrag : le tronc d'un chêne pétrifié par la foudre.

Cet ancien rôdeur et guide du baron s'est tourné entièrement vers la nature et est devenu druide. Adepte de la Foi Verte, il est désormais le gardien de la grande forêt et surveille les Monts Rouges, protégeant le fief des Kobolds et des Gobelins qui pullulent dans les montagnes. Il est devenu le mentor de Keldrim Balrest et Ferrèol.

Description :

Sur le pas de la porte de bois apparaît un homme âgé mais de stature solide. Il domine les enfants de sa taille d’adulte et les fustige d’un regard noir aux sourcils froncés et broussailleux. Sa voix claire et tonnante comme la foudre vous fait sursauter « qui ose troubler ma quiétude éternelle ! Allez-vous en et retournez d’où vous venez, vous n’êtes pas les bienvenu ici ! »

Le vieil homme semblait avoir la force d’un grand chêne et la végétation paraissait glisser autour de lui sans jamais le ralentir. Arrivé à sa demeure, il laissa les enfants à peine souffler quelques minutes, le temps de revêtir sa vieille armure en cotte de mailles, d’accrocher à sa ceinture son antique épée longue suspendue au clou depuis des lustres et de remplir une sacoche usée par les ans de choses et d’autres.

A suivre...

Taërim, le Magicien Blanc

Le vieil infirme

Deuxième personnalité que les enfants vont quérir après Saxifrag. La Magicien Blanc vit dans une tour isolée à l'Est de la baronnie. Il surveille les collines, contreforts des Monts Rouges, mais aussi tout ce qui peut descendre des Plateaux de Storval : barbares shoantis et orques.

Grand savant, alchimiste, maître de magie maîtrisant la lumière et l'électricité, il est le premier conseiller du baron pour qui il fabrique des potions et autres simples. Lors du rituel pour détruire les Phylums maléfiques et durant le combat final contre Morggedron, son éternel rival, il a montré une puissance extraordinaire qui a plus que fasciné et impressionné Zaël, l'enfant demi-elfe. Il a pris son premier et seul apprenti à l'issue de la geste des enfants. Zaël fut l'élu.

Description :

La porte s'ouvrit sur un grand homme avoisinant le mètre 90 au moins, relativement maigre et revêtu d'une grande robe blanche aux multiples replets et aux longues manches élargies aux extrémités qui retombaient le long de ses flancs. Un galurin pointu à large bord trônait sur sa tête et il tenait en main une sorte de pendentif duquel irradiait une lumière vive et blanche, ainsi que de la fumée, comme si quelque chose était en incandescence.

L'homme paraissait encore plus vieux que l'ermite. Il portait une longue barbe blanchie par les ans et avait le visage profondément ridé, les sourcils épais et broussailleux cachaient en partie ses yeux qui devaient être bleus pâles - « Ainsi est venu le temps où les fils de la terre sauveront le seigneur cavalier » - Il parlait d'une voix claire et très calme et commença à descendre vers Keldrim lentement mais sûrement. Ce dernier ne manqua pas de remarquer qu'il ne marchait pas mais lévitait à quelques centimètres du sol et ne faisait aucun geste pour avancer, comme si seule sa volonté suffisait à produire un tel miracle...

A suivre...

Olwynn Rafenor, le prêtre du château

Le père Olwyn est aujourd'hui mort empoisonné par du poison de troll. Avec le départ du Baron, il avait obtenu la charge de chapelain. C'était le mentor de Véolia et Tarek partie avec le baron, c'est lui qui avait accueilli les héros huit ans après, au château.

Description : Les derniers temps le vieil homme croulait sous le poids des responsabilités, des tracas et d’un manque certain de sommeil. Il avait le visage creusé, de grandes poches sombres sous les yeux, les traits tendus, les yeux rougis, le teint pâle, il avait perdu de sa bonhomie et de son embonpoint, sans doute pour lui aussi c’était vache maigre et il était comme un spectre qui hantait le château et l’église. Les dernière vision de lui était un prètre qui avait passé la main et attendait que Sarenraé l’appelle, il dépérissait à vus d’œil.



Le Baron Waldemar

Le seigneur de ces terre, actuellement en guerre, et parti au front. C'est son fils le seigneur Guillaume qui fut le mentor d'Ylvian, lui aussi parti en guerre.

Description :

Il devait avoir entre deux âges, portant un harnois plein de belle qualité, frappé du blason de la seigneurie : un étalon noir qui cabre sur fond blanc. Barbu, les cheveux mi-long poivre et sel

A suivre...



Kenaou

Le mentor d'Armine, à par lui personne ne sais grand chose de lui, à part le fait qu'il les a guidé à travers le camps du dieux noir et qu'il a réussit à faire plusieurs fois diversion de manière à chaparder les pierres de puissance de Morggedron.

Description :

C'était un homme approchant la cinquantaine, portant des vêtements de qualité. Il avait une chevelure assez fournie poivre et sel et une barbe généreuse bien taillée. A son côté une épée à lame fine et longue était au fourreau lui même accroché à son ceinturon d'arme. Tout en lui inspirait classe, assurance et goût luxueux.

A suivre...

Les PNJs rencontrés



Marciàn, l'actuel bourgmestre de Kelghür

Celui qui a pris la direction et la responsabilité du village de Kelghür, actuellement il vit dans une maison bourgeoise, au centre du village. C'est entouré d'une fumée grisâtre et épicée, à en piquer le nez et les yeux, qui étouffait l’atmosphère. Vêtu d'une étoffe pourpre et brodée d’un liseré doré, le dossier du trône sur lequel on pouvait le trouver, n'était rien à coté de la petite desserte qui supportait une carafe cristalline à moitié remplie d’un liquide rosâtre, un grand sachet ouvert qui versait en parti son contenu sur le plateau, des herbes vert sombre et odorantes, un peu comme la fumée omniprésente. Voilà dans quel univers Marciàn, s'était réfugié depuis la claque qu'il s'était pris par Sulvya, quand elle lui avait annoncé qu'elle était enceinte de Keldrim!

Marciàn, souvent assis dans une posture qui se voulait nonchalante sur son trône, une tenue qui avait tout du grotesque, cherchant un raffinement propre à un haut dignitaire avec des vêtements de soierie très colorés et dépareillés, en tentant d’être à la pointe de la mode… De plusieurs époques… Il Ressemblait à un pantin grotesque, un clown de cirque ou le fou du roi tellement sa recherche d’esthétisme était de mauvais gout. Marciàn était devenu un homme maigre aux joues creuses et aux yeux cernés injectés de sang sans doute à cause de la fumée dont il était devenu dépendant. Ses gestes étaient nerveux et son regard noir semblait divaguer sans cesse. Il avait laissé pousser ses cheveux qu’il avait coiffés en catogan, comme les maîtres d’armes des grandes écoles de guerres et sa barbe était taillée en pointe, lui donnant un air sévère. Tenant la plus part du temps un verre dans une main et une sorte de pipe dans l´autre, qu´il portait régulièrement en bouche pour en aspirer de la fumée qu´il recrachait à la fois par la bouche et par le nez après l´avoir gardée un petit instant dans ses poumons.

Les jumeaux, gardes du corps de Marçiàn

Les deux frères Karel ou Agius, devaient mesurer dans les 6 pieds et avaient tellement grossi qu’on aurait dit des sumos. Se déplacer leur demandaient des efforts les faisant respirer bruyamment alors qu’ils se balançaient de gauche à droite pour donner plus d’élan à leurs pauvres jambes qui devaient supporter une telle surcharge. Les bras étaient écartés du corps, repoussés par les replis graisseux qui gonflaient la peau. Leurs visages bouffis réduisaient leurs yeux qui devenaient deux pupilles noires. Aujourd'hui ils portaient aussez bien leur surnom de garçons bouchers.

Les jumeaux étaient équipés d'un fouet ou d'une arbalète lourde.

Capitaine Alcibiade Hazeldine, chef des Rapaces

Il appartient au groupe de brigands qui sévit dans la région. Mais il a abandonné le groupe avec la certitude qu’il y a une sorte de manipulation dont tout le monde à fait l’objet et que les derniers évènements viennent étayer cette hypothèse. Il était déjà fort déplaisant de devoir faire alliance avec un groupe d’orques, mais le sorcier et le Troll ! Il crois qu'il ne sert pas les intérêts de l’Arbenfield, mais plutôt les noirs plans d’une sombre entité maléfique qui se dévoile au grand jour sous l’aspect du sorcier, de ces orques et de ce Troll. Il pense que lorsqu'on fait appel à de tels monstres, ce n’est plus une cause juste et loyale.

Il nous a apprit le sorcier et le Troll sont arrivés dans le campement. Les orques semblaient déjà lui être dévolu, mais leur commandant n’avait jamais entendu parler de lui. Le sorcier disait venir de la part du seigneur et a exigé que tout le monde se mette immédiatement sous ses ordres. Le commandant Talsen demandant une accréditation venant de la part du prince ou de son conseiller, se fait réduire en cendres. Ce qui a déclenché le départ du capitaine et de six de ses soldats. Il nous apprend également qu'ils veulent raser Kleghür avec l’aide de Trolls, de cavalier gobelin.

Il doit normalement avec Ylvian aller prévenir le village, et organiser une défense ou une évacuation.



Nadya, la fille de bourg

Elle faisait partie, tout comme Armine d'un gang des rues, mais après la mort de deux de ses compagnons et les retrouvailles avec Armines, elle s'est réfugié au château du baron.







Sulvya, Veuve de Keldrim

C'était une des filles de Kelghür, elle n’avait alors que 11 ans à l’époque et elle avait pris en main la survie des enfants qui étaient restés au village, en organisant un bivouac au milieu des maisons incendiées. Quelques enfants étaient venus lui prêter main forte, mais il fallait tout de même avouer que sans elle, beaucoup se seraient laissé dépérir sur place sans rien faire sinon pleurer leurs proches étripés près des maisons incendiées. (c'est elle qui a donné le gout de la cuisine à Ferrèol!) Un peu plus tard elle est devenu en secret la femme de Keldrim, C'est Saxifrag qui les a marié, et Ferrèol qui était le témoin. De cette union, il est née le petit Belgarion. Sulvya est resté au village de Kelghür, mais en étant la martyr des deux jumeaux et de Marciàn, ce dernier ne comprenant pas pourquoi elle refusait ses avances. C'est quand le groupe revient qu'elle et son fils partent se réfugier au château.

Description :

Sulvya est une jeune femme aux cheveux blonds, très autoritaire, des grands yeux verts, équipée d’un bustier en cuir qui met en valeur ses formes harmonieuses, d’un casque cuir fourré et d'une javeline ainsi que dans son dos pointaient quelques flèches sortant d'un carquois en peau animale.

Ysadora, la soeur de Fredrigo Tampoli

Fille de Kekghür également, c'est elle qui à recueilli, Sulvya le temps de leur existence à Kelghür. Elle aussi à suivit et c'est réfugié au château.

Description :

En fait on aurait presque dit un Frédrigo un peu plus jeune, avec des traits plus fins et des cheveux longs. La tignasse dense noire, les sourcils épais et les yeux sombres étaient communs. La jeune femme avait l´air d´une miséreuse avec une robe rapiécés usée et tannée, les pieds nus avec la voute plantaire calleuse à force de marcher sans chausses, mais en fait beaucoup de son attitude montrait qu´elle avait plus de la sauvageonne vivant dans la nature que de la pauvre femme ne pouvant se coudre une robe décente.





Dame Fila, la cuisinière du château

Dame Fila était une femme d’une trentaine d’année de petite taille, tout au plus 5 pieds, très maigre, les bras et les jambes si fines qu’on avait l’impression qu’ils allaient se briser à chaque instant. Le teint pêche, des longs cheveux noirs jais coiffés dans un chignon serré et parfait qui ne laissait fuir aucune mèche rebelle, ses yeux bleus ne cessaient de suivre chaque opération réalisées par sa brigade qui opérait en cuisine, tandis qu’elle même s’occupait des tâches les plus difficiles et les plus délicates. Par contre, ce petit bout de femme dégageait une énergie débordante, on avait l’impression qu’elle était partout à la fois parlant en même temps à chacune de ses ouvrières en cuisine, sa voix résonnait par-dessus les bruits de casseroles et de coups de couteaux.





Capitaine Rhidan Tangletorn



Le capitaine était le sénéchal du baron, ainsi que son loyal serviteur. Il devait prendre la régence après le décès de ce bon père Olwyn, mais le moment venu, il avait disparu. Après le combat contre la chose démoniaque, il a été retrouvé pendu et éventré dans le grenier des écuries incendiées.





Lieutenant Bertholom Enguerrand, régent actuel du château en l’absence du baron.

Le plus ancien dans le grade le plus élevé dirigeait donc la petite forteresse et cet insigne honneur revenait au lieutenant Bertholom Enguerrand, un vieux soldat de la garde qui dirigeait d'une main de fer la soldatesque vieillissante et claudicante qui n'était pas parti en campagne au front.





Greshym Shorkan, Le majordome du château

D'une taille de plus de 6 pieds. La cinquantaine athlétique, entièrement chauve, les sourcils rasés, laissant un crâne nu, la peau tannée par l'exposition au soleil, le majordome portait une tenue assez simple mais impeccable, comme chacun des objets de la salle où ils se tenaient.





Les PJs du passé

Dalkyn

'Il y a huit ans'

Dalkyn est un jeune homme de belle carrure sans toutefois rivaliser avec les plus grands du village. Sa musculature très allonge, due a une lourde charge de travail, lui offrait une belle résistance dans ses activités quotidiennes. De grand yeux verts ornaient le minois du jeune homme, a peine recouvert par quelques mèches noires qui retombaient naturellement devant. Il n'avait pas la "gueule d'amour" dont certain se vantait pour seduire les demoiselles mais une douceur profonde et mélancolique pouvait se voir dans son regard. Sa peau, naturellement halée par le travail en extérieur, gardait les marques de sa rude vie de fermier.

Background

" A Serenrae, maitresse de la guérison, Que ses désirs soient faits et qu'on prie en son nom, Aide-moi, ma déesse, a sauver mon Amour, Avant, que la vie, en elle, ne passe son tour, Aide-moi, ma déesse, je t'en pris tous les jours Pour lutter contre la mort qui en elle accourt."

Le père de Dalkyn se releva soudainement de l'autel placé a l'Est de la maison. Une bougie de suif brulait continuellement, pour peu que le fermier n'en trouve, sur une planchette de bois brun grave de symbole de la Fleur de l'Aube. Machinalement il posa prés de la bougie la petite statuette de corne a l'effigie de cette dernière. La belle Serenrae avait de l'allure avec ses ailes d'ange d'une courbure presque parfaite, et son cimeterre dans la main qui ne soutenait pas un rayon de soleil. Les cinq enfants qui étaient tenus d'assister quotidiennement aux prières matinales venait de s'en aller a l'exception de l'ainé, Dalkyn, qui restait avec père . "Tu crois qu'elle s'en sortira, un jour? - Espérons, mon garçon... Elle était forte ta mère! - Elle me manque... - A moi aussi, elle me manque" La personne dont il parlait, toujours de la même manière ces matins-la, était la mère de Dalkyn. La pauvre femme que le père de Dalkyn avait rencontrée des années auparavant dans son village natale, avait été élevée par son oncle et sa tante. Rien de si extraordinaire si ce n'est qu'elle était la moins chanceuse des orphelines de tout le village, ce qui avait valu a la petite famille de déménager. Ses parents avaient passe un pacte avec Asmodee. En échange de l'âme de leur fille, le Dieu diabolique accorderait une faveur aux deux paysans qui cherchaient par tous les moyens de s'élever au dessus de leur misère. "Ils auraient du choisir des méthodes plus conventionnelles, la persévérance et la sueur" diraient certainement quelques mauvaises langues. la réalité était plus cruelle que ces contes pour enfant. Asmodee s'était approprie l'âme de la fille a l'aube de ses 23 ans sans jamais repayer qui que ce soit d'aucune sorte. Depuis ce temps, Dalkyn et son père, puis ses frères et sœurs quand ils furent en age de comprendre, priaient a l'aube les doléances de la déesse du Soleil.

Dalkyn était un adolescent robuste. En hiver, il aidait son père a tondre les trois moutons, qu'ils gardaient comme un dragon garde son trésor, reléguant la tache de récolter les œufs des poules a ses jeunes frères et sœurs. Comme tout habitant du village, le père s'était vu offrir un acre de terre agricole pour les récoltes collectives et personnelles qui assuraient la nourriture pour tout le monde en cas de coup dur. En été, armé de sa serpette, le jeune homme allait faire les moissons de l'orge, du blés ou du houblons suivant les ans, en compagnie de son père qui ne manquait en rien de vigueur malgré la quarantaine approchante. Bien que sa mère qu'il chérissait restait dans un sommeil sans vie depuis des années maintenant sans prendre signe de l'age, Dalkyn menait autant que possible une vie normale dans le village. Malgré des compétences moyennes dans les matières intellectuelles, le jeune homme était assez mature pour son age, fort d'une expérience qu'il ne souhaitait a personne.

Toutes l'année pour Dalkyn était découpée entre les festivités du village pour Desna et les propres croyances de sa famille qui vivait dans l'adoration de Sarenrae. Même s'il n'aimait pas le montrer, il vouait pour la Fleur de l'aube une dévotion indéniable et faisait preuve de confiance comme un prêtre du clergé du Soleil l'aurait fait. Les journées éprouvantes de Juillet passées a couper les blés a la force du bras lui avait enseigné aussi surement que le livre sacre sur la Lumière et la Vérité les habitudes, les façons de s'exprimer et même les coups de colère de la Déesse.

Le garçon aimait rester dans le cœur du village quand il n'avait rien a faire. L'agitation des gens qui s'affairaient autour lui était d'un plus grand recours qu'une ballade en foret pour lui permettre de retrouver ses esprits. Le forgeron qui tapait les cerclages des tonneaux, l'ébéniste qui en faisait les lattes... Sans trouver rien de formidable dans ce spectacle, cet ordre simple des choses l'apaisait. Il aimait autant que les autres passer du temps entre jeune humain ou demi-elfe. La compagnie lui faisait le plus grand bien et ses amis l'appréciait pour ce qu'il était. Et il n'était pas un de ces malabars , fils du village ou autre, qui aimait se chercher des poux autant que de se descendre des litres d'hydromel a la taverne du village.

Ces derniers temps, a l'aube de ces quinze printemps, le jeune fermier rêvait d'ailleurs. Ses amourettes de village, la vie quotidienne le lassait. Son père qui voyait en son aine un lunatique de la première heure ne percevait rien des états d'esprit de son fils. Renfermé comme à son habitude sur lui-même, Dalkyn ne laissait rien percevoir non plus de ses sentiments. Et son jeune frère, qui aimait lui chercher des poux, avait convaincu ses sœurs qu'il était tombe amoureux de Cilivia, la fille du forgeron. Bon... il y avait un peu de vrai, mais notre jeune homme rêvait des espaces verts et du monde extérieur. Trop longtemps il avait été enferme dans son village.

Aujourd'hui

Envoyé faire sa profession de foi, il devait commencer celle-ci au Temple-Hôpital de Magnimar. Plus présent aujourd´hui, il a dû se vouer corps et âme à une cause de bienfaisance qui monopolise toute son attention si jamais cela ne l´a pas emporté loin de la Varisie...
Attention. La page que vous visitez fait partie d'un wiki de partie et ne présente donc pas un contenu officiel,
ou si elle le fait, c'est par besoin pour la partie à laquelle elle est liée.
N'hésitez pas à naviguer dans une autre section si vous cherchez des informations sur du contenu officiel publié par Paizo Inc ou d'autres
ressources, par le menu de navigation à droite ou le bandeau de navigation en haut de page.