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1. La baronnie de Clairval et Le Bois de Myrviel

La baronnie de « Clairval » marque la frontière Nord de la « Principauté d’Arly ». Elle est entièrement recouverte par le « Bois de Myrviel » et est très peu habitée. Le village de « Clairval » et celui de « Vireux » sont les seules véritables agglomérations, mais des hameaux de bûcherons et de chasseurs sont disséminés dans toute cette forêt toujours très sauvage malgré sa modeste taille. Des familles d’elfes des bois vivent encore là, à l’écart du tout proche royaume elfique de « Hautesylve ».

« Clairval » est un village situé dans le « Bois de Myrviel ». C’est du moins le nom indiqué sur les cartes officielles de la « Principauté d’Arly », puisque que la région appartient à la nation dirigée par son altesse sérénissime, le prince « Thomar d’Arly ». Ses habitants l’appellent plutôt « La forêt de Clairval », car elle est très étendue et, malgré la taille modeste du Bourg, « Clairval » n’en reste pas moins la capitale locale. D’ailleurs, le Baron « Rodrick Fine-lame de Hautepierre », représentant du prince en ces terres, y est établi dans un véritable château en pierre. Le village est aussi installé sur la seule route qui traverse la forêt, même si elle ne mène qu’au village de « Vireux », puis plus au Nord encore, à « Fort-Boueux ».

2. Fort Boueux

« Fort boueux » est un poste-frontière destiné à surveiller le marais de Bourbe-Vieux au-delà duquel s’étend le désert des Morteroches, dont on prétend que chaque pierre cacherait un non-humain. Sa garnison est constituée de soldats au service de la principauté. Il s’agit de l’ultime avant-poste de la civilisation qui garde la frontière du Nord, fermée par l’immense et infranchissable marais de « Bourbe-Vieux ». Des deux côtés, le « Bois de Myrviel » est protégé par des massifs montagneux.

3. Les marches du Piémont

La « Principauté d’Arly » et les « Marches du Piémont » sont les deux nations les plus puissantes des « Terres d’Osgild ». Elles formaient autrefois le coeur de l’empire mais, après son effondrement, les deux provinces devinrent des rivales dont les affrontements ont accouché de plusieurs guerres terribles. Toutefois, la dernière remonte à plus de 300 ans et le traité de paix signé à « Monastir » marqua le début d’une importante coopération.

Le Comte et Souverain des « Marches du Piémont » est le « Margrave Uther Anthrédal du Piémont ».

Le Prince (« Thomar d’Arly ») et le Margrave (« Uther Anthrédal du Piémont ») sont liés par le sang et, à chaque génération, la fille de l’un épouse le fils de l’autre. Près des frontières, au Nord comme au Sud, la campagne peut encore s’avérer dangereuse, surtout en ces temps troublés, mais le centre du pays est généralement exempt de créatures monstrueuses et les grands axes sont sécurisés. La voie commerciale qui relie « Port-Libre », situé à l’Est, à « Ferrance » – à l’autre bout du continent – est vitale à l’économie des deux nations, aussi la route est-elle bien patrouillée et protégée par les chevaliers du « Piémont ». « Monastir » est la dernière ville de taille importante avant d’entrer dans la « Principauté d’Arly ». « Ormille » n’est en effet guère plus qu’un simple poste-frontière et un grand caravansérail.

Les « Marches du Piémont » forment la nation centrale des « Terres d’Osgild », le passage obligé de tout commerce transitant d’Est en Ouest. Le pays tire son nom de sa capitale, située stratégiquement entre les chaînes de montagnes qui coupent le continent en deux. La cité fortifiée de « Piémont » est construite sur un promontoire rocheux du versant Sud des « Serres du Monde », où elle profite d’un bel ensoleillement. Ses hautes murailles blanches dominent la plaine en aval et rien n’échappe à la vue de ses sentinelles. Seulement soixante kilomètres de champs séparent les contreforts des deux titans de pierre aux têtes couronnées de neiges éternelles.

La cité de « Port-Libre » est le seul port des « Marches du Piémont » et est surtout son véritable poumon commercial. Bien que rattachée aux marches, elle jouit d’une franchise qui lui confère une certaine autonomie en matière de taxes et de commerce. Située à la jonction des deux marais, la cité est installée au bout d’une longue bande de terre qui lui permet d’accéder aux eaux libres. Elle est construite sur l’eau et réputée pour ses canaux nauséabonds.

4. Les Monts Vierges

À l’ouest, les « Monts Vierges » sont habités par des tribus barbares. Ni la « Principauté d’Arly », ni le « Comté de Ponant », situé de l’autre côté, n’ont trouvé d’intérêt à investir ces montagnes hostiles, où quelques clans livrent une guerre féroce et permanente aux humanoïdes du Désert des Morteroches.

5. Les Monts Griseux

À l’est, l’extrémité Sud des « Monts Griseux » sépare « Myrviel » de la « Forêt de Hautesylve ». Personne ne revendique vraiment ce tas de cailloux arides et les elfes veillent à ce qu’aucune tribu humanoïde ne s’y installe.

6. Hautesylve

Le royaume elfique de « Hautesylve » correspond géographiquement à la forêt du même nom. Depuis d’innombrables générations, les elfes sont gouvernés par une reine. La souveraine actuelle se nomme « Galaëlle Main d’étoile ».

En temps normal, les visiteurs sont autorisés à entrer dans le royaume lorsqu’ils ont une raison valable de s’y rendre, généralement pour du commerce ou pour consulter un sage. Les elfes hauts sont en effet particulièrement réputés pour leur érudition.

Pour la plupart des étrangers, la visite se limite à « Syndoril », la Cité aux blanches ramures, capitale du royaume. La ville a été bâtie autour de l’arbrecœur, le père de la forêt, un formidable Mallörn qui représente le cœur de la culture elfique. Un lieu symbolique, le joyau des arts, des sciences et de la magie d’un peuple qui chérit ses traditions et ses secrets. Les hauts-elfes, notamment sous le règne de « Galaëlle Main d’étoile », ont développé une plus grande ouverture vers l’extérieur.

Les elfes sylvains, quant à eux, vivent dans la forêt et empêchent les visiteurs de s’y « égarer » par inadvertance. Pour leur propre bien. Car la forêt des elfes reste très sauvage et les créatures qui y vivent ne sont pas toutes inoffensives.

Pour se rendre en « Hautesylve » depuis les « Marches du Piémont », le voyageur passe normalement par « Bonlieu ». Cette ville-frontière tire ses richesses du commerce avec les elfes, et sa renommée d’une course de char annuelle sur la « Chaussée des Anciens ».

7. La Contrée de Wyks

La « Contrée de Wyks » est une province autonome de la « Principauté d’Arly », un pays de collines verdoyantes coincé entre la « Forêt de Myrviel » et celle de « Hautesylve », juste au Sud de la « Ba- ronnie de Clairval ». Simplement appelée la Contrée par ses propres habitants, cette région tranquille comporte la plus grande concentration de halfelins et de gnomes des « Terres d’Osgild ». Sa capitale est bien évidemment « Wyks » et elle est réputée pour ses artisans horlogers gnomes qui fabriquent toutes sortes d’extraordinaires et minuscules mécanismes. Le métal est extrait non loin et vient des mines de « Fort Colline » où est installée une importante communauté de nains. « Fondsac » est un paisible village de halfelins et « Twemby » une bourgade de commerçant et de bûcherons qui marque la frontière avec le royaume des elfes. Proches de la nature, les gnomes de « Twemby » s’entendent très bien avec leurs voisins de « Hautesylve » et ils tiennent à ce que cela dure.
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