Maisun assassin ne peut pas faire autre chose que tuer? L'assassin est un excellent empoisonneur et peut facilement glisser un poison non-léthal et non-douloureux (des somnifères par exemple), emporter sa victime à son chef(la magie peut aider), le roi fait une fausse menace d'exécution si L'ennemi ne se rend pas et hop, fini. (Sans aucun meurtre, les assassins sont plutôt gentils et tout le monde est content.)

Signé,

Hunka

À propos de Domiel, cet archon (archange) parangons céleste et souverain de Mercuria, le ciel doré du Mont céleste ou les Sept Paradis ascendants de Céleste. Pourquoi a--il des assassins à sa solde (même si c'est pour servir le bien - Quel paradoxe !) et pas un autre souverain de ce plan d'existence comme Raziel ? J'avoue que j'ai toujours eu regard beaucoup plus attiré de ce qui se tramait de maléfique en bas de la grande roue comme la guerre sanglante, maintenant ça m'intrigue un peu cette histoire gravitant autour des Princes du bien. Aussi, concernant la cosmologie de Golarion, Domiel et les autres y figurent-ils toujours et quels sont leurs rôles à présent ?

Modifié par un utilisateur vendredi 15 janvier 2010 18:22:31(UTC)  | Raison: Non indiquée

D'un autre côté, les non des anges comme Raziel, ou ceux des démons comme Abbadon sont OGL enfin, "tombé dans le domaine public"...

Ce serait bien... Mon ensorceleur de lignée céleste aimerais bien invoqué autre chose que des chiens avec des ailes

J'ai, autrefois créé une classe de Bourreau pour AD&D2 en m'inspirant des romans de Gene Wolfe traduits en Français (L'ombre du bourreau étant le premier volume) et en m'inspirant également de la saga des Pibrac du sieur Folco (Dieu et Nous Seuls Pouvons étant le premier opus). Je les conseille à tous.

L'idée était de créer une Guilde de Bourreaux qui officirait partout dans un monde déterminé quel que soit le gouvernement avec une forme de neutralité et d'indépendance de la Guilde à l'égard de tous les Etats et gouvernements. Cette Guilde possèdait le monopole des Hautes Oeuvres (celles qui se pratiquent en restant debout et qui aboutissent à la peine de mort à l'inverse des basses oeuvres qui peuvent se pratiquer en étant à genoux : comme marquer au fer, soumettre à la question) avec un établissement dans chaque métropole et des bourreaux itinérants.

Dans cette hypothèse, le PJ était à bas niveau un Bourreau itinérant devant s'acquitter des missions confiées par sa Guilde mais disposant d'un temps libre important lui permettant de partir à l'aventure et pouvant s'installer ensuite dans une métropole.

Pour en revenir à ta question, j'avais pris l'option de proposer les trois alignements loyaux en estimant qu'un bourreau peut faire son job sans se poser de question (LN), être un sadique jouissant de pouvoir utiliser son pouvoir de tuer et faire souffrir (LM) ou, au contraire, appliquer la peine avec clémence en s'acquittant le plus proprement possible des fonctions de sa charge sans en rajouter (LB). J'avais cependant conseillé l'alignement LN pour tenir compte de la soumission à une Guilde et à un ordre.

Il existe toute sorte de gens qui font toute sorte de choses pour toute sorte de raisons.

Son nom est Bond, James Bond. 8{)

A la limite l'assassin qui n'en porte que le nom, par exemple Schwarzenegger dans l'Effaçeur qui fait croire à la disparition de témoins compromettants pour les protéger. On pourrait étendre le principe à un assassin LB d'héroïque-fantasy qui accepterait des contrats dans le but de se substituer à un vrai assassin et de faire disparaître les cibles au lieu de les tuer.

Techniquement l'assassin-effaceur, donc, aura besoin de compétences similaires à celles que détient un véritable assassin : enquête, infiltration, discrétion, mise en scène (et donc connaissances en techniques d'assassinat) et beaucoup de bluff/diplomatie/intimidation.

Oui, c'est capilotracté et j'assume.

Et accessoirement c'est HS. Soit.

Modifié par un utilisateur jeudi 4 février 2010 02:22:45(UTC)  | Raison: Non indiquée