S'approchant du chariot, Nemlak et Bhaal peuvent voir la mine à la fois déconfite et méfiante (voire craintive) de deux colosses à l'aspect bestial attraper l'autre côté du chariot qu'ils tentaient de soulever et ... réussir à le soulever quelques grognements plus tard. Le demi-orc malgré ses habits qui le mettaient plus proche du lettré moyen que du soldat semblait d'une force certaine, sa peau verdâtre ondulant sous sa masse musculaire qui se contractait au maximum pour soutenir l'effort de Bhaal.
Le géant rouge cornu, lui, grogna et tendit d'un coup tout son être, l'ensemble de sa musculature se figeant à l'unisson pour ne voir apparaître que des veines et des fibres prêtes à éclater sous une peau qui paraissait plus fine quelques minutes auparavant. Son corps commençait à trembler pour lutter contre l'énorme poids qui menaçait de le broyer.

« Ouais les gars allez on lâche on rient on l'amène par ici ... allez allez encore un peu on pousse on pousse ... voilà, impecc! »
L'homme semblait impressionné par la force des nouveaux arrivants, mais se reprit bien vite à trop se dévoiler et fit mine d'un coup de ne pas être plus épaté que cela. La femme a côté de lui, mercenaire guerrier vu son accoutrement en maille, eut une mine dédaigneuse, soit en raison de l'apparence des arrivants, soit parce qu'ils avaient réussi là où eux étant en train d'échouer ... à moins que ça ne soit un peu des deux.




L'homme à la peau la plus sombre de tous s'approcha de la bassine à laquelle plusieurs, dont la princesse, venait prendre de l'eau pour éteindre les flammes . Quand il commença à humidifier sa toile, les soldats autour semblaient perplexes face à ses actions, mais Almah, probablement plus instruite, comprit rapidement ce qu'il s'apprêtait à faire, et ne tarda pas à agir à nouveau en princesse

«  Vous deux, attrapez l'autre côté et aidez-le! »
Les gardes s'exécutèrent en un clin d'oeil, la princesse en profitant pour s'arrêter un instant et observer la situation d'ensemble. Son inspection fut rapidement raccourcie par un Garavel ferme.

« Retournez à votre tente princesse, vos sujets sont là pour maîtriser la situation, ne prenez aucun risque! » dit-il tout en lieu attrapant le bras comme le ferait un père à sa fille désobéissante. À peine la bâche mouillée fut-elle placée sur le chariot qu'un nuage de fumée s'en échappa par le plafond avant de se disperser rapidement. Le chariot ne brûlait plus, ou très peu.


Les deux chameliers, une femme potelée et pâle accompagnée d'un katapeshien qui semblait avoir un bon penchant pour l'alcool regardait la nouvelle arrivée avec un étonnement franc.


«  Ma petite, merci pour votre volonté de nous aider mais ce que vous faites ne nous aid... » elle s'interrompit en observant le spectacle.


«  HHNNNNNNNNNNNNNNNNGGGG! NNNNNNGGGG! » des cris proches d'un énorme rôt sortaient de la bouche de ce qui semblait être le mâle le plus imposant, et les bêtes alentours semblaient attentives à son cri. Chameaux et dromadaires se rapprochèrent alors que le reste du bétail, plus prompt à réagir à l'appel de la graille suivait Piye qui traçait un chemin à coups de grains d'orge.


«  Eh beh, j'avais jamais vu ça de ma vie! Cette petite ma foi fort jolie semble avoir un don pour ses choses là, elle a la main du Vieux Borgne. »


«  Hadrod, garde tes remarques perverses pour toi! » lui dit-elle, outrée


«  Mais ma mie, je disais pas ça avec des arrières pensées, chui pas comme ça tu le sais. » répondit-il, gêné. Les bêtes arrêtant de s'affoler sur un grand périmètre semblaient permettre aux chameliers de reprendre leurs passionnantes aventures oratoires quotidiennes. Les bêtes n'étaient pas rassurées, mais au moins elles ne se dispersaient plus.





L'homme d'un âge certain, rougit un peu en voyant voler au secour des blessés une si belle femme. Ses petites rougeurs ne tardèrent pas à se répandre sur l'ensemble de son visage quand l'étrangère enleva son turban et dévoila alors une beauté digne des princesses du royaume.

«  Euh ... merci à vous soleil de la journée. Venez, posons les ici » dit-il en désignant un endroit un peu plus loin.
Il parut rapidement évident qu'il contemplait fréquemment la beauté d'Alia, profitant de son statu d'esclave pour contempler ses qualités charnelles, chose qu'il lui était certainement impossible de faire avec la princesse. Alia ne parvenait pas à empêcher l'état de la jeune femme de se détériorer, jusqu'à ce qu'elle aperçoive à sa ceinture un liquide rougeâtre présent dans une fiole. Alors qu'elle l'examinait, le vieil homme réagit vivement
«  Ah ... oui, on dirait une magie curative. Nous ne perdons rien à tenter, tenez-la bien et penchez sa tête en arrière ... oui comme ça ...  »
La femme, quelques instants plus tard, toussa très légèrement, faible comme jamais, son visage brûlé montrant ses premiers mouvements sous la vie qui se manifestait à nouveau en elle. L'homme blessé, de bonne carrure, tentant de vous suivre en avançant à genoux, observait la scène avec un soulagement non dissimulé, les yeux brumeux.

Modifié par un utilisateur lundi 5 octobre 2015 23:06:12(UTC)  | Raison: Non indiquée

Sarenrae, Fais que cela fonctionne.

Le liquide coula dans la gorge de la femme, Alia se mordit la lèvre inférieure nerveusement.

Je t'en supplie, Déesse, que notre mission ne débute pas avec un mort.

Un léger toussotement secoua le corp encore inerte de la brûlée. Entendant ce signe de vie, Alia releva la tête, un sourire illumina ses traits alors qu'elle regardait l'homme richement vêtu devant elle.

« Elle vivra ! Il lui faudra du temps pour se remettre de ses blessures mais elle vivra ! »

L'homme ne sembla pas entendre ses paroles, il la fixait, le regard légèrement vitreux et il semblait avoir des difficultés à avaler sa salive. Alia n'était pas surprise, elle avait vu ce même regard dans les yeux de tellement d'hommes... Elle songea brièvement qu'il allait lui falloir se renseigner sur lui afin de savoir jusqu'à quel point elle devrait le laisser s'approcher.
Mais pour l'heure, il y avait plus important. Elle reposa la jeune femme sur le sol avec précaution, se releva gracieusement et avança vers le blessé qui essayait de les suivre. Elle se pencha vers lui, lui entoura le dos de son bras et essaya de le soutenir, l'aidant à se relever pour se mettre définitivement hors de danger du brasier.

« Encore un peu de courage, ce n'est plus très loin, laissez-moi vous aider.  »

En soutenant l'homme, elle jeta un coup d'œil à la situation et constata avec soulagement que la situation semblait maintenant quasiment maîtriser. Il ne restait que l'arbre, sous lequel il y a peu de temps elle espérait une ombre salvatrice, qui brûlait encore.

Bhaal se remettait de son effort en évitant de croiser le regard de l'homme et de la femme qu'ils avaient aidés. De part et d'autre, les regards étaient peu amènes, mais il préférait regarder de côté plutôt que d'avoir à baisser les yeux. Par contre, il contempla Nemlak le demi-orque d'un œil neuf. Celui qu'il avait pris pour un mage fragile se révélait capable de retrousser ses manches et de se salir.

Lorsque Fahim, non loin d'eux, se remit à parler beaucoup et à tout le monde, la première réaction du tieffelin fut de penser qu'il parlait décidément trop. Mais lorsque ce dernier s'adressa à lui pour lui "suggérer" d'éteindre tout seul le feu qui s'était emparé de l'arbre vénérable, il éclata : « par la morbleu ! » Rugit-il, « me prends-tu pour un foutu bûcheron, demi-elfe ? Si tu pissais autant que tu parles, tu aurais pu éteindre cet incendie depuis longtemps ! »

Craignant néanmoins d'être taxé de mauvaise volonté s'il n'obtempérait pas, Bhaal empoigna rageusement sa bardiche et passa devant Fahim, lui décochant un coup d'épaule provocateur au passage, avant de s'atteler à la tâche du mieux qu'il put, en espérant que le fer de son arme tiendrait le coup. Il n'eut aucun mal à imaginer que chaque branche à laquelle il s'attaquait était le cou du demi-elfe à la langue trop pendue à son goût.

• Couper les branches : 1d20 donne [11] = 11

Je ne sais pas s'il y a un jet à faire, ni de quoi, mais je le fais au cas où...

Modifié par un utilisateur mardi 6 octobre 2015 21:49:16(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le camp observe, médusé, la gnome créer une sorte de pont d'étoiles devant la brute pourpre qui place des gros coups de hache dans l'arbre. Aussitôt au sol, les flammes sont étouffées par les gardes qui attendaient en tenant des couvertures.
Le vieil homme à côté d'Alia pousse de son bâton ce qui reste de la porte du chariot cramé. Un corps git au milieu, carbonisé. Alors qu'il se retournait vers la princesse, elle le fixait déjà du regard, inquiète, comme attendant la sentence.
Il hocha la tête tristement, en gardant sa tête légèrement inclinée, comme par déférence. Elle sembla meurtrie un court instant, se reprit rapidement, et fit signe aux nouveaux d'approcher. Garavel était déjà à ses côtés.

« J'étais craintive en voyant le côté atypique du groupe que vous m'aviez composé Garavel mais il a fait ses preuves à l'instant. » Elle observait chacun tour à tour.« Ça, je suppose que c'est celui qui n'est pas esclave. Sa mine me dit quelque chose, et il a le regard fier et portée sur l'horizon davantage que vers le sol. Ça, ça doit être l'esclave du clergé. Vous êtes trop bon Garavel, une aussi grande gueule mériterait un bon rappel à l'ordre. Ça, c'est donc le reste. Identifiez-vous esclaves, que je sache vos noms et compétences. »
Garavel précisa immédiatement :

« Le magicien ici présent dont je vous avais parlé se nomme Nemlak, c'est lui qui ...  » Almah le coupa silencieusement en levant l'index vers le ciel tout en hochant de la tête. Elle dévisageait les esclaves, froide.

Psychologie, DD15

Modifié par un utilisateur mercredi 7 octobre 2015 15:27:50(UTC)  | Raison: Non indiquée

 
Alia aida l’homme blessé à rejoindre la femme encore allongée et le vieil homme. Elle vit du coin de l’œil le géant rouge se soulever magiquement couper à coups de hache violents la branche de l’arbre en feu. Il abattait la hache comme s’il pourfendait quelque ennemi invisible, les paroles du demi-elfe semblait l’avoir mis en fureur. Elle n’avait pas fait attention à ce que ce dernier avait dit, mais le tieffelin semblait particulièrement susceptible.

La découverte macabre du corps calciné mit un terme à ses pensées, elle reporta toute son attention aux paroles d’Almah et aux réponses de Garavel. La princesse voulait qu’ils se présentent eux-mêmes, soit, elle allait obéir. Elle attendit que le demi-orque le fasse, en tant qu’homme libre il avait préséance sur le reste du groupe. Regrettant de n’avoir pas eu le temps de remettre son turban, elle fit un pas en avant, tête basse, les yeux vers le sol et parla d’une voix la plus humble possible.

« Je suis votre humble servante, Princesse. Je m’appelle Alia. Je distrayais mes anciens maîtres en dansant pour eux. Mais si je suis ici c’est que j’ai l’insigne honneur d’avoir été choisie par la Fleur de l’Aube et elle m’offre ses bienfaits pour combattre.  »

Toujours tête baissée, Alia recula d’un pas, espérant qu’un autre esclave attirerait l’attention de la Princesse. Celle-ci ne semblait vraiment pas commode et Alia n’avait jamais eu de rapports faciles avec les femmes.

Piye fait une tape amicale sur l'épaule de Bhaal... ou en tout du moins elle fait une tape aussi haut qu'elle peu près de l'épaule du colosse.

« Je savais que tu pouvais le faire, viens il est temps d'aller recevoir les lauriers de la victoire. »



Piye obéit à l'ordre de la princesse et viens se positionner pour écouter sa tirade. Elle lève les yeux au ciel quand sa majesté rappelle encore une fois et comme tout le monde ici le status d'esclave de la plupart des membres du groupe. Sa prise de parole commençait pourtant si bien. A son habitude elle s'avança d'un pas quand ce fut à son tour de prendre le parole.

« Je suis Piye et comme vous pouvez le voir je suis une gnomesse ce qui vous dit probablement plus sur moi que ce que je pourrais vous raconter en quelques heures.

En ce qui concerne mes talents... Et bien, telle que vous me voyez je suis en train de mourir à petit feu. Ne vous inquiétez pas ce n'est pas contagieux. » - Piye montre la décoloration blanchâtre qu'elle a au bout des doigts. - « Et c'est assurément un avantage de ne rien avoir à perdre quand il faut combattre des gnolls. Donc même si il faudrait en superposer deux comme moi pour faire un guerrier d'une taille correct je gage que j'ai deux fois la détermination du dit guerrier. J'espère que ce que vous avez vu durant l'incendie finira de vous convaincre de la qualité de notre groupe. »

Modifié par un utilisateur mercredi 7 octobre 2015 23:56:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

Garavel regardait ses pieds quand Fahim insista, même si c'était de manière plutôt polie. Il connaissait la princesse, tous ne pouvaient pas en dire autant.Almah se tut quelques instants et prit une grande inspiration silencieuse avant de répondre à tous.

« Merci pour vos sympathies. » Elle se tourna vers Nemlak.« Merci, j'espère moi-aussi que nous pourrons reprendre cette ville qui est nôtre de plein droit, et y faire à nouveau fleurir le commerce. » puis vers les autres « Ainsi je sais qui m'aidera à reconquérir la ville. Malgré votre statut d'esclave, il me paraît important de jouer franc-jeu avec vous et de me présenter à vous également. Je me nomme Almah Roveshki, et je suis la dernière de ma lignée. Mes ancêtres dirigeaient cette ville, et j'ai bien l'intention de reprendre ce flambeau. Si je vous ai rappelé votre statut, ce n'est pas pour vous donner un coup de fouet au moral, mais parce que je n'oublie pas qu'à l'issue de votre coopération, c'est précisément ce statut qui disparaîtra, ou non.
Certains ici n'ont plus rien à perdre, si ce n'est la servitude, mais je ne souhaite pas particulière échanger votre servitude contre votre mort, d'autant que les survivants affranchis, si ils me semblent dignes, seront les premiers à jouir d'un statut particulier à Kelmarane. Dans l'immédiat, je veux en savoir plus sur la mort d'Eloïas, et comme vous venez d'arriver, vous êtes les seuls dont je suis absolument certains qu'ils ne peuvent être liés à une éventuelle préméditation. Aussi, je vous demande d'enquêter à ce sujet, comme le proposait Fahnim bien justement. Vous pouvez interroger tout le monde et fouiller ce qu'il faudra fouiller si il y a nécessité. Je leur demanderai expressément de ne pas partir d'ici sans mon autorisation.
Quand cela sera terminé, vous pourrez venir me donner vos conclusions, et me questionner avec parcimonie si nécessaire. C'est Nemlak qui décidera de votre façon de procéder, et rien ne se fera de votre enquête sans son consentement éclairé. Quanc cette affaire sera dernière nous et que je pourrais l'enterrer convenablement, nous parlerons de la prise de Kelmarane ... et de votre paiement. »

Je vous laisse procéder comme bon vous semble. La liste des présents avec une brève description se trouve dans l'aide de jeu "pnjs rencontrés"

Modifié par un utilisateur jeudi 8 octobre 2015 15:48:15(UTC)  | Raison: Non indiquée

Alia regarda avec intérêt le demi-orque. Elle n'avait jamais vraiment fait attention à lui, il était toujours distant et ne s'approchait du groupe des esclaves que lorsqu'il n'avait pas le choix de faire autrement.
Il était impressionnant, sa carrure musclée témoignait de son ascendance bestiale mais son regard trahissait une haute intelligence qui tranchait avec son apparence.
Toujours est-il qu'il était maintenant le chef du groupe et il n'était pas commode.

Elle s'approcha de lui, attendit qu'il la regarde et prit la parole :
« Nemlak, je ferais mon possible pour vous aider dans cette enquête, comptez sur mon entière collaboration. Il me semble qu'avant de commencer, il nous faut savoir exactement ce que faisait Maître Eloïas, sur quoi portait ses recherches. Comment pourrions-nous déterminer qu'un objet n'a pas à être présent ou qu'un élément ne concorde pas si nous ne savons pas ce qui devait être là ? Peut-être devrions-nous d'abord interroger la Princesse là dessus ? »

Modifié par un utilisateur jeudi 8 octobre 2015 20:05:32(UTC)  | Raison: Non indiquée

Nemlak écouta la proposition de la jeune esclave de Sarenrae et répondit d'un ton légèrement sec.

« La Princesse ne doit être dérangée qu'en cas d'absolue nécessité.  »

Le demi-orque écouta alors l'esclave d'Abadar, et il était clair que plus ce dernier parlait, plus Nemlak semblait perdre sa patience. Il répondit alors agacé.

« Quant j'ai parlé de suggestion j'espérai avoir été compris esclave.
Si certaines de vos "propositions" sont intéressantes, je crains que le reste le soit beaucoup moins.
Tenter tromper les membres de la caravane sur nos desseins alors que Dame Roveshki ne s'est pas cachée pour nous confier cette enquête et que vous avez crié haut et fort que ce feu n'était pas accidentel me semble peine perdue. Quant à faire courir de fausse rumeurs, à moins que sous vos airs de "monsieur-je-sais-tout-mieux-que-tout-le-monde" vous soyez en mesure de tromper et mentir comme un marchand des Echoppes de Nuit c'est peine perdue et cela risquerai de nous mettre en porte à faux avec les autres membres de la caravane. Je vous rappelle qu'il faudra certainement plusieurs mois pour reprendre la cité, si dès le départ nous sommes prit pour des menteurs cela risque de porter préjudice à Dame Roveshki et à notre mission principale.
Enfin, si le traitre sais que nous cherchons il tentera peut-être de s'enfuir ou fera une erreur en tentant de camoufler ses traces, lui faire savoir que nous sommes sur ça trace pourrait tout aussi bien jouer en notre faveur. »

Après quelques secondes de silence il reprit, d'un ton plus calme.

« En revanche, je suis d'accord pour que nous nous séparions en deux groupes, cela devrait nous permettre d'avancer plus vite. Comme l'a suggéré Faim, un groupe qui s'occupera de l'étude de la charrette de l'alchimiste et un autre qui questionnera les hommes et les femmes qui composent cette caravane. Il me semble que le Père Zastoran en tant que suivant du dieu de la magie est celui qui devait parler le plus avec le décédé.
Mais si vous avez d'autres suggestion, je suis prêt à les écouter. »

Piye attendait que Bhaal prenne parole. Elle n'appréciait pas les vives critiques de Nemlak envers Alia et Fahim et elle espérait secrètement que le tiefling remette les choses à leurs places. Très bien, c'était donc à elle de convaincre Nemlak de lâcher du leste pour gagner en cohésion de groupe.

« Ce n'est pas une suggestion mais j'aimerais congratuler tout le monde pour nos réussites respectives aux défis qui ont été posés par cet incendie soudain. Nous pouvons faire de grande choses ensemble si nous parvenons à répliquer cet exploit. Lorsqu'il a fallu pousser ce chariot tout le monde a été mis à contribution esclaves comme hommes libres. » - Elle rajoute. - « Ces gens sont mes camarades. Je suis désolé Nemlak, je ne suis pas suffisamment en confiance pour vous faire part de mon analyse. »

Modifié par un utilisateur vendredi 9 octobre 2015 07:42:34(UTC)  | Raison: Non indiquée