Asclepios découpe avec sa dague le tapis présent dans la pièce pour en faire une corde, cela lui prend du temps qui semble faire s'impatienter certains de ces camarades mais il finit par arriver à atteindre son objectif.

La corde improvisée en place, il peut facilement sortir de la prison et y revenir. Il lui reste juste à trouver le moyen d'espionner la pièce voisine.

Modifié par un utilisateur lundi 12 décembre 2016 17:51:44(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ahlma n'était pas du tout ravie par la tournure des évènements. Ils avait enfin la possibilité de s'enfuir et ainsi de sauver leurs peaux, mais non... il voulait mettre à feu et à sang cette prison... D'un autre côté, si elle se faisait attraper par une patrouille extérieur, elle n'aurait aucune échappatoire non plus. Le choix était donc vite fait... tant qu'elle serait en compagnie de ses 3 vauriens, elle aurait plus de chance de s'en tirer que de faire cavalière seule.

C'est donc sur un ton blasé qu'elle répondit au "plan" qui se mettait en place.
« Faites comme il vous plaira... mais si ça se gâte trop, comptait pas sur moi pour risquer ma vie inutilement. »

Quelque chose semble bloquer la vision à travers la serrure, sans doute la clé laissée dessus de l'intérieur de la pièce.

Par contre, Asclepios semble avoir entendu le bruit d'une frottement, mais pas assez clairement pour l'identifier.

Asclépios chuchote également:« D'accord, on continue discrétos je suppose ? »
Toujours en mode furtif, Asclépios se déplace prestement pour regarder (et écouter) à travers le chas de la serrure de la salle d'entrée.
Laissant volontiers la place à Beth si celle-ci le demande.

Modifié par un utilisateur mardi 13 décembre 2016 18:34:43(UTC)  | Raison: Non indiquée

La porte est fermé et elle ne dispose pas de serrure apparente.

Tu entends deux personnes discuter de l'autre côté et tu semble reconnaître la voix du chef de la garde, mais n'arrive pas à comprendre la teneur de la discutions.

Tu n'est pas le plus discret, toutefois, s'ils t'ont entendu, cela ne les as pas troublé ni coupé dans leurs discutions, sans doutes par l'habitude d'avoir du passage et du bruit provenant de ce couloir.

Asclépios continue l'inspection et vient ouvrir discrètement la porte.

Il y passe la tête et découvre une grande cour intérieur vide de toute présence. Au milieu de celle-ci trône un promontoire qui avec sa potence et les cordes qui pendent sert clairement à exécuter les criminelles.

Il remarque aussi une salle à l'opposé et en tournant la tête à droite, remarque une double fenêtre mais un tissu posé à l’intérieur empêche de voir à l’intérieur de cette salle où un homme semblait présent.

La naine avait définitivement un caractère bien plus exaspérant qu'elle le pensait. Entre vulgarité et colère excessive, elle risquait de les conduire dans une situation inconfortable... mais cela avait un autre avantage... elle ferait une excellente diversion si les choses venaient à mal tourner.

Elle ne répondit pas à son insulte et la laissa repartir dans les couloir de la prison. L'autre palot et le don juan firent de même... qu'avait-il dont a ainsi vouloir risqué leurs vies à piller un lieu protéger par des hommes d'armes entrainé ? Pas étonnant qu'ils aient fini ici avec une telle attitude suicidaire...
Par sécurité, elle resta bien à l'abri dans la pièce ou elle se trouvait, proche de leurs sortie de secoure en attendant que les plus malin décide enfin de quitter les lieux.

Lorsque la naine revint avec les autres et sa "stratégie", elle ne put s'empêcher de soupirer de dépit.
« Très bien, très bien... et après on massacre tout les habitants de la ville ? Je ne suis déjà pas spécialement enjoué à l'idée d'avoir participé à cela, mais avant de penser pouvoir tué tout les occupants des lieux, n'oublie pas que nous sommes à la fois sous-équipés et blessés, ce qu'y n'est pas leurs cas. On ne sait même pas combien ils sont. Et ce n'est pas en butant tout le monde qu'on va résoudre notre problème de "tenue ensanglantée". Contentons nous de trouver leurs salle de repos, des vêtements correcte et barrons nous d'ici.

La Grande Déesse nous à déjà permis de survivre jusqu'à maintenant mais sa tolérance à des limites. »

Satisfaite de constater qu'elle n'etait pas la seule a avoir un semblant d'instinct de survie. Avec un peu de chance, ils sortiraient vraiment vivant de cette histoire.
« Je ne l'ai pas donner, tu ne risque donc pas de le deviner. »
Après un moment d'hésitation, elle soupira à nouveau résigné. Elle n'avait aucune envie de se présenter mais dans cette situation, faire preuve de bonne volonté ne lui couterai rien.
« Alhma... »

Elle n'ajouta rien de plus à son discourt et ne chercha pas à le retenir avant qu'il reparte explorer la zone.

Le prêtre prend son barreau de cellule, ferme la porte derrière lui en rentrant, puis furtivement vient asséner un vigoureux coup sur le garde assoupi, pas pour le tuer mais pour l'endormir encore plus, dans la mesure du possible. Ce qui aurait en plus l'avantage d'éviter les éclaboussures de sang dans tous les sens.
Coup de grâce sur le garde, en dégâts non létaux. Pour le garde jet de vigueur dd 17.

Modifié par un utilisateur jeudi 15 décembre 2016 17:28:15(UTC)  | Raison: Non indiquée