Le groupe restant décida alors de prendre la direction du sud afin de rejoindre Oreille-du-loup.

Sur le voyages, ils rencontrèrent des loups qu'ils purent supprimer et dépecer leurs peaux pour espérer en récupérer quelques po, ils profitèrent du reste du voyage pour se reposer et trouver facilement de quoi se rassasier afin d'arriver le plus en forme possible à destination.

C'est à l'approche du midi, lors de leur quatrième jour de voyage, qu'ils virent enfin le bourg, ou plutôt ses fortifications. La route qu'ils avaient empruntées s’enfonça dans le bourg par l'ouest sans se raccourcir en passant par un grand porche aux grilles relevés.

Vous étiez encore à un peu plus de 500 mètres de l'entrer, mais vous avez perçu deux gardes faisant le guet devant la porte. Sur la droite de l'entrée, un grand panneau de bois attira aussi votre attention, vous y remarquer qu'il y a beaucoup de papier d'accrocher sur celui-ci. Normalement ce genre de panneau sert à transmettre les directives des dirigeants ou à partager des ordres de missions disponible.

En regardant aux alentours, vous avez remarquer d'autres petits chemin amenant à la ville, mais vous sans savoir vers quel entrées ceux-ci amenait.

Almha avait déjà lu une carte sur Oreille-du-loup et durant le voyage, elle aura pu de mémoire vous indiquez deux trois emplacement dans le bourg de lieux importants.

Pour rappel, vous êtes niveau 2 et full vie.
La carte d'Oreille-du-Loup
+ 3 peaux de loups, je me suis permis de zappé le combat vu qu'il apportait pas grand chose.

Le désistement de Beth n'étonna pas D'mitri, qui se contenta d'un haussement d'épaule à l'annonce et d'un « Bonne route » en guise d'adieu.

Alhma avaient semblait-il une certaine connaissance de la géographie de la région qui leur permirent d'atteindre la localité d'Oreille du Loup, moyennant quelque errements, et une rencontre fortuites avec une poignées de lupins dont les peaux présenteraient l'avantage de leur rapporter quelques piécette, pour peu qu'ils arrivent à ne pas mettre la ville à feu et à sang avant.

« C'est ça Oreille-du-Loup ? » demanda-t-il, puis observant ses compagnons cachés derrière un arbre en marge du chemin il leur fit remarquer, sarcastique « Vous savez, pour ne pas avoir l'air suspect, le mieux reste encore de ne pas se comporter comme tel... »
Il sembla se raviser, se rappelant l'origine du surnom du Pelé et finit par conclure « On pourra pas couper court à la petite enquête ... Le mieux c'est qu'on se mette d'accord sur une histoire commune. Alhma, tu parais connaitre un peu l'endroit, ne connaîtrais-tu pas le nom d'un marchand du coin qui pourrait être intéressé par ces peaux ? »

Au côté :

droit : Rapière de maître (+6, 1d6-1), Dague en fer froid (+5, 1d3-1)
gauche : Dague (+5, 1d4-1)

Modifié par un utilisateur lundi 6 mars 2017 15:49:45(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Avec ça, on a notre alibi pour rentrer en ville » dit le demi-elfe en observant les pièces de parchemins ramenés par le corbeau.
Il s'aperçut alors que le Pelé essayait de se rendre présentable et, devant l'ampleur de la tache aux yeux de D'mitri, il décida dans un élan de charité, de lui donner quelque conseil « Hésite pas à forcer sur le fond de teint ! »

D'un clin d'oeil il marqua son approbation à la proposition d'Alhma, prenant à son tour sa part de fourrure.
« On se retrouve à la taverne, beau gosse ! » lança-t-il à Asclépios en se dirigeant avec la rousse Alhma jusqu'au portes de la ville.

Au côté :

droit : Rapière de maître (+6, 1d6-1), Dague en fer froid (+5, 1d3-1)
gauche : Dague (+5, 1d4-1)

Le groupe se sépara en deux et se dirigea à l’intérieur de la ville.
Les gardes posté à l'entrée n'ont pas sourcillé en vous voyant, signe que vos méfaits de Landecorbeau n'avaient pas quitté la ville ou n'étaient pas encore arrivés jusqu'ici. Fait qui semble se confirmer alors que personne ne détourna le regard vers vous lors de votre parcours de celle-ci.

Après avoir traverser la ville, le groupe tomba finalement sur la brasserie/taverne se trouvant dans la ville basse qu'Almha avait pu resituer.

Le bâtiment, possédant un étage, était fabriqué dans un vieux bois et renforcé avec des plaques de cuivre terni qui rassurait, car la devanture ne faisait pas rêver et le bâtiment semblait capable de s’effondrer au moindre coup de vent. Un large panneau tenait en travers et on pouvait y déchiffrer "Chez Eldo".

L’intérieur était éclairé par des lampes à huiles et il y régnait une odeur de transpiration et de fumée.
Des bancs sont disposés autour de caisses et de tables de différentes tailles. Au fond du rez-de-chaussée, un bar imposant trônait sur les lieux et un nain grisonnant se tenait fièrement derrière donnant des ordres à une serveuse qui s'occupait de la dizaine de clients présents.
Un large escalier près du cercle de terre mène au premier étage, duquel un balcon surplombe une partie du rez-de-chaussée.

Une fois que le pelé s'est copieusement repoudré le nez, il rentre en ville, non sans avoir eu un peu d'appréhension en passant devant les gardes. Puis il se dirige vers la taverne "Chez Eldo", d'après les vagues souvenirs d'Alhma.
Il se sera sans doute perdu avant d'arriver à la dite taverne, mais avec l'aide de son corbeau, et au pire en demandant quelques renseignements à un quidam, il finira par trouver.

Installée à une table, vous avez pu observer les lieux et surtout les personnes s'y trouvant. Ils semblaient n'y avoir que des habitués, la plupart paraissaient se connaître et se partageaient les verres en discutant de choses futiles et sans intérêt

La serveuse, malgré sa tenue vétuste, tranchait avec les lieux par son élégance naturelle. De nature timide, elle parlait peu et n'osais faire mieux que rougir ou se cacher quand son patron l'engueulait ou qu'un client lui faisait une remarque déplacée.
Elle eu d'ailleurs du mal à articuler clairement après que D'mitri lui fasse du charme.

Cette dernière vous servit les boissons, qui étaient plutôt de bonne qualités. Elle eu d'ailleurs du mal a trouver ses mots et expliqua aussi à Alhma de se rendre sur la place centrale de la ville car on y trouvait toutes les boutiques, mais qu'une petite boutique habitués au troque se trouvait plus proche de la taverne.

« On peut toujours faire les boutiques, et demander en passant s'il y a eu d'autres étrangers, à part nous, qui soient arrivés récemment en ville. »
D'ailleurs tout en passant commande auprès de la serveuse, le pelé en profite pour lui poser la question fatidique:« Mademoiselle, vous faites aussi auberge ici ? »
Si la réponse est oui:« Vous avez eu quelques nouveaux clients ici récemment, pour boire ou pour rester dormir sur place ? »
« D'ailleurs vous même, vous n'avez pas l'air d'être de la région, mais je me trompe peut-être ? »

Modifié par un utilisateur lundi 27 mars 2017 17:27:42(UTC)  | Raison: Non indiquée

La serveuse fut gênée d'être enseveli de questions et la drague de D'mitri qui ne la laissait pas insensible ne l'aida pas à clairement s'exprimer et bafouilla à chacune de ses phrases, les joues teintées d'une couleur rouge.

Vous apprendrez qu'il y a des chambres de libres à l'étage et que vous pourrez en avoir une chacun sans problème et qu'il n'y avait pas plus de clients ou de clients inhabituels que d'habitude.
Au contraire, quittant rarement la taverne, à part pour faire quelques emplettes rapides, elle n'a pas su vous informer sur ce qu'il pourrait se passer dans le coin et elle ne pouvait pas compter sur les habitués trop souvent imbibé pour avoir des informations cohérentes.
Vous aurez pu remarquer qu'elle aura aussi pris soin d'esquiver les questions portant sur sa personne, mais sans doute plus par timidité qu'autres choses.