L'ennui gagnait Kivir. Les journées était longues et rébarbatives.
Mais le 28 il eu cette dame. Kivir ne voyait pas tout mais une femme était en panique.
« 
Madame calmez vous. Expliquez nous calmement.

 »

Kivir tenta un geste rassurant sur son épaule.

Jal est un piètre orateur et la persuasion n'a jamais été son fort. Plus rude que diplomate, c'est avec soulagement qu'il voit Kivir et Sirinus intervenir.

« Oui nous allons vous aider Madame ! » se contente t-il de dire sur un ton neutre.

La jeune femme semblait se calmer grâce au parole réconfortante de Sirinus, et l'appui de Kirvi. Elle s'assit et commença à raconter son histoire.

« Je vis depuis toujours à Pointesable avec mon mari Alergast. Nous avions eu deux enfants, Vérah le bébé ici présent, et Aéren le plus grand. Le jour de l'attaque Aéren a vu les gobelins attaquer et mettre le feu à des animaux. Ils ont allumé un feu sur un cadavre de chat et ont dansé autour. Depuis il n'était plus le même. Chaque nuit, depuis l'attaque, il se mettait à hurler de terreur, ce qui déclenche des aboiements de Pétale, notre chien. Il nous parlait d'un monstre du placard qui sortait la nuit. Mais on a pensé à des inventions d'enfants, comme ils en font tous avec leurs imaginations, surtout quand on se déplaçait et que finalement la chambre de Aéren ne contenait pas de monstres.
Pourtant notre fils nous affirmait qu'il avait vu un gobelin dans son placard, mais mon mari n'a rien trouvé de tout cela à part des bottes et des vêtements. Au bout de quelques jours, mon mari a perdu patience et a menacé Aéren d'aller dormir dans la remise si il ne pouvait pas apprendre à être enfin un homme et dormir une nuit entière sans pleurnicher, ni contrôler son imagination.
Alors hier soir, nous avons décidé avec mon mari de ne pas intervenir. "Au grand mot, les grands remèdes" avait-il dit. Il ferma la porte de la chambre d'Aéren et nous ne sommes pas intervenus lors de sa "terreur nocturne". »

Tout le monde écoutait attentivement l'histoire de la jeune femme. Elle recommença à sangloter et tendit le linge ensanglanté à Sirinus. Du sang était maculé dessus et des mailles étaient déchirées comme si on avait tiré dessus.

« C'est alors qu'on a entendu Pétale poussé des aboiements puis un hurlement de douleur. Ensuite on l'entendit plus. Puis Aéren cria comme d’habitude, et exaspéré mais content de voir son fils ayant vaincu sa peur nocturne. Il alla le féliciter au matin. Au lieu de cela, Alergast trouva un gobelin sur la poitrine de mon fils, il lui tenait la gorge et lui mordait l'un de ses bras. Il avait déjà mangé l'autre bras. J'ai vu que Pétale avait un couteau planté son oreille et beaucoup de sang autour. Mon mari est devenu fou. Il criait. Il insultait le gobelin du placard et on entendait qu'un ricanement malsain du fond du placard. Il alla chercher dans la remise une hache et commença à démolir le placard de la chambre. Je me suis dis qu'il était mieux que je vienne vous chercher. Il faut m'aider, je ne sais pas quoi faire, mon fils est mort :'(  »

Écoutant la conversation, Lummyn ne savait pas trop où se mettre.
D'un côté, elle trouvait la situation horrible, il n'y avait pas d'autre mot. D'un autre côté, elle trouvait que le mari s'était comporté comme un imbécile, et à prendre les craintes des autres pour du vent, il avait lui-même provoqué cette situation. "Aux grands maux, les grands remèdes" hein... et celui là de maux, était-il suffisamment grand pour qu'il prenne la menace des gobelins au sérieux ?
« ... Bien, emmenez nous voir votre mari, on va lui parler » dit-elle d'un ton froid.

Ce n'était pas une situation qui l'enchantait, et pour de nombreuses raisons. Elle n'aimait ni le gore, ni le fait de régler des problèmes sociaux, à priori, et pas non plus le fait de devoir le faire gratuitement. Elle était venue en quête d'aventures et, de préférence, de richesses également. Cette situation était non seulement gênante, mais elle ne s'y attendait pas surtout.
Le fait d'être "de garnison" également, mais ça, c'était juste pour rendre service un temps, ça ne sera pas éternel, et les tieffelins vivent vieux... très vieux...

Essayant de se calmer, prenant la main de la dame :
« Écoutez, je sais que ce n'est pas facile, mais essayez de penser à autre chose, on va se charger de ça.
Allez voir Ameiko et racontez lui la situation, elle s'occupera de vous »

Sirinus réfléchit rapidement à ce qu'il venait d'entendre.

« Nous ne pouvons pas laisser cette femme et cet enfant dans cet état. Je vais l'accompagner au près du Père Zantus afin qu'il prenne soin d'elle, je vous rejoindrez chez elle dès que cela sera fait, soyez prudents. »

Sur ces paroles il attrapa la femme par les épaules et commençât à l'entrainer vers la cathédrale.

C'est alors qu'après que vous aviez eu l'adresse de son domicile, vous prenez la direction de sa maison. En arrivant sur place, des badauds vous reconnaissent et viennent se confier :

« On a entendu des cris, des insultes, beaucoup de boucans, puis plus rien. Y a une femme qui est sortie en courant aussi avant. »

En effet, les gens regardaient avec inquiétude la maison, dont la porte était entrouverte. Plus aucun bruit en sortait. Si on tendait l'oreille, on entendait que les murmures des gens qui commençaient à faire tourner des rumeurs. C'est une petite maison, qui fait quelques mètres de côté et n'a apparemment pas d'étages. Depuis la fenêtre qui donnait sur la rue, on apercevait la cuisine rudimentaire de ce logis. Au fond de la pièce, on voyait plusieurs accès (deux portes), l'une ouverte et l'autre fermée.

Pas de carte, car c'est pas nécessaire

Pas besoin de le dire deux fois... Rasvan avait annoncé la couleur et Kivir en plus n'y était pas vraiment sensible... Il attendit que Jal soit prêt et lui même avec son bouclier en avant, gourdin en main. Il ouvrit la porte d'un coup et contempla comme il pu la pièce laissant aux autres une vision d'ensemble.

• Jet de perception : 1d20+7 donne [14] + 7 = 21

Alors qu'il inspectait le seuil de la porte ouverte à la recherche de traces de gobelins il entendit l'autre porte s'ouvrir avec force.
Aussi il entra prestement, arme en main, tout en observant attentivement l'intérieur de la maison.



Notre paladin est là ou pas ?

Tu peux arriver alors qu'ils ne sont pas encore entrés

La maison été calme et sans bruit lorsque vous pénétrez. Vous entendez des grattements contre le bois. Dans la pièce ouverte. On aperçoit la chambre parentale alors que en face de celle ci, la chambre la porte fermé.Il vous faut forcé pour l'ouvrir et y voir un spectacle macabre et horrifiant.

En premier vous voyez le corps sans vie de le enfant qui est allonger dans son lit en second le chien au pelage marron dont la tête est transpercer d'un couteau par l'oreille.Les traces de sang indiquent une lute entre une petite créature et un humain
on peut remarqué des empreintes sur les murs et sur le plafond. Elles mènent jusqu'au placard, où un corps immobile est allongée sur le sol mais la tête est située dans le placard. On ne peut donc pas la voir. Une hache est serrée dans sa main droite.

PS : Quelqu'un a écrit pour moi, il est en 4e d'où les fautes. Excusez moi je suis malade depuis samedi, c'est une horreur.