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Cité dans la brumeVos yeux semblent vous tromper, et vous peinez à comprendre ce qui se passe, ou où vous vous trouvez. Vous êtes debout au milieu d'une rue que vous ne reconnaissez pas, sans la moindre idée de comment vous êtes arrivés là. A vos côtés se trouvent quatre autres personnes, qui vous semblent étrangement familières, sans que vous ne parveniez à savoir ce qui vous lie à ces gens. Au delà, le paysage est celui d'une immense cité dont la simple vue vous met mal à l'aise. Les tours, les spires se déroulent dans un ciel à la teinte profondément jaune, ocre et malsain. Les murs et les rues se tordent selon des plans impossibles, et ce labyrinthe urbain est, à l'exception de votre présence, entièrement désert. Pas un oiseau sur les lanternes et réverbères, aucun rat dans les coins sombres, et pas la moindre présence...  ???? CA 22 (C11, D21) Réf+3 Vig+2 Vol+4 SM33/33-Normale Etat : perdue Une jeune femme rousse, portant une armure brillante et élegamment travaillée, un oeil aveugle fixant le vide, vous regarde, clairement aussi confuse que vous. « Qu'est ce que je fais...? Où sommes nous...? Qui...? »Elle n'eut cependant pas le temps d'aller plus loin. Dans le canyon des rues où vous vous tenez, une brume jaune, épaisse, huileuse, avance vers vous comme une vague dans la tempête, dévorant les pavés humides. De l'autre côté, la rue se séparait en deux courbes, vers la droite et la gauche. Derrière vous, dans le brouillard, un bruit de pas résonne. Lent, et malgré tout, il semble progresser au même rythme que la brume qui envahit la rue. Thoulkas
Tu ne portes pas grande chose sur toi en dehors de tes vêtements, mais tu sers dans tes mains une arbalète chargée d'un unique carreau.
Rhajzad
Tu ne portes sur toi que tes vêtements, mais tu sens tout de même les deux épingles à cheveux en ébène qui ne te quitte jamais fixés dans ta longue chevelure. Tu es effrayée par cette situation, mais tu sens tout de même la puissance au coeur de ton esprit répondre à tes pensées.
Faenïl
De ton point de vue, la cité paraît encore plus gigantesque. Heureusement, tu sens dans ton poing ganté la poignée d'une dague dans son fourreau.
Domrod
Contrairement aux inconnus qui se trouvent avec toi dans cette ruelle, à l'exception de la femme rousse, tu portes une armure, mais sa protection te paraît bien futile. Tu as aussi sur toi un écu et un cimeterre...et un pendentif autour du cou, représentant un marteau. Tu ignores ce qu'il signifie, mais tu te sens malgré tout un peu rassuré par sa présence.
Jet d'Initiative! Vous pouvez ensuite agir. Vous êtes craintifs (-2 contre la peur à la perception, +1 initiative)Modifié par un utilisateur dimanche 9 décembre 2018 16:44:57(UTC)
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 Orlamm CA : 19/11/18 Châtiment : 1/1 S.Mentale 35/35 Etat : craintif Le nain reprit conscience en pleine rue, sur ses jambes, ce qui laissait entendre qu'il ne venait pas de sortir des bras de Morphée ou d'un quelconque état d'évanouissement. Il vit 4 personnes qui paraissaient être dans le même état de désarroi que lui. Il sentait confusément qu'il les connaissait et moult questions lui venaient à l'esprit. Mais il n'eut même pas le temps de commencer à réfléchir à l'une d'entre elle. En effet, une brume malsaine commençait à se répandre dans la rue dans leur direction. Il semblait qu'une personne progressait en son sein. Il resta un court instant interdit, pris par l'angoisse de voir percer à travers ce brouillard 2 grands yeux jaunâtres. Mais, ne les apercevant pas, il se ressaisit. "Je ne sais pas où nous sommes, mais je pense qu'il est préférable de se mettre hors de portée de cette brume." grogna-t-il dans sa barbe tout en sortant son arme de son fourreau. Modifié par un utilisateur dimanche 7 janvier 2018 22:06:55(UTC)
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 Lisbeth CA : 13 SM : 38 Une jeune elfe des profondeurs, ou du moins quelque chose y ressemblant fortement, se tenait là, hagard, debout. Ses yeux semblaient avoir été entourés de sang noirci, sa peau était grisâtre et ses cheveux blancs maintenus dans un chignon tenant avec quelques bouts de bois. En plus de ses vêtements, seule une arbalète lourde chargée semblait lui appartenir. Sur celle-ci on pouvait voir des runes luisantes dorées. « Ne traînons pas, ça dit rien qui vaille. » Elle cracha à même le sol en commençant à se diriger vers le nain. Voyons le bon côté des choses, le nain se fera avoir avant. « Quelqu'un sait pas où aller? Allez on se magne! »Modifié par un utilisateur dimanche 7 janvier 2018 22:21:43(UTC)
| Raison: Non indiquée | Le ridicule ne tue pas et ce qui ne tue pas rend plus fort, donc le ridicule rend plus fort
Les blagues faut toutes les faire on ne sait jamais qu'il y ait une bonne.  |
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 Raayaatma CA12 (C12, D10) Niv0:5 Niv1:3/3 Réf+2Vig+0Vol+2 SM44/44-Craintive Une (très) belle humaine, au teint hâlé, aux vêtements de soie bleue et dorée, et aux étranges yeux céruléens s'était accroupie, écartant les mains, paumes ouvertes, pour bien montrer qu'elle n'était pas armée. Où était-elle ? Quels étaient ses... compagnons ?... et comment étaient-ils arrivés... là ? Ses yeux se mirent à étinceler* malgré la nuit tandis qu'elle les tournait vers le brouillard jaune et intimidant, alors qu'elle tentait de retrouver ses esprits... et le moindre repère utile !
Détection de magie dirigée vers le brouillard. - Art de la magie : 1d20+8 donne [5] + 8 = 13
- SibesoinConcentration : 1d20+5 donne [13] + 5 = 18
- Connaissances : 1d20 donne [12] = 12
avec bonus +9 en mystères/+5 en local
Modifié par un utilisateur vendredi 2 février 2018 00:23:54(UTC)
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 Qui suis-je? Etat : craintif
For 7 | Dex : 16 | Con : 12 | Int : 12 | Sag : 12 | Cha : 18 Santé : 10/10 Santé mentale : 42/42 Sorts niveau 1 : 4/4 Inspiré : 1/1 Poussé par la culpabilité : 1/1 Couper du temps : 1/1
Au milieu de la voie, les genoux émergeant à peine des épais filets de brume ocre qui renardaient à travers les rues, se tenait un petit homme. Ses cheveux mi longs encadraient un visage au teint halé et au charme ténébreux, alors que la forme de ses oreilles soulignait, si sa taille n'y suffisait, son appartenance au peuple halfelin.
Éberlué, il contemplait sa main gauche, gantée de cuir fauve, qui serrait avec vigueur une fine dague d'acier. Puis soudain, un frisson le parcouru... Qu'en était-il de sa main droite? Constatant qu'elle portait également le gant, il s'autorisa un petit soupir de soulagement. Après avoir frôlé pareille incongruité, le reste de la journée ne pouvait être que bonne.
Un rapide examen de son entourage le détrompa. La cité, telle un grotesque labyrinthe cyclopéen, étalait sa monstrueuse immensité que venait encore alourdir les volutes de brume jaune. Les personnes qui l'accompagnaient n'enjolivaient guère la situation. Tous paraissaient immense, la plupart peu engageants, mais ils semblaient aussi perdus que lui-même.
Comment ais-je fait pour me retrouver dans cette situation?, se prit il à penser. Car enfin, il ne se rappelait pas avoir fait quoi que ce soit qui l'ait entraîné dans cette situation... Mais à vrai dire,... en fait de souvenir,... il ne se rappelait absolument rien. Un véritable trou noir. Il avait oublié tout, jusqu'à son nom.
Tout,... Enfin,.... Presque tout
Il y avait tout de même "ça", là,...
Le truc. , songea-t-il en observant à nouveau sa main droite.
Celui-là, il ne risquait pas d'oublier sa présence,.... Ni ses conséquences, ni la manière dont il était entré dans son existence, ni les sentiments mêlés de honte, de dégout et d'impuissance qu'il lui inspira. Dans son esprit, "ça" prenait l'apparence d'une chose obscène, dégoutante. Il avait beau se raisonner et se prouver qu'une telle représentation du "truc" était absurde, tel était pourtant son ressenti. A dire vrai, il n'était même pas certain de l'avoir réellement observé depuis la première fois, ... Mais comme la mémoire lui manquait, il n'aurait pas pu le jurer.
Alors qu'il s'extrayait peu à peu de ces pensées, il lui sembla que ses compagnons d'infortune reprenaient eux aussi leurs esprits. Et comme lui, ils s'inquiétaient de la progression de la brume et de celui qui marche en son sein. « Er, .... Tiim ee, ene züiliig khiikh zamdaa büü üldee », acquiesça-il au proposition de retraite des autres. Stressé par les étranges événements qui se déroulaient et ayant oublié la discipline nécessaire pour s'exprimer de manière intelligible, il avait sans s'en rendre compte utilisé l'idiome de ses cauchemars. Aklo
« Heu,.... Oui, ne restons pas sur le chemin de cette chose »
Observant qu'ils aurait bientôt le choix entre deux voies, il scruta attentivement la configuration des deux rues entre lesquels ils devraient probablement faire un choix.... Se déplacera avec le groupe dès que le groupe se déplacera. Observe les deux voies, en particulier la taille et la complexité des bâtiments de grande taille que l'on peut voir au dessus des toits des maisons proches. L'une des deux directions peut peut-être nous diriger vers le centre de la cité?
- perception : 1d20+7 donne [9] + 7 = 16
Modifié par un utilisateur lundi 8 janvier 2018 13:15:40(UTC)
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Cité dans la brumeRaayaatma
Les connaissances mystiques de la jeune femme ne lui étaient d'aucune aide en ces étranges circonstances. La ville n'était pas naturelle, mais elle ne parvenait pas à savoir d'où cette impression lui venait, et encore moins ce qui se tramait ici. L'endroit était simplement trop...alien...pour que son esprit parvienne à l'identifier clairement. Nulle magie en ces lieux, en tout cas, elle ne parvenait pas à en percevoir. Pour l'instant. En revanche, elle parvint à identifier la langue que parlait le petit halfling. Il s'agissait du Aklo, langue sinistre parlée par des créatures maudits, cultistes déments et les rares braves qui osaient se risquer à les étudier.
Faënil
La cité qui les encerclait était trop immense pour que le halfling ne réussisse à l'appréhender, encore moins à s'orienter. Tout ce qu'il parvenait à distinguer, c'est que l'une des ruelles descendait vers les berges d'un lac, et que l'autre montait vers une colline, mais toutes deux étaient deux veines dans l'immense réseau des rues de cette ville. Les bâtiments dont la silhouette se profilait au dessus de la ligne des toits, obstruant la moitié du ciel, te sont pour la plupart inconnus. Tu reconnais entre autre des donjons fortifiés, une immense tour d'arcs de fer, des spires d'albâtre, et une étrange pyramide à degré, mêlant architectures et origines et leur simple vue suffit à t'affliger d'une violente migraine.
 ???? CA 22 (C11, D21) Réf+3 Vig+2 Vol+4 SM33/33-Normale Etat : perdue Alors que les cinq mortels perdus dans ces rues incompréhensibles hésitaient et se questionnait quelques instant, le brouillard poursuivait son avancée de plus en plus rapide, comme une vague déferlant dans la rue. Le bruit de pas à l'intérieur des volutes jaunes se pressa, alors que leur invisible poursuivant se rapprochait. La brume n'était plus qu'à quelques mètres, lorsque, voyant que les autres hésitaient, la jeune femme rousse saisit son bouclier et secoua la tête, un rictus furieux tentant vainement de dissimuler sa crainte. « Je ne vais pas simplement tourner les talons et fuir! »Avec un cri enragé, sans doute pour gagner quelque courage cruellement manquant, elle chargea vers la brume, disparaissant dans les volutes. Il y eut un instant de silence. Une fraction de seconde plus tard, les volutes se contractèrent violemment, entrant en effervescence. Un hurlement à vriller les tympans résonna du brouillard, accompagné d'un fracas de métal. Une gerbe de sang éclaboussa les pavés à la limite du brouillard, les teintant d'écarlate. L'éclaboussure sembla former un mot. "Aidez". Un autre bruit métallique résonna alors qu'une main gantée d'acier, arrachée au bras qui la portait, s'écrasa contre un mur tout proche. Une poignée de secondes après que la jeune femme soit entré dans le brouillard, les cris cessèrent et la muraille de brume se remit en marche, de plus en plus rapide, filant vers les quatre survivants! | Cry havoc, and let slip the hellhounds of war. |
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 Lisbeth CA : 13 SM : 38 La drow se tourna vers la main qui avait volé non loin d’elle « Fuyons! » Merde chacun pour soi ! Elle dégaina alors l’arbalète, prête à l’utiliser sur la moindre menace, et se mit à courir assez rapidement. Assez vite elle chercha du regard un endroit pour se cacher, se doutant que la brume allait la recouvrir, mais espérant passer inaperçu aux yeux de ce qui pouvait bien se trouver dedans. Sa curiosité ne put alors être réfrénée, si bien que depuis sa cache d’où sortait l’arbalète elle observait la réaction des 3 autres mortels restant. - Perception : 1d20+5+2 donne [7] + 5 + 2 = 14
- Discrétion éventuelle : 1d20+7 donne [13] + 7 = 20
Modifié par un utilisateur lundi 8 janvier 2018 12:05:37(UTC)
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 Raayaatma CA12 (C12, D10) Niv0:5 Niv1:3/3 Réf+2Vig+0Vol+2 SM44/44-Craintive Conservant l'activation de sa double vue arcanique, ce n'est pas ce que la belle brune trouva dans le brouillard mais ce qui en sortit, avec élan et projection sanglante, qui la fit opter pour une retraite immédiate. Vers le bâtiment le plus proche, d'abord, à la recherche d'une porte ou quelconque ouverture : rester dans la rue n'étant manifestement pas une option raisonnable. Elle s'éloignerait ensuite au plus vite de l'avancée jaune servant d'écran à quelque puissant assassin progressant vers eux, testant chaque possibilité durant sa fuite avec l'espoir de trouver porte ouverte... et la ferme intention de s'y engouffrer aussitôt. Pour une fois, je regrette de ne pas être encombrée d'une paire d'ailes...Modifié par un utilisateur vendredi 2 février 2018 00:24:34(UTC)
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 Qui suis-je? Etat : craintif
For 7 | Dex : 16 | Con : 12 | Int : 12 | Sag : 12 | Cha : 18 Santé : 10/10 Santé mentale : 42/42 Sorts niveau 1 : 4/4 Inspiré : 1/1 Poussé par la culpabilité : 1/1 Couper du temps : 1/1
Constatant que ses paroles semaient -si besoin en était- encore un peu plus le trouble dans l'esprit des autres, le petit homme se rappela qu'il devait s'efforcer d'utiliser une langue humaine s'il voulait être compris de tout un chacun. Encore une conséquence de ce truc songea-t-il avec amertume. Tandis qu'ils fuyaient à toutes jambes il désigna du menton l'une des deux rues qui semblaient, plus que l'autre, les diriger vers la ville haute... « Par là,... Ca monte vers les hauteurs de la cité. » énnonça-t-il en retrouvant après quelques efforts le sabir commun que la plupart des humains comprenaient. « Ce brouillard ne va peut être pas submerger totalement la ville. » Encore fallait il que la brume se comporte de manière rationnelle, et un vilain pressentiment lui soufflait que ça n'allait pas être aussi simple. Du coin de l’œil, il put constater les efforts de la belle dame pour trouver asile dans l'un des bâtiments. Être en haut d'un immeuble pourrait nous soustraire au brouillard,... Mais nous serions dès lors à la merci du tueur qui ne manquerait pas d'en émerger pour peu qu'il puisse localiser notre cachette.. L'autre dame, l'elfe qui parlait comme un vieux soldat, semblait également vouloir trouver une cachette. « Venez, gentes dames. » les héla-t-il. « Nous nous cacherons lorsque nous serons hors de vue de cette... chose. »Modifié par un utilisateur lundi 8 janvier 2018 21:14:40(UTC)
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 Orlamm CA : 19/11/18 Châtiment : 1/1 S.Mentale 35/35 Etat : craintif Orlamm avait bien essayé de retenir la jeune femme. Malheureusement, elle avait été trop rapide. Elle avait été terrassée avec une efficacité terrifiante, et le nain, à l'instar du halfelin, estimait qu'il fallait tenter de fuir les lieux aussi prestement que possible. Les courtes pattes du halfelin et les siennes n'allaient pas faciliter la tâche, mais ils n'avaient pas le choix. Aussi, se mit-il en route dans la seconde. "Je suis on ne peut plus d'accord." adressa-t-il à la cantonade. Modifié par un utilisateur mardi 9 janvier 2018 09:47:34(UTC)
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Cité dans la brumeLes quatre survivants se mirent à fuir, chacun cherchant une issue à ce cauchemar et peinant à se coordonner. La jeune femme aux yeux bleus et la drow semblaient vouloir trouver une cachette, tandis que le nain et le halfling fuyait vers les hauteurs. Les rues semblaient se tordre devant eux, les pavés devenus glissants les empêchaient de fuir, les murs de briques paraissaient se tordre, former soudain une voûte bloquant le ciel fuligineux, les enfermant dans une avenue devenue tunnel...  Malheureusement, le brouillard insatiable était sur leurs talons et avançait plus vite qu'ils ne pouvaient fuir. A quelques pas derrière eux, la brume se fendit soudain, révélant une haute silhouette élancée et sinistre. Une créature portant un masque de lambeaux grisâtres, des pans de haîllons trop épais pour n'être que du tissus rampant et se resserant autour de son corps. Un corps beaucoup trop maigre et flexible pour être humain. Des rubans de gaze se tendent dans votre direction, encore trempés de sang. La créature, une lame ensanglantée à la main, bondit en avant, la brume le suivant comme un raz-de marée.
Le nain fut le premier à être happé par le brouillard qui envahissait les rues. Un bruit de bois fracassé retentit, ainsi qu'un crissement de métal. Un hoquet sourd, des bruits de coups, et le raclement de l'acier sur l'os laissent présager de la violence de l'affrontement...jusqu'à ce qu'avec un choc sourd et une gerbe de sang, la tête du nain ne roulent vers les trois survivants. La bouche auréolée d'une barbe poissée de sang s'ouvre légèrement, laissant échapper un mot: Aidez...Domrod
Dans la brume, tu es aveugles, ou presque. Les volutes ocres sont partout, poisseuses comme de l'huile, t'empêchant d'y voir quoi que ce soit. Soudain, des rubans de gaze surgissent de nulle part, frappant ton bouclier avec la force d'un bélier et le brisant en deux. Tu frappes de ton cimeterre, sans effet. La créature te tombe dessus par derrière, transperçant une part de ton armure. Tu luttes, et parvint à lui fendre l'abdomen d'un coup de sabre, mais la chair se referme comme si elle n'avait jamais été blessée, comme la brume autour de vous. Tu n'as que le temps de te figer de surprise et de terreur que la créature te saute au visage, son rictus de dents affilées comme des aiguilles la dernière chose que tu distingue avant que l'acier de sa dague ne t'arrache la gorge et que tout ne devienne noir. Un seul mot te parvient. Aidez...Mourir
Tu t'éveilles en sursaut et souffrant de la migraine la plus violente dont tu parviennes à te souvenir! A te...en fait, tu ne te souviens plus de grand chose. Tu t'appelles...Orlamm...Orlamm...Torne...Tor...quelque chose comme ça. La dernière syllabe t'échappe de justesse. Tu sens le sol froid et humide sous ta joue et à travers le fin tissue qui te sers de vêtement. Ta barbe te gratte, mais avec l'impression qu'on t'a fendu le crâne la veille, tu peines à te concentrer. Tu ne te souviens que d'une poignée de chose, ta mémoire est brumeuse et ton esprit, vierge. Deux choses te reviennent en tête. Tu es un soldat, tu en es certain, et le symbole d'un marteau s'impose à ton esprit quand tu y penses. Ton autre souvenir est plus sinistre...deux grands yeux jaunes, qui te fixent dans les ténèbres. Tu ignores à qui ils appartienne, mais la vue te remplit d'effroi.
Tu ouvres les yeux, encore sonné...et tu t'aperçois que tu te trouves sur le sol de pierre de ce qui ressemble beaucoup à une cellule. Une goutte d'eau coule quelque part, et tu entends des appels vagues que tu peines encore à comprendre, de l'autre côté des barreaux. Tu n'es pas seul. En fait, tu as le visage à quelques centimètres à peine de celui de la jeune femme rousse que tu viens de voir massacrée dans ce...rêve? Cauchemar? Cette hallucination? Tu n'en sais rien. Elle commence tout juste à reprendre conscience elle aussi, regardant autour d'elle l'air désorienté. En dehors de cette jeune femme, tu peux voir un halfling bruns, une drow, et la femme à la peau brune et aux yeux bleus que tu as vu quelques instants plus tôt, tous trois encore inconscients, mais agités de spasmes.
Les trois autres reprirent leur course effrenée, à la recherche d'une issue ou d'une cachette, mais le goût du sang semblait avoir déchainé la créature. La brume reprit son avancée, plus vive que jamais, et saisit le halfling dans ses tentacules jaunâtres. Cette fois, les sons de lutte furent bref, simplement un hurlement terrifié, coupé court par un affreux gargouillement. Une mare de sang dégoulina du rebord de la brume, formant un mot: ...moiFaenil
La monstruosité et la brume qui l'accompagne ne te laissent aucune chance. Tu es happé par les volutes, et tu sens immédiatement des rubans de tissu s'enrouler autour de tes chevilles, te faisant chuter et te tirant plus profondément dans le brouillard. Malgré toi, tu laisses échapper un cri de terreur, qui s'interrompt brutalement lorsque tu te retrouves nez à nez avec le visage difforme et la gueule emplie de crocs du monstre qui vous poursuivait. Tu vois sa dague s'abattre, et une douleur brulante te saisit la poitrine. Alors que ta vision se brouille, un seul mot te parvient. ...moi!Mourir
Tu t'éveilles en sursaut et souffrant de la migraine la plus violente dont tu parviennes à te souvenir! A te...en fait, tu ne te souviens plus de grand chose.Tu te nommes...Appollonios. Oui, c'est ça. Appolonios. Tu relèves péniblement la tête qui étais appuyée contre un mur froid, et tu entends le bois grincer...tu dois être affalé sur un banc, ou une couchette...Tes pensées sont floues, troubles. Tu peines à les rassembler. Mais deux choses te reviennent. Une douleur brûlante, incandescente alors qu'un pentagramme apparaît au creux de ta paume, et que les chants et dansens se changent en hoquet de surprise et glapissement de crainte. Autre chose, moins pénible, te reviens. Le visage d'un homme, distingué...un lettré. Alexandre. Alexandre de Cassomir, voilà comment il s'appelle! Mais tu ne sais plus pourquoi tu le connais. Ni comment.
Ouvrant péniblement les yeux, tu regards autour de toi. Tu te trouves affalé sur le banc miteux d'une cellule, et des appels te parviennent de l'autre côté des barreaux, sans que tu ne parviennes à les comprendre. Tu réalises soudain que tu n'es pas seul. Tu étais affalé contre la forme secouée de spasmes de la drow que tu vient de voir dans cette...hallucination? Ce cauchemar collectif? Tu ne saurais dire. Les autres sont là également, et la femme aux yeux bleus est elle aussi secouée de spasmes. Le nain et la rouquine sont en train de se réveiller lentement, apparemment pas en meilleur état que toi...
Modifié par un utilisateur mardi 9 janvier 2018 12:43:32(UTC)
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 Lisbeth CA : 13 SM : 38 Lisbeth était perdue, ne sachant comment réagir à cette chose meurtrière. Tu n’as qu’une chance, ne la loupe pas ! Elle essayait de discerner dans le brouillard une possible cible, tendant son arbalète dans le vide. Voyant les autres personnes se faire massacrer les unes après les autres, elle devint livide. Ils sont plusieurs, c’est fini. Alors que la brume s’approchait, elle ferma les yeux alors qu’elle posait l’arbalète au niveau de son menton. Je ne veux pas souffrir, pas comme ça. Elle appuya alors sur le mécanisme qui libéra le carreau. Il lui transperça la tête de part en part, restant dedans, alors que le corps inanimé tombait sur le sol au moment où la brume l’avalait. | Le ridicule ne tue pas et ce qui ne tue pas rend plus fort, donc le ridicule rend plus fort
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Cité dans la brume. Avec un claquement sec, le carreau pulvérisa le crâne de l'elfe noire, sous les yeux horrifiés de Raayaatma. La brume elle-même s'arrêta net, comme surprise par cela. Alors que le corps de la drow s'effondrait, le sang sur le mur forma un nouveau mot... Réveillez...!La créature sinistre émergea de nouveau de la brume, se dirigeant à pas lents vers Raayaatma. Elle savait qu'elle avait le dessus. Que la jeune psychique ne pouvait fuir nulle part... J'aurais besoin d'un jet de Volonté DD20 pour Raayaatma!Volonté DD20
Ton nez se met à saignez, et les gouttes forment un nouveau moi:...vous! Aidez moi...Réveillez vous! Bien sûr! La réalisation se fait jour dans ton esprit. Tout ceci n'est pas réel! Vous êtes dans un cauchemar! En comprenant cela, le monde autour de toi se brouille, et une douleur violente te transperça la tête. Tu ouvres les yeux...
Thoulkas
La douleur violente te poursuit bien plus longtemps que tu ne l'aurais cru possible! Un suicide te paraissait plus rapide, mais tu commences à douter...ce n'est qu'au bout d'une poignée de seconde que tu réalises que ton sang bat toujours à tes oreilles pointues, et que tu te redresses avec un grognement. Tu étais adossée à un mur de pierre froid, humide, sur le banc de ce qui semble être une cellule. Tes pensées sont brumeuses, et tu ne te souviens plus de grand chose...un nom te revient en tête. Celui de ton père. Farzorn...Farzorn Rasivrein. Et le tien. Lisbeth...Rasivrein, supposes-tu. Soudain, un autre souvenir fait irruption, des dizaines de corps se convulsant, visage noirci et rongé de l'intérieur, dans un décor idyllique de palais féérique, étoilé. Tu chasses rapidement cette pensée de ton esprit.
Tu n'es pas seule! Des appels, encore trop vagues pour être compréhensibles, te parviennent depuis l'autre côté des barreaux. Et dans la cellule, tu vois les quatre autres personnes que tu viens de voir en...rêve? Cauchemar? D'halluciner? Tu ne saurais dire. La femme brune aux yeux bleus est encore inconsciente, et convulse violemment, mais les autres semblent émerger lentement de leur inconscience...
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 Appollonios Etat : mal dormi
For 7 | Dex : 16 | Con : 12 | Int : 12 | Sag : 12 | Cha : 18 Santé : 10/10 Santé mentale : 42/42 Sorts niveau 1 : 4/4 Inspiré : 1/1 Poussé par la culpabilité : 1/1 Couper du temps : 1/1
Peu à peu, Appollonios émergea du sommeil. Réflexions
Appollonios,... oui, c'est ainsi qu'il se prénommait. Ou bien Alexandre? Non, il était bien Appollonios mais il devait connaitre un Alexandre.
Ainsi donc, il s'agissait d'un rêve. Un rêve terrifiant, un véritable cauchemar, mais un rêve tout de même.
Ce qui n'excluait pas que l'actuelle "réalité" n'en soit un également. Ni que ce rêve dans lequel étaient apparus ses codétenus ne contienne quelque élément réel. Au final il pouvait mettre en doute toute une série de chose, y compris la structure même de leur propre réalité, mais il était certain de sa propre existence, car...
...je pense, ce qui signifie que j'existe réellement.
Rassuré sur ce point, il sentait que ces quelques enchaînements logiques lui venaient naturellement. Il ne se souvenait plus où il s'était formé à cette discipline, mais l'exercer eut pour effet de calmer un peut le rythme endiablé sur lequel son cœur battait depuis son éveil.
Ainsi calmé, une autre sensation, diffuse mais dérangeante, s'imposa à lui. Malgré sa perte de mémoire actuelle, il lui semblait qu'il avait fait quelque-chose de mal. Peut-être le "truc" gravé dans sa paume avait il finit par déteindre sur son âme, l'obligeant à commettre quelques méfaits? Non, ce n'était pas cela. D'ailleurs le mot mal semblait trop faible pour décrire cette sensation de culpabilité. En réalité, il avait l'impression d'avoir fait quelque-chose de monstrueux. Mais quoi,... il serait bien en peine de le dire. Et surtout, il ignorait pourquoi il aurait accompli une chose aussi épouvantable. Lui qui d'ordinaire était si...
Il interrompit le cours de ses pensées.
Les mots prévenant, gentil, attentionné, lui étaient venus à l'esprit. Car un court instant, il s'était imaginé être quelqu'un de bien... Mais,... qu'en savait-il, après tout. Peut-être n'était il après tout qu'un criminel que l'on a jeté en prison avec d'autres gens de du même accabi. Il eut un regard pour ses codétenus. Il était sur le point de s’apitoyer sur son sort, lorsqu'il prit une ferme résolution.
Quels que soient les actes auxquels il s'était livré, ce qui a été accompli ne peut être défait. Protester ou s’apitoyer ne servait à rien. Seul comptait ce qu'il allait faire de l'instant présent. Et pour le moment, il n'avait aucune envie que quoi que ce soit de mal ou de montrueux ne lui arrive à lui, à ses codétenus, ni même à quiconque. S'il avait mal agit, eh bien, il en paierait le prix, à moins qu'il ne tente de se racheter en réparant ses erreurs. En premier lieu, il devait comprendre ce qui était arrivé.
Raffermi par cette nouvelle décision, il sauta au bas du lit où il s'était éveillé. Il s'approcha de la belle dame qui semblait elle aussi faire un mauvais rêve. Compatissant et encore sous le choc de son terrible cauchemar. Il prononça quelques paroles et toucha la femme au front. Cela sonnait comme une bénédiction mais ce n'était en aucun cas une prière. « J'espère que cela l'aidera à mieux dormir. » dit-il pour expliquer son geste aux autres. Il attendit ensuite quelques instant afin de capter l'attention de chacun avant de demander : « Quelqu'un sait pourquoi nous avons été enfermé? ». Lance "assistance divine" sur Raayaatma dans l'espoir que cela l'aide à mieux dormir. Donne un unique bonus de +1 à un jet, d'attaque, de sauvegarde, ou de compétence.Modifié par un utilisateur mardi 16 janvier 2018 23:17:22(UTC)
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 Raayaatma CA12 (C12, D10) Niv0:5 Niv1:3/3 Réf+2Vig+0Vol+2 SM44/44-Craintive Aucune issue. La brune interrompit sa course, se retournant vers le monstre épouvantable... Qui appelait à l'aide ?!?Écartant les bras sans plus de fioritures, elle lança à pleine voix vers la créature : « Oui ! Je veux t'aider !!! »... ou mourir, si c'est l'heure, selon mon karma.Imprégnée du fatalisme vudrani, la psychiste fit appel à son pouvoir d'intuition*... qui la laisserait sans défense ; mais l'instant n'était plus à s'en soucier.
Modifié par un utilisateur vendredi 2 février 2018 00:24:59(UTC)
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Cité dans la brume. Malheureusement, l'expansion soudaine de la compréhension de Raayaatma ne suffit pas. Elle eu le temps de voir des gouttes de sang perler au bout de son nez, lorsqu'elle fut soulevé du sol par la poigne du monstre, face à face avec sa gueule pleine de crocs effilés. La psychique n'eut que le temps d'une exclamation terrifiée avant que la gueule du monstre ne s'ouvrent plus largement encore se refermant sur son crâne et bloquant sa vision. Elle ressentit une douleur aigue au niveau des tempes, et avec un craquement sec, perdit connaissance... Cellule humide, lieu inconnu - Date/Heure inconnue...avant de se réveiller en surtsaut, le sang battant encore à ses tempes, et de se cogner violemment contre un banc de bois juste au dessus d'elle, avec un choc sourd et une exclamation de surprise. Rhajzad
Tes pensées tourbillonent violemment....et il te faut une poignée de seconde pour te rendre compte que tu n'es pas morte. C'est une goutte d'eau frappant ta jambe avec insistance qui te convaincs que tu es en vie. Tu te redresse brusquement, pour rencontrer le banc de bois au dessus de toi avec une certaine violence.
Reprenant tes esprits, tu te redresses. Tes pensées sont vagues, floues, et tu ne te souviens...tu te souviens de peu de choses. Un nom te reviens à l'esprit. Ton nom. Raayaatma. Tu ignores quelle en est l'origine, cependant. Tu revois autre chose...la cour d'un noble quelconque, et toi qui fais office de traductrice. Puis, avec la violence d'un marteau, un dernier souvenir te reviens en tête. Le visage d'une tueuse, Eershya, qui s'enfuit dans la nuit alors que ta mère expire dans tes bras. Même le visage de cette dernière demeure flou, tout comme son nom, mais l'identité de celle qui l'a tué te revient avec une douloureuse clartée...
Alors que la dernière d'entre vous se réveille, vous achevez de réaliser dans quelle situation vous vous trouvez. La jeune femme aux yeux bleus a du manquer une partie de la conversation, car la femme rousse, que vous avez aussi vu en rêve, répond apparemment au halfling. « Huhhh...Pas la moindre idée. Moins fort, s'il te plaît, petit bonhomme. J'ai...agk....ma tête donne l'impression qu'elle va exploser. Qui êtes vous, tous? »Avant que qui que ce soit ne réponde à sa question, un hurlement de douleur retentit à travers la pénombre oppressante. A présent que la conscience leur revenait, ils réalisaient ce qui se trouvait de l'autre côté des barreaux. « Réveillez vous, bordel! »L'homme qui venait de les insulter était solidement attaché à l'aide de cordes à une table d'opération couverte d'écharde. Il avait peut être une cinquantaine d'années, le cheveux gris, mais encore solide. Cependant, sa peau était couverte de coupures plus ou moins profondes, dont certaines saignaient encore, comme si un chirurgien fou s'était amusé à essayer des outils sur lui. Le chirurgien en question était une infirmière, apparemment, une femme incroyablement mince portant une blouse à bouton anciennement blanche, mais à présent couverte de projections sanglantes. Elle tournait autour de la table, l'air pensif, en faisant tourner une paire de ciseaux ensanglantés entre ses doigts. La scène était éclairée par des torches fumantes, mais la lumière n'était pas idéale pour des yeux humains, bien qu'elle suffise pour l'elfe noire, le nain et le halfling. Ils se trouvaient apparemment dans une prison souterraine, reconvertie en salle de torture... Prison SouterraineVous n'avez pas la moindre pièce d'équipement sur vous, à l'exception de vos vêtements, qui ont clairement vu des jours meilleurs. Ceux qui ne sont pas en haîllons sont couverts de crasse, comme si vous ne vous étiez pas lavés depuis plusieurs jours.Modifié par un utilisateur mardi 9 janvier 2018 19:26:20(UTC)
| Raison: Non indiquée | Cry havoc, and let slip the hellhounds of war. |
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 Orlamm CA : 19/11/18 Châtiment : 1/1 S.Mentale 35/35 Etat : craintif Orlamm secoua la tête plusieurs fois afin de s'assurer qu'il ne rêvait -ou cauchemardait- pas un fois de plus. Il constata que les 4 mêmes personnes partageaient sa cellule. Ils étaient dans un triste état, mais ils étaient en vie, ce qui n'était pas si mal. Mais allaient-ils le rester longtemps ? Vu ce qu'il se passait de l'autre côté des barreaux, rien n'était moins sûr. Il aurait souhaité répondre aux attentes pleines d'espoir du vieil homme qui se faisait martyriser sur la table de torture. Mais le nain ne voyait pas comment sortir d'ici. Il décida d'éprouver la résistance des barreaux. - Jet de force : 1d20+3 donne [3] + 3 = 6
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 Raayaatma CA12 (C12, D10) Niv0:5 Niv1:3/3 Réf+2Vig+0Vol+2 SM44/44-Craintive La brune nettement moins flamboyante, dans ses soieries froissées ayant connu de meilleures heures, se redressait précautionneusement, une main sur le crâne, l'autre sur une tempe, pour masser doucement ses zones douloureuses. A l'interrogation de la rouquine, elle répondit : « Vous... vous étiez dans ce cauchemar... »La voix était douce, et calme : les hésitations ne venaient pas d'une timidité ou autre perturbation émotive, mais manifestement d'une difficulté à rassembler ses pensées. Elle ouvrit grand ses yeux surnaturellement azurés pour un panorama exhaustif de leur situation, comme si elle la découvrait à l'instant. Ainsi que l'homme qui appelait... et qu'elle avait... entendu/vu/lu dans le sang... des autres ?!? « Je ne sais pas... qui vous êtes. Où sommes-nous, ici ? Je ne me rappelle que ce cauchemar... ah si... je me rappelle aussi... mon nom. Raayaatma ! Qu'est-ce que je fais ici ? J'ai été frappée à la tête ? »Modifié par un utilisateur vendredi 2 février 2018 00:25:43(UTC)
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 Lisbeth CA : 13 SM : 38 « Lisbeth... Rasivrein » furent les seuls mots qu'articula la drow en se redressant, avant d'entendre l'homme appeler à l'aide. Son instinct la fit se redresser. Ses traits n'étaient pas uniquement dans le cauchemar, ses yeux, cerné de sang noirci lui donnait un air des plus inquiétant. Elle mit alors la main à sa bouche signalant qu'elle espérait le silence alors que le nain testait la porte. Elle lui fit un signe de tête pour avoir son avis, tout en cherchant après quoi que ce soit capable d'ouvrir la porte. - Si c'est possible crochetage : 1d20+8-2 donne [1] + 8 - 2 = 7
J'ai enlevé 2 à cause du manque d'outils mais je fais que des jets pourris pour le moment | Le ridicule ne tue pas et ce qui ne tue pas rend plus fort, donc le ridicule rend plus fort
Les blagues faut toutes les faire on ne sait jamais qu'il y ait une bonne.  |
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 Appollonios Etat : Ok
For 7 | Dex : 16 | Con : 12 | Int : 12 | Sag : 12 | Cha : 18 Santé : 10/10 Santé mentale : 42/42 Sorts niveau 1 : 4/4 Inspiré : 1/1 Poussé par la culpabilité : 1/1 Couper du temps : 1/1
« Appollonios de .... »commença-t-il avant de s’apercevoir qu'il n'avait aucune idée de son patronyme. « Appollonios suffira. Je suis désolé, mais je ne me rappelle pas de grand chose, mis à part,... ce cauchemar.... »En entendant Raayaatma parler de son propre rêve, l'halfelin se demanda si, après tout, ils n'avaient pas réellement fait le même cauchemar qu'elle. « Nul ne vous a frappé, mais vous vous êtes cognée en vous éveillant, belle dame. Curieusement, j'ai également fait un mauvais rêve. » Il prit une courte inspiration avant de se replonger dans un brève description de celui-ci. « Il s'agissait d'une cité invraisemblable, noyée d'une brume jaune et hantée par un monstre. » Si réellement quelqu'un d'autre avaient fait ce rêve, il le reconnaitrait à cette simple description. « Quelqu'un sait pourquoi nous sommes ici? » demanda-t-il à nouveau, d'une voix plus faible. « Je pensais que nous étions au mains de la justice,... Mais quelle justice ferait de telles choses... »termina-t-il tristement en observant le vieil homme torturé.  Alors que Lisbeth et le nain tentaient de forcer la porte, Appollonios observa plus attentivement la pièce et la tortionnaire. Celle-ci était plongée dans la pénombre et il avait du mal à discerner ce qui s'y trouvait, mais logiquement, la clef de la cellule devrait se trouver quelque-part.... D'autre part, il essayait de comprendre quelles étaient les intentions de la femme aux ciseaux. S'il parvenait à saisir ce qui motivait de tels actes, il aurait peut être des éléments sur lesquels baser un mensonge ou entamer une négociation... - Perception (contenu de la pièce et éventuelle clef) : 1d20+7 donne [17] + 7 = 24
- Psychologie (motivations de la tortionnaire) : 1d20+5 donne [7] + 5 = 12
Modifié par un utilisateur mercredi 10 janvier 2018 13:20:09(UTC)
| Raison: pas de vison nocturne
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