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Offline Mornelune  
#1 Envoyé le : dimanche 2 septembre 2018 03:54:35(UTC)
Mornelune
Rang : Habitué
Inscrit le : 22/11/2012(UTC)
Messages : 4,430
On est sensés bosser ensemble depuis un certain temps donc on peut probablement faire une description de nos perso aussi bien physique que mental (sommaire) et de ce qu'ils auront révélé facilement au autres membres du groupes sur leurs vies d'avant.
Certain membre du groupe se connaissent depuis des années et on a passée les derniers mois a vivre ensembles donc forcément on connaît un tas de truc sur les autres.

Bien sur les background n'étant pas fini (j'suis optimiste.) les descriptions seront susceptibles de changer.

et puis sa donnera des idées au mj, sur le comportement des perso, leurs apparences et de les pans de leurs histoires qu'ils sont prêt à découvrir.
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Offline Mornelune  
#2 Envoyé le : dimanche 2 septembre 2018 06:46:57(UTC)
Mornelune
Rang : Habitué
Inscrit le : 22/11/2012(UTC)
Messages : 4,430
bon je propose donc je commence:

Asphodèle:

Apparence:

Asphodèle est un tiefflin mâle de grande taille, dépassant le mètre quatre vingt dix les pieds à plat. Il a hérité de trait dérangeant et clairement monstrueux.
Sa peau est d'un blanc immaculée et ne présente aucune pilosité hormis ses cheveux. L'intégralité de son corps est couverte de fins motifs circulaires, qui pourrait faire penser à de légère cicatrices en surépaisseurs. Extrêmement léger cet étrange tracé, n'est que très difficilement repérable sans être très près et y faire attention, par contre il semble canaliser, voir attirer, les écoulement de fluides. Ce fait le rends très visible quand il est blessé ou que des liquides colorés lui tombe dessus.
Pour rajouter l'étrange à la bizarrerie ses motifs semblent varier, ils ne changent jamais à vu d’œil mais d'une heure à l'autre le motif dans son ensemble peut être différent, en restant des circonvolutions, spirales et enroulement reliés entre eux sans logique mais étrangement hypnotique quand on y prête attention (faut être prêt ou avoir du colorant et de l'eau.)
Son corps est élancé et finement musclé, ses mains sont terminées par des ongles noirs et polis et ressemblent plus à un minéral qu'à une matière organique.

Son visage est fin, son menton presque pointue, la ligne de sa mâchoire est nette et saillante, il ne présente aucune pilosité au niveau de la barbe ou de la moustache, ses lèvres très fine ne présent pas de différence de contraste avec le reste de sa peau. Sa bouche s'ouvre bien plus loin que celle des humains, faisant quasiment disparaitre ses joues derrière un immense mais léger sourire involontaire. L'intérieur de sa bouche est d'un noir d'encre brillant, une double rangée de courts crocs triangulaires, chacun a peine plus long qu'une canine humaine mais bien plus tranchantes, trônent la où la dentition d'un humain devrait se tenir.

Ses yeux sont deux billes du même noir insondable que l'intérieur de sa bouche ou l'éclat de ses ongles; étrangement d'où qu'on le regarde on a imprécision qu'il vous fixe droit dans les yeux.
Il attache ses cheveux, noirs et soyeux, en une queue de cheval qui coule jusqu'entre ses omoplates. Une douzaines de courtes pointes osseuses marquent son crane, réparti en une étrange harmonie qui ne jure pas avec ses traits, deux d'entre elles se situant juste au dessus de ses arcades sourcilières.

Au bas de sa colonne vertébrale émerge une longue queue sinueuse un peu plus longue que ses jambe, Asphodèle la contrôle avec suffisamment de précisons pour l'utiliser pour saisir de petits objets avec rapidité. Quand il n'y fait pas attention elle fait naturellement balancier aux mouvements de son corps, ou bat légèrement dans ses rares moment d'inactivité, n'étant immobile que quand il dort.

Ses pieds sont légèrement plus longs, en proportion, que ceux des humanoïdes et présente une articulation supplémentaire à mi chemin entre le talon et les orteils. Elle lui donne la possibilité de se dresser sur ses orteils et l'avant de ses pieds et de pouvoir courir avec encore plus de vitesse.

Malgré son apparence monstrueuse, ou peut être grâce à elle, Asphodèle est étrangement attirant. Inquiétant certes mais sa voix chaude et profonde caresse l'âme autant que les oreilles. On semble toujours trouver ce qu'on cherche ou que l'on craint dans son regard insondable. Ses mouvement sont gracieux, ondulants, lascifs, et on y sent aussi la puissance caché, la crainte face à un prédateur. Son odeur est légèrement sucré et ferreuse. Tout dans son apparence est un appel et un rappel implicite à la débauche, la sensualité mais aussi à la violence et la brutalité.


Comportement:

Asphodèle fait tout pour ne pas devenir un monstre, physiquement c'est déjà le cas, mais moralement il s'oppose au mal, pas pour faire le bien, juste pour ne pas devenir un démon.

Sa nature le pousse vers l'excès, il est agité, impulsif et irréfléchi, il n'est pas idiots mais pense quand il a déjà agit la plupart du temps et si il n'y prend pas garde. Il est par conséquent souvent d'une franchise abrupte dans ses actes et ses paroles, mais reste la plupart du temps sympathique.

Il profite de tout les plaisirs terrestre en évitant ceux qui pourrait le condamner.
Il lui est impossible de rester longtemps au même endroit, de ne pas bouger, de rester dans la même salle sans but.
Il n'apprécie pas l'autorité quand elle est hérité, qu'elle limite des libertés qui ne mettent en périls personne, qu'elle restreint sans raison valable, mais il a aussi conscience que si on lui donnait l'autorité il aurait du mal à ne pas en abuser.

Il aime se battre et tuer, mais se restreint a tuer que ceux qui le mérite pour ne pas sombrer encore une fois, il lui est arrivé plus d'une fois lors de bagarre dégénérant dans des débits de boisson d’assommer à coup de poing un poivrot qui avait sorti une dague alors qu'il aurait pu lui régler son compte d'un coup de crocs moindre risque.
Pire, il apprécie le gout du sang et de la chaire de ses ennemis, et si il ne faisait pas un effort il pourrait se laisser aller à dévorer ses adversaires durant les combat, mais ce serait le signe de sa déchéance à ses propres yeux.
La charité semble être un concept qui lui passe au dessus de la tête.
Il n'est pas particulièrement pieu ou dévot.
Il est vaguement égoïste n'agissant bien souvent que par envie ou pour gain personnel (ou pour éviter une perte, ou de glisser vers l'abysse.)

Matériel habituel:

Il porte toujours le même pantalon en cuir marron clair élimé et maint fois recoussu, adapté à sa morphologie et surtout à son appendice caudale, une cuirasse magique en mithril peinte en noir mat, une cape a capuche d'un gris terne (cape de résistance) et d'une paire de botte noire faites sur mesures.
Il porte de nombreuse armes, même si sa préférence va à un cimeterre à deux mains magique extrêmement sobre.
Ses années d'aventure l'on préparé à un tas de situation et son sac semble rempli d'un tas de truc pas forcément utile mais indispensable quand viens le moment de les trouver.

Histoire connue:

Asphodèle approche la trentaine ou au moins il a dépassé le milieu de la vingtaine ça il en est sur. Sa mère Améthyste est une marchande itinérante de la mer intérieure, magouilleuse, manipulatrice, ensorceleuse, intrigante, presque espionne, sa nature de tieffline est beaucoup plus séduisante que celle de son fils. Selon ses termes elle est pas méchante mais pas étouffé par les scrupules non plus.
Il semble qu'Asphodèle sache pas vraiment où il soit née dans un petit port lors d'une escale d'un voyage de commerce, rien de précis sur le lieux (en avistan c'est sur) et la date (à un ou deux ans près quoi, c'était le début de l'automne ça c'est certain.) selon les souvenir de sa mère. Son père? Il ne le connait que par le peu que sa mère lui en a dit: un tiefflin de passage, amant d'un hiver dans un lieu d'habitation confortable et surtout éphémère, comme leurs relations et ses souvenirs de lui.

Sa jeunesse se passa en suivant les voyages de sa mère, les escales commerciales, les négoces à droite à gauche, un gamin balloter par les voyages, craint et rejeté par les autres enfants et par la majorité des adultes. Rien de marquant a part ça. Quand il eut une douzaine d'année, sa mère lui trouva un maitre d'arme pour qu'il arrête de lui tourner dans les pattes a tout bout de champs.

Victor Grande, qu'il s'appelle un demi orque, éclaireur, résultat au bout de trois quatre ans, Asphodèle s'est mit en tête de rejoindre la société de éclaireur, ce qui faisait pas trop plaisir à sa jolie tieffline de mère, aventurier c'est pas le métier le plus sur du monde, un garde du corps de confiance c'est une bonne chose, et bon elle l’admettra pas mais elle est un peu mère poule après tout c'est son fils (a elle! comme ses trésors à elle...)

S'en suit 8 ou 9 ans de baroude dans les rangs de la société, des dizaine de missions, des centaines d'aventuriers rencontrés, depuis la raclure des bas fonds de Solku jusqu'a des princes de cités, ami (très voir plus parfois) avec certains et vraiment pas avec d'autres sans distinction de races, de classes sociales, d'origines, de religions...
C'est là qu'il rencontra Takkoua avec qui ils firent équipe pendant quelque années (a définir avec Trajan et l'age de son persos.). Il voyagea dans a peu près tout les pays côtier de la mer intérieur. Un temps satisfait par le manque de routine de son mode de vie et les changement continuels de compagnons et de décors.
Mais l'ouverture de la société des éclaireurs et surtout son manque de ligne de conduite globale, les buts différents des différentes grands loges et parfois contradictoires les uns avec les autres finirent par le fatiguer.

Il laissa tomber ses aventures d'éclaireur, sans fracas, juste plus l'envie, et chercha un ennemi facile a reconnaitre et ou le doute serait peu permis. Il se fixa sur la lutte contre la plaie du monde et donc décida de rejoindre les chemins de la croisade pour le Mendev. Il trouva le conflit qu'il cherchait, et fit ce qu'il faisait le mieux sans remords et avec la joie de montrer au croisé que malgré son apparence il pouvait compter sur lui et de détruire les créature qui venait de la même source que celle qui le souillait.
Son croisade personnelle et bienheureuse ne dura qu'un temps, un peu pus d'un an, avant de commencer a voir les travers de la croisade, les mercenaires attiré par l'appât du gain, l'inquisition locale qui pourchasse et crame les druides plutôt que de traquer les adorateurs des démons ou les démons eux mêmes... Bref encore une fois l'autorité dérapait, et ça lui laissait un sale gout dans la bouche, ayant temporaire étanché sa soif de combat, Asphodèle parti pour visiter des lieux qu'il n'avait pas vu, ou pas revu depuis longtemps, il decida de filer au sud (parce que le tian xia au nord lui disait rien) et traversa l'Ustalav rapidement (pas accueillant les locaux et superstitieux a un point, pas le meilleur coin pour lui clairement...) Arrivé dans un gros village de dernier rempart proche de la frontière il retrouva Takkoua par hasard et décidèrent d'aller à la capitale ensemble histoire de se souvenir du bon vieux temps pas si loin que ça de leurs aventures commune.

Voilà comme au passage le mj à un BG plus fourni!
Offline Anadethio  
#3 Envoyé le : dimanche 2 septembre 2018 19:35:05(UTC)
Anadethio
Rang : Habitué
Inscrit le : 19/06/2015(UTC)
Messages : 2,396
Amwa !

Elja

  • Apparence :


    Le plus souvent, Elja adopte sa forme humaine : celle d'une jolie jeune femme rousse au visage constellé de tâches de rousseur. Pas très grande sans pour autant être franchement petite, sa finesse laisse deviner la force toute relative qu'elle peut déployer. Frileuse, elle porte généralement des vêtements assez couvrant quoique ajustés. S'il est certain que les hommes prennent souvent le temps de la détailler du regard, cet état de fait provient plus d'un ensemble harmonieux et d'une manière gracieuse de se mouvoir que de formes remarquables.

    Au final, ceux qui la connaissent constatent que sa forme de kistune ressemble beaucoup a sa forme humaine. Elle ne l'adopte généralement qu'en privé et qu'elle juge la température "trop basse pour se passer de poils". Sa taille ne change pour ainsi dire pas et si son museau s'allonge, que ses oreilles se dressent sur sa tête, qu'une queue refait son apparition a la base de son dos, que la teinte de sa chevelure fonce, sa posture, son regard vert demeurent et on peut même deviner certains des dessins de ses tâches de rousseur dans son pelage.

    Lorsque l'occasion se présente de la voir légèrement vêtue, généralement pour faire sa toilette, elle préfère adopter sa forme vulpine qui dissimule mieux les multiples cicatrices qui couturent son ventre... Mais également dont la nudité est moins explicite.

    Sa voix, généralement plus proche du souffle ou du murmure lorsqu'elle s'exprime gagne en clarté et en assurance dé qu'elle commence a chanter... ce qu'elle fait bien volontiers que ce soit dans le feu de l'action ou le soir autour d'un feu de bois, accompagnant les épopées qu'elle chante au dulcimer.



  • Caractère :

    Réfléchie. Cynique. Joueuse. Optimiste. Impulsive. Cinq mots qui résument assez bien le caractère d'Elja... Si par certains aspects ils peuvent sembler contradictoire, ils s'articulent en elle pour former son caractère :
    Réfléchie car elle apprécie de prendre le temps d’analyser une situation avant de prendre une décision. D'évaluer au mieux les différentes possibilités avant de trancher...
    Cynique car il est évident qu'elle n'a plus beaucoup d'illusion quand à ce qui est... Qu'elle ne doute pas de la noirceur qui se trouve en chacun.
    Joueuse car elle est curieuse, qu'elle aime découvrir "ce qui se passera si..." et qu'elle aime donner l'impression qu'elle prend certaines choses a la légère.
    Optimiste car si elle ne doute pas des faits, elle espère pour le futur, songeant aux bienfaits que pourrait recevoir le monde si les dieux bons avaient les coudées plus franches.
    Impulsive car même si elle a pris le temps d'évaluer les différentes options elle ne choisira pas toujours celle qu'elle juge la plus raisonnable, lui préférant bien souvent la plus "intéressante".

    En ce qui concerne ses relations avec autrui, Elja est bien souvent prudente, dissimulant sous un vernis de jovialité ses inquiétudes. A part lorsqu'elle chante, cuisine ou travaille le cuir, il est bien rare de la voir s'abandonner pleinement à un plaisir de la vie, les observant avec une forme de nostalgie teintée d'envie et d’incompréhension.



  • Matériel :

    Des vêtements de qualité qui ne sortent pas de l’ordinaire mais qu'elle se fait un devoir de conserver propres. Une imposante écharpe colorée parsemée de poche qu'elle enroule autour de son cou dé que la température descend un peu trop. Un havresac remplis de choses diverses a l'utilité plus ou moins discutable mais dont elle affirmera mordicus que "ça ne coûtait pas grand chose et c'est tout de même bien plus confortable avec".

    Auquel elle tiens autant qu'à la prunelle de ses yeux, un dulcimer. Instrument atypique dans ces régions qu'elle sait venue des terres d'origine des siens. L'objet est constitué d'une caisse de résonance au dessus de laquelle sont tendues de nombreuses cordes qu'elle frappe a l'aide de petits maillets.

    A son cou pend toujours un symbole de Shélyn comme on en vois rarement : en bois, peu travaillé. Si la question lui est posée, elle répond que par chez elle il n'était pas facile d'en trouver et qu'ils étaient rarement très beaux et qu'il a pour elle une valeur sentimentale mais qu'elle envisagera un jour de le remplacer si elle en vois un a son goût.

    D'une proche elle tire parfois une boussole magique qu'elle peut illuminer d'un mot. Et elle se bat a l'aide d'une coutille dont le manche est taillé dans un bois noir particulièrement léger. Dés qu'elle sort de ville et même ainsi bien souvent elle porte également une armure constituée d'un étrange tissus végétal.



  • Histoire connue :

    ***

    Modifié par un utilisateur jeudi 27 juin 2019 13:55:20(UTC)  | Raison: Non indiquée

  • Offline Luciole  
    #4 Envoyé le : lundi 3 septembre 2018 21:29:16(UTC)
    Luciole
    Rang : Habitué
    Inscrit le : 04/07/2016(UTC)
    Messages : 1,649
    Ayarik (pas de nom de famille donné)

  • Apparence :


    Question difficile s'il en est. Car voila... Par moment, je ne suis pas sur moi même de quelle apparence est la bonne, la vraie. Ou même s'il y en a une vrai. La plupart ne sont que des vêtements d'emprunts, costumes que je modèle ensuite à ma patte pour leur donner une couleur dont j'ignore strictement s'ils étaient dotés à la base... Mais baste, je suppose que la, enfin, les seules qui seront considérées comme réelles sont celles qui étaient miennes dès ma naissance...

    Je suis quasiment en permanence sous une forme humaine, que ce soit la mienne ou celle d'un autre, l'habitude je suppose. Je n'ai plutôt pas à me plaindre je trouve. J'ai une peau très claire et je craint facilement le soleil. Mes traits sont plutôt fins, sans être coupés au couteau et j'ai les yeux d'un bleu presque gris dans lequel il serait aisé de se perdre. Certains les qualifient de durs, de narquois très souvent ou de distants mais je suppose que c'est inévitable au bout d'un certain temps. Les yeux sont des miroirs de l'âme qu'il faut eux aussi apprendre à voiler si on ne veut pas qu'ils vous trahissent. Je ne sais plus très bien comment ne plus le faire. Sauf quand je joue un rôle où ils se plient à l'intonation que je veux leur donner... Et puis mieux vaut être traité de saloperie que de faible... Sinon on se fait dévorer... Mais c'est assez rare. La plupart du temps les gens ne les remarquent pas.
    J'ai toujours aimé ma chevelure car elle reflète les teintes de mon pelage. Elle vire au blanc l'hiver et fonce un peu plus l'été mais reste toujours pale. Cette couleur, c'est la seule chose avec mes yeux qui demeure invariable que je soit humain ou kitsu..
    Curieusement, j'ai le sourire facile. Pas un large, mais un léger qui à mon sens en exprime bien plus. Comme un rire au coin des lèvres et qui résonne silencieusement.

    Ceux qui m'observent ne s'y trompent pas. Même si je suis plutot grand, personne ne m'associera jamais au mot maladrois je pense. J'ai la silhouette fine mais la musculature qui s'y trouve n'est pas pour rien. Mes pas sont légers, très légers, et toujours précis. Je me déplace avec la souplesse et la désinvolture des chats -j'aime beaucoup les chats, comme le font les danseurs, les bretteurs, les accrobates ou les voleurs. Tout est dans le rythme. Ce rythme qui résonne dans le vent.



    C'est une chose qui ne change pas d'ailleurs lorsque je dévoile, toujours avec beaucoup d’hésitation mon apparence première. Je n'aime pas le faire. J'ai l'impression de me montrer à nu. Mais j'ai toujours cette même grâce martiale lorsque je me déplace... Mon visage s'étire, mes oreilles grandissent et se dressent, ma peau se couvre d'une fourrure immaculée tandis qu'une longue queue soyeuse achève de pousser. L'hivers, les seules traces de couleurs sont mes yeux bleus et ma truffe noire. Mon pelage se fait touffu, et s'il m'apporte une protection parfaite pour l'hiver Iobard, il me semble parfois un peu trop motivé au vu des températures plus clémentes du sud.




  • Caractère :

    De merde... C'est ce que m'ont déclarés les derniers avec qui j'en ai discuté. Difficile de le leur contester mais je peut au moins apporter quelques précisions.

    Je suis d'un naturel social, j'aime discuter avec les gens, me mêler à eux et découvrir quels sont leurs désirs et leurs espoirs. J'aime comprendre les gens, je veux dire, comprendre comment ils fonctionnent, de quelle manière, dans quel prisme ils réfléchissent. Oui, je sais que généralement ce n'est pas comme ça qu'on definit "social".... Et alors ?

    C'est comme regarder une partie d'echec, ou de go... J'aime observer les joueurs et voir les stratégies mises en oeuvre. J'aime la connaissance surtout. Savoir ce qui se passe, voir en observateur les fils et les liens qui se tissent, comprendre ce qu'ils sous tendent... La plupart aiment être des joueurs, j'aime être un observateur jusqu'au dernier moment pour savoir exactement sur quel fil agir. Et plus les enjeux sont grands, plus l’adrénaline est là... Et je deteste qu'on me cache des secrets...

    Vous n'avez jamais ressentit cela ? Le gout du risque, du défi? Ou alors jamais sentit cette petite chatouille de l'égo qui se rebiffe quand on tente de vous pousser quelque part? Le désir de refuser de vous laisser mener à la baguette et de tendre gentiment votre cou? L'envie d'aller ouvrir cette porte gardée, ou de vous rendre dans ce lieu interdit...? Là encore l'envie de savoir, de découvrir ce qui s'y cache et d'en connaitre la vérité. Ce n'est souvent pas bien joli, la vérité, et la main qui a une fois soulevé son voile ne peut plus le laisser retomber.

    Sarcastique ? Bien trop... je le confesse. On peut aussi rajouter menteur, tricheur et voleur. Je n'en rougirait pas. Mais je suppose que tous ces défauts ne sont pas totalement rédhibitoire puisque certains me supportent encore, voir même peut-etre m’apprécient. Et puis la vie est trop riche pour être passée sans humour, ni passions.

    Et puis je tient toujours mes serments...



  • Matériel :

    Soyons sincère, j'aime les belles choses. Les œuvres d'art, les objets de qualité, les vêtements qui le sont aussi et, à part lorsque celà fait parti d'un rôle de composition je prends garde à toujours avoir des habits sur mesure. C'est bien plus confortable et adapté aux mouvements. Vous avez déjà essayé une chemise en laine grossière? Ca gratte, c'est désagréable au possible... le coton, le lin ou la soie sont bien plus confortables...

    Ceci dit, c'est vrai que dans mes fontes se trouve aussi de quoi me faire passer pour un paysan crasseux tout juste sortit de son champ... alors bon...Et puis vu tout ce qui se trouve dans lesdites fontes....



  • Histoire connue :

    ***

    Modifié par un utilisateur jeudi 27 juin 2019 13:57:28(UTC)  | Raison: Non indiquée

  • Offline Septimus-  
    #5 Envoyé le : mardi 4 septembre 2018 14:59:33(UTC)
    septimus
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    Mécène: Merci de ton soutien !
    Inscrit le : 26/08/2014(UTC)
    Messages : 5,789
    Mère Abigaël

  • Apparence :



    Abigaël est une femme attirante d'un âge approximatif de 50 ans. Elle est grande pour une humaine (1m70) mais relativement maigre. Ses cheveux qui tombent sur ses épaules sont roux, d'un roux tellement vif qu'il parrait presque rouge. Comme beaucoup de personnes orginaires du Nidal, elle a la peau très pâle, d'une teinte qui se rapproche presque du marbre blanc. Bien qu'elle parait humaine, ceux qui passent un certain temps avec elle devine qu'elle a une nature autre : c'est une Aasimar, une rejeton des plans supérieurs, même si elle fait rarement étal de cette distinction. Elle a des yeux bleux très pâles, presque blancs. Elle a de longs doigts et des mains habituées aux travaux manuels, les ongles usés. Elle a très souvent un sourire engageant mais triste, comme si elle avait vu trop de malheurs dans sa vie pour goûter pleinement les plaisirs des jours présents. D'ailleurs, elle mange rarement plus d'une fois par jour et ne boit souvent que de l'eau et rien d'alcoolisé.
    Elle s'habille chichement, souvent avec une simple robe de lin. Elle prend peu soin d'elle alors qu'elle pourrait certainement être d'une beauté rayonnante. Il est évident que l'apparence n'est pas son principal soucis.
    Chose étrange, elle a très souvent sur son épaule ou dans ses cheveux un cafard à la carapace d'un noir luisant. Au contraire de sa maîtresse, on dirait que ce cafard mange à sa faim et est resplendissant de santé. Agibail et ce cafard semble avoir une relation étrange, celle-ci s'adressant souvent à lui dans une langue que seuls ces deux peuvent comprendre. À chaque fois qu'Abigail doit prendre une décision importante, elle se réfère toujours à son cafard (domestique?) pour avoir son aval. Ceux qui connaissent les créatures d'outreplan reconnaissent que Gémini, c'est le nom du cafard, n'est pas une simple vermine mais un extérieur venu d'un autre monde pour vivre en symbiose avec Abigail.


  • Caractère :

    Abigaël est engageante, espérant le meilleur des autres, et essayant de toujours agir comme il le faudrait. Elle sait que le monde n'a pas les mêmes vertues qu'elle, mais elle s'efforce de montrer l'exemple, de montrer qu'on peut vivre en faisant le bien, en aidant son prochain, à construire une société où tout le monde aurait sa place. Une société où la guerre aurait disparu et où tout le monde serait heureux et à sa place, y compris les animaux, les plantes. Elle n'hésiterait pas à soigner son ennemi si elle pensait qu'elle pourrait le faire changer d'avis sur le monde.
    Elle parle doucement, ayant passé de nombreuses années bien loin des villes surpeuplées, voire carrément seule parmi les éléments, et n'a pas l'habitude de s'imposer en société. Elle en devient quasiment effacée mais ceux qui la connaissent savent qu'il vaut mieux l'écouter car elle a une profonde sagesse et est guidée par le bien-être de tous.
    Toutefois, il ne faut pas croire que, parce qu'elle est douce, calme et effacée on peut lui imposer quoique ce soit : elle est indépendante, capable de survivre à peu près n'importe où seul et ne reste en société que parce qu'elle estime qu'elle le doit pour aider son prochain, alors que c'est probablement contre son caractère et sa nature.
    Il n'est pas non plus possible de la convaincre de participer dans une bataille où elle ne serait pas convaincue de se battre pour le bon droit, et encore essaiera-t-elle de n'ôter aucune vie chez ses adversaires (à l'exception des extérieurs mauvais).




  • Matériel :

    Abigail n'accorde qu'une importance relative aux choses matérielles, préférant leur côté pragmatique et efficace à la beauté ou à l'esthétisme. La seule chose spécifiquement esthétique à laquelle elle tient est le choix des couleurs de son armure et de son bouclier. Peints d'un blanc éclatant qu'elle fait bien attention à laver autant que possible, l'armure et le bouclier sont barrés d'une croix rouge sang, et le bouclier porte comme symbole le poing fermé et bandé de Dalenydra, la veilleuse bénie. En bataille, elle porte ces couleurs bien haut, promeuvant ce faisant son désir d'arrêter la guerre et de sauver les vies de tous. Elle possède une masse, mais la porte rarement à la main, préférant un simple gant clouté pour se défendre si elle devait en arriver là, préférant utiliser ses pouvoirs magiques et ses maléfices pour désarmer ses ennemis.



  • Histoire connue :

    Abigail ne parle jamais de son enfance, de ses parents ou de quoique ce soit qui serait plus vieux que la Guerre Civile du Chéliax où elle a servi en tant que soignante des compagnies militaire du Nidal "prêtées" à la Maison Thrune.

    Abigael parlera avec dégout de cette période de sa vie. Elle avait recruté de force, comme tout Nidalais ayant certaines capacités, dans les compagnies de l'ombre. Elle était jeune alors et n'était pas aussi certaine des valeurs de bonté et de charité aussi servit-elle pendant toute la durée de la Guerre Civile du Chéliax, supportant et soignant les autres nidalais avec elle. Elle vit trop d'horreurs pour les raconter. Elle n'en garde, heureusement, que de vague souvenirs malheureusement trop brumeux pour éviter une certaine culpabilité de toutes ses vies prises pour que des infernalistes gagnent. Pire encore, alors que la guerre venait d'être gagnée, la Maison Thrune rendit son indépendance au Nidal, permettant au Conseil de l'Ombre de reprendre les traditions ancestrales qui avaient été mises en pause pendant le protectorat impérial. La situation pour elle devint rapidement critique, et elle profita d'une embuscade par des rebelles chelaxiens pour se faire porter disparue. Elle rejoint les montagnes du Nidal, retourna à sa vie "seule dans la montagne" à laquelle elle fait référence.
    Ces années passées dans la solitude et le dénuement eurent un grand impact sur elle, et elle affirma sa foi naturelle dans la bonté, la protection et les soins. Toutefois, si elle obtenait des pouvoirs divins grâce aux esprits, elle n'arrivait à mettre un nom à cette foi. Elle la ressentait, la vivait, mais sans pouvoir lui donner un nom en particulier. Durant ces années, ces décennies même, elle grandit lentement en pouvoir, mais passa plusieurs périodes où elle vécu au sein de plusieurs communautés humaines, de petits villages excentrés du pouvoir central de Pangolais. Elle y connu l'amour, plusieurs fois, eut plusieurs enfants, mais elle connu le malheur de les voir recruté par les Maîtres des Ombres envoyés par Pangolais. Après avoir perdu son aîné, elle fut dévastée et se jura que plus jamais le produit de sa chair n'irait nourrir la soif de sang et de douleur de Zon-Kuthon. Les années suivantes, elle part régulièrement avec ses enfants dans les montagnes durant les passages des Maîtres des Ombres, ou parvient à les cacher. Grâce à cela, ils purent vivre une vivre heureuse pendant qu'elle les voyaient grandir, vivre, vieillir et mourir de vieillesse alors qu'elle était quasiment inchangée. Minée par le chagrin, elle se jura de ne pas recommencer cette tragédie, mais l'amour et la chair furent plus importants que sa résolution en trois autres occasions, avant que son corps vieillissant ne puisse plus porter d'enfants, ou peut-être que le chagrin de voir ses arrières petits enfants grandirent alors que ses enfants remplissaient le cimetierre était trop fort.
    Alors âgée de presque 150 ans, Abigaël s'est demandée quelle était sa place dans ce monde qui tournait sans elle. Elle avait toujours eu le sentiment d'être destinée à quelque chose de plus grand, mais n'avait jamais pu mettre le doigt dessus. Dans ses années déclinantes, sa nature d'Aasimar se fit plus puissante, repoussant les premières rides de l'âge. Vainquant sa déprime, elle se mit en tête de chercher à changer le monde, à sa petite échelle s'il le fallait. Elle se rapprocha de Pangolais, cherchant d'éventuels supports dans la résistance passive de la population envers le Conseil de l'Ombre omniprésent et presque omni-puissant dans le Nidal. Elle trouva alors un petit culte de Shélyn, à moitié clandestin : la relation entre le Frère et la Sœur était compliquée, même au cœur du Nidal. Aucun des deux dieux ni de leurs cultes ne s'appréciaient, car beaucoup trop différents voire opposés, mais le Frère avait juré de ne faire aucun mal à sa Sœur, et il tenait à sa parole. Shélyn, et son culte, pouvait avoir une place étrange dans Pangolais. Pas de temple ni de culte officiel, mais tout de même un lieu consacré et des "chapelains". Elle trouva dans le lieu consacré à Shélyn la révélation qu'elle attendait depuis plus d'un siècle. Ce ne fut pas Shélyn qui répondit, mais une autre puissance divine associée à Shélyn et à ses Agathéons. Ce fut le Seigneur Empyréen Dalenydra qui lui répondit. Pas par des paroles, mais pas une douce chaleur : elle avait l'impression d'être revenue "chez elle", elle qui n'avait jamais eu de "chez elle". Grisée et remotivée par cette épiphanie, elle s'impliqua dans le culte de Shélyn, proposant des soins à ceux qui avaient subit les tortures des Kuthites, ou simplement un support à ceux qui n'avaient rien. En plusieurs occasions, elle utilisa sa connaissances de la montagne et des passes pour exfiltrer des condamnés ou des criminels du Nidal au Nirminthas sur requête des chapelains de Shélyn.
    Ce fut ainsi le cas quand deux kitsunés virent frapper à sa porte par une froide nuit d'hiver. Le mâle était mal en point, son corps rempli d'un poison amplifiant les douleurs, un des supplices favoris des Kuthites. Il lui fallu plusieurs jours pour le remettre en état, et il était évident qu'ils n'étaient plus les bienvenus au Nidal. Elle décida de les sortir du Nidal par les passes hautes, les guidant et les protégeant dans l'hiver. Quelque peu charmée par le couple, elle décida de quitter le Nidal pour les accompagner plus avant : peut-être aurait-elle plus de chances de changer le monde dans un pays qui n'était pas déjà recouvert par l'ombre ?

    Modifié par un utilisateur vendredi 7 septembre 2018 16:16:43(UTC)  | Raison: Non indiquée

  • Offline TrajanUlpius  
    #6 Envoyé le : mardi 4 septembre 2018 19:39:52(UTC)
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    Takkoua

  • Apparence :



    Takkoua est la fille d'un chef orque et d'une captive humaine. Physiquement, elle est beaucoup plus proche d'un orque svelte que de l'humain. Elle porte en permanence une cuirasse en peau de dragon rouge par dessus une tunique, généralement ocre, qui laisse voir ses bras couturés de cicatrices et autres marques d'une vie de combat.

    Pour essayer de se défaire de son passé brutal, après avoir quitté la tutelle de son mentor, elle prit des coutumes humaines, et décida notamment de se teindre les cheveux en faisant appel à un magicien.



  • Caractère :

    Une enfance passée chez les orques, même en tant que fille de chef, ont laissé une trace indélébile sur la manière dont Takkoua perçoit les personnes qui n'ont pas encore gagné sa confiance. Mais depuis quelques années d'aventure, et après avoir croisé d'autres humanoïdes cherchant activement à faire le bien, elle apprit à se détendre, et à arrêter de d'abord chercher le Mal en l'autre.

    Par ailleurs, sa vénération pour Apsu lui a enseigné que toutes les créatures sont des enfants du Dragon, et à moins qu'elle ai pu déterminer avec certitude des intentions néfastes de ses adversaires, elle essaie de trouver une solution pacifique aux conflits.

    Ses années passées sous la férule d'un Dragon d'Argent, pour qui elle a été en quelque sorte un aide de camp, un cuisinier, un apprenti, etc. l'a laissé avec une propension à vouloir tout planifier, ce que d'autres personnes peuvent appeler une certaine rigidité...



  • Matériel :

    Une cuirasse en peau de dragon rouge, ainsi qu'un écu d'acier frappé du symbole d'Apsu : une patte arrière de dragon. Symbole qu'elle porte également en pendentif d'argent. Tous ces objets sont des cadeaux d'au revoir de son mentor, et elle tient comme à la prunelle de ses yeux.



  • Histoire connue :

    Takkoua parle peu de son passé chez les orques, mais ses proches amis savent qu'elle est la fille du chef de sa tribu, et qu'elle a un frère jumeau avec qui elle a toujours eu des rapports compliqués.

    Un jour, lors d'un raid sur un village humain, la demi-orque a confronté son père. Fort heureusement pour elle, un Dragon d'Argent qui protégeait le village est arrivé, et a mis en déroute la tribu orque. Comme Takkoua n'avait nulle part où aller, le Dragon décida de la prendre sous son aile et de lui enseigner la voie d'Apsu. Pendant des années Takkoua executa des missions pour le Dragon, s’entraînant à la traque d'animaux et de criminels, aidant les communautés alentours, entre autres choses.

    Quand le Dragon d'Argent estima qu'elle était prête, il lui offrit son armure, et lui dit d'aller explorer le monde, car les routes mènent toujours à des nouveaux départs. Elle décida donc de rejoindre la société des explorateurs.

    [en cours]



  • Credo :

    * Je suis la griffe de la colère d'Apsu. Je frapperais là où on a besoin de moi, mais seulement quand le mal aura été démasqué et qu'il n'y aura aucun doute sur la malice de mon ennemi.
    * Quand mon but n'est pas clair, je marcherais sur les routes pour me retrouver. Toutes les routes mènent à un nouveau commencement.
    * Rien ne vaut que je sacrifie ma vie, excepté la protection de la vie des autres. Je battrais en retraite si nécessaire, et reviendrais pour frapper mes ennemi à nouveau.
    * Le pardon est offert, mais une fois seulement. Si je suis trahi dans un moment de bonté, je ne m'arreterais qu'une fois mon ennemi à terre.
    * Vaincre le mal et partir ne suffit pas. Je resterai le temps nécessaire pour aider ceux que j'ai aider à se débrouiller par eux-même.
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