« Ecoutez, madame. Vous avez une bonne éloquence. Je crois que votre petite théorie plairait beaucoup à Lord Merriweather Stokes de l'académie Kitharodian. » dit-il. D'un côté, il a l'air sincère. De l'autre, il a l'air de se moquer. Tu ne sais pas si c'est l'un ou l'autre, ou encore les deux à la fois.

« Pour ma part, je conçois la vie, la science et tout le reste en terme de défi personnel. Même ces jambes brisées ne sont qu'un défi supplémentaire. Le beau immortelle ne m'intéresse pas. Le genre de mon interlocuteur, eusse-t-il votre beauté, ne m'intéresse pas. Je n'accorde de valeur qu'à la compétence et je pense que chacun peut en faire preuve. »

L'échange entre vous est terminé. Tu ne gagnes pas d'influence sur ce personnage même si l'entretien t'as permis de cerner un peu mieux sa psychologie. Tu pourras retenter le coup un autre jour si jamais tu le recroises.

Vivement que je retrouve un ordi digne de ce nom...

Musique - La ligue des gladiateurs (une classique )

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Pendant ce temps à la fête.

« Sans vouloir vous offenser, chevalier... Les barbares et les pauvres qui se trémoussent en sueur dans le sable, ce n'est pas vraiment un spectacle que nous goutons. L'utilité d'individus aussi... compétents... n'échappent toutefois pas à notre bon sens. Si vous remportez une victoire et que vous nous impressionnez pourquoi pas. Néanmoins, à l'heure actuelle, que ce soit votre équipe ou l'autre qui remporte cette escarmouche ne nous importe guère. »

Argentea sembla décider qu'il était temps de changer de sujet de conversation.

« Bien sur Zenon, vous avez parfaitement raison. Toutefois, j'ai appris récemment que dans l'adversité même une mauvaise troupe pouvait être salutaire.

D'ailleurs, chevalier Vesnia... Vous me faites penser à l'une des têtes pensantes de la troupe à laquelle je pense... Une certaine lady Nastasya... Vous dégagez la même énergie que cette personne là. »

Vesnia : Un jet de volonté s'il te plait.

« Et bien, je suis venu voir quel merveilleux élément avait été recruté par la marquise Deschamps. La jeune Lady Orianne a a vanté vos qualités et votre discrétion. Je sais que la ressource humaine se paye cher. Alors une question : que vous faites-vous pour cette pingre de marquise que je ne saurais m'offrir pour le triple de vos gages actuels quels que fussent leur montant ? »

Modifié par un utilisateur lundi 19 novembre 2018 21:27:21(UTC)  | Raison: Non indiquée

L’oreille toujours attentive à son environnement proche, Zenon prêta un oeil distrait à ce qui se passait en contrebas. D’un côté comme de l’autre, les équipes se préparaient car le combat n’allait pas tarder à commencer. D’un côté même, l’homme torse nu qu’il n’arrivait pas à jauger semblait même réussir à motiver ses troupes par son discours. Ses hommes se faisaient plus bruyant à présent et faisait montre de détermination, ce qui était souvent une bonne chose dans ce genre de situation. Mais comme le disait si bien Lady Morilla, pour l’instant, ça ne restait qu’une bande de barbares et de paysans en affrontant une autre. Il revint donc vers ses interlocutrices en attendant que le combat commence. Les priorités restaient les priorités.

Pourtant la réponse de Lady Massallene le laissait perplexe. Une mauvaise compagnie valait mieux que pas de compagnie du tout ? Zenon lui-même n’en savait trop rien. Depuis la mort de sa mère, il ne s’était jamais reposé sur personne d’autre que lui-même. Faire confiance était un luxe qu’il ne pouvait pas se permettre, surtout dans le milieu qu’il avait fréquenté pour survivre. Les traîtres, faux-jetons, calculateurs, délateurs et autres manipulateurs étaient plus nombreux que les morpions et puces présents sur la touffe d’un crève-la-fin ou celle d’une catin. Bien sûr, chacun avait une utilité et tout le monde était remplaçable. Mais ça, c’était une évidence. Tout le monde le savait. Lui, le premier. S’il servait la marquise Deschamps, c’est surtout parce qu’il avait réussi à prouver son utilité et son potentiel.

Affichant une moue à moitié convaincu, Zenon décida quand même de concéder le point à Argentea plus par courtoisie que par conviction, en ajoutant un compliment à la fin pour faire bonne figure : « Vous avez sans doute raison, Lady Massallene. Cette graine de sagesse est un bien précieux dont j’apprécierai à sa juste valeur. » Du moins, il l’espérait. Zenon était plus doué pour trancher des gorges et planter le dos des gens que pour les flagorneries. Mais le milieu des nobles requerrait cette compétence et ce savoir-vivre. Il tâchait donc de jouer pour l’instant selon les règles, tout débutant qu’il était, avant de se tourner vers lady Morilla qui venait d’avouer ouvertement que sa personne l’intéressait.

Quelque chose pourtant clochait à ses yeux. Zenon savait de source sûre que Lady Gloriana Morilla et sa maitresse avaient de puissants liens au travers de la société des éclaireurs. Critiquer la marquise Deschamps de la sorte semblait grossier même pour une personne dont le point fort reconnu n’était pas la subtilité. Alors pourquoi lâcher cette remarque acerbe sur l’avarice de son alliée ? Cette femme devait se payer sa tête. Seulement, même s’il recherchait le soutien et le pouvoir des puissants, le jeune homme ne se voyait pas accepter de façon aussi grotesque cette proposition. « Vraiment ? Pourtant, chaque homme possède un moteur différent. L’or n’est pas forcément la réponse à tout. Si votre maison n’est constituée que de ce type d’homme, je crains le jour où vos coffres seront vides car le plus offrant vous réduira votre maison à néant. La réussite sur le long terme requiert d’autres artifices. »

Zenon ferma ensuite son bec, comme s’il venait de se rendre compte que ce qu’il venait de déclarer pouvait se révéler insultant. Mais il ne s’excusa pas pour autant. A la place, il attendit une réaction de son interlocutrice qui devait certainement être surprise par sa réponse.


mes jets sur le topic des dés

Nébo n'était pas très satisfait de leur entrée en matière. Un manque de chance, de réussite peut être, mais il était conscient que pour réussir en tant que gladiateur, il fallait que Desna vous sourit... Comment faire pour renverser la vapeur.
Un de ses gars gisait à terre. Derrière lui, il était vaguement conscient que Séléna s'affairait. Se concentrant un moment, Nébo fit appel, immobile et silencieux, à une magie logique et froide dont il ne maîtrisait pas la théorie. Mais qu'importe : ça fonctionnait et c'était le principal. Il allongea ses pensées jusque vers le corps inerte du membre de son équipe. Il perçut en imagination les blessures, là où le javelot avait transpercé les chairs. Nébo n'était pas un médecin, loin de là. Il ne saurait recoudre une simple coupure, mais il percevait cette blessure magiquement. Poussant sa force mentale, il força la blessure ouverte à se refermer, permettant à Séléna de le remettre sur pied éventuellement, mais surtout d'éviter qu'il se vide de son sang avant qu'on puisse s'occuper de lui.

Il peste intérieurement au manque d'intérêt qu'il perçoit depuis le balcon. Des gens risquent leurs vies pour montrer leur bravoure. Et ils s'en fichent...

Elsa, tu voudrais pas te montrer, histoire d'aiguiser leur curiosité ? Tu te montres au balcon, leur envoyant des bisous, je suis sûr qu'ils ne pourront résister à tes charmes.

« Avec plaisir mon chou. »

Se concentrant à deux, Elsa se manifeste à une dizaine de mètres de lui, en direction du Balcon. Elsa se forme, partiellement matérielle. D'une couleur rose tirant sur le rouge relativement unie, il est évident qu'elle n'est pas une humaine. Les contours flous de son corps confirment cette idée. Mais même s'il esst évident qu'elle n'est pas humaine dans sa nature, elle est humaine dans toutes ses formes. Elles portent des vêtements légers, de ceux qu'on porte généralement lors des chaudes soirées d'été loin dans le sud, qui permettent de faire respirer la peau. Mais ces vêtements couvrent peu le corps immatérielle de celle qui s'est manifestée. Celui-ci se devine pleinement, aux formes féminines et séduisantes, temptatrice d'un simple regard.
Elsa regarde vers le balcon, tentant d'accrocher le regard de tout homme ou femme qui regarderait vers elle. Elle attendait ce moment depuis longtemps, où des hommes et femmes pourraient la contempler en public, à un endroit où elle pourrait se montrer, dans toute sa splendeur, où le but même de son apparition serait de démontrer sa splendeur. Elle s'époumone pour être bien entendue de l'arène et du balcon.

« Nobles de Taldor, Oyez ! Oyez ! Ceux qui risquent leur vie dans l'Arène réclament votre attention. Tels Desna, Pharasma, Calistria ou Kurgess, vous observez et jugez. Tels des dieux, votre jugement sera, j'en suis sûre, impartial mais motivé. Regardez-les. car c'est leur seule prière avant de périr absorbé par le Sable. »
Sensiblement moins fort, mais tout de même audiblement pour ceux qui voudrait tendre l'oreille, elle rajoute, mutine.
« Ou au moins regardez-moi, car c'est mon désir »

Espérant avoir eu un impact sur le public, Nébo s'efforce après d'avoir un impact sur la bataille qu'il essaie d'organiser. Voyant les adversaires à portée, il crie à sa troupe :

« CHARGEZ !!! SUS AUX MINOUX!!! »

Nébo espère que sa "tactique" tout en subtilité de charge tout azimut sera suivie d'effets. Il regarde rapidement en coin vers Séléna, conscient que les blessés vont sûrement s'accumuler dans les vestiaires. Il espère juste qu'il n'y aura pas de morts...



Au cas-où ça ne serait pas clair, Nébo lance stabilisation sur le gars tombé au combat.

Modifié par un utilisateur mercredi 21 novembre 2018 11:16:09(UTC)  | Raison: Non indiquée

Zenon hésitait à répondre à Vesnia. Bien sûr, la jeune faisant partie de son propre réseau d’information - et sans doute l’inverse aussi -, il n’était pas contre le fait de lui répondre. Mais quoi dire ? Quoi révéler sur la comtesse ? Et quoi taire pour ne pas trop en révéler sur lui-même ? Et surtout en cet instant et cette place ? Il n’y avait pas de mur ici. Que des oreilles indiscrètes. Réfléchir. Réfléchir vite. Il fallait apporter une réponse à cette question de manière intelligente sans trop tarder.

Et soudain, alors qu’il réfléchissait à un message secret, quelque chose d’étrange se produisit. A quelques mètres de l’inconnu torse nu, une manifestation ectoplasmique, mi-physique mi-translucide apparut. La forme était clairement féminine. Du moins, s’il avait un doute, la voix elle ne mentait pas. Et celle-ci leur intimait d’observer le spectacle en contrebas.

Inespéré ! pensa alors le serviteur. C’est l’occasion qu’il me fallait pour détourner l’attention ! Aussitôt, il pointa du doigt le fantôme en déclarant un peu hésitant. « Que… Qu’est-ce ? Une scène voulue par le comte ? Mes dames, avez-vous déjà vu cela ? » Voyant ses trois interlocutrices se tourner vers le spectacle qu’il désignait, il ajouta : « est-il possible que ce soit là un compagnon invisible qui s’occupe des basses besognes de son maître ? »

Info secrète à destination de Vesnia

Modifié par un utilisateur vendredi 23 novembre 2018 12:50:17(UTC)  | Raison: Non indiquée

Kéliss fut plus que surprise par cette apparition. Elle n'avait encore jamais vu cela, mais elle sourit, impressionnée par ce retournement de situation, tant pour les gladiateurs que pour les nobles.
« Impressionnant. Voilà quelque chose que l'équipe des Red Cats n'avait probablement pas prévu. »
La jeune femme regarda l'arène, et questionna le Comte. « Nous avons un beau spectacle devant nous, notre hôte a bien choisi les concurrents. Pensez-vous que cela pourrait donner un avantage aux Tridents? »

Zenon ne savait pas si Vesnia avait perçu son message. Cette dernière ne lui donnait pas de signes allant dans ce sens. En revanche, elle montrait des signes flagrants de fierté - ou de vanité - alors que Nebo avait réussi à accaparer une partie de l’attention de la réception. Zenon trouvait cela secondaire et précipité car son équipe n’avait pas encore gagné. Que lui importait sa propre équipe si le but final pour Vesnia était de créer des contacts dans le cercle très fermé des nobles ? Finalement, il se demanda s’il n’avait pas mal choisi son contact et s’il ne s’était pas donné du mal pour rien.

Mais pour l’instant, l’heure était à la discussion et à l’atteinte de ses objectifs. Ravalant une grimace derrière un sourire de convenance, Zenon se rassura en se disant que Lady Massallene ne semblait pas avoir perçu le message codé. Si ça avait été le cas, il aurait pu placer sa maîtresse dans une position délicate. Et alors qu’il se rassurait en se disant cela, il sembla percevoir quelque chose dans la gestuelle de lady Morilla qui trahissait un radoucissement. Se pouvait-il qu’elle l’ait percé à jour ? Pendant que le sang battait les tempes de Zenon tambour battant, il attendit que le combat avance. Cela lui donnerait le temps nécessaire pour repositionner ses pions. Il voulait en apprendre plus sur Vesnia et son équipe. Mais il devait le faire avec doigté. Les apparences devaient être maintenues.

Finalement, le premier combat se termina sur la victoire des Tridents. Comme il s’y attendait, chacune des deux ladies trouva quelque chose à ajouter pour ponctuer cette victoire des gladiateurs de Vesnia.

Cependant, Zenon ne savait pas si lady Massallene faisait preuve de sagesse ou de bêtise en remettant en cause l’importance du commandant dans la victoire de son équipe. À ses yeux à lui, Nebo restait l’artisan de la victoire. Sans lui, ses hommes n’auraient pas dégagé une telle hargne et une telle motivation durant le combat. De ça, il en était sûr. Peut-être Vesnia avait-elle effectivement joué un rôle dans tout cela, mais il était bien minime en comparaison. Ce fut donc avec un hochement de tête que le serviteur acquiesça aux propos de Lady Morilla. Il ne comprit qu’après coup que les réponses des deux nobles répondait aux règles du Grand Jeu.

Comprenant cela, Zenon prit la question de lady Gloriana pour ce qu’elle était. Une farce. Il doutait que l’équipe intègre des… quoi ? Hallucinations ? Apparitions ? Manifestations ? Fantômes ? Il était évident à ses yeux que la possibilité que Vesnia enfile un baudrier soit bien plus probable. Pourtant, il ne s’en réjouissait pas. Elle était l’un des contacts de son réseau en ville et il n’aimerait pas perdre ses oreilles pour quelque chose d’aussi futile qu’un combat d’exhibition. La regardant tout en se faisant la réflexion, le noble déchu se dit aussi que Vesnia était bien mieux mise en valeur dans ses voiles et chiffons. Son corps jeune et svelte relevait juste ce qu’il fallait de sensualité pour attirer les regards des hommes et ses yeux sombres fixaient les yeux de ses interlocuteurs sur son visage. Alors qu’avec une armure grossière de cuir… « Je suis d’accord avec vous, lady Morilla. Le baudrier lui irait moins bien qu’au commandant de son équipe. » confirma t-il d'un ton amical.

Se tournant vers l’intéressée, il demanda tout de même par précaution. « Comptez-vous rejoindre vos hommes dans l’arène ? Je pensais que votre rôle était autre. » Garder l'une de ses oreilles était une chose, mais l'humilier devant des invités influents en était une autre.

Modifié par un utilisateur mardi 4 décembre 2018 21:23:33(UTC)  | Raison: Non indiquée

Kéliss applaudi doucement après la victoire des Tridents, c'était une belle victoire de leur part, même si les Red Cats avaient vaillamment combattus. « Je suis aussi de votre avis, mais l'explication du commandant des Tridents tient la route. Il ne veut probablement pas perdre un duel devant son équipe.
Une victoire en équipe est importante, il ne souhaite pas que le moral de ses troupes baisse s'il venait à se faire vaincre. » La jeune femme espérait ne pas contrarier le Comte avec cet argument.

« Je n'assiste que rarement à ce genre de violence. Même si cela est très inspirant. Quand je ne suis pas avec mon mécène, le Comte de Zimar; je me trouve à l'Université de Poésie Antique. J'aime le théâtre, la danse, la poésie.
Même si cela peut sembler bien loin de la guerre et des batailles, les plus grands affrontements ont inspirés bon nombre de pièces célèbres. Le courage de chaque homme et femme se doit d'être consigné dans les mémoires; et je trouve que le théâtre le permet. Ne trouvez-vous pas? »

Ainsi s'en était fini. Il était temps pour la cliniste de faire ses preuves. Alors que les blessés étaient rapatrié auprès d'elle, Séléna préparait déjà son matériel en estimant les dégâts sur les combattants. La jeune médecin commencerait par soigner le blessé le plus grave, tout en rappelant aux gladiateurs en bonne santé les gestes à appliquer sur les blessés plus léger.

" N'oubliez pas, faites un garrot en amont de la blessure... "

Séléna avait l'habitude de recoudre des coup de couteau. Ça arrivait régulièrement dans les rues, mais elle ne semblait pas très à l'aise de le faire ici, peut-être était-ce le stresse provoqué par la présence des hautes sphères. Quoi qu'il en soit, elle essayait de se détendre et d'utiliser les bon outils au bon moment. L'alcool qu'elle avait pu emprunter lui servit pour désinfecter les plaies, offrant au préalable un morceau de tissus roulé sur lequel pouvait mordre le patient pour tenter de d'évacuer la douleur d'une quelconque manière. Ensuite, il fallait recoudre, l'étape la plus délicate. Tant qu'il ne bougeait pas c'était simple, mais si le blessé n'était pas tranquille, elle devrait demander de l'aide aux autres soldats pour le maintenir. De toute façon, il aurait bien fallu un ou deux hommes pour maintenir ceux qui devaient se faire cautériser...
Après ces étapes douloureuses, il ne restait plus qu'à faire un bandage pour éviter toutes infections indésirables, et une fois le nœud fait, c'était fini pour le pauvre homme. Bien entendu, il faudra tenir cette blessure à l’œil un petit moment pour s'assurer qu'elle ne s'infecte pas. Elle reviendrait certainement les voir dans les jours à venir.

En ce qui concernait la reddition, Séléna n'était pas complètement satisfaite de cette décision. Elle aurait souhaiter voir le commandant adverse se prendre une trempe, mais elle n'avait pas son mot à dire là-dessus, et quand bien-même, il n'avait pas l'air totalement incapable au combat. Cela aurait fait trop plaisir à Nébo de se faire soigner en cas de défaite.

Modifié par un utilisateur vendredi 7 décembre 2018 09:25:19(UTC)  | Raison: Non indiquée