Akiros laisse faire le groupe, ils l'ont bien mérité et de toute façon, il n'a aucune prétention sur les richesses présentent. Surtout qu'il est techniquement coupable d'en avoir amassé une partie. Mais... Il ne s'agit pas de la réelle cache aux merveilles: ce n'est que de l'équipement. Non. Il affirme plutôt aux explorateurs que le Seigneur Cerf gardait tout dans une pièce secrète, qu'il suspecte être l'endroit où est détenu le druide: le père dudit Seigneur Cerf.

« C'est obligé, il amenait tout dans sa chambre et le lendemain, il n'y avait plus rien. Le rapprochement est vite fait pour qui a un semblant d'intellect. »

Accompagnant ensuite les explorateurs jusqu'à la chambre, il explique: « Je descend avec vous, ce fou pourrait être dangereux. »

Dans la chambre, qui pue le vin de mauvaise qualité, le renfermé et une forme de pestilence nauséabonde, la vue est peu ragoûtante: des affaires qui traînent ici et là, un pot de chambre usagé, une table avec quelques feuillets manuscrit révélant les plans des futures exactions, et un lit double en bordel. Celui-ci est tâché: de nourriture et de vin et, dans l'ensemble, doit sûrement puer, mais... vu l'odeur général, impossible de faire la différence. Azaghis et Akiros s'allient pour tirer le lit afin de révéler une trappe sous un tapis. Une fois ouverte par les explorateurs, une échelle qui mène à un sous-sol en tout point semblable à celui dans lequel ils avaient préparés leurs coups. Dedans: une pièce avec une multitude de coffre et de sacs remplit à raz bords, et une cellule. Dedans: un vieil homme, au regard fou, la peau sur les os, le visage perdu dans des pensées sûrement tellement lointaine que les préoccupations primaires ne doivent plus vraiment l'atteindre. « Hey, vieil homme, t'es avec nous? » Lâche Akiros.

Pas de réponse. Le père du Seigneur est comme absent. Se concertant du regard, l'équipe se décide à ouvrir la cage. Un grand coup de pommeau plus tard, la serrure cède et le druide reprends immédiatement ses esprits et alors qu'il s'apprête à jeter un sortilège, sûrement impie, Akiros le pourfend de son épée. « Hey, je sais ce que tu allais faire. Même pas en rêve. Rejoins donc ton fils et pourrissez-vous la vie entre vous. »

Le ton de l'ex-paladin est dur et sévère, son jugement: définitif. Les yeux du druide se révulse à mesure que le reste de sa vie s'échappe en coulant le long de la gouttière de l'épée longue d'Akiros. Il tombe ensuite au sol, mort. Cela n'aurait durée que quelque secondes.

« Désolé, mais sa magie est puissante et ils nous auraient tous entravés. C'est son sort de prédilection, c'est comme ça qu'il dirigeait la région de son temps: Paralyser pour ensuite torturer. C'est de cette même façon qu'il a fait du Seigneur Cerf l'homme qu'il était. » Son regard est toujours dur, il est sûr de lui et n'éprouve aucun remord. Pour lui, il a fait régner la justice, pas celle qui certains auraient voulu, mais une justice quand même.

Ephyra lança un regard étonner à Akiros lorsque celui-ci abattit le druide d'un coup d'épée mais elle ne dit rien. Celui-ci avait voulu les attaquer et l'ancien bandit avait permit d'éviter une bataille, potentiellement dangereuse pour l'équipe. Ainsi donc elle hocha la tête aux paroles de Charani avant de la suivre vers les coffres, toute vision magique dehors afin d'identifier les éventuels objets merveilleux.

Modifié par un utilisateur jeudi 29 août 2019 00:35:08(UTC)  | Raison: Non indiquée