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@MRamius :
Pour éviter d’avoir un groupe trop séparé dans les lieux, je vais attendre de voir ce que font les autres afin de réagir pour la salle C17. Actuellement, tu es à l’équivalent de 3-4 salles plus loin. C’est possible que vous vous sépariez, mais je n’aimerais pas que ce soit au détriment d’un autre joueur.

Valéria :






Reculant de quelques pas suite à l’arrivée brutale du Cap’tain, le kobold grogne quelque chose d’incompréhensible avant de marmonner :
Toujours en draconique :


Prenant son sac et se dirigeant lentement vers la porte située au Nord :
En commun :
« Moi. Pas. Vouloir. Ennuis. Moi. Partir.  »

Puis, se tournant vers Joanna :
Toujours en draconique :


Si vous le laissez faire, il passe la porte pour se diriger dans la direction de Valéria.

Psychologie (Cap’tain) :






Pour éviter les baisses de rythme comme actuellement, lorsque ce n'est pas lié au privé mais à des joueurs qui s'attendent l'un l'autre, je vous propose de mentionner (soit ici à la fin de vos messages en hrp, soit dans le fil hrp) lorsque vous attendez une réponse de quelqu'un en particulier avant de continuer.
Ça permettra de démêler le Schmilblick, qu'en dites-vous ?

Avec un sourire je reçoit la réplique du kobold... Il touche juste d'une certaine manière. Une large majorité de ce qui est est ici n'est, finalement, plus la propriété de personne... Et pour ce que j'ai vu jusqu'à présent la valeur historique est a peu prés équivalente a celle des babioles qui étaient vendues a l'entrée du sénat... Bon... Il n'en reste pas moins que... un kobold... Mais un kobold qui sait faire preuve d'un certain discernement puisque, au final, ce qu'il a embarqué semble être non seulement dépourvu de réelle valeur historique mais en plus plus relativement simple a écouler...

Le passé est le passé : s'il est déjà venu ici je n'y peux rien... Quand a ce qu'il a acctuellement dans son sac... Et bien c'est sans grande valeur vis à vis des bénéfices que j'ai a tirer de cette histoire et surtout... Si jamais il a l'occasion de recommencer ce genre de choses... et bien c'est que les actions de l'autre malade ont porté leurs fruits. Et en ce cas... Et bien il peut bien piller tout son saoul.

Je réalise que je suis restée plongée un peu plus longtemps dans mes pensées que je ne le pensais lorsque je vois la réaction d'Ernesto... Bon sang... je sais qu'il a pas été embauché pour ses aptitudes de diplomate mais... Je soupire... Puis commence en draconique :

« في الوقت الحالي ، حتى البشر يواجهون صعوبة في التحدث معه ... شكرا لك على موافقتك على أن توضح لنا ما كنت قد أخذت.

أترك لحظة؟ يجب أن أعتني به. »

Draconique

Avec ces derniers mots je me tourne donc vers le soldat et répond d'une voix mesurée :

« Le fait est que le contenu de son sac ne vaut pas beaucoup plus que quelques pièces de cuivre... Quand au reste... Il semble y avoir méprise... J'étais ici pour aider ce pays a avancer... Pas pour vénérer des reliquats miteux du passé.

Quand au premier qui oserait piller des reliques dignes d'intérêt sous mes yeux... N'ayez crainte. La famille Lotheed sait comment traiter ceux qui détruisent la connaissance. Je suis certaine qu'aucune des personne ici présentes n'est prête a assumer son ire. En revanche... S'il est question de faire remonter a la surface des trésors oubliés...

La situation est compliquée. Je suppose que messire Beaufort ne souhaite pas voler un bien pour son propre compte mais simplement s'assurer que ceux qui ont fait couler le sang en ces lieux ne récupèrent pas un objet qui lui semble important... D'autant que même si elle ne vaut pas grand chose une dague reste une arme qu'il pourra utiliser dans notre effort collectif pour remonter. »

J'adresse un sourire légèrement menaçant a ce dernier avant de reprendre sur un ton bien plus amical :

« Ernesto. J'apprécie votre diligence mais il faut savoir quand observer et quand agir. Pour l'heure nous devons tous ressortir d'ici... Quand au kobold... Et bien... j'ai déjà vu bien assez de sang aujourd'hui. Et mieux vaut le garder a l’œil que de s'inquiéter en permanence pour lui... »

Trop de monde autour pour utiliser les arguments qui m'auraient le mieux convenu... Dire maintenant "il me semble pas beaucoup moins fiable que Malphène et les deux autres" ne correspondant ni a mes pensées (enfin surtout en ce qui concerne Malphène) ni a quelque chose que je peux me permettre de dire tout haut... Même si pour le coup ça aurait peut-être été efficace... Tant pis. Reste a s'occuper de l'être rouge :

« نحن جميعا نريد أن نغادر هنا ... ومن ما تخبرني أن الشبح هو الخوف. من حيث أتينا ، قمنا بالفعل بقتل شبحين يخرجان من الجدران ... وقد نجحنا في الهروب مرة أخرى.

ربما بعض الأشياء هنا لها قيمة تاريخية. أطلب منك عدم أخذها. إذا وافقت ... حسنًا ، يجب أن أكون قادرًا على التأكد من ... آه ... ليس لدي الكلمة الصحيحة ... تظل هادئة حتى نعثر على المخرج.

ويمكنني حتى التفكير في مساعدتك على الاختفاء مرة واحدة. »

Draconique

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Grognant, le kobold pose et déballe son sac, sans chercher à se justifier davantage. C’est à ce moment précis que vos nobles compagnons débarquent dans la petite pièce, grimaçant à la vue du kobold.

« Bi…bien entendu Dame Lotheed, je ferai honte à ma famille si je m’abaissais à piller voyons… haha… Nous souhaitons tous restituer au Sénat ce qui appartient au Sénat, n’est-ce pas ? Mais tenez donc en laisse votre laquais, nous n’avons pas élevé les cochons ensemble ! Il devrait apprendre les bonnes manières avant d’oser parler à des gens de notre rang ! » braille-t-il, la tête haute, à destination du Cap’tain.
« C’est lui le cochon, ça oui ! » lui chuchote Estelle.
« AAH ! Quelle est cette horreur ?  » hoquète-t-il à la vue du kobold.


En commun :
« Mimips. Pas. Vouloir. Problèmes. Pas. Bon. Jour. Pour. Affaires. Tant. Pis. » râle-t-il, séparant les objets en deux tas.

«  Ça vous. Ça moi.  » lâche-t-il, montrant respectivement une pile d’objets ramassés dans le sous-sol, contenant plusieurs figurines et bannières, puis une pile d’autres babioles vraisemblablement à lui, dont un livre écorné, divers morceaux de métal tordus, des fioles et de la poudre. Sur son visage, vous ne discernez pas de rancune particulière. Il devait s’attendre à pareille réaction, et s’estime heureux d’en sortir vivant. S’il est évident qu’il ne montre aucune résistance pour laisser son butin, il n’a en revanche clairement pas l’intention de le remettre à sa place : il ne faut pas pousser mémé lézard dans les orties !

Suivant votre altercation d’un air curieux, il commence à remballer ses propres affaires.
Répondant à Cyrielle, sur un ton plus aimable, bien que toujours grognon :
En draconique :
marmonne-t-il, se pointant du pouce.

S’en suit l’intervention de Joanna qui laisse le kobold… dans un état second, les yeux grands ouverts. Décidément, les humains semblent être des créatures bien difficiles à comprendre pour ce petit voleur.
En draconique :



De son côté, le dénommé Beaufort continue de faire la forte tête… avant de se faire arracher la dague des mains par une nouvelle venue dans la pièce, une Malphène visiblement lassée du comportement de ses pairs.
Jetant la dague sur la table la plus proche :

« Arrêtez vos pitreries. Vous croyez que c’est le moment ? Vous avez conscience de la gravité de la situation ? Pauvre imbécile… Vous êtes peut-être issu d’une quelconque lignée noble, mais ce garçon agit plus noblement que vous ne le feriez jamais.  » dit-elle en soupirant.

« On ne devrait pas traîner, j’ai l’impression d’entendre les murs se fissurer derrière nous. »

Vous n'entendez rien de particulier, c'est probablement un moyen pour elle de dire aux autres nobles "Bougez ou vous allez mourir".

Le ton a monté dans la pièce qu'il avait abandonné pour s’émerveiller devant les vitrines suivantes -et surtout devant leur contenu... qui lui paraissait tout droit sorti de l'histoire du Taldor. Que d'histoire, de gloire, de drame, d'espoir et de siècles avaient traversés ces objets.... Mais, visiblement, on ne lui laisserait pas le loisir de baver plus longtemps... Que se passait il ?

Ah... Le jeune noble repassa un oeil de l'autre coté, constatant sans vraiment en comprendre la raison la posture martiale d'Ernesto, se rendant compte que ses invectives s'adressaient au kobold... Puis à Sir Beaufort... Mais.. mais pourquoi... ? ah il avait pris une dague ? Mais pourquoi en faire un drame ? Et le kobold n'était ... qu'un kobold. Cette vermine n'était pas dangereuse quand ils étaient seuls... Enfin, il ne le savait probablement pas. Et c'était noble de défendre le patrimoine, il était le premier à l'en remercier mais... ça c'était du toc non ? Pas comme là où il se trouvait.. Enfin, c'était quand même noble de sa part. Un peu trop coincé quand même peut-être... surtout pour du toc...? Et puis... il ne valait pas grand chose mais en faire un ennemis alors qu'un adversaire se trouvait devant eux était... un peu osé non?

Cyrielle s'interpose, et l'espace d'un moment Nicholas se dit qu'elle va parvenir à ménager la chevre et le choux et qu'il n'aurait pas à intervenir. Le Captain avait raison, mais le bon sens nécessitait tout de même de calmer le jeu non ? La suite le détrompa directement... Cet imbécile. Ses traits se ferment instantanément. Il ne pouvait laisser passer ça et puisque visiblement ce noblion de seconde zone ne comprenait pas les sous entendus.. Et si Malphène lui coupe l'herbe sous le pied - elle valait décidément plus que ce qu'elle avait de prime laissé paraître, il s'approche rapidement pour en remettre une couche.

« Dame Trant, si vous me permettez de rajouter une chose à votre...diatribe? » Demande il en remerciant d'un signe Malphène pour son intervention avant de se tourner vers Sir Beaufort, cachant sa fureur sous un sourire méprisant. « Vous ne manquez pas de culot vous. Non seulement vous êtes un pleutre, mais en plus vous êtes visiblement décérébré. Vous, et nous tous ici, lui devons la vie au cas où vous ne l'auriez pas encore réalisé espèce de crétin... alors le minimum serait d'être reconnaissant au lieu de tenter de lui faire regretter son courage.

Ernesto a bien plus de talent que vous deux réunis » complète il pour le couple, « et même si ce serait un plaisir, il n'est pas à notre service et décide très bien pour lui même, alors s'il décide que vous ne méritez pas de rejoindre la surface, je ne voit pas bien qui pourrait le contredire. Alors à votre place je lui présenterait des excuses sincères. Maintenant. »

Bon, il exagérait un peu... et l'avoir à son service aurait été probablement épuisant - de ce qu'il en voyait, ils ne reflechissaient vraiment pas de la même manière... Mais ça, ils ne pouvaient pas le savoir et, par tous les dieux, lorsqu'on était un étron, on ne se permettait pas de tenter d'humilier plus doué que soi.

« Et ne traînons pas, nous ne savons pas comment les choses ont tourné plus haut, et vous avez raison Dame Trant, il y a du bruit derrière nous... Avançons.  »

Glissant peu après au guerrier.

« J’espère que vous m'excuserez d'être intervenu...? Je me doute que vous auriez pu largement gerer la situation seul, mais... »

Un regard à Cyrielle pour vérifier comment elle va.. Et direction vers là où s'est éloigné Valéria...

Ah... Les ravages d'un ego mal placé déjà malmené par une situation stressante... La réaction de Beaufort est si... si... pitoyable... je m’appétais a répliquer quand Malphène Trant lui tombe dessus... Elle continue lentement a monter dans mon estime celle-là... Et au final entre son intervention et celle de Nicholas je n'ai pas grand chose a ajouter. Je me contente donc de clarifier un petit détail :

« Celui qui se dissimule derrière son rang n'est généralement pas digne de le porter. Et les temps qui arrivent seront de ceux ou bien des choses vont être chamboulés. Bien des lignées mineures vont disparaître et bien d'autres vont apparaître. Ce qui a eu lieu tout a l'heure devrait vous l'avoir fait comprendre.

Et puis... N'oubliez jamais : tous sont égaux face à Pharasma... »

Puis... D'une voix douce... Laissant clairement entendre la tristesse que m'inspire le fait de devoir formuler oralement ces mots j'ajoute après la diatribe du soldat :

« Non seulement la noblesse n'excuse pas tout... Mais elle devrait être synonyme d'exemplarité sur ce genre de choses non ? »

Le contact avec le Kobold semble s'être assainit... Et c'est loin de me déplaire. D'autant plus que Johana se propose d'elle-même de nouer contact avec lui... Si ça se fait ce sera un très bon moyen pour moi de suivre le mouvement... Même si je reste assez sceptique sur la situation et que nous n'avons de toute manière pas tellement de temps a perdre...

Je lui répond alors qu'Ernesto observe ce qu'il a sortit de son sac...

« لا أستطيع أن أقول العكس: السطح يشكل خطراً عليك. بالأمس كنت قد أخبرك أنني كنت آمل بالتحسين ولكن ... سوف يستغرق الأمر بعض الوقت.

حظاً سعيداً بالخروج ... وآمل أن تتاح لنا الفرصة للمناقشة في ظروف أفضل.

يا و ... هل تريد مني ترجمة ما يقوله؟ »

Draconique

S'il répond par l'affirmative je reste le temps de faire la traductrice... Mais je commence déjà a jeter quelques regards inquiets vers la porte ou a disparu Valéria il y a maintenant bien trop longtemps a mon goût... j'aurais du lui lancer un sort de message.

A quelques mètres de là, Valéria stoppe sa course et tend l'oreille est-ce que ... ? Oui ! Son badge grésille un voix nasillarde incompréhensible ... Oubliant toute contenance la jeune femme décroche son badge et le porte tout contre sa bouche ...

« Martella !! Martella je vous entends pas bien ! Mais on arrive !!  » et, frustrée de voir cette magie flancher là, maintenant, elle fait ce que tout expert aurait fait à sa place: elle secoue la broche, avant de la frapper dans sa main libre dans l'espoir de renouer le contact ...

Ce grésillement. Encore. Aucun doute cette fois : il venait de Malphène. Probablement de son badge... Cela indiquait deux choses : d'une part quelqu'un essayait probablement de la contacter a l'aide se son badge... Et d'autre part quelque chose empêchait la conversation de se faire correctement. C'était peut-être seulement du fait de la distance ou de l'épaisseur de pierre ou de bois que la magie devait traverser pour nous atteindre... Mais il y avait peut-être aussi une source d'interférence magique... Puisqu'il était question de fantôme un peu plus tôt... Peut-être en était-il la cause ?

Et du coup une question s'impose :

« لقد ذكرت شبحًا ... هل يمكن أن تخبرني أكثر قليلاً عما رأيته؟ »

Draconique

J'écoute attentivement sa réponse avant de le saluer et de lui souhaiter bonne chance... Il est clairement temps de recommencer a chercher activement une sortie... En espérant que les porte coincée que nous avons laissé derrière nous ne sont pas celle qui dissimulent les marches que nous espérons trouver...

Nous nous engageons donc dans d'autres pièces avant de retrouver Valéria... Elle aussi a un problème avec son badge ? Probablement le même. Ce qui indique que Martella est en vie... Et probablement en relativement bonne forme. Je garde un œil sur les autres nobles qui ont probablement entendu le nom de ma cousine au cas ou une réaction se présenterait... Mais je ne me fait guère d'illusions : il y a autre chose a penser.

« Une piste pour la sortie ? »

Ouf, non, elle n'avait pas perdu l'esprit, elle était juste fébrile, ce qui était infiniment mieux. Déjà, c'était le signe qu'elle était toujours avec eux. Ensuite, c'est le signe qu'elle était bien normale elle aussi, et d'une façon bien plus saine que les parasites mieux nés. Bien sur elle se reprends très vite, mais... il pouvait toujours tenter quelque chose pour la rassurer.

« Ne t'en fait pas,  » lui sourit il un peu hésitant. Il pose quelques instants une main qui se veut réconfortante sur l'épaule de la jeune femme. Il n'est pas sur que ce soit le mieux mais... un contact faisait parfois du bien, et il n'osait pas faire plus... Il ne savait pas comment elle l'aurait pris. « Pour nous aussi. Je croit que nous sommes tous plus ou moins dans le même état... Ecoute, je n'y connais pas grand chose dans ces broches, mais je sais au moins une chose. Si elle a grésillé c'est que quelqu'un a tenté de te contacter. Il y dois avoir quelque chose qui bloque le contact magique ici, mais si elle fonctionne, c'est que Martella est en vie. Et c'est une sacrée roublarde la Dame Lotheed, j'ai toute confiance en elle. Elle s'en est certainement sortie et doit s’inquiéter pour nous. Mais je suis sur qu'elle va bien. D'accord ? Ça ira, tu verra.... »

Un regard vers l'arrière pour voir s'approcher les autres.

« On a du régler un problème d’ego derrière mais ça devrait aller. On va pouvoir remonter ensemble... Et pour les cercles, d'après les deux magiciennes, c'est des essais de cercles d'incantations mais... incomplets..  »

Bon ce n'était pas exactement ça mais... c'était à peu prés...


Je me permet de répondre directement pour avancer, pas de soucis si je dois décaler/modifier le post

Modifié par un utilisateur lundi 28 octobre 2019 16:38:02(UTC)  | Raison: Non indiquée

Bon tout ce petit monde s'était finalement remis en route sans trop de commentaires, on s'était même débarrassé du petit reptilien barboteur, ça avançait dans le bon sens.

A priori vu les badges qui grésillaient de part et autre, il semblait bien que là haut aussi, il y avait d'autre personnes qui s'en étaient sortis, fallait maintenant pas perdre de temps, qui sait comment la situation allait tourner maintenant que l'autre dingue avait commis l’irréparable. Milady pouvait tout aussi bien nous attendre une fesse sur le trône comme la gueule dans un cachot...

Assez naturellement Captain avait pris la tête de "l'armada". Fallait bien quelqu'un pour le faire et à part lui, seul Nicholas était taillé pour le combat physique, mais l'esprit du Dandy était probablement accaparé par la survie de sa dulcinée, personne ne pouvait lui en vouloir en ce sens.

Aux cotés de Captain, Valéria avançait prudemment pour déceler tout éventuels dangers. Elle était prudente et perceptive, tout ce qu'il manquait à Captain dans ces moments là. Cette théorie lui revint soudainement quand la voleuse désamorça avec aisance le piège qu'il n'avait pas remarqué...

Arrivant devant la pièce circulaire, la voix lui parvint aux oreilles

Un blanc se fit après la dernière syllabe insultante. Qui donc osait commencer un discours de cette façon? Cafards? Réellement? Soit l'individu était très puissant soit il était très stupide, mais ce qui est sur c'est qu'il n'était pas foncièrement hostile, sinon il serait déjà passer à l'attaque... Étrange comme comportement.

Tournant la tête vers la petite troupe, Captain jeta un regard interrogatif au couple de nobles qui se situait juste derrière lui. Nicholas ne savait trop quoi faire et attendait visiblement que sa fiancée sorte de ses pensées. La dame, elle, était concentrée, yeux fermés, posture droite, probablement tout sens magiques en éveil.

Il y comprenait rien à tout ses trucs magiques, mais finalement, après quelques secondes, un hochement de tête de la jeune noble le décida.

"Ok, j'y vais tranquille, ça vous laissera un court moment pour tenter de dialoguer avec ce "truc", mais s'il m'agresse je vous préviens, je le cogne" dit il en souriant amusé, comme si de toute façon il était persuadé de l'issue inéluctable de cette rencontre.

Cette pièce circulaire lui rappela nostalgiquement l'arène, mais il manquait les acclamations de la foule, la montée d'adrénaline, les cris, les vivas, l'odeur du sang et du sable chaud.... Instinctivement il serra son sautoir pectoral de sa main libre, les quelques fioles en fer s'y trouvaient encore, prêtes à être bues le moment venu...
Espérons qu'il n'ai pas à le faire, tout le monde n'était pas prêt pour ça..

Il se plaça naturellement en position défensive, près à riposter à toute tentative d’agression, là encore le plus important était de ne pas se faire surprendre et surtout de ne pas se faire toucher.
Il serra donc son bouclier en position médiante, fit craquer les os de sa nuque et fit quelques pas en avant tout en scrutant les environs, espérant apercevoir le dit offensant.

"Ok! On va voir de quel bois il se chauffe celui là."

Modifié par un utilisateur mardi 29 octobre 2019 23:58:10(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les paroles de Cyrielle ont fini d’apaiser la jeune-femme et c'est une Valéria requinquée qui aborde cette nouvelle épreuve ...

La grosse voix, toutefois, n'est pas pour maintenir le temps au beau fixe.

Captain ayant déjà un pied dans la place, la roublarde décide, elle, de longer le mur par la gauche en direction de la sortie ...

BM à jour

Modifié par un utilisateur jeudi 31 octobre 2019 13:31:18(UTC)  | Raison: Non indiquée