Miranda poussa un long soupir, non masqué. «  Si ça vous amuse de faire ça maintenant, ce sera sans moi. Il est tard, je suis sérieusement blessée et épuisée. Je vais déposer mon pote druide à la prison et je rentre à l’auberge.  »
Sans attendre de réponse, la halfeline prit la direction de la prison en montant sur sa compagne et en s'asseyant suis Gogmurt qui se mit aussitôt à la couvrir de jurons dont la halfeline ne prêta pas la moindre attention.

Un petit endroit civilisé! C'était clairement se qu'il pensait en rentrant ici même mais la suite semblait lui prouver doucement et surement le contraire, enfin, de son point de vue. Pour preuve, a peine il proposait de suivre l'avis d'une du groupe que la seconde demoiselle, ou dame qui sait, venait a lui dire le contraire, se montrant assez menaçant pour qu'il recule naturellement d'un pas, montrant les paumes de mains comme précédemment.
« -"On se calme, doucement la rouquine. Et je n'ai aucun partenariat avec les petits verts vous voyez. Puis, pas la peine de commencer comme ça sinon j'en connais un autre qui va se tendre." »
A peine dit qu'il entendait le bruit caractéristique d'une corde se tendre entre les doigts d'un archer. Ca ne faisait que la seconde non... La troisième fois aujourd'hui qu'il se faisait menacer par la même personne, de la même manière! Certain pourrait trouver ça un peu... Fatiguant a force.
« -"J'imagine qu'il a encore une flèche contre moi? Sérieusement, tout le monde sait ici que tu ne vas pas tirer et que, jusqu'ici, je ne pense pas t'avoir donner la moindre raison de le faire. Non? Puis je suis presque certain que c'est pas si bien vue que ça ici de pointer ça sur d'autres gens." »
Gueuler a la garde? C'était risqué c'est certain. Mais bon, il était rentré avec le groupe, les mains dans les poches devant ses derniers, les saluant et leur souriant et voila que maintenant il se passait ça? Bon, a prendre en compte qu'ils sont de toute évidence, envoyé par le maire mais qu'il sache, ça donnait pas non plus le droit de taper ou d'abattre n'importe qui. Encore moins en pleine ville. Mais bon... La fougue de la jeunesse certainement.
« -"Enfin, j'imagine aussi que je n'ai guère le choix? J'espère seulement que votre maire soit de bonne humeur en se levant. Ou du moins, plus que vos amis." »
S'adressant bien évidemment a celui qui semblait être le chef, ou du moins, a la tête de ce petit groupe de mercenaire urbain. Puis, aussi celui qui lui laissant plus ou moins tranquille et sans le menacer directement.

La courageuse Miranda était parti sans attendre vers la prison. Et le jeune homme ne pouvait laisser l'halfeline seule avec un ennemi, même attaché, aussi il lui emboita le pas.

« Bon et bien allons tous livrer notre paquet à la prison, nous nous séparerons là bas. »


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L'homme barbue suivait le groupe sans se plaindre, même s'il pensait qu'il en aurait eut le droit, il ne pipait mot. De toute évidence, certaines personnes était, sans doute a raison, sur les nerfs et il ne voulait pas aggraver la situation. Encore plus avec la mauvaise humeur des gardes qui finissaient par accepter de réveiller le maire. Enfin, le maire qui était en faire la maire. Rien qu'à la regarder... Elle lui semblait déjà assez antipathique, a moins que se soit le faire de se faire sortir du lit en pleine nuit, lui aussi aurait été ronchon.
« -"Moi je trouvais ça déjà pas mal..." »
Parlant doucement, surtout pensant a voix haute quand la maire lui disait que c'était de toute évidence pas suffisant! De toute évidence, il fallait passer a table! Et quitte a le faire au pied de la lettre, il aurait vraiment préférer manger un bout et boire en même temps, et sans remuer le couteau dans la plaie alors que son ventre grondait légèrement, l'aubergiste aurait été parfaite pour ça!
« -"Compagnons... Compagnons c'est un bien grand mot. Si vous vouez que je sois honnête, j'ai juste répondu a une offre d'emplois si on peut dire. Et si le début était pas trop mal, comme je disais a votre belle aubergiste, je ne suis pas un grand fanatique des massacres et autre tueries de masse qu'importe la raison. Je ne sais pas se que vous avez fait a Nualia, mais elle semble en vouloir a l'endroit." »
Regardant un peu la demoiselle, ou la dame qui sait? Regardant ses mains pour voir s'il y trouvait un indice avant de reprendre rapidement, ne voulant pas trop jouer sur le suspense et perdre la patience de la maire qui semblait pouvoir être facilement héritable.
« -"Nous étions plusieurs, mais je pense pas que leur noms vous intéresse pour l'instant, le plus important et peut être le fait qu'elle rallie les petits verts. Et pas que les petites tribus du coin, de se que je sais, d'autres arrivent et ils comptent bien se nourrir d'ici. Par contre... Comment dire ça..." »
Il y avait encore d'autre super révélation réjouissante? Forcement, les bonnes nouvelles n'arrivaient JAMAIS seules, ça ne serait pas marrant tout de même.
« -"Je veux bien continuer a jouer l'oracle de mauvaise augure mais pour ça, j'aimerais bien un petit quelque chose, si ça ne vous dérange pas... Disons... Pour commencer... Éviter de finir sur une broche? Ou la corde autour du cou, brulé, décapité et tout ce genre qui viendrait a abréger mes jours. Oh aussi! La prison je ne suis pas très pour non plus, ça ne me va pas tant que ça." »

ualia. L'ennemi avait maintenant un nom.
Psychologie DD 31
« Des renforts venus d'autres tribus gobelines vous dites ... tout un programme. » déclara-t-elle, impassible.
« Je peux sans mentir dire que nous avons ici tous eu une journée éprouvante. La nuit porte conseille, aussi je vous propose de nous retrouver en milieu de matinée pour discuter des suites à donner à cette affaire. » dit-elle à l'assemblée en se levant dignement de son bureau.

Puis elle s'adressa à Paul « Vous aussi jeune homme vous allez vous pouvoir vous reposer, mais ce sera plus ... spartiate. » et elle ponctua ses dires d'un mouvement de menton à l'encontre du garde qui se tenait prêt du sauveur d'Ameiko et ce dernier senti simultanément la poigne du garde serré son épaule et la pointe de son arme dans son dos.

Modifié par un utilisateur lundi 21 octobre 2019 17:34:08(UTC)  | Raison: Non indiquée

Bien qu'il comprennes la décision du maire, Romulos n'était pas à l'aise avec l'idée d'envoyer quelqu'un qui avait quitter le camp du mal en prison, même pour une nuit. Il sentait qu'il devait intervenir en la faveur de Paul, sans quoi Sarenrae ne le soutiendrai plus dans ses actions.

« Mme Pehorig, je comprends que vous soyez méfiante envers cet individu, mais je ne suis pas à l'aise à l'idée que vous enfermiez une personne qui souhaite travailler pour le bien, ou au moins ne plus faire partie des forces du mal, dans un cachot. De plus si Ameiko est de retour c'est plus grâce à lui que grâce à nous, ce serai faire preuve de bien peu de reconnaissance que d'enfermer son sauveur, même pour une nuit. Pouvez vous le laisser sous ma surveillance pour cette nuit ? Il se reposera mieux au dragon rouillé et sera, je suis sûr, en de bien meilleures dispositions pour dire tout ce qu'il sait sur les plans de Nualia, après une bonne nuit de sommeil et un solide petit déjeuner. »



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Modifié par un utilisateur mercredi 23 octobre 2019 09:09:18(UTC)  | Raison: Non indiquée

Freya n'avait aucune confiance dans ce mystérieux mercenaire.
Elle dut reconnaître les arguments du paladin, mais elle ajouta s'adressant a Paul dans un grondement :
«  Si tu t'avises de gâcher la chance que te donne Romulos en t'enfuyant ou en nous trahissant, ou que tu sois je te retrouverai et je te le ferai payer. »

Alliant geste et parole, elle incanta un rayon de givre sur le sol où se trouvait le roublard.


S'inclinant respectueusement envers madame le Maire :
«  Pardonnez moi pour les dégâts sur le sol, l'effet de la magie s'estompera bien assez vite.  »
Et sortit sans laisser le temps à quiconque de réagir. Elle attendit dehors Romulos, l'esprit en colère et les yeux lançant des éclairs noirs dans le vide.

Jusqu'à la, elle ne faisait que fuir. Mais aujourd'hui elle prenait les armes, verbales pour le moment, contre cette personne qui représentait si bien tous les poursuivants qu'elle avait fui.
La fatigue peut être?

Modifié par un utilisateur mercredi 23 octobre 2019 20:11:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

Pour lui, il avait été convaincant! D'une éloquence rare le concernant et même! Ne jouant pas trop sur l'humour, le second degré et surtout! L'ironie! De quoi le rendre un peu moins tête a claques bien qu'il en méritait certainement une ou deux. Ou a se demandé s'il n'en avait pas assez prit plus jeune, ou trop? Quoi qu'il en soit...
« -"Plus spartiate? Vous savez je ne suis p...Hum?" »
Sentant la prise quelque peu... Forte sur son épaule avant de sentir cette sensation qui ne semblait jamais vouloir le quitter, encore un homme en train de le menacer, et pas qu'un peu! Pardonnons le si a ce moment là, il n'éprouvait plus la moindre crainte a ce sujet, c'est que ça commençait a devenir quelque peu... Redondant.
« -"S..." »
Pas le temps de parler, et peut être tant mieux, que le paladin de conviction venait a prendre sa défense! Bien que trouvant son discours un peu gnan-gnan sur le plan dichotomique du bien et du mal, il hochait la tête de haut en bas. Approuvant se qu'il disait!
« -"Il est bien celui là!... De quoi la rou..." »
Pas le temps de finir sa phrase en se tournant qu'il fit un petit pas en arrière, la main se rapprochant presque de son arme sans pour autant atteindre la garde, un reflexe aussi, rien de plus naturel a force de se faire attaquer, même passivement, depuis leur rencontre.
« -"Promis... Je ne l'oublierais pas." »
La laissant partir avant de souffler, se recoiffant presque avant d'ajouter ses habits, se retournant de nouveau pour faire face a tout ce petit monde, levant un chapeau imaginaire comme pour saluer la maire avant de sortir certainement avec le reste de la troupe.
« -"Tout vos amis et connaissance sont aussi tendu? Ou j'ai le droit a un traitement de faveur? Car vraiment, si c'est le cas, il ne faut pas hein. C'est très sympathique mais je préfères encore être traité comme un inconnue." »
Rigolant un peu alors qu'il parlait bien évidemment avec Romulos. Car de toute évidence et pour le moment c'était son seul "allier" enfin, certainement de circonstance.

meiko rit à la proposition de Miranda de monter sur Alba, et refusa poliment
« Mille merci, mais je crains que ta féline ami ne puisse supporter le poids de 3 demi-femme sans en souffrir »
Et elle chemina à son côté d'un pas traînant.
« Sandro m'en a tenu informé, oui » indiqua la Minkaï, désinvolte « Mais je ne pense pas que je craigne grand chose, maintenant que nous sommes revenu ici. »
Alors qu'elle descendaient la grand rue, elle sembla prendre le temps de choisir ses mots, avant d'abandonner d'un claquement de langue.
« Pour ce qui est de mes péripéties, je crois que vous êtes plus ou moins au courant de l'histoire, donc autant jouer franc-jeu : c'est à cause de mon demi-frère, Tsuto. Il voulait me convaincre de le rejoindre, lui et son groupe - ceux qui sont à l'origine de l'attaque de Pointesable. J'ai refusée et il n'a pas apprécié. J'ai perdu connaissance dans l'altercation - il faut dire qu'il était accompagné d'un paquet de ces peaux vertes - et quand je me suis réveillée, j'était dans une des cellules d'une espèce de prison. » expliqua-t-elle en descendant la grand rue
« Au bout d'un moment il y a ce type qui a débarqué, Paul. Malgré ma situation, et le fait qu'il soit du côté de Tsuto, avec sa nonchalance et son humour, il m'a laissé entendre qu'il n'adhérait pas vraiment à la vision de son employeurs. Saisissant l'opportunité qui m'était offerte, je lui ai demandé ce qui saurait le convaincre de me laisser sortir d'ici. J'était prête à tout accepter, mais sa réponse à réussi à me surprendre » elle laissa savamment planer un silence palpitant.
« Une tarte au pomme » finit-elle par lui confier sur un ton amusé, alors qu'elles arrivaient sur la place du marché, de l'autre côté duquel trônait l'imposante enseigne du dragon rouillé.
C'est une Bethana fatiguée mais on ne peut plus heureuse de retrouver sa patronne qui les accueillis
« Ameiko ! Quelle joie de te voir en un seul morceau » lui dit-elle après plusieurs seconde passer à étreindre les jambes de la jeune femme au point de mettre à mal son équilibre
Les retrouvailles passées, Ameiko donna ses consignes pour s'assurer que tous ses sauveurs puissent disposer d'un couchage tout en répondant aux questions de son employé sur son aventure. Fort heureusement, il y avait peu à faire car à part Paul, tous résidaient déjà à l'auberge.

Le reste du groupe mis une bonne heure et demi pour s'acquitter du rapport et revenir à l'auberge, d'autant qu'il leur fallut encore attendre qu'une Bethana ensommeillée vienne leur ouvrir.
Malgré l'heure tardive, et la fatigue qui se lisait sur son visage jovial, aucun n'échappa à ses remerciements effusifs, ni l'austère Sandro, et encore moins l'inconnu Paul qui était à ses yeux celui par qui la libération d'Ameiko avait eu lieu.
Elle indiqua à chacun ou se trouvait sa chambre « Et si vous désirez grignoter quelque chose, n'hésitez pas à aller vous servir dans la cuisine. » leur indiqua-t-elle en retournant se coucher.

Le lendemain matin, les aventuriers reposés purent profiter d'un petit déjeuner dantesque dans une auberge bondés, emplis par les clients bien heureux de revoir leur aubergiste préférée, même si cette dernière se gardait bien de répondre autrement qu'avec des traits d'humour à ceux qui lui demandaient ou elle avait disparu ces derniers jours.
Psychologie (DD 20)
Repu, reposé, les héros de Pointesable, anciens et nouveau se préparèrent à cette nouvelle réunion au sommet pour décider de la suite de leurs aventures.

Paul étant sous sa responsabilité, Romulos avait demandé a ce qu'il soit installé dans la chambre à côté de la sienne pour la nuit. Il ne voulait pas que l'homme ai l'impression que le paladin n'avait pas confiance en lui, mais il se souvenait aussi que des gobelins s'était infiltré dans les maisons par les caves ou les armoires.

Le lendemain matin après une nuit sans incidents notable, Romulos fit sa prière quotidienne à Sarenrae et bientôt la puissance bienfaisante de la fleur de l'aube parcouru son corps, lui confirmant qu'il avait fait le bon choix concernant Paul. C'est donc un Romulos reposé et souriant qui descendit prendre son petit déjeuner


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