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 Joanna touché captivant 7/7  Sucre Elle souffla. « Beau travail. Je n'aurais pas sû quoi faire si vous n'étiez pas là. Heu... J'ai ça si besoin mais il y a la baguette aussi. Certains semblent blessés... C'est pour moi, je vous doit bien cela. »Elle sortit une petite fiole. Puis jeta un oeil aux alentours. « Bon... On avance ? Je voudrais pas moisir ici. »Elle se força à sourire. Modifié par un utilisateur mardi 12 novembre 2019 16:42:24(UTC)
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 Nicholas CA15 (C11, D14) Ref 15 / Vig 15 / Vol 11 Fav nation : +2 La coordination est presque trop parfaite. L’adrénaline sans doute. Mais en tout cas, sa propre lame se retire, laissant une blessure sanglante, et si le ratfolk a encore assez d’énergie pour les maudire Valéria et Ernesto sont les plus rapides. L'animal couine et en s'écroulant, c'est la débandade. La horde de vermine grouillante qui piaillait et tentait de les dévorer sur place s'enfuit et le jeune noble pousse un soupir intérieur de soulagement. Ce n'est pas que mais... en fait si, la perspective de se faire boulotter par ces rongeurs lui semblait totalement et absolument hors de question ! « Pfiou.... et bien bravo à nous... mais quelle horreur ce genre de vermine! »Et au moins, il n'avait eut que ce qu'il méritait pour avoir profané à ce point les sous sols du sénat. Piller, c'était une chose, c'était au moins montrer un minimum d'estime pour la valeur de ce passé mais là... saleté de rats. « Merci Joanna, mais ça devrait aller... La baguette devrait suffire » lui sourit il, un peu fatigué. Ce serait surtout Ernesto qui en aurait besoin d'ailleurs... Rengainant, Nicholas jeta un regard dubitatif au ratfolk... maintenant qu'il ne bougeait plus... il avait plutôt une allure de rat.. Enfin, la différence entre les uns et les autres était parfois mince mais bon... là on tenait plus de l'animal que de l’humanoïde... hors de question de se salir les mains plus que ça... D'autres le feraient sans doute... S’éloignant du cadavre, un bureau derrière la statue attire bien davantage son intérêt -même si son odorat s'offusque et hurle lorsqu'il s'approche. Il en examine rapidement le contenu... Rubis, petits mais jolis -et bien voilà qui ferait probablement plaisir à ses camarades une fois remontés là haut- une perle visiblement préservée... « Cyrielle, Joanna, vous pourriez vérifier par ici qu'il n'y a pas des surprises ? Il y a un grimoire notamment »demande il avec curiosité tandis qu'il parcoure quelques pages du carnet bleuté. Tient, c'était intéressant... Eros Glendower... voyons... qui c'était ça...? Mmmm... Bon, visiblement il avait du mal finir au vu du familier. Il allait lire ça un peu plus en détail dès qu'il aurait le temps... Une fois qu'elles auraient vérifié, il était tout à fait partant pour quitter cette pièce.  Evaluons ces rubis : 1d20+8 donne [18] + 8 = 26Modifié par un utilisateur mardi 12 novembre 2019 17:56:46(UTC)
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 ♣ Cyrielle ♣ CA 15 (C11,D14) Ref 16 / Vig 14 / Vol 15 Réserve Phrénique : 2/2 Sorts L : 2/2 N1 : 0/4
+2 contre les illusions || +1 contre la terreur.
+3 au DD pour être démoralisée || -2 contre les effets de nausée provoqués par les nuées.
Absorption des rêves : 2/2
Oniromancie : 5/5
Aptitudes occultes : écriture automatique 0/1 (+4j) « Blabla ? »
La fuite. C'est finalement la seule réponse que les rats on trouvé face a la disparition de celui qui était visiblement leur maître... dieu merci ils n'avaient pas assez faim pour continuer tous seuls... Pendant quelques instants, j'observe la scène en frissonnant... Avant de me reprendre. Bon. Il y avait un certain nombre d'auras tout à l'heure dans la pièce mais nous avons été interrompus avant que je ne parvienne a bien les distinguer... Je me concentre quelques instants... Plusieurs cercles ont encore une légère aura... Mais rien ne pouvant justifier que les badges ne fonctionnent pas correctement... En revanche plusieurs autres auras attirent mon attention... Déjà sur le cadavre du... un rat ? Réellement ? Comment diable un rat avait-il pu finir par faire cette taille et savoir parler et lancer des sorts ? Nicholas vas du côté du bureau ou il y aura probablement des informations. Le rat porte deux objets clairement magiques en plus d'un collier qui n'a rien a faire sur un animal... En me penchant pour examiner la baguette je réalise de quoi il s'agit... « Oula... On a de la chance qu'il se soit pas servi de ça... »On aurait probablement fini grillés avant de pouvoir nous occuper de lui... Je la récupère ainsi que l'anneau qui, lui non plus, ne manque pas d'intérêt et le collier qui ne mérite pas de finir ici puis me relève en tendant la baguette a la mage : « Joanna ? Tu peux t'en servir ? »Elle s'en sortira probablement bien mieux que moi. La magie arcanique s’accommode bien plus facilement de l'évocation que ma magie psychique. En tout cas je me dirige ensuite vers Nicholas pour répondre a sa demande... « Je regarde ça... attend... la ! cette boite. »Suivant l'aura, je me penche pour ramasser une petite boite ornée de bijoux... Peut-être a-t-elle eu plus de prestige avant... et peut-être même est-il possible de la réparer avec un brin de magie. En tout cas j'aurais de toute manière besoin de la nettoyer... elle, le collier... et mes mains. Surtout mes mains. Ce que je trouve a l'intérieur... et bien... je pousse un sifflement. Voilà qui ne devrait pas manquer d'intéresser la mage... sans même parler du grimoire qui me fait de l’œil... ah... j'ai beau ne pas pouvoir utiliser ces choses là j'aime toujours autant les regarder. « Bon et bien... Joanna... Par miracle... Tu n'aurais pas utilisé un sort utile dans les situations du genre depuis ce matin ? »J'ai été un peu vite pour aller sur les trucs qui avaient des auras magiques sans y passer plusieurs post... mais si jamais quelqu'un veux avoir récupéré quelque chose avant qu'il n’hésite pas a me dire d'éditer ;)Modifié par un utilisateur mercredi 13 novembre 2019 13:09:04(UTC)
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 Valéria CA 16 (C14,D12) Ref+6 Vig+1 Vol+1
Roublard Unchained de niv.1
initiative : +6
Langues : Commun Compétences: Acrobatie +8, Bluff +6, Conn. Locale +6, Déguisement +6, Diplomatie +6, Discrétion +8, Escamotage +11, Evasion +8, Perception, +5, Psychologie +5.
Att Arme légère:1d20+4 (BBA 0 Dex +4)
Att 2 Armes légères:
1d20+2 (BBA 0 Dex +4 CB 2 armes -2) x2
Arme Jet -9m: +1 Att/Dgts
Dague Dgts 1d4 19-20 x2 Portée 3m (2c) P/T
Arbalète légère Dgts 1d8 19-20 x2 24m (16c)
grogne la jeune femme en claudiquant jusqu'au banc le plus proche pour s'y asseoir, remonter robe et jupons et examiner sa cheville. Les morsures n'étaient pas particulièrement profondes mais l'ombre de la contamination planait désormais sur elle tandis que lui revenaient en tête les images des chiens agonisants dans les sous-sols d'Oppara. « Fais chier ça aussi merde » bougonne-t-elle cependant que de sa dague elle taille dans le tissu pour ne plus garder que sa culotte longue. Désormais plus à l'aise pour se mouvoir la roublarde rejoint le groupe et ajoute « Prenons ce qui peut nous être utile et allons-y » avant de rejoindre Nicholas proche de la porte qu'elle se charge d'inspecter ... - Perception : 1d20+5 donne [4] + 5 = 9
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Localisation : Etang de la Ferme en folie, 666° roseau en partant du distributeur de chips.
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Joanna touché captivant 7/7 Sucre Cyrielle avait cepandant trouvé quelques petits trucs. Des objets arcaniques ? Joanna sourit, gênée. « Oh c'est gentil... Hum je me sens un peu bête par contre... Je n'ai rien préparé pour les identifier... Un peu d'aide ? »Une fois sa lanterne éclairée, elle sembla impressionnée. « Et bien c'est pas mal ! L'évocation n'est pas vraiment mon fort mais j'ai assez de bases pour me servir de ça. Quand à la perle, c'est un bien précieux. Je pourrais en effet y trouver un usage. Mais quand à m'en servir de suite, il vaut mieux patienter je pense. Je n'avais rien préparé de stupéfiant si ce n'est ce charme et un sort de serviteur invisible qui aurait été utile pour éviter de se salir en fouillant. Il vaut mieux attendre de voir ce qui est le mieux. Mais je la garde sous le coude.
Si tu veux, on étudiera ce grimoire ensemble ? »Elle eut un petit sourire. Puis regarda le gros rat. « Et ben... Si ça vous rassure, sachez que je ne ferrais jamais de tels choses à Sucre. Le pauvre... » | Duck Gauthier, émissaire du peuple des canards de l'espace envoyé sur terre pour guider les canards de la planète à prendre le pouvoir et à maitriser le theorycrafting et la préparation de sauce au jambon. |
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 Cap'tain
CA : 20 (C 14, S 16) Vig+4, Ref+5, Vol+1 Quelques instants plus tard, le calme était revenu, ne laissant que le corps du gros rongeur et quelques blessures sur le corps de Captain... Comme pressenti, la mort du conjurateur avait éparpillé les nuées dans un piaillement salvateur, il aurait été bien trop fastidieux de devoir les brûler pour les disperser. Il fallait arranger son état avant de repartir, d'autres dangers seraient probablement au menu dans ces vieux souterrains et avec la tripoté de "civils" à leur charge, ce serait risqué de ne pas être en pleine forme. Il se dirigea vers "le gros de la troupe" et arrivé à hauteur du petit groupe il déclara: "Tout le monde va bien messieurs dames?
A priori le danger de cette pièce est neutralisé. Je vous remercie tous pour votre calme et votre prudence, cela nous aide beaucoup de vous savoir coopératifs et vigilants à l'arrière! Et merci à Dame Malphène également pour sa volonté d'aider. Nous nous requinquons rapidement et nous nous remettons en route.
Si nous continuons comme cela, unis et coopératifs, vous regagnerez bientôt vos demeures sains et saufs, croyez moi!"Puis arrivant vers le rouquin, montrant les quelques mailles de son armure roussies par les projectiles magiques de l'homme rat, il lui glissa: "Puis je vous demander d'utiliser cette baguette pour guérir tout ou partir de mes blessures camarade? La magie de ce rat à réussi à contourner mes défenses et j'ai bien ramassé cette fois ci.."Derrière lui, les nobles et la magicienne s'étaient mis en tête de récupérer les quelques richesses que détenait le rat, pendant que la voleuse pansait ses plaies, assise sur les marches, à craquer une robe qu'elle n'avait pu payer pour pouvoir se mouvoir correctement, le paradoxe de cette scène fit sourire Captain. La normalité aurait voulu l'inverse et pourtant.... Il rectifia auprès du Halfeling: "Heu, attendez avant de l'utiliser! Commencez plutôt sur ma camarade assise là bas, elle en aura davantage besoin. Ensuite, s'il reste de la magie dans votre bâton, je suis preneur."Modifié par un utilisateur jeudi 14 novembre 2019 10:05:58(UTC)
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Valéria CA 16 (C14,D12) Ref+6 Vig+1 Vol+1
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Langues : Commun Compétences: Acrobatie +8, Bluff +6, Conn. Locale +6, Déguisement +6, Diplomatie +6, Discrétion +8, Escamotage +11, Evasion +8, Perception, +5, Psychologie +5.
Att Arme légère:1d20+4 (BBA 0 Dex +4)
Att 2 Armes légères:
1d20+2 (BBA 0 Dex +4 CB 2 armes -2) x2
Arme Jet -9m: +1 Att/Dgts
Dague Dgts 1d4 19-20 x2 Portée 3m (2c) P/T
Arbalète légère Dgts 1d8 19-20 x2 24m (16c)
Entendant Cap'tain évoquer son cas auprès de l'halfeling, la jeune femme exécuta un quart de tour sur elle même et adressa au combattant un signe de tête reconnaissant avant de reprendre son examen. Modifié par un utilisateur jeudi 14 novembre 2019 13:14:57(UTC)
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Je vais poster un petit pavé condensé pour ne pas ralentir le rythme et vous exposer la situation, mais n’hésitez à réagir/poser des questions/demander des détails si jamais vous souhaitez faire quelque chose en particulier. Une fois la pièce fouillée, les blessures cicatrisées et une jupe raccourcie, vous franchissez la porte pour débouler dans un petit hall de réception, rempli de canapés recouverts de poussière et de râteliers délabrés. Cette zone servait sûrement de salle d’attente pour ceux qui étaient censés assister aux activités politiques dans la chambre du Sénat adjacente. Au sol, de nombreux autres cercles sont présents, tous semblables à ceux réalisés par Dagio. Parcourant de multiples couloirs étroits dans l’obscurité à la recherche d’une sortie, éclairés par votre lampe et par la torche de fortune de Malphène, vous remontez progressivement vers la surface, errant dans l’architecture tentaculaire et chaotique des sous-sol oubliés du Sénat, construits et reconstruits à travers les âges. Au fur et à mesure de votre ascension, la communication avec le badge d’aide s’améliore, et vous finissez par enfin pouvoir reprendre contact avec Martella, même si la communication s’avère difficile. Je vais volontairement sauter une partie de ces « retrouvailles à distance » pour pouvoir vous poster la suite et conserver le rythme (sinon ça risque d’être un échange soutenu comme on pourrait le faire sur un Discord), mais si vous voulez lui dire/demander quoi que ce soit, sentez-vous libres de le faire (avec un séparateur ça se fait très bien).La voix de Martella est époumonée, tremblante. On peut ressentir dans ses intonations qu’elle arrive à garder sa concentration malgré une situation qui lui a clairement fait perdre son sang-froid. « Par Desna, vous êtes en vie ! Je vous… entends mal, ces badges ont une faible portée, où êtes-vous ? Si vous m’entendez, je suis avec … princesse Eutropia. Les forces de Stavian se retirent, l’armée est divisée, c’est le chaos ici ! » Tandis que vous continuez à progresser, le moral regonflé, vous finissez par arriver devant un obstacle dont vous vous seriez bien passé : un couloir presque enseveli sous les décombres. Le plafond a cédé, entrainant un éboulis. Malgré le fait que certains d’entre vous soient à bout de nerfs, vous pouvez apercevoir l’autre côté via une interstice et sentir l’air se faire plus frais, ce qui tend à vous faire penser que vous êtes proches du but. Le passage peut être dégagé, la tâche sera pénible mais c’est réalisable. Cependant vous avez conscience que cela vous prendra probablement une bonne heure… Si vous souhaitez lui poser des questions, c’est ici au plus tard.Une fois au courant de la situation, Martella tente de réagir en conséquence : « Écoutez-moi bien. On parlera de tout ça en détail plus tard. Je vais fuir avec Eutropia, rendez-vous demain matin au Dépôt d’Aroden, dans le district de Port-Levant. Dépôt Aroden, district …Levant. Faites très attention à vous et restés groupés, c’est dangereux dehors. Ne faites confiance …personne d’extérieur à votre équipe, surtout aux nobles. Demain matin, dépôt d’Aroden, district de Port-Levant. » répète-t-elle, essoufflée. Au bout d’une longue heure d’effort de déblaiement dans les débris, soucieux de ne pas provoquer un effondrement sur vos têtes, le Cap’tain réussit à soulever et caler une poutre, permettant aux plus sveltes d’entre vous de traverser. Quelques instants plus tard, vous êtes tous du bon côté du couloir, pressés de sortir de ce tombeau. Après seulement quelques minutes de marche rapide, vous montez un escalier qui vous ramène à l’air libre, dans les archives du Sénat. La vue qui s’offre à vous est à couper le souffle… dans le mauvais sens du terme. Vous arrivez sur les vestiges d’un champ de bataille, des cadavres mutilés jonchent le sol d’un bout à l’autre du Sénat, les visages figés dans une expression de peur, certains membres parfois encore palpitants. Si certains ne présentent qu’une coupure nette, une mort « propre », il y a également un lot de démembrés et d’éventrés, preuve de la cruauté dont ont fait preuve certains combattants. L’air, corrompu par l’odeur de la mort, est étouffant. Les corps de civils, de serviteurs, de militaires et même de la garde Ulfen reposent toujours là où ils sont tombés, abandonnés. Au milieu de ce carnage, le corps du garçon ayant joué avec le Cap’tain, gît sans vie. Seuls quelques personnes se tiennent encore debout, l’esprit vacillant. Une noble cherchant désespérément une connaissance dans le tas, un serviteur bandant la blessure d’un autre, et même un soldat paralysé par la peur, ne sachant où donner de la tête. On devine que l’ennemi n’est plus ici, que la menace, bien que flottant toujours sur la capitale, est écartée pour l’instant. Le sang a coulé à flots en cette sinistre journée et chacun se souviendra des moindres détails de ce carnage affreux. En traversant les jardins du Sénat, désormais davantage rouges que verts, vous pouvez revivre la scène que vous avez vécu plus tôt dans la journée. Un bon quart des invités du Sénat a dû être massacré aujourd’hui, la noblesse s’en trouvera forcément impacté. Accélérant le pas, regardant rapidement autour de vous si vous ne reconnaitriez pas un proche, vous arrivez rapidement à la sortie du Sénat, pour retrouver une personne que vous reconnaissez sans peine, gisant sur les marches menant au Sénat : le grand Prince Stavian III, poignardé dans le dos, baignant dans son propre sang. Le roi est mort, longue vie… à qui au juste ? La mention faisant d’Eutropia l’héritière légitime, bien qu’ayant été votée, n’a pas été officiellement écrite. Tous n’étaient pas du côté d’Eutropia, et pas non plus pour les mêmes raisons. Il est plus qu’évident que certains vont tenter d’en profiter, la question de la succession doit déjà commencer à diviser l’aristocratie aussi bien que le reste du peuple… Mais un autre détail vous trouble : à côté du corps du prince, un détail a été laissé : une carte. Un roi de cœur. Retrouvant petit à petit vos esprits, soulagés par le vent frais et la vue du ciel, vous vous rendez compte que le soleil est déjà bien bas, et que la soirée ne va pas tarder à tomber. Vous gratifiant de remerciements sincères, toujours sous le choc de cette nouvelle scène d’horreur, Sir Beaufort, Dame Estelle et Sir Zubari s’en vont de leur côté, tandis que Malphène vous déclare que vous pourrez toujours faire appel à elle en cas de besoin à l’avenir, partant à la recherche de son père. Seul le rouquin reste près de vous, ne sachant trop que faire. Partagés entre une journée qui déjà bien trop durée ou au contraire qui s’est déroulée en un éclair, vous vous souvenez des instructions de Martella, vous incitant à rester ensemble. Il serait sage de trouver un endroit sûr où vous reposer et où panser vos blessures, mais où ? L’Ours gris, la taverne d’Hercule Sac-à-Vinaigre, le père adoptif de Joanna, n’est qu’à quelques pâtés de maisons d’ici, de même que l’auberge du Cerf d’Argent, dans laquelle vous avez rencontré Martella plus tôt dans la matinée. Cyrielle, Nicholas :
Vous n’avez trouvé personne de votre famille parmi les victimes, bien que vous puissiez -ou non- vous faire du soucis pour certains d’entre eux.
De votre côté, vous pensez -forcément- à vos manoirs respectifs, qui pourraient sans aucun problème accueillir tout le monde au besoin… avant de vous dire que c’est probablement risqué : vous n’êtes pas en très bons termes avec vos familles, imposer des prolétaires couverts de sang et de poussière serait sans aucun doute mal vu, mais vous avez surtout peur de la réaction de vos pairs quand aux évènements d’aujourd’hui.
Vous les connaissez suffisamment bien pour savoir qu’ils vont rapidement prendre position sur l’échiquier, et que ce ne sera pas du côté d’Eutropia. Ce sera probablement vers quelqu’un de fort, favorable à instaurer une loi martiale.
Cap’tain :
Tu te souviens du bouffon, et quand tu y repenses, tu bouillonnes de rage intérieurement : il savait quelque chose, il savait pertinemment ce qui allait se passer. Il a dit que c’était inévitable. Peut-être que c’était vrai, mais au fond, c’est comme s’il avait laissé ce gamin mourir, un gosse qui n’avait rien avoir avec tout ceci et ça, ça t’enrage.
Tu sais que tu es le seul de l’équipe que Martella a recruté pour sa protection, et maintenant qu’elle est en relative sécurité avec Eutropia et ses fidèles, du moins davantage qu'avec vous, tu sens son conseil de « rester groupé » comme une incitation à défendre le reste du groupe. Grâce à ton expertise dans l’art militaire, et peut-être aussi par paranoïa, tu te demandes quel endroit serait le plus sûr, que ferait l’ennemi… et tu en viens rapidement à la conclusion suivante : si tu étais un gars mal intentionné, la première chose que tu ferais serait de profiter du chaos pour attaquer une maison noble.
Joanna :
Tu n’as pas retrouvé ton chat parmi les victimes, et tu as bon espoir qu’il soit retourné à la taverne. A vrai dire, au fond de toi, tu es convaincu qu’il est vivant.
Valéria :
Tu sais que tu es la seule de l’équipe que Martella n’a pas recruté, et qu’elle te fait pleinement confiance. Maintenant qu’elle est en relative sécurité avec Eutropia et ses fidèles, du moins davantage qu'avec vous, et suite à son conseil de « rester groupé », tu es plus encline à rester avec le reste du groupe.
Grâce à ton expertise dans les arts sombres, et peut-être aussi par paranoïa, tu te demandes quel endroit serait le plus sûr, que ferait l’ennemi… tu repenses à Jeanne, ton amie des Bas-Quartiers, et te demande ce qu’elle dirait. Tu en viens rapidement à la conclusion suivante : si tu étais un gars mal intentionné, la première chose que tu ferais serait de profiter du chaos pour attaquer une maison noble, ou un commerce de luxe pour les moins audacieux.
Modifié par un utilisateur mardi 26 novembre 2019 16:14:07(UTC)
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Joanna touché captivant 7/7 Sucre Ce carnage... A la vue de ces corps, Joanna réprima à grand mal l'envie de rendre son repas. Pourquoi ? Que... Que s'était il passé ? Où... Et... ? Impossible... « Par le père... Comment est ce possible ? »Et le grand Prince aussi... Une carte de jeu ? Le roi de coeur... L'image était appropriée. Le monarque qui vivait ses passions. Mais aussi un rappel que le monarque restait un homme vulnérable. Les conseils de Martella sonnaient dans sa tête. Elle réfléchi à ses possibilités. « Venez chez moi. Sac-à-vinaigre est un gars de confiance et on a la cave où se cacher si ça tourne mal. En plus j'ai des choses à récupérer là bas et y a des vivres pour un siège. » | Duck Gauthier, émissaire du peuple des canards de l'espace envoyé sur terre pour guider les canards de la planète à prendre le pouvoir et à maitriser le theorycrafting et la préparation de sauce au jambon. |
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Nicholas CA15 (C11, D14) Ref 15 / Vig 15 / Vol 11 Fav nation : +2 La remontée était longue. Ils étaient sur la voie, forcement, Nicholas refusait qu'il en soit autrement. L'inverse serait beaucoup trop piteux. Surtout avec autant d'inconnues en jeu. Que se passait il là haut, qui avait survecu et qui était tombé... tellement de questions qui restaient pour l'heure sans réponses et qui le resteraient s'ils ne rejoignaient pas le monde des vivants. Et il était hors de question qu'ils deviennent une virgule, ou une parenthésé de l'Histoire. Tsss.... Hors de question que la fête se passe sans qu'il y participe. Le badge se fait de moins en moins crépitant et Martella fini par répondre. Elle est vivante, et Eutropia aussi. Si la princesse était sauve, c'est que son intuition était la bonne, le Grand Jeu ne faisait que commencer. Le jeune dandy échangea un regard avec Cyrielle. « Martella, vous avez des nouvelles de Stavian ? »Pas vraiment le temps d'échanger des banalités, à son souffle il est clair que sa future cousine par alliance est en train de fuir également de son coté, mais cette information là sera nécessaire. La réponse est rapide, et négative. Elle l'a vu partir vers l'entrée avec ses gardes mais ne sait rien de plus. Vivant ou non, il ne peut de toute manière plus régner. Impossible. Pas à moins de sacrifier l’empire car trop nombreux sont ceux qui refuseront de le suivre et s’il tente de s’imposer par la force.. et bien… d’autres Grands Princes sont déjà tombés dans l’histoire. Beaucoup d’autres Princes… La sortie enfin n’est plus bloquée que par du temps de déblayage et Martella fini par couper la conversation, leur donnant un dernier conseil. Dangereux dehors ? C’est une évidence songe le Karthis, levant les yeux vers le plafond. Tant que les cartes n’auront pas été redéfinies, l’arène sanglante qui a commencé ne risque pas de s’arrêter là. Entre chien et loup, pas si métaphoriquement que ça. Trop d’occasions. « De toute manière, avant d’envisager quoique ce soit, il faut achever de déblayer ici… et … on verra le reste ensuite. Suivant qui est mort, et qui est vivant la situation risque d’être bien différente.
Déjà si Père ne s’en est pas tiré, les choses vont devenir compliquées.. » ajoute il en regardant Cyrielle. Si Octave avait de fait pris la tête de leur famille, leur deux positions allaient devenir très inconfortables et l’argument de l’amour fraternel ne risquait pas d’être valide très longtemps. En tout cas, creuser et déblayer permet de s’occuper les mains, et de justifier de n’avoir pas l’occasion de détailler ce qui lui traverse l’esprit. Parmi tous les remous du Taldor, c’est l’image du Grand Prince Cydonus qui lui revient en mémoire. Lui aussi avait fini par succomber à sa propre folie décadente sous le stress et la menace des Quadirans, laissant l’empire s’effondrer, la Rebellion du Pondéré leur faisant perdre leurs colonies et les suddistes entamer leur invasion. Il avait fallut qu’il soit assassiné pour que le Sénat et la Noblesse puissent reprendre les choses en mains… Oui, c’était bien ça. Il se souvenait encore d’avoir détesté Beldam I, pendant les heures d’étude des accords de Ballingar pour compléter sa connaissance de cette période de leur histoire, mais au moins, ça donnait des repères. Le tout était de savoir si Stavian avait survécu et ce qu’il avait en tête. Faire éliminer Eutropia bien sur, mais il ne pourrait pas tenter une annihilation complète. En tout cas pas réussir ; et le Haut Stratège était il au courant ? Il avait passé du temps avec Stavian avant le vote. Beaucoup de temps. Il ne pouvait pas ne pas être au courant. Stavian était grillé. Qui allait prendre sa place ! Les possibilités s’enchainent et finalement il est presque surpris quand le Captain finit par soulever la dernière poutre leur permettant de passer. La scène en haut du sénat n’est pas pire que ce qu’il a imaginé mais reste bien au-delà de ce qu’il a pu constater. Nobles, serviteurs, enfants, gardes… tous mêlés en un sanglant mélange. Il pâlit, les yeux glissants d’un corps à l’autre redoutant de reconnaître un visage proche. Les seuls vivants ici ont plus l’air d’avoir survécut par hasard qu’autre chose.. Nicholas sera brièvement la main de Cyrielle avant de s’avancer au travers du charnier, l’entrainant derrière lui. Trop c’est trop. L’odeur, non, la puanteur du sang est omniprésente. Sortir de ce lieu de mort semble la seule réaction saine. Ne pas réagir en voyant des visages connus. Sortir d’abors, et réfléchir ensuite. Le vent frais en haut des marches permet de respirer de nouveau. Père n’est pas dans les corps. Il n’a pas vu non plus celui de Cyrielle. C’est déjà un fait important. Oui c’est important. Et puis l’autre corps qui git non loin d’eux… lui aussi est important. Stavian est mort. La nouvelle va se répandre dans les heures qui vont suivre. Il a laissé partir les trois nobles sans vraiment se soucier de ce qu’ils deviendraient. Malphène est un cas à part. « Vous avez fait preuve d’un sacré courage en bas, dame Malphène. J’espère que nous aurons le plaisir de vous recroiser malgré ce qui s’annonce… Bonne chance pour retrouver votre père. » Et puis… une fois que l’obligation de paraître est passée… il se laisse tomber sur les marches. Juste un instant de pause… De vide… A contempler Oppara sans penser à rien. La ville est encore calme. Ça ne durera pas. En ont ils conscience de la guerre qui vient de commencer pour un trône multimillénaire ? Joanna propose d’aller chez elle. Ah oui.. c’est vrai que il faut bien aller quelque part et ça risque d’être compliqué de rentrer au manoir. Enfin, pas de rentrer… Juste que l’ambiance va y être… insupportable. Ils ne vont pas rester immobiles. Ils ne vont pas laisser passer l’occasion. Ils… Nicholas serre les poings. Oh bon sang, il va se reprendre oui ! C’est indigne de lui et de son sang de se laisser aller, et les événements ne sont pas une excuse. Il ne doivent pas être une excuse ! Se relevant, le jeune noble redresse la tête. Voilà qui est mieux. « Je doute que nous ayons à risquer un siège ou quoique ce soit, mais… je suppose que tu as raison. Ça sera le mieux… Nos propres situations à Cyrielle et moi risquent d’être un peu.. délicates. » S’il arrive à en plaisanter, c’est qu’effectivement, il se reprends. « Alors… et bien, merci de ton hospitalité avec les réjouissances qui s’annoncent. Les enjeux viennent de s’envoler complètement… et il va falloir en parler. Surtout si vous voulez vous y risquer... » Et s’il ne se posait de question ni pour lui, ni pour Cyrielle, ni pour Valéria… il ignorait si la petite barman et le guerrier voulaient plonger plus encore dedans... Modifié par un utilisateur samedi 16 novembre 2019 14:14:20(UTC)
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♣ Cyrielle ♣ CA 15 (C11,D14) Ref 16 / Vig 14 / Vol 15 Réserve Phrénique : 2/2 Sorts L : 2/2 N1 : 0/4
+2 contre les illusions || +1 contre la terreur.
+3 au DD pour être démoralisée || -2 contre les effets de nausée provoqués par les nuées.
Absorption des rêves : 2/2
Oniromancie : 5/5
Aptitudes occultes : écriture automatique 0/1 (+4j) « Blabla ? »
Finalement rien qui puisse réellement être utile a court terme donc... Même si cet anneau représente une belle trouvaille. Il faudra réfléchir a quoi en faire. Probablement le glisser au doigt de Nicholas pour éviter qu'il ne soit blessé dans les temps à venir... Enfin bref... Pendant que les autres commencent a vérifier la suite, je me concentre sur un petit tour de rien du tout... Du genre qui ne puise pas dans mes réserves de toute manière déjà épuisées : il y a un certain nombre de choses qui méritent d'être nettoyées... Et même si nous allons probablement nous empresser de mettre une nouvelle fois le nez dans un endroit tout aussi sale mieux valait éviter que trop de poussière ne se coince dans le sang. Et puis mieux valait nettoyer un minimum ce qu'on a récupéré ici. J'ouvre des yeux effarés a l'affirmation de Joanna : « Mais comment tu peux penser qu'on t'imagine faire une horreur pareille ? Et Sucre est bien trop adorable pour ça... Bon en tout cas ça sera avec plaisir que je jetterais aussi un œil à ce grimoire... Mais tu sais bien que je suis incapable d'en tirer quoi que ce soit au delà de la théorie. Ma magie n'est pas comme ça... »Il n'y a aucune rancœur dans ma dernière affirmation il y a cinq ou six ans... probablement. Mais j'ai désormais fait le deuil de cet espoir et suis ravie de disposer de mes aptitudes si particulières. Enfin ! C'était bien la distance ou l'épaisseur de roche qui empêchait le badge de fonctionner correctement... Entendre la voix de ma cousine me rassure : nous n'allons pas remonter pour constater que tout est déjà perdu... Je grimace a la remarque de Nicholas : tout a changé. Impossible de prétendre qu'il en vas autrement... Même les accords déjà signés sont incertains a l'heure actuelle... Et nos positions dans nos familles respectives ? Déjà que les choses n'auraient pas été simples avec "seulement" le résultat du vote... A se demander ce que je dois espérer : que mon père et mon frère s'en soient sortis ? Ou qu'au contraire... En tout cas s'ils s'en sont sortis il vaut probablement pas que je les croise avant que quelqu'un ai pu certifier ma survie... Je secoue la tête pour chasser les idées noires de mon esprit et me concentre plutôt vers Malphène... « Des nouvelles de votre côté ? »Son badge s'était agité un peu plus tôt... Et nous voilà donc devant une impasse... Mais une impasse qui donne probablement sur la sortie. Oui... Forcément ! Il y a du vent qui viens de ce petit trou au fond... De l'air frais... Nous n'avons pas été aussi proches de la surface et de la liberté depuis que nous avons été téléportés... Mais maintenant qu'il est clair que nous allons devoir déblayer les gravats pour pouvoir espérer remonter... Bon sang... j'aimerais tellement être capable de faire autre chose que regarder et déplacer de petits cailloux ! Mais je dois bien admettre qu'en terme de force physique... « Tu as pas dit que tu avais un serviteur invisible a disposition Joanna ? »Bon... Objectivement, même moi je peux gagner un bras de fer contre une émanation de force du genre... Mais ça ne les empêche pas d'avoir du cœur à l'ouvrage. Et surtout... heureusement qu'Ernesto est là sans quoi nous en aurions pour des jours... La réponse de Martella est plutôt rassurante : elle garde la tête froide et a encore les coudées suffisamment franches pour agir. Par contre les trois autres... Ca ne me plait pas. Surtout en ce qui concerne le couple. Malphène... Et bien... Je doute qu'elle ai intérêt a prendre parti trop fermement aussi vite. Dans tous les cas il faut espérer que le dépôt d'Aroden n'est qu'une étape. L'air frais ! Enfin ! J'en pleurerais de joie. Enfin... Si seulement l'endroit n'était pas aussi... horrible. Il y a des survivants... Mais si peu... Une telle tuerie... Mon visage se ferme. Hors de question de vomir. Hors de question de craquer maintenant... Alors que nous avançons parmi les corps... Alors que nous marchons aux côtés de ceux qui ont vécu une horreur plus grande encore que la notre... Je sent les larmes qui commencent a couler sur mes joues... Silencieuses. Le jardin... Il était si beau... Si gorgé de vie... A part de la mort... Je reconnais un serviteur a qui m'avait proposé des canapés un peu plus tôt... avant... Ignorant ce que j'espère, je scrute les visage morts... Parmi eux se trouve celui dont j'espérait plus que tout la mort... Je le toise pendant quelques instants... Les choses auraient pu se dérouler sans qu'il y ai autant de morts... « Puisse Pharasma vouer son âme aux pires tourments. »Avant que Malphène ne s'éloigne, je me concentre quelques instants pour lui lancer un sort de message... « Ca ne durera qu'une vingtaine de minutes et ne porte pas bien loin mais... Si jamais... Il suffit de murmurer et j'entendrais. »Pas besoin de dire quoi que ce soit de plus. Je la regarde s'éloigner... J'ignore si nous serons du même bord... Mais... Et bien mieux vaut l'espérer. Elle sait faire preuve de suffisamment de sang froid pour pouvoir constituer une adversaire désagréable... Johanna nous offre une solution bien agréable pour la soirée : je ne me sent pas de prendre le risque d'aller au manoir... Ni d'exprimer ça tout haut en ces lieux. « Merci beaucoup... Moins nous aurons a marcher et mieux ce serra... »Il reste une dernière chose a régler... Je me tourne vers le halfelin : « Essaie de sauver une ou deux vies avec la magie qu'il reste dans cette baguette... Et... Tu as quelque part ou aller ? »Modifié par un utilisateur dimanche 17 novembre 2019 20:07:08(UTC)
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Valéria CA 16 (C14,D12) Ref+6 Vig+1 Vol+1
Roublard Unchained de niv.1
initiative : +6
Langues : Commun Compétences: Acrobatie +8, Bluff +6, Conn. Locale +6, Déguisement +6, Diplomatie +6, Discrétion +8, Escamotage +11, Evasion +8, Perception, +5, Psychologie +5.
Att Arme légère:1d20+4 (BBA 0 Dex +4)
Att 2 Armes légères:
1d20+2 (BBA 0 Dex +4 CB 2 armes -2) x2
Arme Jet -9m: +1 Att/Dgts
Dague Dgts 1d4 19-20 x2 Portée 3m (2c) P/T
Arbalète légère Dgts 1d8 19-20 x2 24m (16c)
Valéria avait traversé le hall dans un cauchemar, les images du massacre gravées dans sa tête, restaient floues. Elle aurait été bien incapable de refaire le chemin en sens inverse tant elle avait fixé ses yeux sur le dos de Cap'tain pour être certaine que jamais son regard ne vagabonde … Et maintenant, dehors, voilà que de la foutue poussière venait de se loger dans ses yeux y provoquant un écoulement lacrymal bien incontrôlé … La vie semblait les avoir épargnés, eux, et certaines des conséquences à venir semblaient leur échapper alors seule au milieu du petit groupe elle professe sombrement « J'ai peur que vos Maisons soient en danger ... » Essuyant ses yeux d'un revers de manche elle se tourne vers Cap'tain, vient se placer tout contre son oreille et reniflant ... A ceux qui portent attention à la scène ou qui ont l'oreille fine ...
Les yeux au sol elle regarde la noble s'éloigner, plonge son regard dans celui du combattant, se hausse sur la pointe des pieds, pose une main sur son épaule et vient glisser à son oreille ...
« Pour les autres je peux pas dire, mais la Trant, tu l'as vu, on est pas dans le même camp, elle est pas de notre côté. » Elle renifle encore, ce qu'elle est en train de dire lui coute « ...et avec ce qu'elle sait, elle a de quoi se ménager une belle place au soleil d'ici à demain matin... » Elle lève les yeux au ciel et reprend « On peut... on peut pas la laisser partir comme ça ... »
Puis, toujours en s'appuyant sur le puissant Cap'tain, elle s'écarte légèrement pour, à reculons finalement, dague en main, lame contre son poignet, s'éloigner lentement du petit groupe … en direction de la rue empruntée par Malphène Trant. La voix manque d'assurance: « Merci Joanna, merci à tous, je vous retrouve tout à l'heure ... » mais son sourire est sincère. Message secret pour Hikari :... Modifié par un utilisateur mardi 19 novembre 2019 17:15:49(UTC)
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Cap'tain
CA : 20 (C 14, S 16) Vig+4, Ref+5, Vol+1 Les couloirs vétustes et poussiéreux de cette partie oubliée du Sénat semblaient se finir alors que le groupe de survivants remontait petit à petit vers la surface, ils avaient finis par trouver une forme d'organisation dans leur marche en avant. Cap'tain n'était pas peu fier d'avoir réussi ce petit miracle, une bonne organisation étant souvent gage de réussite et d'efficacité; ça avait été un peu houleux, mais tous avaient finis par comprendre le bien fondé de la démarche. Alors que la sortie approchait, les badges avaient crépité et la voix de Martella s'était fait entendre, donnant enfin quelques consignes.. La plupart d'entre eux semblait revigoré par le fait de l'avoir entendu, mais pas Cap'tain. La voix de la noble était haletante et tremblante et ses premières phrases utilisaient des mots forts, "Par Desna vous êtes en vie", "c'est le chaos ici", "je vais fuir avec Eutropia", "Faites très attention à vous", des ultimes recommandations de quelqu'un en stress et visiblement en fuite. Dans l'esprit de Cap'tain la situation en haut devait donc être cauchemardesque pour qu'une femme si flegmatique qu'elle en soit réduit à utiliser des termes et des intonations si fortes....Ça ne présageait rien de bon mais il était inutile d'alarmer ses camarades par les rengaines d'un vieux soldat aigris... Quelques temps plus tard, Captain avait pu s'occuper l'esprit en déblayant pendant de longues minutes un ultime éboulis qui bouchait le dernier couloir les séparant de la surface. Quand l'ultime poutre fut calée pour permettre le passage du petit groupe, il put soufflé un peu, bénissant la nature de lui avoir donné encore assez de forces pour ne pas avoir à utiliser son dernier atout en manche... « Pas encore » se dit il..... « Pas encore.... pas pour ça... »Chaque fois qu'il y pensait, il avait envie... Mais au lieu de ça, il se contenta de boire une gorgée de vin de cette belle bouteille qu'on lui avait offert. Ça suffirait pour le moment.... Une fois quelques minutes de repos prises, le groupe avait enfin rejoint l'air libre et la "civilisation"..... Malgré toute sa réactivité, Captain n'avait pu épargné cette vision à ses camarades, l'attrait de la surface et leurs empressements à rejoindre leurs proches les avaient inlassablement attirés vers les jardins.... Vers cette vision d'horreur.... Vers ce charnier.... Hélas c'était bien comme il l'avait craint... Partout des corps mutilés, des cadavres a perte de vue, hommes, femmes, soldats, mercenaires... Tous unis dans la mort. L'odeur de charnier, celle du sang qui lui était si familière, mais aussi celle de la mort qui lui était plus lointaine et qu'il n'avait, hélas, pas oublié. On n'oublie jamais l'odeur de la mort.... A travers le Sénat, personne n'avait pu y réchapper, ou du moins très peu de monde. Au milieu gisait le corps sans vie de Dimitri Kasmir... Captain s'agenouilla à ses cotés, le cœur lourd pour la première fois de la journée.... Le visage de l'enfant n'était même pas surpris ou figé, il n'avait rien vu venir, au moins il n'avait pas souffert... Captain saisi la bourse en soie qui pendait encore à la ceinture de l'enfant, dedans se trouvait encore son présent. Ça ne lui avait pas porté chance... « Pauvre gamin, il n'a pas pu profiter longtemps de son moment de gloire...Quel genre d'hommes est prêt à ôter la vie à un gosse bordel? Putain mais c'est qui ces gens là? C'est quel genre de personnes? » dit il en se relevant avec la bourse qu'il glissa dans sa poche. Il se dirigea vers la fenêtre la plus proche, finissant d'arracher l'épais rideau en velours qui pendait mollement et délicatement, il y déposa la dépouille du jeune enfant et l'enroula à l'intérieur. « T'inquiètes gamin, tu va t'en sortir. J'ai raté le coche une fois, mais pas deux, je te le promet. »Plus loin, gisait le corps de Stavian en personne. Même le despote fou à l'origine du massacre avait été pris à son propre jeu... Victime d'un assassinat en bon et du forme... Mais ce qui attira l'attention du Captain, c'était la signature laissé à coté... Une carte à jouer.... une de plus, le roi de cœur.... Ainsi ce diable de bouffon avait réussi son coup, c'était donc lui, c'était donc eux, qui étaient derrière cela... Il leur avait fallu un contexte propice et ils s'étaient servis de la folie du despote pour se donner l'opportunité de faire leur basse besogne... Tout cela pour ça? Tant de vies fauchées pour pouvoir en ôter une seule? Aussi importante était elle, elle ne méritait pas tant de sacrifice... L'espace d'un instant, l'esprit cartésien et pragmatique du Captain divagua... Il se parla à lui même, comme souvent quand il s'efforçait de réfléchir... « Et si ces diables n'avaient pas tout à fait réussis leurs missions? Et si ils avaient eu plusieurs cibles à atteindre et qu'ils ne les avaient pas toutes ôter? Ceci expliquerait cela... » Il continua à inspecter la scène du crime... Ces vieux relents d'officier d'Oppara reprirent rapidement le dessus... Rapide observation de la scène de crime par Cap'tain, des environs les plus éloignés du corps, gardes compris, jusqu'au corps lui même (géré en MP avec la MJ pour plus de fluidité).Ainsi l'assassin avait été tout prêt du Roi au moment de frapper. Peut être même dans sa propre garde. Un seul coup de poignard net au niveau des omoplates, la couronne avait été dérobé évidemment... Mais pas le reste.... Hum... Des professionnels à priori et pas intéressés plus que cela par l'argent visiblement... Sinon ils auraient aussi pris les bijoux. Captain resta dubitatif quand à la scène. Il pris ostensiblement la carte à jouer ainsi que les quelques richesses qu'il restait sur le cadavre du Roi en déclarant.. « Comme ça t'aura payé pour le gamin ordure! Et au sens propre du terme cette fois. » Puis regardant la carte à jouer. « Quand à toi bouffon, viendra le moment de solder les ardoises... on se retrouvera bientôt. » Après ces quelques minutes au milieu du charnier, il revint vers ses compagnons d'infortune. La situation était dure moralement.. C'était palpable. Le couple de noble et la serveuse étaient au bord de la nausée, quand à Valéria elle pleurait, des larmes de tristesse et de colère, sa carapace se morcelant petit à petit face à l'atrocité de la scène... Comme à chaque fois dans un état de choc comme cela, les gens se raccrochent à leurs bases, les piliers de leurs vies... Et pour Valéria, hélas c’était la violence et la haine... Ses mots étaient durs et sa démarche horrifiante, elle ne pouvait décemment pas faire cela, pas maintenant, pas après tout le sang qui avait éclaboussé et inondé la journée... Quand elle eue fini sa tirade meurtrière, fini de sangloter et quitté ses bras, Captain ne lui laissa pas de marge de manœuvre, c'était inimaginable de la laisser faire ça maintenant. Il saisit le bras svelte de sa camarade en plaquant son gantelet de maille contre l'avant bras de la roublarde qui dissimulait la lame, la masquant aux yeux de tous. Puis, d'une fermeté rappelant le ton paternel et bienveillant avec lequel on rassure ses enfants, il ramena la jeune fille contre lui et l'a serra fort contre son torse. Il posa doucement sa seconde main sur l'arrière de sa nuque comme pour la rassurer et lui parla calmement.
« Ne fait pas ça Valéria, ne noircit pas plus ton âme de cette ignominie. Le sang a assez coulé aujourd'hui, regarde autour de toi, pense à Kalbio, à Dimitri, à tout ceux qui ont perdus la vie ici par la folie d'un seul homme... Malphène n'a plus la politique en tête crois moi... Son père est probablement mort à l'heure qu'il est, sa seule préoccupation c'est de tenter de le retrouver pour enfin avoir une réponse. Pour ne pas vivre cela sans savoir, à espérer en vain. Ne crois tu pas que c'est déjà juste châtiment?
Son court séjour à nos cotés l'a déjà changé, ça se lit sur son visage, c'est une femme courageuse et déterminée, comme toi, comme Cyrielle et comme d'autres, le Taldor aura besoin de gens comme cela pour se relever d'une telle blessure. Et tu voudrais lui trancher la gorge dans une ruelle sombre? Mais pour quel résultat? Quel espoir? Celui que peux être un jour elle viendrait hypothétiquement chercher une place tout en haut? Quelles sont les probabilités qu'elle y arrive honnêtement?
Et même si elle y arriverait? Tu pense qu'elle aura oublié? Ce n'est pas femme à oublier tu le sais.
Non, tu te fourvoie. Au mieux c'est une vie dans la peur qui l'attend, au pire c'est la déchéance sociale et la mort. Je ne sais pas si elle l'a mérité, mais ce que je sais c'est que son courage vaux bien plus qu'un coup de lame dans une ruelle miteuse pour la seule et unique faute d'avoir voulu suivre et défendre les positions politiques de sa famille.
Je t'en prie, ne fais pas ça, ne t'abaisse pas au niveau de ces ordures meurtrières, tu vaux mieux que ça je le sais. »
Plus loin, un des soldats rescapés du massacre semblait comme paralysé par la peur... Il avait probablement tout vu, s'était caché craignant pour sa vie et la vision de ce à quoi il avait échappé l'avait finalement rattrapé. Cap'tain s'approcha de lui et lui asséna un rude coup du plat de la main au niveau de l'épaule! « Hey soldat! Ho! Faut se reprendre là mon pote! Si tu veux pas finir comme un légume pour le restant de ta vie à ressasser ta peur! Là t'a le choix entre rester là rongé par le remord et la frousse ou bien te ressaisir si tu veux ressortir la tête de l'eau et au moins finir ta vie comme un homme! T'es un soldat du Taldor bordel! Ça chiale pas dans son coin un putain de soldat!
Regarde! Tu vois là? » désignant le petit groupe de nobles« Ça c'est des gens qu'on besoin de toi soldat! Tu veux te rattraper? Tu veux être un peu fier de toi? Et ben raccompagne les chez eux et évite qu'ils se fassent trucider ou rançonner par le premier pilleur qui passe! »Puis s'approchant plus proche encore. « Mais avant ça, dis moi ce que t'a vu ici.. Putain c'est quoi ce merdier? T'a vu le Roi crever? Et la princesse? Tu l'a vu quelque part? Elle s'en est sortie? »Modifié par un utilisateur jeudi 21 novembre 2019 00:26:48(UTC)
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Nicholas CA15 (C11, D14) Ref 15 / Vig 15 / Vol 11 Fav nation : +2 Un hochement de tête léger pour soutenir l'initiative de Cyrielle. Il est vrai que la baguette était précieuse, mais de toute manière ils ne pouvaient pas s'en servir eux alors ça lui convenait aussi si le serviteur la gardait. D'autres vies seraient peut-être sauvées grâce à ça... Par contre, la question suivante lui semblait délicate. Si le petit halfelin leur répondais par la négative, ils seraient bien incapables de lui proposer de l'engager. Déjà, ni Cyrielle, ni lui n'en avaient les moyens et ensuite... et bien... il préférerait éviter les risques potentiels dans les semaines à venir... Enfin... Le jeune dandy songea que la Lotheed saurait bien s'occuper de ce détail... Son attention se reporta sur Valéria dont les larmes semblaient couler inlassablement. Nicholas l'envia presque d'arriver à se laisser aller ainsi. Ça devait être reposant parfois... Plus simple. Peut-être... Un regard vers Ernesto qui fouille le cadavre de Stavian. Et dire qu'il leur avait fait la morale sur la récupération d'objets perdus au fond de couloirs oubliés de tous... Mais qu'il se servait maintenant, pillant sans vergognes et sous les yeux de tous... Comme quoi, il ne valait pas vraiment mieux qu'eux. C'en était presque ironique... Enfin... peu importait le vrai visage de chacun au final. Ils allaient tous choisir leur masque, ou se retirer. Personne n'était vraiment différents... Joanna peut être... ? Il réponds à mi voix à la sombre prophétie. « Merçi de t'en inquiéter mais... »une grimace un peu lasse... ses sentiments sont ambigus sur le sujet. « Je craint que nos Maisons ne soient pas les plus en dangers. Pas dès ce soir... Plus tard oui, mais ce soir...? La demeure du Seigneur Ervihon par contre... ? » Un regard plus anxieux vers Cyrielle... De ce qu'il en savait, ce dernier était extrêmement riche, probablement du coté d'Eutropia et... n'avait pas la réputation magique qui protégeait le manoir Lotheed... Quand à la réaction de sa propre famille... prendraient le temps d'observer, puis choisiraient le camps de l'ordre. Il n'en doutait pas vraiment... Ce qui lui faisait penser... Il n'avait pas vu le Seigneur Samnan à la réception. Ou Lucas... heureusement ! Tomber le maître d'arme aurait été un challenge compliqué pour n'importe qui. Même si.... peut-être en saurait il plus... mais pas ce soir. S'ils n'avaient été que tout les deux, ou sans solutions, il serait allé à son manoir mais, la proposition de Joanna rendait cette demande inutile. Demain. Ce serait le mieux pour tenter d'obtenir les billes nécessaires. Peut-être saurait il ce qui se disait chez les Lames. Ou ce qu'il était advenu des derniers Ulfens, ou... D'une oreille il écoute ce que marmonne Valéria, se fige et réalisant ce dont elle parle, se retourne vivement mais Ernesto est plus rapide. Il ne l'a pas laissée partir. La respiration qu'il avait retenu sous la montée de stresse se relâche. Surtout ne pas faire de bêtises. Pas maintenant. Surtout pas maintenant... Les paroles du guerrier sont sans doute ce qu'elle avait besoin d'entendre. Elles sonnent juste. Elles sont justes. Ses propres arguments qu'il aurait pu servir lui paraissent en comparaison bien cyniques. Bien trop... Bien trop calculateurs aussi. Réalistes peut être ? Non, c'est les arguments qu'il aurait répondu à Cyrielle, à Lucas, à Martella, à Malphène elle même ou à n'importe qui d'autre étant mêlé au Grand Jeu. C'était tout aussi bien qu'il n'ai pas eut à le faire. Il se contente d'attendre que le Captain finisse par libérer Valéria, glissant alors doucement à cette dernière, posant une main qui se veut réconfortante. Facile d'écouter si vous y prêtez attention
« Ne t'en fait pas pour Martella, elle est plus maligne que nous et après ce qui s'est passé, Malphène lui sera peut être utile plus tard. Elle nous a donné rendez vous en sachant qu'elle était avec nous. Fait confiance à Martella...Inutile de la protéger sur ce coup là. Malphène œuvrait au service de son Père comme to... non, comme la plupart des enfants nobles, et si ce dernier est mort, c'est probablement elle qui décidera au service de qui elle mettra la fortune des Trants. Elle pourra être utile et œuvrer dans le bon sens. Contrairement aux autres bourriques noblionnes » complète il avec une grimace amusée qu'il est loin de ressentir pour détendre un peu Valéria.
« Aller, ne traînons pas plus dans ce tombeau marbré ! Je ne sait pas vous mais l'ai deja trop vu pour les jours à venir. Ah, et j'ai des trucs pour vous aussi, mais quand on sera au chauds ! »Ses abords allaient se faire dangereux avec la nuit. Modifié par un utilisateur jeudi 21 novembre 2019 13:34:40(UTC)
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Valéria CA 16 (C14,D12) Ref+6 Vig+1 Vol+1
Roublard Unchained de niv.1
initiative : +6
Langues : Commun Compétences: Acrobatie +8, Bluff +6, Conn. Locale +6, Déguisement +6, Diplomatie +6, Discrétion +8, Escamotage +11, Evasion +8, Perception, +5, Psychologie +5.
Att Arme légère:1d20+4 (BBA 0 Dex +4)
Att 2 Armes légères:
1d20+2 (BBA 0 Dex +4 CB 2 armes -2) x2
Arme Jet -9m: +1 Att/Dgts
Dague Dgts 1d4 19-20 x2 Portée 3m (2c) P/T
Arbalète légère Dgts 1d8 19-20 x2 24m (16c)
N'eut été la puissante étreinte de Cap'tain, Valéria aurait sans doute terminé à même le sol tant ses jambes lui semblaient cotonneuses. Il avait raison bien entendu et la Trant ne méritait pas de finir ainsi ... Pour toute réponse elle ne pût qu'opiner du chef en reniflant au discours du Cap'tain, lui signifiant qu'elle avait comprit. Et elle resta là, tête basse cependant que le combattant s'éloignait ... et que Nicholas, encore, venait à se rencontre et posait sur elle une main apaisante assortie d'une pointe d'humour qui là, maintenant, faisait mouche. Valéria pouffa en s'essuyant une dernière fois les yeux et le nez sur sa manche. « Oui, partons ... » renchérie la jeune femme en glissant sa dague dans sa ceinture. J'ai trouvé vos postes très bien, merci  Modifié par un utilisateur jeudi 21 novembre 2019 13:46:22(UTC)
| Raison: Non indiquée
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2 utilisateur ont remercié MRamius pour l'utilité de ce message.
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Inscrit le : 13/07/2015(UTC)
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Localisation : Etang de la Ferme en folie, 666° roseau en partant du distributeur de chips.
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Joanna touché captivant 7/7 Sucre Elle n'aurait pas mieux réagis. Joanna hocha la tête. « Oui, partons. Ces lieux ne nous font aucun bien, il vaut mieux rentrer. »Elle passa sa main dans le dos de Valéria, souriante pour essayer de la réconforter. Elle ne pouvait pas bien plus mais... c'étais déjà ça. | Duck Gauthier, émissaire du peuple des canards de l'espace envoyé sur terre pour guider les canards de la planète à prendre le pouvoir et à maitriser le theorycrafting et la préparation de sauce au jambon. |
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Inscrit le : 06/06/2018(UTC)
Messages : 118
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Distraite par la situation qui l’entoure -bien qu’elle semble ne pas être en plein combat- Martella met un temps à répondre, ses réponses sont parfois espacées, voire tronquées par le badge. Néanmoins, la communication est suffisamment bonne pour se faire comprendre. Répondant à Nicholas :« Il a fui le lâche ! Dès que les lames ont commencé à se rapprocher de sa position, il a pris la fuite en rappelant ses chiens, il ne reste que des combats isolés… Qui ne restent pas moins dangereux. » ajoute-t-elle. Puis, apprenant à un moment ou un autre que vous êtes accompagnés : « Tâchez de rester groupés tant que vous n’êtes pas sortis de là, c’est plus prudent. Restez groupés et vous survivrez ! »De son côté, Malphène a également tenté de reprendre le contact avec son père. Vous n’entendez pas ce qu’il dit, mais vous entendez Malphène, et à lire l’expression de soulagement sur son visage, vous en déduisez qu’il a survécu. Répondant à Cyrielle : « Mon père est blessé mais il s’en sortira. Il a pu quitter le Sénat. Je n’ai rien appris de plus, désolé. Merci de vous en soucier. » ajoute-t-elle, dans un étrange mélange d’air hautain et de compassion, tiraillée entre sa fierté familiale et son respect pour vous. Le soldat secoué par le Cap’tain met un temps avant de se ressaisir et de répondre. Finalement, il se redresse et s’applique à ce qu’il considère être un ordre de la part de l’ancien officier. Avant de s’exécuter, il tâche de répondre avec précision à la question. « Non monsieur, je n’ai rien vu. Le Grand-Prince a dû partir avec sa garde j’imagine, et je n’ai pas vu où est passée la princesse. La dernière vue que je l’ai aperçu, son garde personnel se battait comme un diable, il a dû tuer plusieurs Ulfes à lui-seul. » affirme-t-il, montrant un coin du Sénat dans lequel s’amasse plusieurs corps. De son côté, depuis votre sortie du sous-sol, le petit halfelin se fait confus, penaud, probablement apeuré autant qu’écœuré par le charnier du Sénat. Pendant que vous efforcez de convaincre Valéria, il tente désespérément de sauver des gens avec sa baguette, suivant les directives de Cyrielle. Hélas, les mourants se font rares, il réussit tout au plus à soigner un blessé boitant sur le pas des marches. Je pars du principe qu’il n’a pas entendu ce qu’à dit Valéria, c’est plus simple pour moi.À son retour, tandis que Valéria est dans vos bras, il reste là, ne sachant trop où se mettre ni que faire. Répondant à Cyrielle avec un temps de retard : « Je… Non, je n’ai pas vraiment d’endroit où aller… Mon maître… est là-haut. » baragouine-t-il, montrant le Sénat. « Je viens de Kozan, une ville voisine… Je… Peut-être à l’auberge ? Je ne sais trop… » demande-t-il, l’œil humide, sortant une petite bourse de son pantalon, sensiblement suffisante pour se payer quelques nuits à l’auberge, mais pas assez grosse pour attirer l’attention. Au-delà des probables risques de casse pour les maisons des nobles, vous vous doutez que les maisons sans maîtres seront les premières visées. Le seigneur Radarok étant un illustre inconnu, il s’est probablement déplacé depuis Kozan uniquement pour l’occasion. Qu’il avait prévu de réserver une chambre dans une auberge renommée ou qu’il avait une carriole à disposition, vous n’en savez rien, mais son plan est probablement tombé à l’eau. Prenant son courage à deux mains, il relève la tête, vous regardant plus ou moins sans distinction. « Vous ne seriez pas intéressé par un humble serviteur manieur de baguettes par hasard ? » tente-t-il sur un trait d’humour, accompagné d’un sourire forcé déformé par la tristesse. Psychologie, DD 12 :
Il vous semble sincère. Dans son comportement, il vous semble surtout intéressé par son avenir que par le fait de vous accompagner ce soir. Il a probablement envie de fuir mais… pour aller où ? Tenter de quitter la capitale dans les circonstances actuelles pour rejoindre la campagne en solitaire n’est pas un plan des plus engageant.
Je vous laisse encore réagir si vous le souhaitez, je passe à la scène suivante en même temps vu que vous semblez tous d’accord pour aller chez Joanna. Fouille de corps :
Vous n’avez pas vraiment le temps ni la moralité de fouiller les corps des soldats, et encore moins ceux des nobles, mais rien de vous parait particulièrement notable, hormis un bracelet doré que le Cap’tain récupère sur le corps du Prince.
Au détour de quelques rues presque désertes -même les marauds se faisant discrets-, vous finissez par arriver dans la traverse qui mène à l’Ours gris. Sur votre chemin, les rares passants chuchotent et s’inquiètent, la plupart ont déjà entendu la nouvelle. Bon nombre de rumeurs doivent déjà commencer à circuler à cette heure-ci. Un appétissant fumet de cochon rôti accompagné du parfum de la bière vous redonne du moral tandis que vous arrivez devant la taverne. Poussant les portes de l’établissement, certains découvrent et d’autres retrouvent une taverne chaleureuse. Au rez-de-chaussée, la petite scène centrale d’ordinaire dédiée aux artistes et les tables l’entourant sont désertes ce soir, contrairement à l’habitude. Seuls quelques clients isolés se régalent de leur repas ou d’une boisson au comptoir d’Hercule. À l’étage, les salons privés -offrant sièges moelleux et tables en bois laqué- sont totalement désertés. Le nain tavernier, particulièrement grand et imposant pour les siens, est occupé à discuter avec un habitué et ne semble pas vous avoir remarqué. En revanche, quelqu’un d’autre n’y a pas manqué : Sucre, le chat de Joanna, déjà de retour dans ses pattes. Le malin a dû retourner ici après s’être échappé du Sénat. Je laisse à Joanna le soin de choisir ses retrouvailles avec son chat et son père adoptif.
En dehors de ça, sentez-vous libres de lui parler/poser des questions, quitte à faire un léger anachronisme. Vous pouvez considérer que Joanna vous présentera j’imagine, bien que certains connaissent peut-être déjà Hercule, du moins de visu. Modifié par un utilisateur vendredi 22 novembre 2019 10:44:11(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Joanna touché captivant 7/7 Sucre Et elle prit la route de sa taverne.  Arrivé à la porte de la taverne, Joanna prit une profonde inspiration avant de rentrer, craignant pour la suite. Enfin ! La maison. Le bon parfum d'alcool et de viande. Après une telle journée, il lui semblait que cela faisait des siècles qu'elle n'étais pas revenu. Mais finalement, la voilà chez elle. Hercule était là en plus, il n'avait rien. Et... « Sucre ! Ma chérie ! »Une vague de soulagement et de joie la submergea alors qu'elle tombait à genoux pour embrasser la créature féline. Bon sang, comme elle lui avait manqué ! Si un humain normal peut s'attacher à son animal de compagnie, le lien magique qui lie un magicien à son familier, ou celui entre un druide et son compagnon est bien plus puissant. En l'instant, Joanna retrouvait comme une partie d'elle en voyant cette boule de poils. Et elle lui montrait bien, la couvrant d'affection et de caresses. « Je savais que tu allais bien. Tu es rusé, c'est pas ça qui allait t'avoir. Hein, petite mère ? Oui t'es belle. Tu m'as manqué... »La présence de Sucre était une offre à relâcher ses nerfs. Tout allez bien, tout se passait bien. La pression retombait un peu, enfin. Ces effusions se tarirent au bout d'un court moment mais ne furent pas les plus discrètes, attirant le regard du gérant. Joanna se releva et s'approcha de lui. Elle était toujours décoiffée et couverte de poussière et de saletés, n'ayant même pas songé à se nettoyer avec sa magie. Elle s'adressa en nain, la fatigue dans la voix après ces effusions. « Salut Hercule... T'es au courant, hein ? Un massacre... »Elle le prit dans ses bras, cherchant un peu de réconfort avant de se redresser, cherchant à faire bonne figure -bien qu'il soit clair qu'elle n'allait pas bien-. En commun« Hercule, voici Cyrielle Lotheed, Nicholas Karthis, Valéria, le capitaine Oppara et Jowuan. On a réussi à sortir de ce pétrin ensemble, je leur doit la vie. Les gars, mon patron et père, Hercule Sac-à-Vinaigre.
Hercule, on peut leur accorder le toit ce soir ? Je peux pas les laisser partir comme ça, les rues ne sont plus sûrs et on est dans le même bateau... »Modifié par un utilisateur vendredi 22 novembre 2019 13:45:22(UTC)
| Raison: Non indiquée | Duck Gauthier, émissaire du peuple des canards de l'espace envoyé sur terre pour guider les canards de la planète à prendre le pouvoir et à maitriser le theorycrafting et la préparation de sauce au jambon. |
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Je ne prends pas le halfelin en compte tant que vous ne vous êtes pas mis d’accord sur ce que vous faites de lui (d’autant qu’il n’a pas spécialement besoin qu’on lui tienne la main non plus, il ne vous en voudra pas au pire).
Je vous fais un extrait de réponse, au cas où certains voudraient réagir/poser des questions. Sur le trajet :Sur le chemin du port, vous passez devant la colline du Sénat et croisez plusieurs temples, dont ceux dédiés à Pharasma, Cailéan, Sarenrae et Calistria, particulièrement populaires à Oppara. A la taverne :Une fois qu’il a remarqué Joanna, Hercule abandonne ses verres pour courir prendre sa fille dans ses bras. Après quelques émouvantes retrouvailles, une larmichette à l’œil -chose rare pour ce nain bourru-, Hercule se tourne vers le reste du groupe. « Oui, j’ai entendu ce qui s’raconte. Vous êtes les bienvenus bien entendu. J’vous en prie, asseyez-vous. Vous pourrez prendre les salons d’en haut si vous voulez. Je n’imagine même pas votre journée... » soupire-t-il de sa grosse voix en vous montrant une table proche de la cheminée. Une fois que vous êtes installés, si vous souhaitez savoir ce qu’il a entendu, il reprend : « … J’ai entendu pas mal de rumeurs, on raconte que le Grand-Prince a ordonné un massacre, mais l’homme assis là-bas raconte qu’il a entendu dire que c’était planifié par le Qadira. Il s’dit aussi que les gardes Ulfens se sont rassemblés autour du palais impérial et qu’ils ont l’air perturbés… »Indépendamment du reste, quand ce sera le bon moment :« Reposez-vous, vous l’avez plus que mérité. Commandez ce que vous voulez, c’est la maison qui régale, ça vous fera le plus grand bien. » propose-t-il, essayant de vous réconforter. Et pouf, vous voilà niveau 2 !
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♣ Cyrielle ♣ CA 15 (C11,D14) Ref 16 / Vig 14 / Vol 15 Réserve Phrénique : 2/2 Sorts L : 2/2 N1 : 0/4
+2 contre les illusions || +1 contre la terreur.
+3 au DD pour être démoralisée || -2 contre les effets de nausée provoqués par les nuées.
Absorption des rêves : 2/2
Oniromancie : 5/5
Aptitudes occultes : écriture automatique 0/1 (+4j) « Blabla ? »
Nous marchions parmi les cadavres... Et chacun devais faire face a ses démons... La crainte de Valéria me redonne d'une certaine manière un peu de joie... ma maison ? je doute que la bibliothèque ai quoi que ce soit a craindre. Les voleurs ne tiennent pas plus que ça a finir changés en porcelet et par Nethys même si une bonne partie de la crainte qu'elle inspire se balade dans la tête de ceux qui ignorent tout de la magie... et bien je dois bien admettre que je ne suis pas totalement certaine qu'ils aient tord. Reste ceux qui n'ont pas suffisamment peur de la magie par ignorance et je peinerais a formuler toute la peine que j'ai pour eux... et ceux qui sont suffisamment formés qui n'ont pas besoin d’événement du genre pour agir. Quand au reste... Et bien il y a Ervihon oui. « C'est vrais qu'il y a un risque. Mais si il y a une chose que même ses frères lui concèdent c'est qu'il sait bien s'entourer. S'il a réussi à sortir d'ici... au pire il y perdra quelques babioles. »Un peu plus loin, Ernesto s'est approché du corps sans vie d'un enfant... Il semble le connaitre... Lorsque je vois qu'il vas chercher un rideau pour le protéger, je m'agenouille près de l'enfant pour passer doucement ma main sur sa joue et fermer ses yeux avant de m'écarter en demandant : « Vous le connaissiez ? »Lorsque quelques instants plus tard il le soulève j'hésite un instant : a moins qu'il me confirme dans l'instant qu'il sais que ses parents sont eux aussi allongés ici... mieux vaudrait leur laisser la chance de le retrouver mais... « Vous souhaitez que nous vous accompagnons au temple de Pharasma ? »Je hoche la tête avec un léger sourire à l'attention de Malphène. C'est une bonne nouvelle pour elle. D'autant plus qu'elle en semble bien plus inquiète que moi du mien... Je la salue donc une dernière fois en espérant que la suite ne nous amène pas a nous opposer. Même si je n'ai pas tout suivi j'ai pu entendre une partie de l'échange entre Cap'tain et Valéria... Rien d'inquiétant : ce sont principalement les émotions qui parlent et l'ancien officier semble l'avoir compris. Quand à la jeune femme... et bien... même si elle ne semble pas être une experte du grand jeu... Martella à de la chance d'avoir quelqu'un d'aussi fidèle. La réponse du serviteur ne m'étonne qu'à moitié. La réponse de Joanna encore moins même si elle ne m'arrange pas particulièrement. J'adresse un sourire au halfelin. Il faudra que j'ai une longue discutions avec lui. Mais pour ce soir au moins inutile de l'inquiéter... « Ce n'est pas impossible... Et en tout cas tu viens de gagner une invitation dans l'une des meilleurs auberges de la ville pour ce soir. Nous prendrons le temps d'y discuter. »L'arrivée a l'auberge permet de décompresser... L'ambiance dans les rues n'étant franchement pas parfaite pour penser a autre chose... Et même si ma robe n'est pas des plus légère je commençais serieusement a avoir l'impression de geler... Sans compter qu'il y a bien des choses dont nous allons enfin pouvoir discuter une fois que nous serons en haut. Et l’accueil du tenancier me met déjà un peu de baume au coeur. Je lui adresse un sourire que je dois bien admettre être un peu forcé (pleurer me semblerait bien plus adapté) et lui répond : « Merci beaucoup... Vous auriez quelque chose de chaud et sucré ? J'ai franchement besoin de réconfort et j'ai l'impression que mes os sont gelés... »Puis je m'agenouille pour saluer Sucre pendant que les autres passent à leur tour commande : « Salut toi... Tu vois... ta maîtresse vas bien... Mais oui t'es belle... »Je préfère ne pas apporter ma propre pierre à l'édifice des rumeurs en démentant ou approuvant l'une d'entre elle... Je n'ai pas encore pris le temps de réfléchir aux conséquences possible et dois bien avouer que je ne m'en sent pas la force. Cependant avant que nous ne puissions réellement nous mettre a discuter, il y a le cas du serviteur qui doit être, en partie au moins, réglé. Je me tourne vers lui pour lui expliquer rapidement comment je vois les choses : « Pour l'instant, tu t'en doute notre situation est... compliquée. Pour l'heure il vaut mieux que tu te repose. Demain, après avoir réglé quelques problèmes de mon côté, je viendrais pour que nous prenions le temps de parler toi et moi. Et nous verrons ensemble les options qui s'offrent à toi. »L'une de celles qui me viens le plus naturellement serait de voir s'il ne pourrait pas travailler ici... Ou si je ne peux pas lui trouver une place chez mon oncle. Bien sur il y a aussi la possibilité de l'embaucher moi même... mais cela impliquerait d'avoir une vague idée de ma propre situation. Et ce n'est clairement pas quelque chose que je peux me permettre de faire a la légère. Je me tourne ensuite vers les autres et en particulier vers Nicholas... Aucun doute qu'il pense a la même chose que moi : la situation a radicalement changé depuis ce matin et mieux vaut discuter avec les autres pour voir sur quel chemin ils souhaitent se lancer... Car s'ils viennent pour autre chose que récupérer leur paye demain... ils mettront leur doigt dans l'engrenage de la politique et ne pourrons pas le retirer. Un hochement de tête et je me dirige vers l'étage...
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