Musique - Son Infernale Majestrix


Voyant que le Chevalier montrait de l'intérêt pour le sujet, l'impératrice poursuivit.
« C'est un domaine dont je ne suis pas spécialiste, la nécromancie...mais je sais que l'âme de certains des combattants les plus féroces de l'histoire refusent de trouver le repos après leur mort, préférant à la place retourner sur le champ de bataille. Dans d'extrêmement rare occasions, ce phénomène est spontané...mais il existe des rituels, de puissantes, anciennes magie qui permettent de parvenir à ce résultat. Un Chevalier Tombal est immortel, et la seule manière de le détruire entièrement est de détruire son armure après l'avoir vaincu, ce qui en soit est extrêmement difficile. Je pense que cette forme serait tout à fait à votre hauteur...

Je ne suis moi même pas familière avec ces rituels, mais si c'est votre désir, sachez que je vous aiderai dans cette entreprise. Pour l'heure, je ne peux que vous recommander de vous renseigner sur les Chevaliers. »

Musique - Son Infernale Majestrix


L'impératrice laissa flotter un instant de silence.
« C'est une poursuite difficile, mais je vous sais à la hauteur du défi, Chevalier. Et qui sait, peut être trouverez vous dans cette forme une enveloppe plus agréable à...vivre.
Une telle magie est antique, dangereuse, et l'église d'Asmodéus n'apprécie pas plus que cela la nécromancie quand elle va à l'encontre du flot des âmes. Je doute que vous trouviez quoi que ce soit dans les archives religieuses et officielles. Peut être à l'Académie des Arts Arcaniques, ils devraient avoir mention du phénomène. Mais mieux encore, je vous recommande de mettre à profit l'accès que je vous ai accordé aux Archives Impériales. J'ignore si le rituel lui même s'y trouve dans son intégralité, mais il me surprendrait que ni moi ni mes prédecesseurs n'ayons eu à faire à une telle entité et archivé des moyens de la combattre...ou de la créer.

Y'avait il autre chose, Chevalier? »

Musique - Son Infernale Majestrix


L'impératrice paraissait étrangement pensive, restant silencieuse un instant en "dévisageant", autant qu'il était possible en tout cas, le Chevalier Infernal.
« C'est aussi mon devoir de veiller sur mes sujets, Ser Mandrak...en particulier lorsqu'ils sont aussi dévoués que vous. Votre dévotion n'est pas passée inaperçue, sachez le. Vous pouvez vous retirer. »

Ozran se tourna et observa Quatre un instant. En fait, il semblait essayer de comprendre quelque chose en la regardant droit dans les yeux.

« Mmmh... C'est très aimable de ta part, merci. Mais... Je sais pas trop si je puis en parler pour l'instant... »

Il prit un instant pour songer et détailla la tiefline. « Bon, vient. Je vais t'expliquer. »

Il s'écarta un peu de l'allée où ils se trouvaient pour un lieu plus isolé.

« Tu sais ce que je suis. J'en ais également parlé à l'Impératrice et fait part de certaines interrogations que j'avais. En particulier, je ne comprend pas ce qui se passe... en moi. Certains conflits qui court que je ne saisis pas. Après une longue discution, pour faire court, elle m'a parlé d'un type de morts-vivants, les chevaliers tombals.Selon elle, une partie de ces problèmes pourraient être dû à une nature qui ne me convient pas, et une forme de chevalier tombal pourrait me satisfaire plus amplement. Donc j'essaye de me renseigner... Pour l'instant, j'ai pas grand chose sur le sujet. Tu connais ? »



Deux jours plus tard, au petit matin.


Une boite fût trouvée sur la table du réfectoire. Dessus était écrit le nom de son destinataire.

Quatre. Contenue privé.

Le contenue

Modifié par un modérateur mercredi 6 mai 2020 23:20:56(UTC)  | Raison: Non indiquée

28 Gozran - 3 Desnus 4716 - Longacre
Musique - Longacre


Quatre soupira en balayant du regard la bibliothèque des Fex. De toute évidence, l'Archbaron avait une certaine passion pour l'occulte et les théories surnaturelles. La tieflinne s'assit gracieusement en faisant balancer sa queue, et déposa le premier des lourds volumes (Evadés de la Rivière des Âmes) sur la table devant elle, l'ouvrant avec un soupir.
« Bon, j'imagine que nous ne devrions pas perdre plus de temps? J'espère au moins que la bibliothèque de Fex a des éléments utiles à ce que nous cherchons. »

Alors que le vent du printemps balayait les collines autour de Longacre, les recherches d'Ozran et Quatre commencèrent. La plongée dans les ouvrages cryptiques et complexes, presque énigmatiques, était plus difficile et dangereuse encore que leur voyage à travers le Bois des Murmures. Mais, peu à peu, page par page, mot par mot, ils commençaient à comprendre, à rassembler les pièces de ce puzzle impie qu'Ozran essayait de compléter. En rassemblant les indices laissés par des auteurs dérangés, instables, ou simplement à l'intellect incompréhensiblement alien, au fil des jours, ils parvinrent à alimenter ce qu'Ozran savait déjà sur les rituels permettant la création d'un Chevalier de la Tombe.

Au bout de leurs cinqs jours de recherche, et après plusieurs impasses et contresens, ils finirent par pouvoir compiler les détails qu'ils avaient rassemblé en ce qui constituait le Rituel de la Forge, destiné à forger l'armure qui deviendrait celle du Chevalier de la Tombe.

Rituel de la Forge

Le chevalier écouta avec attention et approuva.
«  J'ai moi même étudié à ce sujet et tout cela me semble correspondre à mes propres résultats. Je vous remercie. Je prend note de ces frais supplémentaires. De toutes façon, nous ne pourrons pas débuter le rituel sans les composants et parmi eux se trouve l'armure. Les matériaux pour elle même sont déjà complexes à réunir. Nous n'en sommes donc pas encore au moment du rituel. Entre temps, nous pouvons commencer à chercher les prochaines étapes. »

Puis vient le sujet de l'ordre.

« C'est une excellente idée que de recruter des élèves en effet. Vous pouvez compter sur ma présence si des forgerons viennent bien entendu. Mais j'ai du mal à voir ce que je peux vous apporter à être présent. A la limite, je peux attester de la qualité d'une arme une fois faite mais les procédés en eux même... Quand à réquisitionner une forge, je peux chercher cela demain, ce devrait être simple.

Oh et temps que j'y pense. Je n'oublie pas tout ce que vous faites pour moi bien sur. Soyez assurés que vous trouverez un retour à vos œuvres. »

Après 5 jours de recherches



Comme d'habitude, Ozran participe au repas, tenant compagnie sans consommer.
Puis quand tous prirent congé, il se leva également.

Il partit en direction de la sortie, juste derrière Quatre qu'il hella.

« Quatre !

... »

Un temps d'hésitation. Puis il décida d'abréger.

« Viens. S'il te plait. »

Il tourna les talons et partit vers les écuries.


Quatre s'apprêtait à sortir pour sa promenade nocturne...Une habitude qu'elle avait développé depuis leur arrivée à Longacre...Ou bien peut être l'avait elle avant...? Dans tous les cas, l'appel d'Ozran sembla la prendre par surprise, à en juger par le sourcil qu'elle arqua, accentuant son expression interrogatrice.

Mais le chevalier n'avait pas l'intention d'expliquer ses raisons. Toujours encadrée dans la porte par les rayons de la lune qui se levait, Quatre hésita, mais fini par emboiter le pas à Ozran, ses bottes de cuir souple ne faisait pas de bruit à côté de l'armure cliquetante du chevalier Infernal. Elle paraissait curieuse, et sa fourrure frémissait, mais elle demeurait silencieuse pour l'instant, laissant Ozran poursuivre.



Arrivé aux écuries, Ozran pénétra. Sandrine, sa jument, étaient déjà harnachée, prête à sortir. Il commença à grimper dessus après l'avoir libérée.

« Je n'ai pas préparé le tien. Je t'attend dehors. A moins que ça ne te gêne pas ? »

Il montra l'arrière train de Sandrine.


Quatre s'arrêta un instant, de plus en plus curieuse, mais accepta volontiers l'offre d'Ozran avec un sourire.
« Je ne suis pas très bonne cavalière, si je veux pouvoir te suivre, je monterais volontiers avec toi. Si ta jument peut supporter le poids.... »



Il tendit la main pour l'aider à monter.

« Ca ira, on ne va pas très loin. »

Une fois sortit, il partit dans la nuit, son otage derrière lui. Laissant la ville derrière eux, il prit la direction des champs et quelques temps plus tard, fit ralentir sa monture.

« Voilà, c'est... ici. On est arrivé. »

Il mit pied à terre et attendit que Quatre fasse de même, tenant la jument.

« J'espère que je ne t'ai pas arraché à un quelconque projet ? »


Quatre accepta volontier la main gantée d'acier, et se hissa agilement en croupe. Malgré les inquiétudes qu'elle avait exprimée, elle ne pesait pas lourd...Laissant Ozran mener la cavalcade, elle s'accrocha à sa taille, prenant le temps d'observer les champs sous la pleine lune.
« Tu sais, se promener au clair de lune a clairement un charme différent à cheval que lorsque je suis à pieds...à moins que ce soit le fait d'avoirr quelqu'un avec qui le partager. »

Arrivée à destination, Quatre bondit à terre, déployant de nouveau son agilité féline. Il fallait reconnaitre que la grâce naturelle de ses mouvements, teintée d'un brin de sauvagerie, avait quelque chose d'ensorcelant.
« Non, rien de particulier, du moins pour ce soir...mais je suis curieuse...que voulais tu me montrer...? »



Ozrant regarda un instant le ciel, cherchant quelque chose dans sa noirceur et dans les étincelles qui étaient semées dedans.

« ... Je voulais... »

Il se tourna et commença à chercher quelque chose dans les sacoches de sa jument. Il en sortit un linge protégeant quelque chose.

« Dans un premier temps te dire merci.
Pour le temps que tu m'accorde dans un projet pareille. J'espère que framboise te convient ? »

Il ouvrit le linge, révélant une tarte qu'il tendit à Quatre.


L'expression qui passa sur le visage de Quatre était étrangère à Ozran...un éclat de surprise, et de la gourmandise, bien sûr, mais derrière cela, et à travers la reconnaissance de la félinée, il lui semblait percevoir autre chose. Peut être une sorte de choc, ou d'incrédulité? Comme si elle doutait que ce soit vraiment une marque sincère de reconnaissance de la part du Chevalier. Quatre réalisa qu'elle était restée silencieuse trop longtemps, et bredouilla, tout en récupérant la tarte d'une main tremblante.
« Ah! Euh...oui, bien sûr! Euh...je...merci....mais tu sais, tu n'as pas besoin de me remercier. Nous sommes de la même meute, c'est normal que nous nous entraidions. Non...? »



« Je... Je sais. Mais ça me semblait important de te prendre à part pour te le dire. Te dire combien j'apprécie ton soutien. »

Il leva les yeux vers le ciel, cherchant encore dans le ciel ce quelque chose. « C'est une belle nuit... »


Quatre s'efforça de rester plutôt civilisée, mais il lui fut difficile d'éviter de laisser des traces de framboise dans son pelage. Elle se lécha les lèvres dans une tentative très féline et plutôt vaine de se débarbouiller, tout en complimentant la tarte.
« Ozran, elle est délicieuse! Merci encore. Tu en v...oh. Rien, désolée. »

Un instant de silence flotta entre eux, tandis que la félinée levait elle aussi les yeux, se perdant quelques instants dans la lumière des étoiles et de la lune, les nuages dansant dans les cieux.
« N'est ce pas? J'ai toujours préféré la nuit. Ca me rappelle quand j'ai vu le ciel la première fois. »



« Sans façon merci, je n'ai pas d'appétit ce soir. »

Ozran approuva doucement de la tête face au commentaire sur la nuit.

« Oui. J'en apprécie le calme. Je ne profite pas assez d'elle... »

Et, malgré la robustesse de ses jambes, le guerrier montra une faiblesse. Il s'assit, pour mieux observer la nuit. Puis il brisa le silence.

« Quatre... Je peux te demander quelque chose de personnel ? Comment me vois tu, maintenant que tu sais... ce que je suis ? »


Quatre s'assis aux côtés d'Ozran, et s'allongea finalement pour observer les étoiles. Mais elle se redressa en entendant sa question. Même sans se tourner vers elle, il pouvait sentir le regard de Quatre sur son armure. Elle ne répondit pas tout de suite, pesant soigneusement sa réponse.
« Comme un frère d'arme. Quelqu'un que j'ai défendu, qui m'a défendu, et avec qui je combattrais de nouveau à l'avenir. Quelqu'un dont j'apprécie la compagnie. Et même si je sais que ce genre de chose n'est pas...facile....dans notre milieu...un ami? Ta nature n'a rien à y voir. Ca ne change pas qui tu es, à mes yeux »

Elle aurait voulu ajouter quelque chose, Ozran le sentait, mais elle avait retenu ses mots avant qu'ils ne franchissent ses lèvres.



« Un...ami ? Comment fait tu pour me voir en ami ? C'est... obscur...

...

Je ne sais plus... Ce qu'est un ami. J'ai oublié ce que c'est que de sentir qu'on a un ami. Je crois que c'est agréable. Peut tu essayer de mettre des mots sur ce sentiment ? »


Quatre ne répondit pas tout de suite. La tieflinne paraissait perdue dans ses pensées, méditant les paroles d'Ozran, et tentant de comprendre ce qu'elle même en pensait. Elle répondit maladroitement.
« Je...Ne suis pas sûre. Je...comment dire? Je me sens en sécurité en ta présence? Ce n'est pas vraiment ça, mais je sais que je peux compter sur toi. Je n'ai pas besoin d'être tendu en ce qui te concerne...

Je...hum...disons que bien que tu puisses en être une, je n'ai pas besoin de te considérer comme une menace. C'est...reposant. De pouvoir être avec quelqu'un sans se demander si je dois me préparer à me défendre. C'est...je n'ai pas eu beaucoup d'amis moi même. En fait, tu es peut être le seul.

Quelque part, c'est comme un poids en moins, parce que je sais que si il devient trop lourd pour moi, je peux compter sur ton aide et que nous serons deux à le soulever. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire...? »



Ozran prit le temps d'intégrer la définition.

« Je... pense comprendre. Alors... Même si ce n'est pas vraiment le genre de chose que je peux ressentir, je pense... Que tu dois être mon amie. Je ne peux pas m'identifier à ce que tu dis mais... C'est différent d'être là avec toi, plutôt qu'une autre personne. Ca doit se rapprocher de ce que tu dis. Alors merci d'être là, Quatre. »
Il attendit un moment avant de reprendre.
« Oui... Dans ce cas, tu es aussi ma seule amie. »


Quatre sourit, et elle posa la main sur l'épaule métallique d'Ozran.
« Je ne sais pas si il est sage de s'attarder trop en détail sur ce qu'être un ami veut dire ou ne pas dire. J'aime que tu sois là, et je suis plus à l'aise en ta présence que seule. C'est tout ce qui importe. Et merci à toi aussi...c'est une route difficile et dangereuse sur laquelle on s'engage, et je préfère être à tes côtés que seule. »

Un instant passa, mais Quatre ne retira pas sa main.
« Je me rends compte que j'en sais très peu sur toi...as tu encore de la famille? Des gens que tu connaissais, avant...tu sais... »



Il regarda la main, surpris mais ne fit aucun geste pour la retirer.

« Plus vraiment. J'ai été recueilli par les infernaux suite au massacre de mes géniteurs. J'avais... quelques années, peut être 5 ? De toutes façon, si j'en avais, je les considèrerais mort à ce jour. Je préfèrerais qu'ils me pense égorgé que ... ça. »

Il prit un temps pour réfléchir. « Et toi, Quatre. Pourquoi tu n'as pas plus de personnes proches ? Tu as tout pour avoir des gens qui t'apprécie pourtant, non ? »


Quatre sourit de nouveau, mais cette fois, le sourire était amer. Douloureux.
« Ca nous fait ça en commun. J'avais 12 frères et soeurs. Un, Deux, Trois, Cinq, et ainsi de suite...et ma mère. Et leurs mères aussi. Père les a tous dévorés. Enfin, ceux qui ne se sont pas entretués ou suicidés avant. J'ai eu de la chance d'être encore en vie quand les paladins d'Iomedae ont investi les cavernes où notre culte se cachait. Je ne devais pas être beaucoup plus agée que toi quand j'ai rejoins un de leurs orphelinats.

J'ai vite été confrontée au fait que sous leur vernie de lumière et de justice, ils n'étaient qu'une bande d'hypocrites en robes blanches de plus. Mais au moins, j'y ai appris à me servir de ça... »

Elle tapota la crosse de son arquebus.
« Tu vois ce que je voulais dire, en disant que je me sentais plus à l'aise avec toi...? Je sais qu'au moins tu ne veux pas ma peau. Et que je peux compter sur ton aide. Je ne crois pas pouvoir dire ça de qui que ce soit d'autre. »

9 Desnus 4716 - dans la matinée, campagne autour de Longacre
Longacre



Les traqueurs rassemblés par Ozran et Quatre se joignirent à eux, et ensembles, sabot grondants sur le flanc des collines, ils chevauchèrent jusqu'à Fort Estazano, d'où ils pourraient disposer d'un point de vue sur la région alentours. Il ne leur fallu pas plus d'une bonne heure pour y être, et de là, ils dominaient les collines alentours, jusqu'à l'orée des bois au Nord et à l'Ouest, et les fermes alentours qui parsemaient la campagne jusqu'à l'horizon, et la rivière Iseld au Sud Ouest.

Quatre scruta l'horizon.
« Je vois une dizaine de fermes...pour la plus part à l'Est de Longacre. Ca devrait nous faire pas mal de terrain à couvrir. Ozran, tu voudras mener l'approche quand nous y serons? »

Je veux bien des jets de diplomatie et/ou intimidation. Perception et/ou Survie aussi. Quatre fera de son mieux elle aussi.

Longacre



Tandis qu'Ozran et Symphonie abordaient les occupants de la ferme, Quatre et quelques autres des traqueurs s'étaient glissées autour de la maison, faisant le tour du corps de ferme, ou inspectant les granges et les champs alentours, prenant garde de ne pas causer de dégâts, comme Ozran l'avait demandé.


Lorsqu'Ozran frappa, celui qui vint leur ouvrir était un jeune homme souriant, qui perdit un peu de son entrain en découvrant ses visiteurs. Apparemment, le nom de l'Inquisition était synonyme de mauvaise nouvelle pour l'homme du peuple Chélaxien.
« Ah...bonjour ser Chevalier. Bien sûr, je vous en prie! J'allais partir poursuivre les semailles, mais faites comme chez vous! Comme vous le dites: nous autres honnêtes citoyens n'avons rien à cacher. »

Il poursuivit, en s'efforçant de ne pas dévisager Symphonie dans sa tenue de médecin.
« Quelque chose d'inhabituel...? Et bien...une ou deux de mes vaches ont disparu ces derniers jours, mais on a trouvé du sang...probablement une bête sauvage. C'est inquiétant qu'elle soit venue aussi loin du Bois des Murmures. Soyez prudents si vous poursuivez vos recherches après le coucher du soleil. »

Modifié par un utilisateur mercredi 6 janvier 2021 14:53:44(UTC)  | Raison: Non indiquée