Couchée sous un arbuste j'essaie de reconnaitre les deux groupes qui s'affrontent
Ce pourrait-il que le groupe de femmes soit celui que nous recherchons ?

Pour l'instant le danger est trop grand pour s'approcher plus. malgré mon envie de récupérer plus d'information, j'hésite un instant et préfère retourner voir mes amis pour les informer.

je rampe en arrière et repart au campement en courant

« Pff Pff, ce sont des calastiens avec quelques halfelins et un jeteur de sort qui attaquent un groupe de femmes étrangères. je n'ai pu identifier leur langage »

Pff Pff. les mains sur mes cuisses, le buste en avant j'essaie de reprendre mon souffle

« Ils doivent être une quinzaine à se combattre »

« Je pense qu'avec leur supériorité numérique, le premier groupe devrait terminer le combat dans peu de temps »

Je regarde en particulier au paladin
« JOn fait quoi ? peut être que le groupe que nous poursuivons est composé de naines »

Modifié par un utilisateur mercredi 16 septembre 2020 12:25:55(UTC)  | Raison: Non indiquée

La prise sur mon épaule me surprend... et m'arrête dans mon élan. Ployant sous la pression, je m'en échappe aussitôt, par une esquive instinctive qui me fait lancer un regard noir vers le jeune justicar...
Hey...
Heureusement, Rosaline surgit alors... avec ses infos inattendues :
« Une quinzaine ?!? Des calastiens et des halfelins ? T'as pas vu les cinq nains ?? »

Moment de surprise passé, j'approuve Traïan :
« Ouais... allons-y ! »
Et file au devant, arc en main.

Modifié par un utilisateur mercredi 16 septembre 2020 18:17:54(UTC)  | Raison: Non indiquée

Je prends une seconde pour déterminer si la flèche nous visait. Mais il s’agit clairement d’un tir perdu, destiné aux archers devant nous. Rassuré, j’essaye de mieux juger la situation.

« Hedrada » murmurais-je en saisissant mon médaillon. « Guide-moi, je désire agir pour ce qui est juste. »
Je ferme les yeux pendant une seconde, puis les réouvre, une sensation de malaise au visage. Je reste silencieux une seconde, contemplant les soldats calastiens. Est-ce de la haine dans mes yeux ? En tout, me voici redevenu concentré.

- Je propose de les laisser finir leur affaire sans intervenir. A mon avis, aucun de vous n’a ni désir d’aider ou de combattre une unité de l’armée calastienne.

Une fois à l'arrêt, la situation, les cris et les bruits de combat deviennent plus clairs et me mettent très mal à l'aise.
Je m’accroupis et pose ma main sur le dos de Mâchetout pour la calmer.
Il m'est difficile d'accepter que ce combat se poursuit alors qu'il semble joué d'avance.
Des vies pourraient certainement être épargnées.

On va vraiment rester là à attendre?
Lorsque j'entends le cri qui évoque une percée, je me redresse et me cache contre un arbre.
Je serre mon bâton et me tiens prêt à réagir.

La voix qui donne les ordres sur la droite crie en réponse : « A TERRE ! VOLLÉE ! »

Immédiatement après, les archers font silence et vous n'entendez de leur part que des grincements de cordes d'arcs que l'on tend. Ce silence relatif dure une poignée d'interminables secondes, pendant lesquelles vous percevez distinctement, loin devant vous, des échanges d'armes de mêlée et des cris de douleur et d'agonie.

Puis un sifflement qui se rapproche à grande vitesse. Au dernier moment, vous distinguez entre les arbres une petite boule rougeoyante qui file sur les archers devant vous. Une des silhouettes tente de l'éviter mais hurle à l'impact et s'effondre. Les deux autres archers à ses côtés prennent feu presque immédiatement. Leurs cris de douleurs sont difficiles à supporter : les flammes ont pris sur le torse mais aussi sur les cheveux. Avant qu'elles ne se roulent au sol pour tenter d'éteindre les flammes, vous notez qu'elles sont toutes les deux de taille humaine. Les cris sont ceux de femmes.

La lumière est suffisamment vive pour que vous soyez en partie éblouis, même si une fois les victimes au sol elle décroît très vite.

Quasiment au même moment, vous entendez les flèches filer devant vous, de plusieurs directions sur la gauche et la droite. Les bruits d'impact indiquent que plusieurs ont touché leurs cibles.

Dès que les flèches filent, vous entendez en avant sur votre gauche une voix de halfelin, un homme : « CONTACT HOSTILE DERRIÈRE BÉRANGÈRE ! SUD-EST ! »



Profession (soldat ou quelque chose de similaire) DD 5, ou psychologie DD 10 :

Profession (soldat ou quelque chose de similaire) DD 10, ou folklore local DD 20, ou histoire DD 15 :

Profession (soldat ou quelque chose de similaire) DD 15, ou folklore local DD 25, ou histoire DD 20 :


Vous ne lisez les spoilers que si vous battez le DD et que vous avez accès à celui du dessus. Le 2e spoiler est cadeau pour Rosaline si elle peut lire le premier. Le 3e est cadeau pour Traian s'il arrive à lire le second. Ne faites qu'un seul jet par compétence utilisée pour l'ensemble, ça évite les incohérences et c'est plus simple.

Modifié par un utilisateur dimanche 20 septembre 2020 11:55:22(UTC)  | Raison: Non indiquée

« Une présence hostile ? Mais c'est de nous qu'ils parlent ? »

Ma tête est empli de réactions contradictoires. Nous étions parti enquêter sur un simple vol, avec assassinat tout de même, et nous voila impliqués dans une action des forces spéciales calastiennes, et d'après notre paladin, ça ne sentait pas bon.

Ma première réaction fut de fuir au loin et de me cacher. J'en avais certainement les capacités, mais je ne connaissais pas les leurs.
je je m'en échappe, il faudrait retrouver le chemin. Revenir seule au village pourrait me prendre plusieurs jours.

En plus si je reviens seule, que diront les villageois, et pire, si les calastiens trouvent mes traces ... ils pourraient s'en prendre à ma communauté pour me punir

Malgré moi, je pensais que la seule solution de m'en sortir, ou au moins de protéger ma famille, était d'aider ce fou de Traian. même si il aurait pu réfléchir avant, en connaissant une partie de la situation.

J'essaie de prendre une attitude assurée. je sens malgré tout mes jambes flageoler.
« Je vais avec vous. Que Dendradi me dissimule à mes ennemis »

J'essaie d'avancer en utilisant la végétation pour me dissimuler... et apporter un soutien à Traian dans ses combats

Voyant mes compagnons se mettre en mouvement un à un en direction du combat, je grimace quelque chose qui ressemble à un sourire forcé.
Bon d'accord.
Mâchetout cache-toi!
J'avance également le plus discrètement possible (en utilisant la végétation comme écran) en direction du crieur.
Étant donné la périlleuse situation, je me prépare à utiliser les pouvoirs que je cache habituellement.

Avançant derrière le justicar qui prend de la distance, je me demande comment augmenter nos chances de les vaincre. Leur faire croire que l'on est plus nombreux pourrait être une option.

Tant pis pour la discrétion

J'essaie de prendre les intonations sèches qu'ils prennent habituellement et hurle
« Contact hostile à droite de Zak, Sud ouest. Des archers.  »

Révérée Mère Nature c'est peut-être ma dernière prière, alors, merci de l'écouter : donne-moi l'occasion de faire taire ce petit despote, demi-homme, aux ordres du parricide Virdouk...
Comme le reste, ce tir sera difficile... et me remémore les conseils de mon maître. Ne cherche pas que la cible, cherche l'instant où tu l'atteindras...
Ensuite je lance, main orientée devant ma bouche pour lancer le son vers ma droite :
« À cœurs vaillants, rien d'impossible !!!
Et à l'OUEST, y'a du nouveau : Foncez !!!" »
... et je poursuis mouvement en diagonale vers la gauche...
Par ses mamelles pleines... qu'est-ce qu'on voit dans tout ce souk ?

Modifié par un utilisateur jeudi 24 septembre 2020 12:09:19(UTC)  | Raison: Non indiquée

Devant Blanche, qui les contourne sans aucune sensation de pitié, les deux silhouettes continuent de bruler. L'une a cessé de s'agiter. L'autre hurle toujours de douleur. Elle reste attentive à ce qui pourrait se trouver face à elle, mais ne distingue rien. En revanche, elle a été repérée. Deux flèches la rasent, et elle entend des mouvements qui semblent s'éloigner.

Traian aussi est pris pour cible par des adversaires qu'il ne voit pas. Et lui aussi croit comprendre que ses agresseurs ou agresseuses battent en retraite.

Theomark, de là d'où il est, ne voit ou n'entend rien qui puisse l'aider. Et sa trajectoire plus large, à pieds, le laisse à la traine.

Au loin, les bruits de combat ont cessé pour le moment. En fait, les cris d'une brulée, les sifflements des projectiles et les bruits de branches craquées sont tout ce qu'on entend désormais. Ce qui n'est franchement pas rassurant vue la situation.