Cours... cours !... enf#!¤@!'#!! de Virdouk... apprends ce que c'est qu'être aux abois !! Et la prochaine fois, réfléchis à deux fois au lieu d'obéir aveuglément à des halfelins-chardounis... rhmmm !
J'avance pour imposer de même à mes torches illuminantes et mieux voir le blessé pressé ainsi que la direction de sa fuite, n'hésitant pas à lui renvoyer ce qu'il m'avait destiné à deux reprises sans se préoccuper de qui il ciblait c't'enf#!¤@!'#!!...
« Ton pt'it chef voulait de l'hostile où y'en avait pas ? Ressers-toi !!! Cœurs vaillants ! Laissez-lui un autre souvenir... »

hrp

Modifié par un utilisateur samedi 10 octobre 2020 21:06:59(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ma cible disparaissant dans la nuit (et vers le nord ?), je me contente de grommeler légèrement avec néanmoins un petit froncement de narines satisfait, tandis que je m'accroupis et ramène mes lueurs dansantes sur mon ancienne gauche. N'ayant pas encore conscience que le combat est terrminé, j'emplis cette zone du son illusoire de quelques alliés... au moins trois « "Cœurs vaillants !" » qui semblent se répondre à dix mètres sur ma droite, maintenant que je rebrousse chemin ("avec eux") vers l'endroit où j'ai quitté les deux protagonistes. Il y a seulement quelques secondes !
Me reconcentrant sur le reste de... l'affrontement, et recherchant moindre manifestation de mes compagnons (réels) en maintenant les injonctions "inspirantes" de mes sons illusoires, décalés à une dizaine de mètres de moi et qui seront bientôt rejoints par mes torches fictives...

Modifié par un utilisateur lundi 12 octobre 2020 19:04:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

- Ah Rosaline, dis-je en voyant la halfeline. Contente de vous voir indemne. Je vais tenter d’intercepter le fuyard de Blanche. Retrouvez moi auprès d’elle.

Je poursuis avec la pleine vitesse d’Ilie mais lorsque j’arrive, il n’y a plus de trace de calastien. Les illusions et lumière me font en revanche lever un sourcil appréciateur.

- Je vois que votre maître vous a appris plus que le pistage et les chants, dis-je à la barde.

Rosaline arrive peu après moi et Théomark nous rejoint ensuite. Les voir tous indemne me fait pousser un petit soupir de soulagement.

- Il est heureux que vous soyez tous en vie et indemne, leur dis-je. Surement, Tanil nous a accordé bonne fortune en son domaine. Nous allons en avoir besoin.
Vous avez entendu tout autant que moi. Les calastiens nous ont identifiés.
Leur retraite nous donne un bref répit, mais bref est le mot clés ici. Ils ne tarderont pas à se regrouper, lécher leurs plaies, peut être appeler des renforts, puis reprendre leurs traques. En ayant au préalable lâcher d’autres chiens sur nous.
Vous avez peut-être une chance de rejoindre ceux qui vous sont cher, de les prévenir et de fuir avec eux. Peut-être. Mais un tel acte mettrait en danger vos proches. Alors que dans l’inverse, il est fort probable qu’ils restent en sécurité. Les calastiens sont pragmatique et évitent généralement de punir sans raison. Pas toujours cependant.
Je vous déconseillerai donc de faire cela mais ce choix est votre et je ne peux vous l’interdire.
Personnellement, j’ai le sentiment de devoir toujours poursuivre ce mystérieux groupe de naines et de tirer ce meurtre au clair. Car si l’intérêt de ces naines va à l’encontre des calastiens, cela ne veut pas dire qu’il est forcément bon pour la région. Inversement, si leur cause est juste, j’aimerais voir si je pourrai les assister.
Mais j’ai aussi un devoir envers vous, pour vous avoir mis dans cette situation dangereuse. Si vous préférez faire le choix le plus sur et tenter quitter l’Hégémonie dès maintenant alors je vous assisterai du mieux possible. J’ai longtemps réfléchi à cette éventualité et aux divers options possibles.

C’est avec assurance, presque une pointe d’excitation, que je finis mon discours. Je semble persuadé, peut être avec arrogance, que mon aide pourra faire toute la différence dans la survie de mes trois compagnons. Quant à l’idée de quitter l’Ankilie et de voyager, elle semble m’enthousiasmer, bien que je ne le manifeste pas trop ouvertement.

Je continue de faire avancer mes lumières dansantes, les plaçant devant moi en rebroussant chemin quand je vois Traïan à cru, sans que cela n'entame sa vaillance. Je lui renvoie un clin d'œil en retour à son compliment, mais n'interromps pas ma progression. Même s'il commence un discours qui me perd dès la première phrase, tandis que nous retrouvons Rosaline et ensuite Théomark dont je m'approche pour secouer leur épaule, me rassurant qu'ils n'aient pas été blessés.
«  Bah ouais... c'est pas fini parce que ces commandos-couards... ces "co-cos de Virdouk" se sont enfuis la queue basse. Allons chercher les survivants... naines ? Qui les a vu(e)s ? Moi j'en ai vu un/e bien vivant/e juste ici qui tenait en respect un satané halfelin... euh -sauf ton respect Rosaline- ! Un satané co-co, hein !
Du coup, vaudrait peut être mieux montrer patte blanche et commencer des pourparlers. Même s'ils ont déchargé leur boule de feu : je vois ça comme une "forte incitation" à la concertation.
Je fais avancer mes lumières là où je les ai vus. Faut rengainer nos armes : j'aimerai autant éviter la grillade...
D'ailleurs, tu sais tirer à l'arc, toi ?" » conclus-je vers Théomark tandis que je range le mien dans mon dos.
Je n'hésite pas à me mettre en première ligne (à moins d'en être empêchée), précédée de mes lumières à quinze mètres, en écartant mes deux mains paumes vers l'avant pour bien montrer que je suis désarmée.
« Cœurs vaillants ! On vient pour-parler... hmm, si vous voulez bien ? »

Modifié par un utilisateur dimanche 11 octobre 2020 21:00:04(UTC)  | Raison: Non indiquée

- J’ai eu une chute relativement sévère, dis-je à Théomark lorsqu’il pose sa question, plus par réflexe. Rien de pressant à examiner.

La remarque de Rosaline me fait reprendre mon air grave.

- Ils ont dit « les bouseux de Hautevue ». « Les », pas « des ». Ils doivent savoir que nous sommes le groupe partie enquêter sur la mort de Polan. Et même s’ils ne vous ont pas vu, et n’ont probablement pas votre description exacte, ils devraient pouvoir l’obtenir auprès de l’officier calastien. Celui qui nous avait pris à partie sur la grande place.
Ceci dit, je suis d’accord avec vous, repris-je, plus normalement. Fouillez cette zone est la première chose à faire. Cela nous arrangerais beaucoup de retrouver ce coffre mais je crains que ce ne soit trop beau.

Lorsque Blanche se met de nouveau à avancer à crier, j’hausse un sourcil de surprise.

- Je…pense qu’elles sont parties, lui dis-je, moitié hésitant, moitié gentiment. Les calastiens ont criées qu’elles faisaient une percée, percée sans doute réussi vu la retraite des soldats ennemis. Ensuite, ces naines n’avaient plus aucune raison de rester.

J’attend tout de même deux ou trois minutes, voir si quelqu’un répond à Blanche. Si, comme je le suppose, ce n’est pas le cas, alors je rejoindrais Rosaline et Théomark dans leur fouille, prenant le risque d’allumer une torche pour m’aider. J’essaye notamment de retrouver le chardouni que j’ai décapité. Sa tête sera sans doute très utile pour « montrer patte blanche ».

- Récupérez bien tous objets avec un peu de valeur et pouvant être transporté, dis-je aux autres. Nous aurons certainement besoin d’argent pour quitter l’Hégémonie.

Mon corps se fige en entendant la voix et je me mords légèrement les lèvres. « Je pense qu’elles sont parties ». Mais quel idiot !
D’abord arranger la situation. Ensuite il sera temps de me faire des reproches.

Lentement, sans geste brusque, je fais se diriger Ilie vers la source de la voix, gardant mon épée pointée vers le bas, loin de sa posture de frappe.

- Je ne comprend pas votre langue, répondis-je dans mon plus impeccable lédéen. Comprenez-vous celle-ci ?

J’essaye de garder une voix calme et relativement amicale. Mais fatigue, inquiétude et agacement contre mon erreur s’y font, bien malgré moi, sentir aussi.

je mène le groupe vers les deux cadavres afin de récupérer ce qui peut l'être puis susi Blanche et ses lumières.

Lorsque les naines se dévoilent, j'ai tendance à me placer juste derrière le paladin. me sentant un peu plus en sécurité, je lance en commun. A quoi servirait le commun si personne ne le parlait.

« Hé ! On est des amis. du moins on est pas des ennemis. pas vraiment.

On a fait fuir vos agresseurs quand même »

Modifié par un utilisateur lundi 12 octobre 2020 18:51:05(UTC)  | Raison: Non indiquée

Les lumières stressent beaucoup les deux naines. Celle qui était en retrait apparaît blessée, la lumière vive la fait reculer d'un pas boiteux. Elle a une flèche dans l'épaule. Elle tire immédiatement dans l'un des globes lumineux, la tirade énervée qui s'en suit est sans équivoque, et en stéréo. Theomark n'apprécie pas beaucoup l'agitation de sa preneuse d'otage, et encore moins les tremblements de sa main droite. Elles échangent brièvement, comme pour s'accorder sur un détail.

Le reste de l'échange est pénible. Les naines comprennent que vous ne les comprenez pas, aucun doute là-dessus. De leur point de vue, le problème n'est pas que vous ne vous compreniez pas, c'est que vous ne les compreniez pas. Vos tentatives de communication se heurtent à des regards méprisants, des soupirs condescendants et des haussements d'épaule entendus.

Celle qui enserre Theomark continue de parler pendant qu'elle pointe les trois autres de sa main libre, puis la direction du coffre et des trois cadavres. Elle agite ensuite les bras de Theomark à l'horizontale tout en le forçant à se fléchir. Enfin elle le relève, le fait avancer d'un pas et conclut d'un mot sec, dans un lédéen cabossé : « VITE ! »

Clairement, elles veulent que vous fassiez quelque chose pour elles. Et elles n'ont pas l'air versé dans la politesse.

Psychologie DD 10

Modifié par un utilisateur jeudi 15 octobre 2020 18:26:12(UTC)  | Raison: Non indiquée

Certaines personnes plaisantent en disant que les hedradiens n’ont pas d’émotions. Ou que nous nous entrainons à faire comme si.
Le fait est que ce n’est pas une plaisanterie. Nous nous entrainons réellement à afficher des visages inexpressifs. Il n’y a pas de cours dédié bien sûr. Nos tuteurs nous encouragent juste à adopter cette attitude le plus possible.
Ceci dit, c’est une chose que de rester calme en entrainement ou en classe, une autre que de le faire en situation réel, lorsque la rage et la frustration vous enserrent le cœur. Je n’ai pas pu refréner un froncement de sourcil devant le comportement des naines et, même si j’essaye maintenant de prendre un air inexpressif, je ne peux garantir de l’être entièrement.

- Pointez vos lumières vers celle tenant Théomark, dis-je à Blanche en calastien. Théomark, essayez de vous dégager à ce moment. Je foncerai pour aider.

Les couleurs dansantes viennent éclairer de vive lumière la scène invraisemblable, tandis que je remonte vers la preneuse d'otage, mettant mes mains en avant et en mouvement pour accompagner mes invectives avec une nouvelle colère si intense qu'elle doit être assez universellement "palpable" :
« NAAAN !!! Pas question ! On va pas trimballer votre putain de coffre à la place de vos trois cadavres bah ouais je dis ça parce qu'elles ne sont plus que deux ! @!#!!!(insultes censurées, en nain, je dois bien en connaître)!%"#!!... Théomark j'essaierai de couvrir sa dague de graisse si elle ne la retire pas... Lâchez-le ! (en reprenant l'exact phrasé qu'elles ont utilisé : ) VITE !! »
Avec un ton autoritaire, je désigne de l'index l'agresseur, comme si je le visais, lui, puis sa lame, et lui demande de l'écarter d'un geste impératif, continuant à me rapprocher et prête à lancer un incantation dans la foulée si elle n'obtempère pas.

Modifié par un utilisateur samedi 17 octobre 2020 00:48:52(UTC)  | Raison: Non indiquée