Le roncier paraît vraiment très repoussant et je suis pris d'un début de nausée.
Je suis pris de tremblement et commence à vomir. Mais après avoir réussi à prendre sur moi, je reprends le dessus.



perte de 1 PV

Modifié par un utilisateur dimanche 15 novembre 2020 10:55:46(UTC)  | Raison: Non indiquée

Karl perd un 1 pv


Karl après avoir vomi son repas s'exclama:
« Croa ! Croa ! A moi ! Je me meurs ! Croa ! »

Sa force de caractère permit à Egfrid de contenir son haut-le-cœur. Egfrid ajouta à l'intention de ses compagnons d'infortune:
« Je suis incapable d'évoquer une quelconque lumière! Je possède bien des bâtons éclairants qui risquent de ne pas être utile d'après les dires de Rebecca la sorcière. »
Egfrid avait bien noté la remarque du chevalier concernant les sortilèges de longue durée. Il attendait maintenant d'autres réponses et la certitude que le groupe allait continuer avant de se décider à incanter.

Modifié par un utilisateur mardi 17 novembre 2020 08:48:30(UTC)  | Raison: Non indiquée

J'incante un sort de lumière, c'est pas si courant... et je touche le paladin qui se met à luire d'une douce lumière lunaire mais éclairant aussi bien qu'une torche:
« Voilà, un peu moins d'une heure avant de devoir la renouveler. »

Alors que l'homme rat s'enfonce dans les ténèbres et ne détecte manifestement aucune présence physique, les héros tentent de raisonner Clovik. Il fait un pas en avant et semble une nouvelle fois pris de vomissement. La douleur se lit dans ses yeux alors que seule de la bile sort désormais. Il recule à nouveau, blafard.


« Je ne peux pas. Quelque chose, au fond de mes tripes m'empêche d'avancer.
Aller sans moi.
Peut être est-ce pour cela que des étrangers à ce monde ont été invoqués »

Modifié par un utilisateur dimanche 22 novembre 2020 09:53:27(UTC)  | Raison: Non indiquée

Malgré l'angoisse qui leur noue le ventre, les aventuriers entrent un par un dans les ténèbres naissantes, abandonnant Clovik au destin qu'il s'était choisi. Le ciel disparait rapidement. Se retournant, il peuvent voir la trouée de lumière se rétrécir comme une peau de chagrin. Les lueurs magiques dont les aventuriers s'entourent semblent lutter contre la noirceur du bois et s’effiloche à chaque pas.
Le sol est solide et la progression assez rapide. Même les branches et les ronces, occupées à se diriger vers le ciel pour l'annihiler, se regroupent autour des troncs et laissent place au passage des intrus.

Sont-ce les lumières magiques, pourtant encore actives, qui, après un vain combat, finalement meurent ? Est-ce la facilité de la marche, qui mettent les sens en alerte ? Ou bien tout simplement les sons d'une vie forestière inexistante ? La malepeur cerne les aventuriers. Till redonne un temps l'espoir en débouchant la fiole de lumière fournie par la shamane. Des cristaux de lumière intense s'échappe de la fiole lentement et éclatent comme autant de soleil, chassant les ténèbres de bois maudit sur une vingtaine de pas. Les héros ont à peine le temps d'apercevoir quelques créatures blanchâtres fuyant dans le noir. Des humanoïdes certes, mais difformes, efflanqués, rapides et silencieuses, tels des ectoplasmes. Les aventuriers ont la douloureuse impression que les créatures restent désormais à proximité, errant autour d'eux. Attendant que la lumière faiblisse. Attendant que l'heure vienne où enfin elles pourront les dévorer.
Hélas, au bout de 3 minutes seulement, la fiole à moitié vidée, les cristaux semblent moins performant et n'éclairent déjà plus que sur une dizaine de pas. Par précaution Till, se souvenant que la shamane avait demandé de l'utiliser avec parcimonie, le cœur en peine, il rebouche la fiole.

Dans les ténèbres, désormais, seule maîtresse des lieus, la progression, aisée au départ se complexifie. Marcher ainsi, c'est comme se déplacer en haut d'une falaise sans vraiment savoir de quel coté le prochain pas les entrainera. la volonté des héros est mise, mille fois à l'épreuve. La présence du paladin rassure, heureusement, sans elle, la plupart d'entre eux aurait déjà fait demi-tour. D’interminables aiguilles percent leurs entrailles. Un étau à bois compresse leurs têtes.
Les mains cherchent le chemin. Parfois elles rencontrent des branches qui cassent comme du verre avec un claquement sec qui inonde le silence, parfois elles s'enfoncent légèrement dans un arbre à l'écorce pourris, Parfois elles s'accrochent aux épines de ronces suintantes, mais souvent elles errent, désespérément dans le vide, avec lenteur.
Tout est silence. Seules les respirations haletantes et le martèlement léger de chaque pas se font entendre. mais par moment, des frottements sinistres, à une distance raisonnable, persuadent les héros qu'ils ne sont pas seuls.
L'odeur de musc, de la tourbe et de décomposition heurtent les narines. Alors qu'elles pensaient ne pouvoir en supporter plus, parfois, comme si c'était possible, une odeur encore plus pestilentielle leur parvient, accentuant d'avantage leur malaise.

Sans repère, ils avançaient. Se dirigeant, par instinct dans la direction où la crainte s'intensifiait. La source du mal qui pervertissait les lieus.

Combien de temps, marchaient-il ainsi ? Il ne savaient plus. Le temps n'avaient pas vraiment sa place ici. Habitués à l'effort pourtant, il était temps de s'arrêter pour dormir, s'il le pouvaient...

Vous pensez avoir passer une journée à marcher. Afin de simuler l'angoisse qui monte crescendo, vous devez faire votre jet de VOL DD17 (perte d'un pv pour le relancer jusqu'à réussite). vous avez le bonus de +4 donné par la présence du paladin (qui lui est immunisé)

Modifié par un utilisateur jeudi 10 décembre 2020 06:42:16(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le jeune homme tenta de convaincre le mage des les suivre une dernière fois. Ayant essuyé un refus une nouvelle fois, il s'engagea dans le couloir naturel en bougonnant visiblement agacé par le refus du mage qui les avaient foutu dans cette situation merdique. Il renouvela régulièrement les lumières magique et semblait surtout agacé d'avoir cette impression de sourde terreur sans menace apparente. Le tigre suivait lentement, coller au jambes de son maitre, les oreilles basses, scrutant parfois l'obscurité comme si elle n’existait pas, clairement anxieux lui aussi, mais d'une loyauté sans faille.

Modifié par un utilisateur mercredi 2 décembre 2020 10:21:36(UTC)  | Raison: Non indiquée

Avancer dans cet endroit est étrange, oppressant et c'est avec un mélange de soulagement et d'anxiété que je participe à la mise en place du camp.

Modifié par un modérateur vendredi 4 décembre 2020 16:28:48(UTC)  | Raison: Non indiquée

Mes réflexes prennent le dessus et je frappe en retour face à la créature qui m'attaque. Malgré l'obscurité, je parviens à la toucher du bout de ma lame.

Sir Labert, sans sourciller, pourfend d'une diagonale parfaite, le parasite. Sans un bruit, la créature s'affaisse. Rapide comme le vent d'est, le rat flibustier perfore la créature juste avant qu'elle ne tombe. Les blessures ouvertes exhalent une odeur nauséabonde.

Tous les sens aux aguets, excepté la vue, les aventuriers attendent une hypothétique riposte. En vain. Tout est redevenu silence.

donnez moi un ordre de marche, ou une formation de marche svp

Modifié par un utilisateur dimanche 6 décembre 2020 10:38:21(UTC)  | Raison: Non indiquée