« Je n'ai jamais visité de cité elfique et ai généralement peu côtoyer vos semblables, leur style de vie et de pensées étant rarement en adéquation avec ma philosophie. »

Chaque pas les approchant de leur destination était de plus en plus ardue, la foule se densifiant de plus en plus, néanmoins leur duo calmait étrangement chaque badaud qu'ils se devaient de bousculer pour se frayer un passage.
« Un partenariat? Hé bien hé bien oui il faut voir, trouver un centre d'intérêt commun c'est certain, mais avant toute chose il faut que je ressorte vivant de l'arène, d'après ce que j'ai compris plus d'un y ont laissé leur vie. »

Il arrivèrent enfin à la porte des participants, il détailla rapidement la liste et s'adressa à la personne chargé des entrées:

« Sir Hugo de Ouerk, et cet homme est mon entraineur, j'ai besoin qu'il m'accompagne pour m'aider à me préparer. » dit-il d'un ton autoritaire, bien loin de la douce voix qu'il eut employé jusqu'alors.

• jet de déguisement pour zszaufeiin : 1d20+3 donne [7] + 3 = 10
• jet de bluff : 1d20+6 donne [11] + 6 = 17

Modifié par un modérateur mardi 24 mai 2016 15:12:24(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le tiefflin avait étudié avec intéret le combat qui venait de se dérouler sous les yeux, il s'en était fallut de bien peu pour que le résultat soit différent,: cet étrange bonhomme avec son bruyant petit objet arrivait à mettre petit en petit en pièce la femme enragé tout en restant à distance. Un instant d’inattention ? La femme jouait au chat et à la sourie depuis le début ? Le fait est qu'un seul coup lui suffit pour la débarasser de son adversaire,la puissance du coup le faisant décoller du sol pour retomber en une masse sanglante pitoyable.

Hugo eu un frisson glaciale le long du dos.
« Quel coup terrifiant, de quoi abattre un chêne millénaire. »

La femme était blessé à de nombreux endroits mais paraissait encore apte à mener de nombreux combat, sa victoire retentissante avait dû lui monter à la tête car elle s'approcha de son adversaire pour lui murmurer quelques choses.

Un bon moyen de finir embroché si ton adversaire n'est pas inconscient.


Il essaya de lire sur les lèvres ce que la jeune femme pouvait bien vouloir lui dire dans un moment si critique, le vacarme autour de lui et les cries fusant de la foule n'aidant pas à sa concentration.

Perception : 1d20+6 donne [7] + 6 = 13

Modifié par un utilisateur vendredi 27 mai 2016 10:41:45(UTC)  | Raison: Non indiquée

Le combat entre la barbare et le pistoléro commence à une vitesse stupéfiante, Crysania semble bouillir intérieurement et se précipite immédiatement sur son adversaire. Rapide comme l’éclair, celui-ci pointe son arme à poudre et tire une cartouche alchimique d’enchevêtrement qui immobilise presque son adversaire. Profitant de son mouvement ralenti, il s’écarte et continue à tirer sur la guerrière qui semble ne pas arriver à suivre le rythme et accumule les blessures. Soudain Juan se rend compte qu’il est acculé, pendant tout ce temps crysania l’emmenait dans une position qui l’empêchait de fuir plus longtemps ! Enfin arrivée au corps à corps la barbare lance une énorme attaque de tranche verticale mais l’agile pistoléro esquive d’un bond avant de lui infliger une nouvelle blessure. Mais il n’a pas pris assez de distance et le prochain coup est le bon ! La lame s’enfonce profondément dans son épaule, le gong retentit quelques instants seulement après l’effusion de sang, signalant la fin du combat. Crysania éructe sous les ovations de la foule, elle s’approche de son adversaire – sans doute pour le féliciter de ce combat – Mais celui-ci, dans un ultime geste de défi, lève son arme pour tirer une dernière fois. Les réflexes de la guerrière prennent le dessus et elle sépare le corps de Juan de sa tête d’un geste aussi vif que précis.
La réaction du public se fait plus mitigée, on peut à la fois entendre des gens ravis du sang et du spectacle offert et d’autres lancer des grands « BOUUUUUH » devant cet affront aux règles les plus basiques de bienséance. Immédiatement une dizaine de gardes entrent dans l’arène, encerclant le serviteur qui avait conduit les deux combattants ici, les gardes ramassent les deux parties du vaincu et font signe à Crysania de les suivre. En partant elle peut entendre les juges annoncer :
«  Devant les irrégularités constatées à la fin de ce match, nous devons investiguer, les matchs se poursuivront pendant que l’un de nous rendra son jugement  »

Quelques minutes plus tard les deux combattants suivants arrivent dans l’arène sous les cris de la foule :
« KLEIN ! KLEIN ! KLEIN !  »
Le premier, le dénommé Vares est un géant chauve torse-nu avec une énorme hache à deux mains sur l’épaule, Il affiche un grand sourire et une confiance aveugle. Le second, Klein, est un homme qui semble normal en tous points. Il reste les bras croisés, l’épée au fourreau et ne semble pas plus dangereux que n’importe quel quidam. Ils saluent tous les deux le seigneur Tharn et Vares se rue sur son adversaire dans la seconde qui suit. Dans un geste trop rapide pour avoir été suivi par les béotiens Klein fait un pas de côté vers l’intérieur de son adversaire, pivote sur lui-même et plante une dague que personne n’a vu être dégainée dans la poitrine du géant. Celui-ci a un regard incrédule lorsqu’il s’écroule sur le sable déjà taché de sang de l’arène. Le gong retentit à nouveau et cette fois deux soldats viennent avec une civière pour transporter le malheureux adversaire de Klein. Celui-ci est annoncé vainqueur et le combat suivant se prépare.

Le même serviteur que précédemment vient ensuite chercher Hugo et son adversaire, un guerrier humain portant une côte de maille, une épée longue et un bouclier. Son visage est caché derrière un heaume intégral mais Hugo peut voir son appréhension transpirer dans son attitude. Le tieffelin et le dénommé Ed s’avance en même temps au centre de l’arène. Celui-ci lui glisse avant de se placer à son poste :
« Bonne chance, que le meilleur gagne ! »

Pendant ce temps, Juan et Crysania sont amenés dans l’une des salles sous les gradins. Le corps et la tête sont placés sur une espèce de lit en pierre et un serviteur les maintiens proches et l’un des gardes fait signe à Crysania de s’assoir sur une simple chaise en bois. Arrive ensuite un vieil homme en robe de prêtre simple. Il est grand et mince et ses longs cheveux blancs retombent paisiblement sur ses épaules. Sa voix est calme et apaisante lorsqu’il prend la parole :
« Et bien ! Mes services sont requis dès le premier match… Dire que l’on fait tout ce que l’on peut pour limiter notre rôle à des soins mineurs… Mais son corps ne va pas pourrir en 5 minutes, voyons ce que nous avons là… »
Il ajoute en se penchant sur Crysania :
« Essayez de rester tranquille, ça va piquer un peu »
Il pose ensuite ses mains sur sa tête et entonne une prière. Une aura bleue nimbe tout le corps de la guerrière qui ressent d’abord un léger picotement. Le picotement s’intensifie pour devenir une vive douleur mais ce n’est que le début du processus. Elle sent les chairs croitre, les os se ressouder et la peau se refermer éjectant ainsi les 3 projectiles métalliques ronds que Juan avait introduits de force dans son corps. Lors que c’est terminé, seuls une faim dévorante et un résidu de douleur assez intense subsistent. Le prêtre lui jette un regard compatissant et se tourne vers Juan. A nouveau il pose une main sur la tête de l’homme et une autre sur sa poitrine. La même aura bleue englobe les deux parties du pistoléro et à nouveau les chairs se referment dans un bruit de succion ignoble. Les poumons du pistoléro sont affamés d’air mais ne parviennent à en capter que quelques bribes, après avoir toussé et vomis tout ce qu’il pouvait, il se retrouve dans le même état que Crysania – En plus pâle et avec une douleur bien plus intense au niveau du cou. L’air satisfait le prêtre s’éloigne en disant :
«  Malheureusement pour vous, vos soucis ne sont pas terminés  »
Un membre du jury qui semblait attendre dehors entre dans la salle et annonce solennellement :
«  Vous avez enfreint les règles du tournoi en continuant à vous battre après la fin du round. Ne vous méprenez pas, ces accusations sont graves et vous faites faces à des charges de tentative de meurtre…  »
Il s’interrompt pour regarder leur réaction et poursuit
«  … Mais nous n’en sommes pas encore là, vous allez d’abord me raconter chacun votre tour votre version de l’histoire et je suis là pour juger si tricherie il y a eu et si l’un de vous doit être disqualifié… Ou les deux. Je ferais ensuite mon rapport et un tribunal civil se chargera éventuellement de la suite. Laissons le jeune homme récupérer son élocution d’abord  »
Il se tourne ensuite vers Crysania et attend qu’elle raconte sa version

Modifié par un modérateur vendredi 27 mai 2016 23:15:47(UTC)  | Raison: Non indiquée

Je suppose avoir été soignée full pdv
Mon corps me fait mal, mais j'ai gagné. Ma victoire n'a pas l'air de plaire à tout le monde, mais avais-je vraiment le choix ? Il était prêt à me tuer alors qu'il avait déjà perdu. Je suis emmené dans une salle sous l'arène, où je reçois les soins du prêtre. Je vois 3 petites boules en fer tomber de mes plaies.
Ce n'était donc pas de la magie ? Quelles étranges armes...
Une fois soignée, le prêtre s'occupe de mon défunt adversaire. Quel bruit horrible! Une fois mon adversaire soigné, un juge s'approche et me demande ma version des faits, m'accusant de tentative de meurtre...
Techniquement, c'est un meurtre, non ?
Je souris lorsqu'il dit ça, et ensuite, je m'exécute.
« C'est très simple : j'ai enfoncé mon épée dans son épaule. Le gong a retentit, me donnant vainqueur. J'ai voulu lui dire quelque chose, mais je l'ai vu préparer une attaque, comme lors de ses précédents assauts. J'ai donc agi pour éviter d'être tuée moi même. Je ne désirais pas le tuer, mais n'ai pas eu le choix. »
Je reste assise, et regarde Juan en attendant sa version.
Étrange, ne l'ont-ils pas vu m'attaquer alors qu'il avait perdu ?

J'avais failli étrangler Hugo lorsqu'il a attiré l'attention sur moi en me présentant comme son entraineur mais je suis désormais ravi! J'ai une vue imprenable sur les combats et quels combats! Je m'attendais presque a des combats avec des armes en bois...
C'est en fait aussi jouissif que les fosses de Ched Nassad.... Le risque de prendre une dague dans le dos en moins...
Cette barbare est redoutable! Quelle puissance! Je n'aimerais pas m'en faire une ennemie... Ce Klein est encore pire mais je suppose que c'était attendu, on ne gagne pas ce type de tournoi plusieurs années de suite sans raison. Il faudra que je les garde a l'oeil pendant mon ascension... Peut etre pourrais-je en faire des recrues utiles.
Mon nouvel ami, le seigneur d'ouerk entre a son tour dans l'arene, son adversaire ne semble pas deborder de confiance...
Un néophite? Voyons de que vaut ce Hugo

Ainsi la loge était en petit comité, dans le noyau de famille. Après l'attente, sa présentation eut lieu de manière plutôt conviviale que pleine de formalités infinnissables. Lord Danton Ekmar vint saluer son invité, un vieillard certes mais l'oeil vif et plein de noblesse. Timothee savait qu'il était un ami à Lord Célestin Aubépine, son père, même si deux décennies s'étaient passées depuis leur dernière rencontre.

Timothee sur ses gardes allait de surprises en surprises entre Dame Ekmar qui, en fine courtisane, sut lui glisser discrètement des mots destinés à ce que lui seul entende.

Des folies ?

Ethan était étrangement bien plus réservé, et cela contrastait grandement avec son attitude ultra avenante d'une heure auparavant. Quand à la description qualificative concernant sa soeur de "pauvre petite chose de 17 ans pas encore mariée", à quelque chose près, la vision de Tim sur la cadette Ekmar ne correspondait pas du tout : il avait au premier abord une belle jeune femme, tout à fait de son goût pour être franc, fardée et maquillée à la perfection lui octroyant plus d'années qu'elle n'y paraissait. Le regard complice qu'elle échangea avec sa mère n'échappa guère au druide.
Mère comme fille, surtout Elwen, rappelait quelque chose au druide. Des jolis visages comme les leurs ne s'oubliaient pas, mais foutreciel c'était pourtant vrai : impossible de se remettre quoi. Cette complicité et les regards associèrent l'image de louves.

Le sourire avenant qu'affichait Elwen lorsqu'elle prit la parole faisait penser à une chatonne se faisant les griffes. Une parfaite petite courtisanne en herbe ... Ainsi assis à côté d'Elwen, il était censé faire la conversation polie et courtoise.

Selon la loi, plus une coutume qu'autre chose, si le nombre d'héritier satisfaisait, le mariage du troisième et septième fils n'étaient pas imposés (très souvent destinés à la spiritualité). Tim n'avait donc jamais dû subir les "speed dating" organisé par les familles pour son frère Richard et était un peu nerveux avec cette situation qui n'était pas imposée, mais manipulée, faussée. Damned, il y avait toujours des complots fomenté lorsque deux familles se rencontraient, les auteures de celui ci était deux louves avec l'appui d'un loup, le Seigneur Ekmar, qui regardait en sa direction. L'expression du regard de Danton Ekmar laissa Tim pantoi : il était sincèrement compatissant. Ainsi c'était les louves et elles seules qui avaient acculé le jeune noble.

Se sentant en mauvaise posture et désirant prendre la situation en main, L'Univers vint à l'aide de Timothee Aubépine en envoyant un serviteur pour commander des rafraîchissements.

La même chose je vous prie, mais mettez moi la bouteille avec des glaçons à côté.

Ce courage liquide allait lui être précieux pour la suite, il le sentait.

Le second combat avait été soporifique, le vainqueur semblait être certain de sa supérioté et les deux coups portées était précis mais guère puissant. Snirff s'ennuyait à mourir, ce genre d'activité ne l'interessait absolument pas.
Enfin, tout cela serait plus intense lorsque le tournoi avancerait.

L'homme-rat regarda autour de lui, peut-être qu'il pourrait soulager la bourse d'un individu un peu trop riche.

Juan rongeait son frein, c'est le moins qu'on puisse dire. Les gardes lui avait gardaient ses armes et bon sang qu'il s'en inquiétait. Ce n'était pas des outils à mettre dans n'importe quels mains mais des objets fragiles auquel il tenait énormément. Durant ce temps où il s'inquiétait, il fut reconduit avec la guerrière à la salle d'échauffement où il put se désaltérer avidement et reprendre ses esprits. Il risquait d'être accusé de meurtre mais là n'était pas la question. Pourquoi avait il choisi de faire ce tournoi, déjà ? A oui, pour se détendre. Drôle de façon de se détendre mais bon. Il choisit de se vider l'esprit en regardant la suite du tounoi, ne sachant que faire avec cette femme dans son dos.

Modifié par un utilisateur lundi 6 juin 2016 14:04:23(UTC)  | Raison: Non indiquée

Timothee répond poliment au seigneur Ekmar :
«  Je n'ai jamais été habitué à ces - raclement poli de la gorge - arrangements maritaux familiaux qui sont usuellement le lot des autres héritiers. Vous faites l'éloge de mon intelligence, mais sans être un génie il suffit souvent d'être attentif pour comprendre, et sans entrer dans les grandes lignes votre proposition me semble très intéressante et honnête. Je pense, avec l'accord de mon père Lord Aubépine Célestin, que ce que j'ai à proposer également pourrait faire le bonheur de nos deux familles, car j'ai également des devoirs spirituels à rendre. Dans tous les cas votre proposition sera étudiée profondément, vous avez ma parole. Si tout concorde, nous aurons effectivement le plaisir de pouvoir partager d'autres moments pour les prochaines années !  »
Et reporte son attention sur le combat, non sans avoir jeté au préalable un regard complice à la cadette Ekmar.

Ed commence le combat sur la défensive, visiblement la confiance en soi n’est pas sa première qualité. Sa trop grande précaution empêche son attaque de connecter mais il persiste, infligeant cette fois une blessure légère au bras de son adversaire. Hugo ne se laisse pas perturber par ce revers et attaque sournoisement son adversaire aux jambes, l’entaillant gravement. Il pousse son avantage et, après avoir esquivé une ultime tentative du guerrier humain, conclut le combat d’un brillant estoc qui transperce l’estomac de celui-ci. A nouveau le gong retentit pour signaler la fin du combat et le tieffelin frappe son bouclier du plat de son épée pour célébrer sa victoire. Le geste est bien perçu par la foule qui s’acclame bruyamment :
«  Hugo ! Hugo ! Hugo !  »
A nouveau deux gardes et un serviteur entrent dans l’arène, les premiers pour ramassent le vaincu et le second les guide dans une salle de l’arène ou attend un prêtre. Comme lors du premier combat, celui-ci pose ses mains sur la tête des deux participants et un halo bleuté nimbe leur corps en entier. Les blessures n’étant pas aussi graves la douleur n’est pas aussi intense que pour Crysania ou Juan mais elle est tout de même bien présente. Une fois les soins prodigués les deux participants rejoignent la salle commune, les membres endoloris.
Ed s’approche ensuite de Hugo :
«  Ce fut un bon combat sieur d’Ouerk, je n’avais malheureusement pas le niveau mais vous vous êtes bien battu ! J’espère que vous irez au bout !  »
Sur ce, il part regarder la suite du tournoi avec les autres.

Snirff quant à lui ne goute pas autant à ce déferlement de violence, il se lasse rapidement des combats et cherche une bourse à détrousser. Il observe les environs mais il semble clair qu’aucun riche marchand n’est présent, ils sont sans doute tous au sein des gradins payants. Cependant, la foule est toute occupée à assouvir sa soif de sang et il remarque des dizaines de cibles faciles qui ne lui prêtent aucune attention.
Snirff peut tenter de détrousser autant de personne qu’il le souhaite, le DD n’augmente pas étant donné que personne ne fait attention. Le moindre échec aura les conséquences attendues par contre

Le reste des combats du premier tour n’est pas aussi impressionnant que les trois premiers les participants affichent un niveau et un style varié mais aucun ne semble aussi bon que Klein. Après environ une heure et demie de combats, le premier tour est terminé.

Le juge qui les avait briefés au début revient quelques minutes plus tard et annonce :
«  Messieurs, tous les participants ayant perdu peuvent rester dans cette salle jusqu’à la fin du tournoi. Le tournoi reprendra dans une dizaine de minutes. Comme vous l’avez remarqué, des prêtres soignent tous les participants entre chaque tour. Cela continuera jusqu’à la fin. Les règles ne changent pas. Le tirage au sort a déjà eu lieu, voici la liste des prochains combats  »
«  Klein contre Hugo  »
«  Edwin contre Vlad  »
«  Ridar contre Lagomir  »
«  Crysania contre Lars  »
«  Shalur contre Vabin  »
«  Beorsar contre Brerod  »
«  Vatis contre Vamien  »
«  Dovar contre Oril  »
Sur cette annonce les participants s’observent avec méfiance mais très vite l’ambiance se détend légèrement, les perdants des tours précédents venant discuter avec leurs connaissances pour leur donner conseils et observations. Klein garde son calme habituel et se désintéresse immédiatement de la situation, il s’échauffe quelques secondes et se place près de l’entrée de l’arène.
Le futur adversaire de Crysania est un humain au teint mat vêtu d’une armure de cuir et d’un pantalon large, il porte à sa ceinture deux cimeterres et la fixe en croisant les bras.

Un peu plus de neuf minutes plus tard, le serviteur désormais familier des combattants arrive dans la salle et indique à Hugo la direction de l’arène

Modifié par un utilisateur mardi 31 mai 2016 17:32:29(UTC)  | Raison: Non indiquée