A l'énoncé du nouvel objectif d'Alfred, l'impatience de Bouark s'évanouie.

Non de nom, il a raison, on allait partir sans bouffe potable et transportable !
Il a même pensé au tupperware en bois, waouuh

C'était surement la seule raison valable de reporter son impatience, ainsi, Bouark accompagne Alfred dans la bonne humeur au marché.

« Ah oui mon ami, c'est sûr qu'il va falloir passer chez le boucher, c'est bien d'avoir la salade, les carottes et les épinards pour les chevaux, mais il faudrait maintenant penser à acheter notre nourriture. »

Bouark fait comme Alfred et achète lui aussi sa portion de viande, notamment sa préférée, 5 lapins, 3 grenouilles et du maïs
Avant qu'Asteria ne le fasse, je m'auto-cochonise et cite mes sources

Il s'acquitte des 3 po demandés par le marchand et se retourne lui aussi tout sourire vers le reste de ses camarades.

Voila une partie importante de notre stratégie de groupe construite: Alfred fait la cuisine.

Modifié par un utilisateur dimanche 23 avril 2017 17:56:24(UTC)  | Raison: Non indiquée

Finalement, les courses au marché amusent Astéria. Elle achète même quelques fruits, les premiers de l'année en ce début de printemps, et un petit sac de noix.
L'équivalent de deux rations donc 1 po.

Quand les filles demandent à la cantonade qu'on leur porte leurs affaires, la jeune occultiste regarde Alfred en souriant. Astéria se doute bien qu'il ne manquera pas de secourir ces demoiselles en détresse. Le pauvre... Il est trop gentil !

Les achats de Bouark la dégoûte et l'amuse en même temps. Pendant que le groupe chemine vers portes de la ville, Astéria ne peut s'empêcher de bloquer sur les soubresauts grotesques du sac à dos du barbare : les grenouilles parviendront-elles à s'échapper ? Tout en croquant dans un fruit, elle mise intérieurement sur la grosse marron à pustules rouges, qui lui semble être la plus retorse du lot. À moins que l'une des petites vertes parvienne à se glisser sournoisement par l'ouverture qui se desserre peu à peu ?...




Une fois passé la porte de Fort Inévitable, devant la vaste plaine qui se profile devant eux, alors que Nonia leur explique les trajets possibles et leurs implications, Astéria s'en veut. Tant de temps perdu ce matin ! Elle s'en veut de s'être laissée entraînée... Mais elle chasse bien vite cette mauvaise pensée : après tout, ces courses ont fait du bien au moral du groupe. Et, croquant dans un fruit, philosophe, elle lance :
« Et bien... Quand le lait est tiré, il faut le boire, n'est-ce pas ? D'après Bouark, nous ferions bien de ne pas prendre les gobelins à la légère : il y a du danger. Aussi ne prenons pas le risque d'arriver fatigués. Et allons par la plaine pour profiter du beau soleil de cette journée... Bientôt, nous nous enfoncerons dans les ténèbres. Et qui sait pour combien de temps... »

Modifié par un utilisateur jeudi 20 avril 2017 22:45:02(UTC)  | Raison: Non indiquée

Ils n'ont pas de contretemps à déplorer durant la première moitié du trajet. Ils auraient pu craindre de tomber à ce moment-là sur des monstres errants, mais heureusement ce n'est pas encore le cas. Ce ne sont cependant pas les seules menaces potentielles. A un moment, ils arrivent sur un chemin étroit qu'ils ne peuvent pas contourner, et ce n'est pas le seul obstacle de ce type qu'ils ont rencontré. Nids-de-poule, trous dans la chaussée mal recouverts, pièges oubliés, ils ont à peu près véc toutes les situations, c'est une expérience qui va leur servir par la suite même si ce n'est qu'un début. Mais ils pourraient bientôt rencontrer leur première vraie difficulté.

Jet de perception

Finalement, ils étaient passés par les bois... Astéria n'avait pas compris ce choix mais avait suivi dans rien dire ; Aldreth l'avait habituée aux équipées forestières à la recherche de plantes médicinales, aussi y était-elle tout aussi à l'aise qu'en ville.
Mais les Bois de l'Écho ne lui plaisent pas : ils lui semblent particulièrement hostiles, plus hostiles que ceux dont elle avait l'habitude aux alentours de Daggermark. Ici, c'est plein de pièges et de buissons d'épineux. La végétation est particulièrement dense...

La robe d'Astéria s'est accrochée, une fois de plus, aux ronces qui foisonnent en ces lieux. Énervée, la jeune occultiste soupire, alors qu'elle doit, une fois de plus, tirer précautionneusement sur le tissu pour se dégager sans rien déchirer...

• Perception : 1d20+1 donne [17] + 1 = 18

Modifié par un utilisateur dimanche 23 avril 2017 18:38:49(UTC)  | Raison: Non indiquée

Cassiopée et Astéria aperçoivent rapidement le piège qui se pose sur leur route. Il n'était pas très bien caché, il s'agit d'un trou d'une profondeur suffisamment importante pour causer une grosse commotion, pas au point de tuer ceux qui tombent dedans, mais vu leur ancienneté, ils tomberaient inconscients même s'ils se stabiliseraient pas trop difficilement.

Il n'est pas impossible de sauter de l'autre côté du piège, il y a environ cinq mètres d'écart à traverser, ou alors ils peuvent décider de le désamorcer en enlevant ce qui fait tomber le tout, ou bien s'accrocher à des cordes et faire toute la longueur agrippée.

Jet de désamorçage, d'acrobatie ou d'escalade

De concert avec Astéria, l'oracle prévient les autres du danger potentiel et les fait reculer. Si un spécialiste du désamorçage se sent de bidouiller le piège, elle se met en retrait.
Auquel cas elle fera son possible pour aider le démineur avec main du mage.
Si personne ne se dévoue, elle se met à distance raisonnable (4 ou 5 m, ou plus), elle commence à débroussailler le piège avec télékinésie.
D'une façon ou d'une autre, une fois qu'on y voit plus clair, elle zyeutte prudemment au fond de la fosse.
A tout hasard, le "piège" a l'air de quelle origine ?
Gobelins ou autre chose ?

• Connaissance Nature : 1d20+6 donne [16] + 6 = 22
• Survie : 1d20+2 donne [18] + 2 = 20

Modifié par un utilisateur dimanche 23 avril 2017 21:22:19(UTC)  | Raison: Non indiquée