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Absalom, Cité du Milieu du Monde, Abadius 4715Vous avez été assignés à la Grande Loge, attendant patiemment de recevoir votre assignat pour une mission de la plus haute importance. Les choses ont finalement semblé bouger un peu lorsque le Capitaine-Aventurier Drandle Dreng a envoyé une convocation à destination d'agents disponibles. Spécialisé dans l'histoire d'Absalom, Dreng est célèbre pour sa tendance à assigner des menus travaux à des agents se reposant entre deux missions lorsqu'il les surprend en train de se prélasser à la Loge. Alors que vous parvenez à l'endroit convenu - un choix des plus étranges puisqu'il s'agit d'un coin de rue éloigné de la Grande Loge - un mendiant esseulé habillé de guenilles amples s'approche de vous, seule silhouette pouvant être aperçue dans la bruine constante qui afflige Absalom en ce matin d'hiver. Le mendiant étend sa main pour quémander quelque piécette. « Z'auriez pas une pièce ou deux, messeigneurs? La charité! » La question reste suspendue dans l'air pendant un bref instant seulement, avant que la silhouette rabatte sa capuche pour révéler le visage buriné du Capitaine-Aventurier Drandle Dreng. Il arbore un sourire amusé alors qu'il est trempé des pieds à la tête de son temps passé à l'extérieur, exposé aux intempéries. Ses vêtements sentent le chou. « Ha! Désolé. » fait-il avec un clin d’œil. « J'ai toujours aimé faire cette petite blague aux agents que je croise durant mes petites visites en ville. Eh bien, pourquoi diable vous ais-je convoqué ici? » Dreng secoue sa tête de gauche à droite comme s'il essayait de vider ses oreilles de toute l'eau qui y ruisselle, en dépit des précipitations constantes. « Ah oui, 'Le Follet Blessé'! Je suis sous couverture en ce moment et ne peux m'éloigner du site que je surveille, mais j'ai besoin que quelqu'un aille chercher un paquet pour moi dans ce bel établissement. C'est l'une des tavernes les plus renommées d'Absalom, vous voyez, et elle occupe une place toute privilégiée dans le passé de la Société puisque c'est là que notre organisation a commencé à exister. Mmmoui, je pourrais vous en parler pendant des heures, mais se tenir là dans la pluie ne fera du bien ni à vous, ni à moi. »Anticipant l'acceptation de votre mission, le Capitaine-Aventurier sort et exhibe un petit bout de papier plié de l'une de ses poches rapiécées. Dreng vous montre rapidement le contenu de la page: une carte détaillant la localisation du bar Le Follet Blessé. « Le tenancier est une femme du nom d'Heryn Gale, une belle femme qui est entrée en possession de cet établissement après la mort de son père qui... Oh bon, il fait vraiment trop froid ici pour une leçon d'histoire digne de ce nom! Si vous pouviez juste aller au 'Follet Blessé' et dire à Heryn que vous êtes là pour prendre mon paquet, cela serait des plus apprécié. Je serai par ici pour encore plusieurs heures. » conclut-il en soupirant. Vous pouvez décrire votre personnage, vous présenter et poser les questions qui vous semblent opportunes au Capitaine-Aventurier. Enfin, un jet de Connaissances (histoire) pourrait vous en apprendre plus sur cette taverne et l'histoire de la Société des Éclaireurs.Modifié par un utilisateur jeudi 16 novembre 2017 16:23:05(UTC)
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 Shaheer El-Khatib Loyal Neutre CA : 16 / 16 / 13 Coup étourdissant : 1/1 La bruime d'un matin d'hivers. Voilà quelque chose d'inédit pour Shaheer El-Khatib, originaire de la sèche et désertique Osirion. Il ne lui fallut d'ailleurs guère de temps pour découvrir qu'il n'appréciait pas cette nouveauté. Ses vêtements d'étoffes légères, au demeurant parfaitement adaptés au climat aride de sa lointaine contrée, se révélaient effroyablement inaptes à le protéger des intempéries d'Absalom. L'humidité transperçait la maigre protection sans peine et chaque parcelle de tissu fû rapidement imbibée d'eau. Ses gestes, d'ordinaire libres et fluides, s'en trouvèrent désagréablement alourdis. Quant à ses modestes sandales elles ne lui étaient d'aucun secours lorsque d'aventure il venait à poser le pied dans une flaque profonde. Autour de lui certains de ses compagnons, sinon tous, avaient mis leurs têtes au sec dans l'agréable abri conféré par une capuche. Shaheer en était dépourvu, de même qu'il ne possédait nulle épaisse chevelure pouvant faire office de barrage aux éléments. Son crâne nu ruisselait d'eau qui dégoulinait ensuite sur un visage sévère aux traits anguleux. Ses yeux d'un ton ambré très clair, rappelant la couleur des dunes de sable de son pays natal, contrastaient fortement avec sa peau mate, héritage ancestral d'un peuple vivant sous un soleil de plomb impitoyable. Là-bas le Soleil était craint et vénéré. Symbole de puissance mais également de mort pour ceux pris sous ses ardents rayons. Ici l'astre céleste n'était plus qu'une fantomatique tâche lumineuse dardant de timides traits de lumière à travers l'épaisse couche nuageuse qui envahissait les cieux. Sa chaleur, loin d'être mortelle, ne suffisait même plus à réchauffer le corps frissonnant du moine dans la fraîcheur hivernale. Il ne portait aucun arme. L'arme, c'était lui-même. Un corps et un esprit de fer taillés par une vie entière d'entrainement et de méditation. De taille moyenne pour son peuple, il dissimulait ses muscles saillants et noueux sous sa chemise et se mouvait avec la souplesse d'un chat. Ses maigres possessions quant à elles étaient réparties entre son sac à dos, solidement noué par des lanières passant sur son torse pour assurer un équilibre parfait, et une sacoche accroché fermement à sa ceinture. Il était difficile de deviner le contenu de l'un ou de l'autre, hormis la paillasse et la couverture, toutes deux roulées l'une sur l'autre, qui dépassaient de chaque côté de son sac à dos. Et accessoirement, trempées par la bruime. « Z'auriez pas une pièce ou deux, messeigneurs? La charité! » Shaheer porta la main à sa sacoche, prêt à débourser quelques pièces de cuivre pour le pauvre hère qui venait de quémander la pitié. Cette contrée humide n'était peut-être pas la terre chère à son coeur, il n'en restait pas moins déterminé à honorer les principes de fraternité et d'entraide. Son visage à l'aspect rude et fermé, ainsi que ses manières parfois brusques et son manque d'intérêt manifeste pour les discussions, avaient tendance à induire les gens en erreur quand à son caractère, les poussant à rester à distance de l'énigmatique moine. Ce qui convenait très bien à l'intéressé en question pour lequel les interactions sociales étaient majoritairement des pertes de temps sans intérêt. C'était d'ailleurs la raison pour laquelle il avait marché légèrement à l'écart du groupe depuis leur point de recrutement, afin d'éviter les questions personnelles que l'on aurait pas manqué de lui asséner. La rude éducation monastique qui avait été la sienne avait mis sous clé ses sentiments et parvenir à tisser des liens intimes avec Shaheer relevait d'un tour de force impressionnant. Sa main se figea toutefois en l'air lorsque le mendiant se révéla être le contact qu'ils recherchaient. D'un ton joyeux, auquel Shaheer demeura totalement imperméable, l'individu leur expliqua la mission qui leur avait été assignée. Une banale livraison de colis. Le moine resta parfaitement stoïque. Ni joie ni déception. Il avait une mission à accomplir, et il comptait bien y parvenir. Son manque de goût pour les jeux diplomatiques le disqualifiait de fait aux postes de leader, mais il se montrait terriblement efficace quand il s'agissait d'exécuter un ordre sans discuter. Sauf bien entendu pour éclaircir des points potentiellement cruciaux dans l'exécution de la mission. Et justement, c'était le cas aujourd'hui. « Shaheer El-Khatib. » Lâcha-t-il abruptement en guise de présentation, formule accompagnée d'une légère courbure de l'échine. « Nous sommes bien nombreux pour une simple livraison. ». Le ton était celui d'un simple constat. D'un geste ample de la main, sans quitter son interlocuteur de ses yeux clairs, il désigna le reste du groupe. « Votre paquet est-il très volumineux ou bien vous vous attendez à ce que nous rencontrions des désagréments en chemin ? » Droit à l'essentiel, sans fioriture. Comme ses poings. Modifié par un utilisateur vendredi 17 novembre 2017 09:18:06(UTC)
| Raison: Corrections diverses & reformulations de quelques passages
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 Eglaelle En bonne santé Eglaelle se couvre chaudement en sortant de la taverne (bottes épaisses, jupe en cuir, chemise + gilet, gants chauds et cape avec capuche). Sa tenue est en très bon état. En y regardant de plus prêt on pourrait se demander si sa tenue n'est pas neuve. Elle n'a aucune arme apparente. Lors du déplacement elle se positionne autant que possible au centre du groupe et pose des questions à ses voisins. Elle essaie de mieux les connaître. Elle cherche à connaître : - leur nom - si c'est leur première mission - ce qui les amène ici Elle partagera facilement des informations sur elle-même : - « elle s'appelle Eglaelle »- « c'est sa première mission »- « elle est venue ici pour apprendre à mieux se connaitre » elle sort une main de sous sa cape et l'observe un moment Lorsque le mendiant demande l'aumône, elle fera un pas en arrière en trahissant un sentiment de peur et de dégout. Elle se ressaisira rapidement une fois la supercherie révélée. « J'admire votre courage de rester sous cette pluie. Vous n'avez pas froid, voulez-vous une chaude couverture ? »Cite:Shaheer El-Khatib «Votre paquet est-il très volumineux ou bien vous vous attendez à ce que nous rencontrions des désagréments en chemin ?» « Je n'ai pas beaucoup eu la chance d'entendre le timbre de votre voix, mais votre remarque est très pertinente. »Elle t'adresse un sourire amical Elle fixe le regard de Dreng attendant de voir sa réaction - Connaissance Histoire : 1d20+2 donne [7] + 2 = 9
Modifié par un utilisateur jeudi 16 novembre 2017 21:12:05(UTC)
| Raison: Non indiquée
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J'attends que tout le monde ait posté avant de commencer. | |
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 Doïbal Durant votre court voyage en direction du point de rendez-vous, Doïbal vous semble être d'une étrange dualité. D'un côté très rustre, aviné et légèrement colérique, il ressemble à toute bonne brute épaisse de la région. D'un autre côté, son équipement est d'une qualité assez rare, détonnant avec le personnage, et ses manières envers Eglaelle sont exemplaires. On croirait à s'y méprendre que cet homme musculeux soit un gentilhomme, si il n'était pas si rustre en apparence. Habitué à l'humidité et à l'aventure, c'est dans un mouvement machinal qu'il abaissa sa capuche et poursuivit la marche au sec, poings fermés, gardant un rythme de marche étonnant au vu de son armure massive. Cet homme est définitivement une force de la nature. Durant les moments de calme qui entourent ses longues tirades d'insultes contre gozreh, vous arrivez à en apprendre un peu plus sur cet individu. Il semble être de lignée noble, ou du moins avoir été formé aux us et coutumes de l'aristocratie. Doïbal de Yanmass est son nom complet. Il avoue facilement s'être détourné de la voie politique, et avoir écumé les bars de nombreuses villes avant d'être un jour arrêté dans son élan autodestructeur par un demi orc imposant. Ce sorcier, Doltuk, l'avait forcé à décuver, sortir de sa rage enhivrée et reprendre sa vie en main, sous menace d'ancienne magie. Il aurait vu "quelque chose de spécial" en Doïbal et l'a enrôlé, un peu contre son gré, dans la société des éclaireurs. Doïbal n'y comprends toujours rien, mais il est plus qu'heureux d'avoir les bourses remplies par la société des éclaireurs, et des sales créatures sur qui passer sa colère. « Chère Eglaelle, cette mission est actuellement ma quatrième, et jusqu'à maintenant il ne m'a été donné que quelques tâches sans danger. Enfin, sans compter une bête cornue qui nous a donné quelques sueurs froides. N'ayez crainte, je suis certain que vous nous serez d'une utilité cruciale dans cette mission, et je veillerai à votre sécurité quoi qu'il en coûte »Lorsque Dreng se présente, il passe tout droit, l'ignorant parfaitement, avant de faire demi-tour en marmonnant d'inaudibles paroles, apparemment ennuyé par les facéties du vieil homme. Il écoute cependant avec intérêt le briefing, et ne semble pas avoir quoi que ce soit à demander. Il se plains juste un peu « Le follet blessé? Eh ben! SI il y a bien un endroit qui manque d'ambiance à Absalom, ce celui-ci! Enfin bon, on pourra au moins se rincer le gosier! »Il observe cependant avec curiosité ce moine dont la vie tant que la personnalité semble monotone à mourir, avec un petit sourire en coin. Modifié par un utilisateur vendredi 17 novembre 2017 22:43:42(UTC)
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Le gnome suit le groupe, papillonnant de droite à gauche, s'extasiant sur chaque chose nouvelle qu'il voit: l’architecture des bâtiments, la taille des rues, il dévisage parfois jusqu'au malaise les gens les plus excentriques qu'il rencontre, s'extasiant sur le cosmopolitisme d'une si grande ville, commentant chaque découverte d'une litanie, débitée d'une traite, à toute vitesse. Il n'arrête de parler que pour écouter les autres, ou lorsqu'on lui demande de se taire... ce qui en général ne dure que quelques secondes avant qu'une nouvelle curiosité ne lui fasse reprendre son monologue.. En matière d'excentricité, Deeble n'a rien à envier aux gens qu'il dévisage: sa tenue est un assemblage disparate de vêtements sur plusieurs couches, récupérés ça et là. on trouve de toutes les matières, de toutes les couleurs, de préférence vives et chatoyantes. Tous ces vêtements sont agrémentés de poches, de crochets, de lanières et de bouts de ficelles, certaines poches sont enflées, certains crochets tiennent des petites fioles de verre couvert de cuir. Il porte en bandoulière un arc détendu et un carquois. Lorsque Dreng les interpelle, il s'arrête net et s'apprête à interroger le mendiant sur sa vie, avant de s'interrompre en découvrant son identité. « Ah c'est vous! Il faut qu'on aille au follet blessé eh ben d'accord on va aller au follet blessé mais si vous êtes pas là quand on revient où est-ce qu'on doit aller parce que si ça se trouve vous serez pas là quand on va revenir peut-être que vous allez vous faire repérer a force de parler avec des groupes d'aventuriers qui parlent de la grande loge, et dans ce cas il faudra qu'on aille vous sauver alors il faut savoir qui c'est qui va vous enlever ou peut-être que vous serez allé ailleurs, il faut qu'on sache, non? »Ceci dit du même ton un peu naïf, et avec la même vitesse, sans respiration que ses compagnons ont appris à connaître pendant le chemin
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Alondo est un homme d’une petite trentaine d’années. Les yeux bleus perçant, sa barbe fraîchement coupée, ses longs cheveux noirs et son large sourire lui donnent fière allure dans ses vêtements rouges et noirs Une rapière pend sur sa hanche gauche et on peut apercevoir le haut du manche d'une lyre dépassant de son dos. « Absolom est une cité magnifique , tant de choses a visiter !. Mais commençons donc par cette taverne »Mais cette Heryn Gale qui est entrée en possession de cet établissement après la mort de son père, me rappelle quelque chose ...- Jet d'histoire : 1d20 donne [11] = 11
Modifié par un utilisateur dimanche 19 novembre 2017 21:21:30(UTC)
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Allons-y, Pomo nous rejoindra en route.Vos personnages n'en savent pas plus sur le Follet Blessé...Drandle Dreng esquisse un sourire lorsque chacun s'exprime. Il hoche de la tête, occasionnant une petite chute d'eau à ses pieds. Lorsque tous se sont exprimés, il s'adresse à vous: « Bien... Je vois que vous piaffez d'impatience de vous lancer... à l'aventure! Sachez avant tout que je suis un homme de goût. » Il fait une pause en soutenant vos regards et le suspens par la même occasion. « Le colis est en fait un millésime d'un vin particulier provenant du cellier du "Follet Blessé". J'ai eu l'occasion de goûter leurs meilleurs vins en ordre descendant de mise en bouteille. Je n'ose disparaître de mon poste et mon rôle dans ce district, mais je voudrais profiter de quelque moyen de réconfort. Après tout, je doute que quiconque voudrait juger un simple mendiant sirotant sa bouteille de vin. » fait-il avec un large sourire satisfait. En se tournant enfin vers Shaheer, il répond de manière évasive. « Volumineux? Non... je ne dirai pas ça. Pourquoi aller à autant de personnes? Eh bien mon jeune ami, il faut bien que jeunesse se fasse, n'est-ce pas! Voyez ça comme une première mission palpitante! Ah, vous pensez que vous allez vous faire attaquer en plein jour à Absalom? Impossible, voyons..." » fait-il avec un clin d'oeil. Vous pouvez faire un jet de psychologie, DD 12. Si vous réussissez, vous pouvez ouvrir le spoiler.
A ton avis, il ne dit pas tout (étonnamment) à propos du coli. Il semble cependant être sincère à propos des attaques dans la rue.
« Vous avez d'autres questions? » demande-t-il. Modifié par un utilisateur mardi 21 novembre 2017 09:17:36(UTC)
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Shaheer El-Khatib Loyal Neutre CA : 16 / 16 / 13 Coup étourdissant : 1/1 C'était la jeune femme du groupe qui avait glissé cette remarque après la question de Shaheer. L'osirionais lui adressa un hochement de tête respectueux pour lui signifier qu'il avait entendu sa remarque et la remerciait, sans toutefois chercher à entamer une discussion. « Volumineux? Non... je ne dirai pas ça. Pourquoi aller à autant de personnes? Eh bien mon jeune ami, il faut bien que jeunesse se fasse, n'est-ce pas! Voyez ça comme une première mission palpitante! Ah, vous pensez que vous allez vous faire attaquer en plein jour à Absalom? Impossible, voyons... » Répondit le faux mendiant, ponctuant son discours d'un clin d’œil amusé. - Test Psychologie : 1d20+3 donne [18] + 3 = 21
Shaheer se retint de froncer les sourcils et demeura de marbre, quand bien même il sentait que l'homme lui dissimulait des informations concernant le colis qu'il les envoyait récupérer. Toutefois il semblait ne pas mentir concernant l'absence de risque dans les rues de la ville. Le moine en vint à se demander si sous couvert de cette mission en apparence annodine ne se dissimulait pas un genre d'épreuve, de test, afin d'évaluer les nouveaux arrivants dans la société des éclaireurs. Si c'était bel et bien le cas, Shaheer comptait oeuvrer de la façon la plus exemplaire possible pour prouver sa valeur. Toutefois, étant un nouveau venu dans cette vaste citée, il n'avait aucune idée d'où pouvait bien se trouver la taverne en question. Aussi se contenta-t-il de se mettre en retrait du groupe et d'attendre que ses compagnons se mettent en route pour leur emboîter le pas. En parlant du groupe, le moine les observait depuis un moment à présent et avait commencé à se faire une idée de chacun. Tout d'abord il y avait Doïbal, le premier qu'il avait repéré. Et pour cause, l'homme avait une stature impressionnante et se mouvait de façon qui trahissait ses capacités martiales. Shaheer n'aurait pas aimé devoir se battre contre lui, son instinct lui murmurant qu'il aurait été certain de mordre rapidement la poussière. Cependant c'était rassurant d'avoir quelqu'un visiblement expérimenté en tant qu'allié, même s'il n'appréciait pas trop le regard moqueur que l'individu lui jetait dessus à l'occasion. Il se contenta de l'ignorer. Ensuite il y avait Eglaelle. Une bavarde. L'homme du désert avait soigneusement esquivé toutes ses questions durant le trajet. Il n'aimait pas dévoiler des informations personnelles aux premiers venus. C'était d'ailleurs elle qui lui avait adressé la parole un peu plus tôt. En dehors de son caractère il était difficile de deviner ses compétences. Elle ne portait pas d'arme, ni d'armure d'ailleurs, et ne semblait pas avoir suivi d'entrainement martial pour se battre à mains nues. Peut-être une jeteuse de sortilège ? Le moine n'en savait rien. Il décida de l'ignorer également pour le moment, principalement pour éviter de se retrouver piégé par ses multiples questions. Puis venait Alondo. L'instrument de musique que l'humain gardait avec lui laissait peu de doute quand à ses capacités. Il s'agissait d'un barde. Shaheer appréciait la musique, mais craignait généralement les bardes à cause de leurs langues bien trop pendues et de leur insatiable curiosité. Toutefois l'homme s'était pour l'instant gardé de mettre son nez dans les affaires personnelles de ses compagnons, ce qui jouait en sa faveur pour l'estime que le moine lui portait. Il choisit de l'ignorer en attendant d'en voir plus. Et enfin, Deeble, un gnome survolté incapable de garder le silence plus de quelques instants. Celui-là donnait déjà presque la migraine au silencieux moine du désert. Le seul bon point dans son torrent de parole était que le petit être semblait avoir du mal à rester longtemps focalisé sur quelque chose. Aussi il suffisait à Shaheer de l'ignorer assez longtemps pour qu'il l'oublie et passe à autre chose, si jamais il venait à vouloir fouiner dans sa vie. Plus inquiétant cependant, de nombreuses fioles ornaient son barda. Shaheer avait entendu parler d'Alchimiste, et les rumeurs leurs prêtaient la capacité de générer de formidables explosions pyrotechniques. Le moine espérait que Deeble se montrerait moins fébrile en manipulant les délicates décoctions si cela s'avérait être véridique. Il décida de le garder à l'oeil. Et donc, il se mit à patienter le temps que le groupe prenne la direction de la fameuse taverne. Modifié par un utilisateur mardi 21 novembre 2017 14:15:43(UTC)
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Doïbal semble écouter d'une seule oreille, jusqu'au moment où le sujet se porte sur la boisson, moment ou son intérêt semble être vivement augmenté. « Une requête à la hauteur de votre réputation Capitaine. Je partagerais un toast avec plaisir à l'occasion! »- psychologie : 1d20 donne [9] = 9
Dit-il en appuyant sa dernière remarque d'un clin d'oeil maladroit et d'un rire appuyé. « Chers compagnons, faites moi signe dès que vous serez prêt et je vous montrerai le chemin vers cette taverne. »Modifié par un utilisateur mercredi 22 novembre 2017 20:21:11(UTC)
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Eglaelle En bonne santé Cite:« Sachez avant tout que je suis un homme de goût » Eglaelle ne peut dissimuler un air perplexe, elle le regarder de bas en haut à plusieurs reprises. Cite:« Le colis est en fait un millésime d'un vin particulier » Eglaelle demande « Quel est donc ce vin au millésime si précieux qu'il faille une escouade de 5 personnes pleine d'enthousiasme pour vous la ramener? »« Bien nous savons ce qu'il faut chercher et ou le chercher. Il nous reste à savoir comment s'y rendre. Etudions cette carte. »Eglaelle se penche sur la carte de Dreng « Vous connaissez le chemin messire Doïbal ? Je me demande d’ailleurs par quel titre doit-on vous appeler ? » demande Eglaelle avec respect - Psychologie : 1d20+0 donne [6] + 0 = 6
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Le jeune gnome s'est tu, écoutant les autres, attendant une réponse qui ne vient pas, de la part de Dreng. Sa mère l'avait prévenu, les non-gnomes ont beaucoup de mal avec le parler des gens de son peuple, il lui faudra parfois se répéter et faire un effort de longueur pour faire passer les idées importantes. Deeble se met au garde à vous, les bras le long du corps, comme un écolier à la récitation, avant de parler, d'un ton haché. il est évident qu'il fait des efforts titanesques pour ralentir son débit, et faire des pauses, même si elles arrivent aléatoirement: «
Vous ne nous avez pas, dit...Où pouvons-nous vous retrouver... si vous n'êtes, pas là quand on revient »Puis il reprend sa respiration, haletant après cet effort - pseychologie : 1d20+5 donne [5] + 5 = 10
Modifié par un utilisateur mercredi 22 novembre 2017 21:28:05(UTC)
| Raison: Non indiquée
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Doïbal semble très surpris lorsqu'il se fait appeler messire, comme si cela n'était plus arrivé depuis longtemps. Une fois le choc passé, il répond sympathiquement
« Oh, appellez-moi simplement Doïbal. Entendre mon nom prononcé par une femme de tempérament comme vous est déjà un honneur suffisant! »
Reprennant ensuite son air bourru habituel, il enchaine
« Oh facile, j'y ai été il y a de ça trois nuits. Sacrément sympathique! Alors en partant de La grande loge, c'est tout droit direction les quartiers ouest, et après la mignonne petite brune, à un certain moment c'est sur la droite. Enfin je crois, j'était ... en petite forme la dernière fois.... Bon, suivons la carte, c'est peut être plus sur. » | |
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Arrivant tout essoufflé, l'eau faisant étinceler ses propres écailles, aussi vertes que celles de son armure, l'homme-serpent est fort grand et bien costaud - plus de 2m25 pour un peu moins de 150 kilos.
Vous reconnaissez un nagaji, un habitant originaire du sud du continent Tian.
Son visage est reptilien : oreilles quasi absentes, nez plat, pas de lèvres ni de paupières, yeux dorés au pupilles verticales.
Il porte une bandoulière à la poitrine avec quelques fioles alchimiques, une fronde à la ceinture, et une arme d'hast en main - un marteau de lucerne en acier-froid.
"Je sssuis en retard, pardon !"
Sa langue fourchue darde, rythmant ses paroles.
"Mais me voisssi. Je sssuis Pomo."
Il se plie presqu'en deux, baissant la tête devant vous, afin de vous saluer avec humilité.
"Éclaireur Pomo, ssserviteur du divin Apsssu, et sssoldat de la Croisade d'Argent".
Se relevant, il regarde ce qu'il se passe, afin de suivre le mouvement, et ne pas retarder ses compagnons plus qu'il ne l'a déjà fait. | Marteau de Lucerne acier froid (sans Attaque en Puissance) : 1d20+5 / 1d12+10 (1d20+6 / 1d12+7)
Marteau en rage (sans Att' en Puiss') : 1d20+7 / 1d12+13 (1d20+8 / 1d12+10)
Griffes en rage (sans Att' en Puiss'): 2 x 1d20+7 / 1d6+9 (2 x 1d20+8 / 1d6+7) |
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 Alondo - psychologie : 1d20+4 donne [17] + 4 = 21
Modifié par un utilisateur mercredi 22 novembre 2017 23:46:17(UTC)
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 Pomo 18 CA (17 flat - 12 touch) Calme 13 PdV - 6 rounds de rage Pomo s'ébroue, envoyant les gouttelettes voler. Quelque peu incrédule que quelqu'un ne connaisse pas la Croisade, il explique : "Sss'est la Croisade. D'Argent. Pour faire le bien, comme les Grands Dragons d'Argent. Sss'est... la Croisade d'Argent, quoi! "Il se gratte la tête, creusant entre deux écailles avec une griffe. Il vous faut peu de psychologie pour voir que ce brave nagaji n'a pas beaucoup de matière grise sous son épais cuir. | Marteau de Lucerne acier froid (sans Attaque en Puissance) : 1d20+5 / 1d12+10 (1d20+6 / 1d12+7)
Marteau en rage (sans Att' en Puiss') : 1d20+7 / 1d12+13 (1d20+8 / 1d12+10)
Griffes en rage (sans Att' en Puiss'): 2 x 1d20+7 / 1d6+9 (2 x 1d20+8 / 1d6+7) |
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Localisation : Gryon
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Le Capitaine Aventurier hoche la tête face à la prise en charge de la tâche par Doïbal. Face aux réticences d'Eglaëlle, le capitaine aventurier se fend la poire. « Mwahahaha, sachez, jeune amie que ce déguisement a ses usages et me permet d'extirper les informations de bouches bavardes bien mieux que n'importe quel sort magique. Pour répondre plus amplement à la raison de votre mission, je suis en train de me renseigner sur un groupe opérant hors de ce district que je crois être en ligue avec l'Alliance d'Onyx... c'est une histoire un peu longue, mais l'important est que ce déguisement est capital pour mon enquête. Et donc, la vinasse. »Il fait une pause en laissant le temps à Pomo de faire son entrée et de se présenter. « Bienvenue, chevalier. Je vois que vous êtes au complet. Quant au vin, le tenancier saura de quoi il s'agit. Allez ouste, vous n'avez que trop tardé! Jeune gnome, soyez sûr que je ne quitterai pas mon poste. Vous pourrez me trouvez ici-même lorsque votre mission sera remplie. » conclut Dreng en faisant un clin d'oeil à Deeble et en reprenant son poste au coin de la rue.  "Le Follet Blessé" est situé dans le district Étranger d'Absalom, non loin de la Grande Loge. Grâce aux directions données par le Capitaine-Aventurier, vous n'avez aucun mal à en trouver l'emplacement. Construit en bois sombre décoloré, l'extérieur de cette taverne est l'image même d'un bar mal famé. Des fenêtres tachées et barrées obstruent votre vue de l'intérieur, bien qu'une lumière jaune-orange transparaisse d'une fenêtre sur la devanture. Seul une pancarte de bois épais indique le nom du lieu prétendument si célèbre pour les Éclaireurs, pendant de manière peu glorieuse au-dessus de l'entrée du bar. Un anneau d'airain accroché au panneau retient une lanterne, allumée lorsque vous arrivez en raison de l'assombrissement des rues en raison de la pluie battante qui martèle vos armures, inonde vos capes. Je vous laisse procéder comme vous le souhaitez par rapport à votre mission. Je fais déjà la description de l'intérieur de l'auberge. J'ai mis tous vos "pions" dehors, vous pouvez les disposer librement selon avec qui vous souhaitez parler. Comme la carte est en mode "modification", vous pouvez risquer de supprimer des objets ou de les déplacer. Si c'est le cas, pas de panique. crtl+z sont vos amis ;) L'intérieur du "Follet Blessé" ne contraste que peu avec son apparence extérieure. L'odeur de fumée et de bière renversée assaillit vos sens alors que vous pénétrez dans le bar. Des murs de bois tachés composent les limites de l'établissement, alors que des tables du même matériau, visiblement fort usées, sont réparties dans l'espace de la pièce principale. Une partie surélevée dans le fond accueille plusieurs autres tables ainsi que des endroits pour se restaurer pour les groupes qui cherchent davantage qu'une simple boisson. Un bar austère soutenu par des barriques qui remplacent des panneaux de bois domine la partie nord de la pièce. Un cabinet à la porte en vitrail se tient derrière le bar, ses contours sombres craquelés en de nombreux endroits, cependant pas suffisamment opaque pour dissimuler les nombreuses sortes de liqueurs qui y sont contenues. Alors que vous arrivez, plusieurs autres groupes sont déjà en train de se détendre autour du bar, appréciant boissons et nourriture apportées par les tenanciers du "Follet Blessé". Tout ce petit monde a l'air fort occupé à discuter des dernières nouvelles d'Absalom. La tenancière, quant à elle, se tient derrière le bar, en train de servir ses clients assis sur de simples tabourets. Dans la salle elle-même se tiennent plusieurs personnes dignes d'intérêt. Un Keleshite portant un symbole sacré de Sarenrae est assis à une des tables au centre de la pièce, vous saluant de la tête alors que vous passez à côté de lui. Deux demi-orcs sont attablés dans un coin et semblent partager des récits de batailles avec un enthousiasme non dissimulé. Un érudit est assis dans un coin, feuilletant un livre volumineux avec attention alors qu'il sirote sa chope démesurément grande. Enfin une halfeline est entourée de jeunes aspirants Éclaireurs et semble plongée en plein dans le récit d'une aventure fabuleuse. Voici le lien vers la carte. Je vous laisse placer vos pions selon votre plan.  J'ai ajouté le lien vers la map dans ma signature (table 2).Modifié par un utilisateur vendredi 24 novembre 2017 13:35:05(UTC)
| Raison: Non indiquée | |
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Rang : Habitué
Inscrit le : 25/07/2014(UTC)
Messages : 140
Localisation : Indre
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Pomo 18 CA (17 flat - 12 touch) Calme 13 PdV - 6 rounds de rage Pomo regarde son armure d'écailles, et marmonne, tout bas : "Ce n'est pas un complet, c'est une armure... l'est bête lui". Arrivé à la taverne, Pomo entre, se disant que heureusement que maman n'est pas là pour voir ça, déjà qu'elle voulait pas que je quitte la tanière. Il regarde un peu partout, puis s'approche du comptoir, n'osant tout de même pas s'y accoler. Des yeux il essaie de voir s'il y a des œufs à manger. Modifié par un utilisateur vendredi 24 novembre 2017 16:21:40(UTC)
| Raison: Non indiquée | Marteau de Lucerne acier froid (sans Attaque en Puissance) : 1d20+5 / 1d12+10 (1d20+6 / 1d12+7)
Marteau en rage (sans Att' en Puiss') : 1d20+7 / 1d12+13 (1d20+8 / 1d12+10)
Griffes en rage (sans Att' en Puiss'): 2 x 1d20+7 / 1d6+9 (2 x 1d20+8 / 1d6+7) |
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Rang : Membre
Inscrit le : 13/07/2015(UTC)
Messages : 19
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Shaheer El-Khatib Loyal Neutre CA : 16 / 16 / 13 Coup étourdissant : 1/1 Shaheer observa avec intérêt le nouveau venu aux écailles luisantes et à la langue fourchue qui venait de rejoindre le groupe déjà conséquent. C'était la première fois qu'il voyait de ses yeux propres un membre de cette espèce et il éprouvait à son égard une certaine forme de curiosité, bien plus que pour le reste de ses compagnons. L'être serpentin lui sembla avoir bon fond mais quelque peu déficient au niveau de l'intellect. Peu après le groupe se mit finalement en branle et parcouru les rues de l'immense cité sans rencontrer ni danger ni péril de quelque nature que ce soit. Le moine, désireux de prouver sa valeur, en aurait presque éprouvé de la déception si son éducation Zen ne l'avait pas aidé à maintenir son esprit dans un état de calme confinant à la plénitude. Mais même cela ne s'avéra pas suffisant pour étouffer sa surprise lorsque l'illustre et célèbre taverne qu'ils recherchaient se révéla n'être qu'un établissement standard, confinant au taudis à l'allure lugubre digne des pires coupes gorges. Toutefois l'Osirionnais était plus que tout pressé de mettre son corps à l'abri de l'infâme crachin pluvieux qui agressait son corps depuis désormais bien trop longtemps. Il fut donc le second à franchir le seuil de l'établissement, à la suite de l'étrange homme-serpent qui l'avait devancé d'une seconde. La chaleur de la pièce fut une véritable bénédiction après l'épreuve endurée à supporter les glaciales agressions de la météorologie hivernale de ce pays. Après un bref instant de pure satisfaction, Shaheer reprit ses esprits et se focalisa de nouveau sur la mission. Il avait toujours le désagréable sentiment que le recruteur lui avait menti, et la raison de ce mensonge lui échappant, il préférait rester sur ses gardes. Dans l'hypothèse où cette livraison ne serait qu'un prétexte à un bizutage musclé, ou un test quelconque de leurs compétences, il se tiendrait prêt. Ces pensées en tête, et préférant laisser les négociations et autres interactions sociales à ses compagnons plus bavards et versés dans l'art oratoire, le moine s'installa à une table de laquelle il pouvait embrasser l'ensemble de la pièce d'un seul regard, afin de surveiller tout comportement suspect. Il nota principalement la présence d'un individu visiblement suiveur de Sarenrae, de deux demi-orcs quelque peu agités par leurs anecdotes de combat, d'un érudit au débit de boisson impressionnant et d'une Halfeline occupée à narrer ses exploits à un groupe suspendu à ses lèvres. Il se trouvait dans un coin, pour se prémunir de toute arrivée dans son dos, et suffisamment prêt du bar pour suivre les échanges que ses compagnons d'arme ne manqueraient pas d'avoir avec l'hôtesse des lieux. En attendant que son groupe se charge de récupérer le paquet à livrer, il resta aux aguets pour chercher tout comportement suspect. A tout hasard je fais un jet de perception. Je sais pas trop si dans ce contexte je dois aussi faire une psychologie.- test de Perception : 1d20+7 donne [14] + 7 = 21
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Rang : Nouveau
Inscrit le : 07/11/2017(UTC)
Messages : 2
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Eglaelle En bonne santé Pomo écrit:"Je sssuis en retard, pardon !"Sa langue fourchue darde, rythmant ses paroles. "Mais me voisssi.Je sssuis Pomo."Il se plie presqu'en deux, baissant la tête devant vous, afin de vous saluer avec humilité. "Éclaireur Pomo, ssserviteur du divin Apsssu, et sssoldat de la Croisade d'Argent". « Bonjour éclaireur Pomo. Soit le bienvenu parmi nous. Allez relèves toi. »Eglaelle le prend par le bras pour l'aider à se relever. « Comme tu peux voir tu arrives au bon moment. Je me présente je suis Eglaelle. »Le groupe arriva devant la taverne Eglaelle entra ensuite dans le "Follet Blessé". Après s'être approprié l'atmosphère de l'établissement elle se dirigea vers le bar. Bien qu'elle fasse tâche dans l'ambiance du lieu Eglaelle semblait à l'aise. Ce n'était certainement pas la première fois qu'elle pénétrait dans un lieu du genre. Elle prit bien soin de saluer les personnes qu'elle croisa et répondit par un de ses sourires à celles qui la saluaient. Elle se positionna au milieu du bar et demanda à la tenancière. « Bonjour, serait-il possible d'avoir à boire pour mes compagnons et moi-même ? »Elle désigna Doïbal, Deeble et Alondo. Elle jeta un coup d'œil insisté à Pomo et Shaheer attendant un signe ou une réaction de leur part. En s'adressant à la tenancière « On m'a recommandé un de vos vins, un millésime particulier. Il est très apprécié au moins par un des membres de la Société. Me serait-il possible de pouvoir le gouter?
A ce propos nous avons un colis à récupérer pour cette même personne qui vous a recommandé. Il est transit sous la pluie et a bien besoin de réconfort. »Par la suite Eglaelle agrémenta la discussion avec la tenancière : « J’imagine que ce n’est pas tous les jours faciles de tenir ce genre d’établissement. Vous recevez souvent des membres de la Société ? »
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