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Le guide du joueur pour la 3e campagne de Pathfinder 2 est disponible gratuitement en VO sur le site de Paizo : https://paizo.com/community/blog/v5748dyo6shagVoici l'introduction ajoutée pour répondre aux craintes soulevées par les similarités entre le sujet de cette campagne et les événements récents aux États-Unis et ailleurs dans le monde. Avertissement sur le contenu et consentement des joueurs La campagne des Agents d’Edgewatch place les PJ dans le rôle d’individus ayant récemment rejoint la milice. Les personnages commencent leur carrière en résolvant des disputes mineures puis deviennent petit à petit le seul espoir de la ville contre une puissance maléfique. Comme cette campagne suppose que les personnages sont des gardes de la ville, le texte (y compris celui de ce guide) référence certains thèmes relatifs à l’application de la loi et au travail de la police qui pourraient se rapprocher étroitement de situations de la vie réelle et déranger certains lecteurs. Si vous lisez ce guide du joueur parce vous envisagez de jouer la campagne des Agents d’Edgewatch, discutez avec votre MJ de la manière dont il/elle compte gérer ces thèmes pendant l’aventure. Comme toujours, le consentement de toutes les personnes présentes à la table est obligatoire afin de garantir une expérience de jeu amusante et sûre. Il est donc important de discuter avec le reste de votre groupe de toute crainte que vous pourriez avoir par rapport au sujet de cette campagne. Si les autres thèmes de cette campagne intéressent votre groupe mais qu’un ou plusieurs membres préfèrent ne pas incarner un membre de la milice, vous pouvez éliminer cet aspect de l’aventure en utilisant les changements suggérés sous le titre Jouer sans être membre de la police. De plus, la campagne Agents d’Edgewatch présente des scénarios qui entrent dans le domaine de l’horreur. Cela inclut l’évocation de tueurs en série, d’horreurs corporelles, de torture, de voyeurisme non consensuel, de violences contre des enfants et de bioterrorisme (y compris un kamikaze équipé d’une bombe), d’expérimentation sur des humanoïdes, de mutilations auto-infligées, de cruauté envers les animaux et de maladie mentale. Cette campagne est conçue comme un film d’actions à travers une métropole fantastique remplie de dangers et de passions, pas comme une analyse ni comme un reflet des thèmes de la loi et de la justice dans le monde réel. Malgré cela, vous et vos amis pourriez ne pas apprécier les situations ou les conversations qui découlent de votre rôle inhabituel au sein de cette campagne ni les éléments d’horreur. Souvenez-vous qu’une partie amusante nécessite le consentement enthousiaste de tous les participants autour de la table, tout particulièrement lorsqu’il s’agit de jouer ou de discuter de thèmes qui pourraient ressembler fortement à des sujets sensibles liés à un monde réel qui est bien plus complexe. Ce qu’une personne verra comme une occasion de discuter des dilemmes éthiques de la vie réelle, pourrait être une situation dérangeante ou inconfortable pour une autre. En fin de comptes, c’est à vous de choisir si vous voulez participer à cette campagne ou pas, telle qu’elle est écrite ou en la modifiant. L’équipe de Paizo vous souhaite une expérience de jeu sûre et amusante, quel que soit le type de campagne que vous décidez de jouer.
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Autre élément potentiellement intéressant du Guide du Joueur : Règles spéciales pour cette campagne Comme indiqué pour les maîtres du jeu dans le premier volume, cette campagne modifie les règles par défaut de Pathfinder de plusieurs manières significatives. Tout d’abord, en tant que gardes de la ville, les PJ du groupe sont supposés être entraînés à la résolution de conflits de manière non létale. Cela signifie que, pendant les rencontres de combat, votre personnage inflige toujours des dégâts non létaux ; il ne lui est pas permis d’infliger des dégâts létaux. Il ne subit aucune pénalité aux jets d’attaque dû au fait qu’il inflige des dégâts non létaux, et tous les types de dégâts qu’il inflige (qu’ils proviennent d’attaques armées, de sorts ou même de poison) sont non létaux. Il ne gagne aucun bonus ni aucun avantage supplémentaire même s’il porte des attaques avec des armes portant le trait « non létal ». Comme d’habitude, quand une créature est réduite à 0 Points de vie par des dégâts non létaux, elle tombe inconsciente au lieu de mourir. Deuxièmement, tant que votre personnage porte son uniforme, on suppose qu’il possède tous les outils nécessaires pour rendre inoffensifs les suspects rendus inconscients. De manière générale, les suspects ne peuvent pas se réveiller ni s’échapper pendant que vous vous occupez des combattants restants par exemple. Vous pouvez obtenir gratuitement tout l’équipement nécessaires (comme des menottes pour arrêter les suspects) à n’importe quel moment pendant les périodes de temps libre au quartier général d’Edgewatch. Troisièmement, vous ne pouvez jamais blesser les civils innocents ni avoir un comportement abusif envers eux. Si votre MJ vous place dans une situation dans laquelle un combat est inévitable, vous pouvez supposer que vos adversaires sont bien déterminés à vous tuer et que la meilleure méthode pour les appréhender est le combat. Telle qu’elle est présentée, la campagne ne vous forcera jamais à combattre des créatures qui ne sont pas déterminées à vous tuer.
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Écrit à l'origine par : Dalvyn  De plus, la campagne Agents d’Edgewatch présente des scénarios qui entrent dans le domaine de l’horreur. Cela inclut l’évocation de tueurs en série, d’horreurs corporelles, de torture, de voyeurisme non consensuel, de violences contre des enfants et de bioterrorisme (y compris un kamikaze équipé d’une bombe), d’expérimentation sur des humanoïdes, de mutilations auto-infligées, de cruauté envers les animaux et de maladie mentale. Ça a l'air génial, je veux !!  *bave*
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1 utilisateur a remercié Vel Cheran pour l'utilité de ce message.
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Hello,
J'ai lu le manuel du joueur de cette campagne, et je dois admettre que je me suis régalé et bien rigolé en la lisant, Tellement l'echo fait à l'actualité aux US y était présent.
Déjà, quand je lisais le livre de règles de bases, dans la partie "Diriger une partie" , toutes les précaution prise sur les limites dans le jeux (pas de sexe, pas d'esclavagisme, limite un buzzeur pour qu'un joueur puisse indiquer que le sujet est sensible ...
J'ai repris le JdR cette année (le confinement a eus un bon côté) après une pause de 15 ans, j'ai été très étonné de voir toutes ces précautions prise ...
Dans nos partie de D&D (l'original), c'était pas de la dark fantasy, mais dés que nous passion à du Warhammer, du Cthulu ou du WereWolf, tout ados que nous étions, le maitre ne mettait pas de gants, surtout face à un grand'breton dans Hawkmoon.
Ceci dit, pour revenir à Agent of Edgewatch, je suis assez impatient de l'essayer mais plutôt en tant que joueur.
Perso, j'attends plus the "Abomination vault" annoncée comme un mega donjon, car une fois de temps en temps, revisiter le basic "Donjon" ça peut-être cool
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Oui... il faut dire qu'il est sorti aux États-Unis à une période plutôt difficile pour ce genre d'aventures. Les forums de Paizo (et les autres) ont été en ébullition pendant plusieurs semaines avant même que la campagne ne commence, avant même que le guide du joueur ne paraisse... et pas mal de gens - y compris (surtout ?) ceux avec des avis extrêmes - y allaient de leurs prédictions. L'auteur du premier bouquin (James Sutter - un ancien de chez Paizo d'ailleurs, qui travaille maintenant principalement comme freelance) s'est même exprimé sur Twitter à ce sujet, disant qu'il allait reverser intégralement tout ce qu'il a touché pour l'écriture du scénario à des oeuvres en lien avec le mouvement Black Lives Matter. Idem pour Paizo qui a communiqué qu'une partie des rentrées liées à cette campagne serait également versée à des oeuvres similaires. C'est vraiment difficile d'avoir un avis super bien construit et bien informé sur tout cela, surtout du point de vue d'Européens bien éloignés de tout ça... et encore plus sans doute quand on est blanc. Je suis également plutôt impatient de voir arriver Abomination Vaults (dont les synopsis sont d'ailleurs disponibles à partir de la nouvelle page des ressources PF2 ici) ainsi que la boîte d'initiation et les trois scénarios introductifs du recueil "Troubles in Otari".
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