oshua écouta le chevalier qui lui racontait que c'était le colosse Dimitar qui était mort ainsi que les circonstances étranges de la mort du barbare. Après avoir laissé Requiem parler, l'acolyte répondit, l'air interloqué.

« Une faux fantôme? Il y a toujours eu des rumeurs, des racontars d'alcooliques, des défis que les gamins se lançaient et certains relataient que le bourreau monte toujours la garde à Roctourment, sur le balcon où avaient lieu les exécutions et que certaines nuits de pleine lune, on peut voir sa faux se promener seule, comme si sont fantôme la portait. »

Quand le chevalier pâle le questionna sur les individus, il répondit«  Euh... un homme et une femme, venue voir la tombe du professeur puis l'homme a sauté dans une des tombes vide, ce qui a mis le père Grimburrow très, très en colère. Ils sont là pour enquêter qu'ils disaient. L'homme est un demi-elfe, vieux, l'air malicieux, il se présente comme un inspecteur et il présente la femme comme sa collègue, elle est très belle avec ses yeux vairons mais elle parle un peu bizarrement. »

Le sarénite se signa, dessinant un ankh sur sa poitrine, puis il saisit son précieux symbole sacré et se plongea dans la prière, trouvant le réconfort dans la Foi, répétant ce long mantra jusqu’à ce qu’il retrouve la sérénité du sarénite – « Gloire à toi Ô Sarenrae ! Je laisse la lumière guérisseuse du soleil brûler les ténèbres en moi. Je laisse ma lumière intérieure être un phare pour les autres et une flamme incandescente contre le mal impénitent. L’aube apporte une lumière nouvelle et révèle la Vérité et l’Honnêteté. Tous ceux qui se tournent vers le Mal et les Ténèbres verront alors leur méchanceté éclairée par la Lumière de Sarenrae et ils seront choqués par cette laideur qu’ils ont en eux. Alors ils demanderont pardon et auront droit à la rédemption. Car la Déesse offre une seconde chance à ceux qui la demandent avec un cœur ouvert. »

Respirant plus calmement et ne voulant pas davantage inquiéter l’inquisiteur déjà fort secoué, Cimian se livra ensuite à quelques travaux déménagements, afin de définir des espaces plus ou moins fonctionnels dans ce qui allait devenir leur campement de base : le coin dortoir où aligner les couchages, le coin repas et table de travail, etc., en attendant le retour de Sid et du Chevalier. Ce n’était pas le moment de fermer l’œil, il n’y aurait plus personne pour rester vigilant…

« Vous avez raison. Allons-y prestement. Merci pour tout Joshua et à bientôt! » Il attela alors au plus vite la charrette à son cheval, proposa à Aronian d'y monter puis, juché sur la selle, il revint chez Kendra.

Arrivé chez la dame, il sauta de Knight pour se diriger d'un pas rapide vers la porte d'entrée. Requiem eut un instant d'hésitation, devrait-il prendre le temps de frapper à la porte comme il en avait l'habitude?
Il opta pour une seconde solution: entrer d'un coup sans frapper. Ainsi si les étrangers étaient belliqueux, Aronian et lui auraient peut-être encore l'effet de surprise.

Modifié par un utilisateur jeudi 10 août 2023 11:37:59(UTC)  | Raison: Non indiquée

Requiem était comme pétrifié. Pétrifié par la honte. Visiblement les deux inconnus n'étaient pas des ennemis pour Kendra et le visage du chevalier d'ordinaire très pâle devint rapidement cramoisi de gêne. Il se redressa rapidement, adoptant une posture moins agressive, remit de l'ordre dans ses longs cheveux de jais et s'avança de quelques pas avant de se présenter:

«  Requiem, chevalier de l'ordre du linceul. » puis il inclina sèchement sa tête vers le sol tout en faisant claquer les talons de ses bottes l'un contre l'autre. Son attitude roide et protocolaire laisser transpirer une éducation militaire. Deux médailles cliquètent sur son armure d'écaille au moment où il se redresse, l'une en forme de spirale bleue, l'autre en forme de drap déchiré. Tout de noir vêtu, grand et athlétique, il porte à sa hanche une épée longue qu'il s'apprêtait il y a quelques instants à dégainer.

Essayant, tant bien que mal, de retrouver une certaine composition, il poursuivit:
« Je.... je suis vraiment désolé pour cette entrée.... fracassante. Joshua nous a prévenu de l'arrivée de deux inconnus chez vous dame Kendra, et, Aronian et moi-même avons imaginé le pire au vue des circonstances actuelles... »
Alors qu'il s'excuse, avec timidité ses yeux gris cherchent dans le regard de ses interlocuteurs un certain pardon. Il ne sait visiblement sur quel pied danser.

Modifié par un modérateur jeudi 10 août 2023 18:06:35(UTC)  | Raison: Non indiquée

Des amis du professeur et enquêteurs de surcroit, il n'en fallait pas plus pour le jeune chevalier pour être rassuré.

Avec un grand sourire, il leur répondit avec amabilité: «  En toute franchise, vous me voyez ravi de rencontrer de nouveaux amis du professeur! Et les amis de mes amis sont mes amis! Oh, gloire à toi Pharasma! » après la réserve précédente, Requiem débordait maintenant de joie et d'excitation contrastant de beaucoup avec la froide demoiselle. Toutes ces rencontres! Il continua, son débit de paroles s'accélérant au fil de la conversation.

« Mes compagnons et moi-même serions enchantés, enfin... je parle en mon nom mais je reste persuadé que les autres seront tout aussi heureux que moi de partager ce que nous savons. N'est-ce pas Aronian? » à cet instant il se tourna vers la porte à la recherche du mage. Puis il reprit: «  Malheureusement nous manquons ce soir de temps. Vous nous trouvez en cet instant bien dépourvus. En effet, un de nos compagnons est mort, un autre s'est enfui ce qui nous oblige à camper pour cette nuit dans une autre demeure du professeur, une cabane plus qu'une maison au fond des bois. Cimian, notre prêtre bien-aimé nous y attends, il s'occupe en ce moment même d'un autre de nos compagnons que la mort du premier à beaucoup.... perturbé. Et puis, il y a ..... le ....  » le chevalier en cet instant était de nouveau troublé « Bref, et puis le temps se gâte et la nuit est déjà là. Je n'aime pas laisser notre groupe ainsi séparé.  »

Beaucoup d'émotions se peignait sur le beau visage du chevalier. Après la gêne, se succédaient maintenant la joie, l'excitation, le soulagement, la confusion et maintenant la crainte.

« Peut-être pourrions-nous retarder les présentations à demain, ici même, ou bien alors, vous pourriez nous suivre? » maintenant c'était l'espoir qui animait son regard fiévreux.

Modifié par un utilisateur jeudi 10 août 2023 22:54:47(UTC)  | Raison: Non indiquée

Un demi-elfe aux long cheveux gris restais sur le coté, pensif, et semblais juste observer la scène. Il était vétu d'un long manteau gris foncé duquel on pouvais voir dépasser un pantalon en cuir marron. Il était équipé d'une simple rapière à la ceinture.

Il était resté silencieux un long moment, à moité perdu dans ses pensées, si ce n'était pour retourner le bonjour de Kendra. Il regardais les nouveaux invité, un a un, avec un regard qui pourrais sembler déstabilisant. Il semblais jauger froidement chacun d'entre eux, mais sans forcément avoir l'air malicieux.

Entendre son nom le fit revenir dans le cours de la conversation.

« Je n'ai rien contre personnellement. Nous pourrons éventuellement profiter de la soirée pour échanger des informations. »

Il se échangea un regard avec sa collègue pour confirmer leur accort puis commença à se diriger vers la porte avant de se retourner.

« Je vous suis, montrez nous le chemin. »

ne fois les présentations faites et l'idée de rester groupé dans la cabane du professeur acceptée, le temps était arrivé de dire au revoir à Kendra, du moins temporairement. Kendra accéda sans problème à la requête de Felicia et alla chercher le journal de son père. Elle revint quelques instant après avec ce dernier, ainsi que quelques autres qu'elle donna à la jeune femme. Aronian s'était déjà installé dans la charrette à bras attelé à la va vite au fier destrier dont la robe noire rappelait les cheveux du chevalier Requiem.


« Tenez prenez les, il s'agit de ce que mon père a laisser pour moi et ses amis, donc vous... Il y a peut être des indices que vous pourrez exploiter...

Au revoir! Faites attention à vous. »


La charrette ne permettant pas d'accueillir trois adultes, le chevalier, gentleman proposa à Félicia de monter le cheval tandis que lui le tiendrait par la bride, Aronian et l'inspecteur se partageant la charrette.

Le vent s'accélérait accompagné d'une pluie fine mais glaciale alors qu'ils partait en direction du sud de la ville, le trajet déjà connu de Requiem et Aronian les fit quitter la ville puis se diriger vers l'ouest.
Après un trajet qui semblait interminable sous la pluie, ils arrivèrent jusqu'à l'orée d'une forêt dans laquelle ils s'enfoncèrent jusqu'à faire face à une bâtisse en bois, solide mais peu entretenue, de la lumière s'échappait de l'intérieur, et fait remarquable, une grande palissade ceignait l'arrière de la cabane, formant un jardin clôt.



En entrant dans la cabane, les compagnons virent deux hommes, un blond occupé à renforcer les ouvertures, et un châtain couché qui semblait en état de choc, assis au sol, adossé à un mur. Ce dernier était vêtue d'une armure de cuir, il était d'assez grande taille et son teint typique des habitants de l'Ustalav. Ses yeux bleus se tournèrent vers les arrivants, d'abord anxieux à la vue des visages inconnus puis juste interrogateurs, une fois que Requiem et Aronian furent également en vue.

L'intérieur de la cabane, composé d'une unique pièce semblait avoir été nettoyé à la hâte après avoir subit des dégâts auparavant. Au niveau du mur du fond, il y avait une grande cage parcourant quasiment la largeur du mur, et une porte permettant d'accéder à l'arrière de la maison, située hors de la cage. Dans la cage une trappe placée sur le mur permettait d'accéder également au jardin.

Un air de soulagement passa fugacement dans son regard lorsqu’il vit entrer le chevalier et ceux qui l’accompagnaient. Aussitôt un sourire radieux éclaira son visage puis il s’avança vers les nouveaux arrivants, plongeant ses mains dans ses manches et s’inclinant avec respect devant eux – « Que la Lumière de la Fleur de l’Aube éclaire vos pas. Je suis frère Cimian, à qui ai-je l’honneur ? »

Le jeune homme qui venait de parler d’une voix douce et chaleureuse portait une tenue sacerdotale couleur ivoire sous laquelle on devinait un plastron semi-rigide en plaques de cuir. Il était plus grand que la moyenne des humains. La peau pâle mais plutôt lumineuse que cadavérique, une chevelure blonde comme les blés, dense et mi-longue, ses yeux pleins d’intensité avaient une profondeur presque surnaturelle, sans compter leur couleur bleue comme le topaze. Calme, souriant, chaleureux, il portait pourtant des armes aux ornements très colorés comme sur le fourreau de son cimeterre avec ses surpiqûres formant des arabesques en cordelette rouge-orangée comme le feu ou jaune comme le soleil ou encore la dragonne de sa masse d’armes lourde accrochée à son ceinturon d’armes qui se serrait autour d’une large bande de tissus blanche qui lui ceignait la taille et par la même l’aube cléricale. Son accoutrement de guerre s’achevait par un écu en bois ovale sur lequel était peint le même symbole que sur son aube et qui représentait la petite statuette qu’il portait autour du cou : une belle femme aux ailes d’ange qui se rejoignaient au-dessus de sa tête, les bras écartés, une main tenant un cimeterre, l’autre une flamme. La forme de la statuette évoquait celle d’un Ankh. Il parlait le commun mais avait clairement un accent de ces peuples du désert. Osirion ? Katapesh ? Qadira ? Kelesh ?

« Et je vous présente Otto Sangsur, inquisiteur de Celle Qui Fleurit Sans Cesse » - Conclut-il en termes de présentations et désignant l'homme prostré contre le mur - Hâtez-vous d'entrer à l'abri du vent et de la pluie, même si malheureusement nous ne sommes pas seuls... - Il regarda Requiem et Aronian - « Il s'est produit une manifestation pendant votre absence, messire Chevalier... Tandis que je sécurisais l'une des fenêtres, j'ai vu dans son reflet juste derrière moi, l'image du nain égorgeur, le même phénomène qu'à connu maître Otto au manoir de Dame Kendra... Je dois dire que ça secoue pas mal ce genre de manifestation et ce malgré une Foi inébranlable... Je comprends mieux à présent que quelqu'un comme Dimitar ait pu se laisser submerger et dominer... » - Sans poursuivre davantage son développement, il se tourna vers le duo d'enquêteurs - « Et donc nous avons de nouveaux alliés ? Renforts ? »

Felicia entra dans la cabane, quelque peu trempée par la fine pluie qui s’était abattue sur eux lors du voyage. Un bref coup d'œil autour d’elle fut bien suffisant pour comprendre que la nuit qu’ils allaient passer ici ne serait pas des plus confortables… Allons bon, tant pis. Une nuit de plus, ou une de moins, quelle importance cela avait-il après tout. Elle était déjà rodée par le voyage jusqu’à Ravengro.

La changelin salua Cimian d’un signe de tête et se présenta après lui. « Ravie de vous connaître frère Cimian. Je m’appelle Felicia Orio, et voici mon patron, l’enquêteur Testarossa. » dit-elle en désignant ce dernier.

Elle observa ensuite Otto, tout en écoutant ce que Cimian racontait au chevalier. Instinctivement, en entendant parler de l’apparition du “nain égorgeur”, la jeune femme pensa à une sorte d’esprit frappeur. Cependant, bien qu’elle en avait vaguement entendu parlé, elle n’était plus très sûre de la façon dont il fallait gérer ce genre d’apparition. Les yeux posés sur l’homme prostré, elle farfouilla dans sa mémoire pour tâcher d’identifier de quoi il aurait pu s’agir avec le peu de détails qu’avait pu fournir Cimian, laissant à son collègue le bon soin de répondre aux interrogations du frère.

Comme à chaque fois, dès qu’il souriait pleinement, on avait l’impression que la douce chaleur matinale accompagnée d’une fraîche odeur de rosée émanait du jeune sérénite. Il enferma la main du chevalier dans les siennes et de sa voix douce tenta de calmer ce sang qui bouillait derrière ce visage aussi pâle qu’un cadavre – « Ne vous en faites pas, messire Chevalier. On n’éteint pas facilement la Flamme de Vie d’un fervent serviteur de l’Ange Solaire. Je suis davantage inquiet pour notre ami inquisiteur qui semble avoir énormément de mal à se remettre de ce choc mental. En attendant, je pense que quelqu’un requiert toute votre attention avant de fermer les portes pour la nuit. »

Il libéra Requiem puis se tourna à nouveau vers les nouveaux venus. Il écarta les bras en signe d’accueil – « Soyez les bienvenus Dame Félicia et Maître Galileo. Cet endroit est bien spartiate, je vous le concède, loin du confort du manoir de Dame Kendra, mais c’était aussi une maison secondaire que possédait le Professeur et nous ne pouvons la laisser à l’abandon sans surveillance pour le moment. J’ai bien peur qu’il faille camper ici pour cette nuit… » - Il resserra ses bras enfonçant les mains dans les larges manches de son aube – « Ainsi vous êtes venus d’aussi loin que Caliphas afin de rendre un dernier hommage à feu le Professeur Lorrimor ? Vous faisiez partie de ses amis sans doute ou est-ce que vous êtes mandatés par Caliphas pour une traque aux cultistes qui vous a mené jusqu’ici ? »

« Pardonnez-moi par avance pour ces quelques questions personnelles et indiscrètes, mais comme vous pouvez le constater, il se passe des choses vraiment très étranges depuis quelques temps et ces phénomènes semblent se produire de plus en plus fréquemment, de jour comme de nuit et même dans le manoir pourtant protégé par des enchantements du Professeur. Les recherches de ce dernier semblaient indiquer qu’il voulait arrêter des cultistes de la Princesse Pâle qui devaient réaliser un rituel à l’endroit même où s’est produite jadis une tragédie terrible à Ravengro : je veux parler de l’incendie de la prison qui a été déclenché suite à une émeute et qui a ravagé la prison ainsi que ses prisonniers, ses gardiens, son directeur et son épouse. Il y avait là des prisonniers très dangereux à l’esprit fort et les manifestations dont nous avons été témoins semblent répéter les rituels meurtrier de cinq d’entre-eux…. Mais si parfois il n’y avait que des apparition fantomatiques, comme des écritures qui apparaissent sur une tombe puis disparaissent, comme des pas dans la nuit qui semblent vouloir nous couper la route puis font demi-tour ou encore les cloches de la Sainte Église de la Dame des Tombes qui se mettent à sonner en pleine nuit… Il y a eu aussi des manifestations bien physiques comme les regrettés défunts du cimetière qui sont sortis de leur tombe et qui s’en sont pris aux habitants ou encore ces sortes de moustiques-oiseaux, des stirges, qui ont attaqué un groupe de musiciens sur la place ou encore ce qui a tué notre regretté ami Dimitar, coupé en deux par une sorte de faux fantôme, le symbole de la Princesse Pâle… Je suis convaincu que le Professeur a dérangé les cultistes de l’immonde déesse gloutonne et porteuse de maladie et que ce sont eux qui l’ont tué, tentant de faire passer cela pour un accident… »

« Il y a encore beaucoup d’inconnus dans cette histoire et nous avons fait quelques découvertes lors de nos recherches dans les différentes bibliothèques de la ville et du manoir, ainsi que dans les écrits du Temple de Pharasma. Nous avons pu comprendre certaines choses, mais il reste encore beaucoup de zones sombres et les évènements néfastes qui s’accélèrent semblent nous pousser à agir au plus vite et tout semble se tourner vers ces cinq prisonniers et cette prison… C’est un endroit très dangereux et au début de notre enquête, lorsque nous avons investigué sur le lieu du soi-disant accident du Professeur, nous nous sommes fait surprendre par une horde de rats plutôt gros et virulents et nous avons dû battre en retraite après avoir constaté qu’il ne s’agissait pas d’un accident… Demain, nous nous apprêtons à aller là-bas pour récupérer le corps de notre ami Dimitar… Ce matin, tandis que nous faisons des recherches au sein des archives de l’hôtel de ville, il y est parti seul, tel un possédé enragé. Maître Otto l’a suivi sans parvenir à l’arrêter. Sur place, Dimitar, un colosse, une montagne, un combattant hors pair, a repoussé les attaques des rats puis il a tout simplement été coupé en deux par cette faux fantôme apparue d’un seul coup… Voyez comme Otto en est resté choqué… Quant à feu notre compagnon d’armes, nous ne pouvons le laisser là-bas. Il doit reposer en terre sainte s’il veut trouver la paix et passer en jugement à l’Ossuaire de la Dame des Tombes. Voilà dans les grandes lignes…  »