Asphodèle:Apparence:Asphodèle est un tiefflin mâle de grande taille, dépassant le mètre quatre vingt dix les pieds à plat. Il a hérité de trait dérangeant et clairement monstrueux.
Sa peau est d'un blanc immaculée et ne présente aucune pilosité hormis ses cheveux. L'intégralité de son corps est couverte de fins motifs circulaires, qui pourrait faire penser à de légère cicatrices en surépaisseurs. Extrêmement léger cet étrange tracé, n'est que très difficilement repérable sans être très près et y faire attention, par contre il semble canaliser, voir attirer, les écoulement de fluides. Ce fait le rends très visible quand il est blessé ou que des liquides colorés lui tombe dessus.
Pour rajouter l'étrange à la bizarrerie ses motifs semblent varier, ils ne changent jamais à vu d’œil mais d'une heure à l'autre le motif dans son ensemble peut être différent, en restant des circonvolutions, spirales et enroulement reliés entre eux sans logique mais étrangement hypnotique quand on y prête attention (faut être prêt ou avoir du colorant et de l'eau.)
Son corps est élancé et finement musclé, ses mains sont terminées par des ongles noirs et polis et ressemblent plus à un minéral qu'à une matière organique.
Son visage est fin, son menton presque pointue, la ligne de sa mâchoire est nette et saillante, il ne présente aucune pilosité au niveau de la barbe ou de la moustache, ses lèvres très fine ne présent pas de différence de contraste avec le reste de sa peau. Sa bouche s'ouvre bien plus loin que celle des humains, faisant quasiment disparaitre ses joues derrière un immense mais léger sourire involontaire. L'intérieur de sa bouche est d'un noir d'encre brillant, une double rangée de courts crocs triangulaires, chacun a peine plus long qu'une canine humaine mais bien plus tranchantes, trônent la où la dentition d'un humain devrait se tenir.
Ses yeux sont deux billes du même noir insondable que l'intérieur de sa bouche ou l'éclat de ses ongles; étrangement d'où qu'on le regarde on a imprécision qu'il vous fixe droit dans les yeux.
Il attache ses cheveux, noirs et soyeux, en une queue de cheval qui coule jusqu'entre ses omoplates. Une douzaines de courtes pointes osseuses marquent son crane, réparti en une étrange harmonie qui ne jure pas avec ses traits, deux d'entre elles se situant juste au dessus de ses arcades sourcilières.
Au bas de sa colonne vertébrale émerge une longue queue sinueuse un peu plus longue que ses jambe, Asphodèle la contrôle avec suffisamment de précisons pour l'utiliser pour saisir de petits objets avec rapidité. Quand il n'y fait pas attention elle fait naturellement balancier aux mouvements de son corps, ou bat légèrement dans ses rares moment d'inactivité, n'étant immobile que quand il dort.
Ses pieds sont légèrement plus longs, en proportion, que ceux des humanoïdes et présente une articulation supplémentaire à mi chemin entre le talon et les orteils. Elle lui donne la possibilité de se dresser sur ses orteils et l'avant de ses pieds et de pouvoir courir avec encore plus de vitesse.
Malgré son apparence monstrueuse, ou peut être grâce à elle, Asphodèle est étrangement attirant. Inquiétant certes mais sa voix chaude et profonde caresse l'âme autant que les oreilles. On semble toujours trouver ce qu'on cherche ou que l'on craint dans son regard insondable. Ses mouvement sont gracieux, ondulants, lascifs, et on y sent aussi la puissance caché, la crainte face à un prédateur. Son odeur est légèrement sucré et ferreuse. Tout dans son apparence est un appel et un rappel implicite à la débauche, la sensualité mais aussi à la violence et la brutalité.
Histoire connue:Asphodèle approche la trentaine ou au moins il a dépassé le milieu de la vingtaine ça il en est sur. Sa mère Améthyste est une marchande itinérante de la mer intérieure, magouilleuse, manipulatrice, ensorceleuse, intrigante, presque espionne, sa nature de tieffline est beaucoup plus séduisante que celle de son fils. Selon ses termes elle est pas méchante mais pas étouffé par les scrupules non plus.
Il semble qu'Asphodèle sache pas vraiment où il soit né, dans un petit port lors d'une escale d'un voyage de commerce, rien de précis sur le lieux (en avistan c'est sur) et la date (à un ou deux ans près quoi, c'était le début de l'automne ça c'est certain.) selon les souvenir de sa mère. Son père? Il ne le connait que par le peu que sa mère lui en a dit: un tiefflin de passage, amant d'un hiver dans un lieu d'habitation confortable et surtout éphémère, comme leurs relations et ses souvenirs de lui.
Sa jeunesse se passa en suivant les voyages de sa mère, les escales commerciales, les négoces à droite à gauche, un gamin balloter par les voyages, craint et rejeté par les autres enfants et par la majorité des adultes. Rien de marquant a part ça. Quand il eut une douzaine d'année, sa mère lui trouva un maitre d'arme pour qu'il arrête de lui tourner dans les pattes a tout bout de champs.
Victor Grande, qu'il s'appelle un demi orque, éclaireur, résultat au bout de trois quatre ans, Asphodèle s'est mit en tête de rejoindre la société de éclaireur, ce qui faisait pas trop plaisir à sa jolie tieffline de mère, aventurier c'est pas le métier le plus sur du monde, un garde du corps de confiance c'est une bonne chose, et bon elle l’admettra pas mais elle est un peu mère poule après tout c'est son fils (a elle! comme ses trésors à elle...)
S'en suit 8 ou 9 ans de baroude dans les rangs de la société, des dizaine de missions, des centaines d'aventuriers rencontrés, depuis la raclure des bas fonds de Solku jusqu'a des princes de cités, ami (très voir plus parfois) avec certains et vraiment pas avec d'autres sans distinction de races, de sexe, de classes sociales, d'origines, de religions...
Comportement:Asphodèle fait tout pour ne pas devenir un monstre, physiquement c'est déjà le cas, mais moralement il s'oppose au mal, pas pour faire le bien, juste pour ne pas devenir un démon.
Sa nature le pousse vers l'excès, il est agité, impulsif et irréfléchi, il n'est pas idiots mais pense quand il a déjà agit la plupart du temps et si il n'y prend pas garde. Il est par conséquent souvent d'une franchise abrupte dans ses actes et ses paroles, mais reste la plupart du temps sympathique.
Il profite de tout les plaisirs terrestre en évitant ceux qui pourrait le condamner.
Il lui est impossible de rester longtemps au même endroit, de ne pas bouger, de rester dans la même salle sans but.
Il n'apprécie pas l'autorité quand elle est hérité, qu'elle limite des libertés qui ne mettent en périls personne, qu'elle restreint sans raison valable, mais il a aussi conscience que si on lui donnait l'autorité il aurait du mal à ne pas en abuser.
Il aime se battre et tuer, mais se restreint a tuer que ceux qui le méritent pour ne pas sombrer encore une fois, il lui est arrivé plus d'une fois lors de bagarre dégénérant dans des débits de boisson d’assommer à coup de poing un poivrot qui avait sorti une dague alors qu'il aurait pu lui régler son compte d'un coup de crocs moindre risque.
Pire, il apprécie le gout du sang et de la chaire de ses ennemis, et si il ne faisait pas un effort il pourrait se laisser aller à dévorer ses adversaires durant les combat, mais ce serait le signe de sa déchéance à ses propres yeux.
La charité semble être un concept qui lui passe au dessus de la tête.
Il n'est pas particulièrement pieu ou dévot.
Il est vaguement égoïste n'agissant bien souvent que par envie ou pour gain personnel (ou pour éviter une perte, ou de glisser vers l'abysse.)
Modifié par un utilisateur vendredi 16 juillet 2021 22:11:35(UTC)
| Raison: Non indiquée